Fantasme de plans à trois devient réalité

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Fantasme de plans à trois devient réalité

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publié le 21/01/2013 à 21:00, modifié le 03/04/2017 à 19:46
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L’imagination n’a pas de limite, surtout lorsqu’il s’agit de fantasme sexuel. Le plan à trois reste le désir le plus commun et le plus partagé d’entre nous. Une expérience souvent accordée aux hommes, qui prend sa source dans l’enfance
Demandez à un homme ce qui l’excite plus que tout, il y a de forte chance que l’idée de voir deux femmes ensemble le fasse rêver. D’abord parce qu’il y a une possession, rien que pour lui, une situation qui met en exergue sa puissance.
Rêver de faire jouir deux femmes en même temps n’est pas une entreprise évidente, mais c’est un défi que de nombreux hommes souhaiteraient mettre en action.
Dans un premier temps, il trouve dans la sexualité une façon de marquer son territoire, de prouver son pouvoir, mais aussi de fuir ses angoisses.
Faire l’amour à trois fait remonter son désir dans sa période œdipienne où l’on cherche sa place entre ses deux parents.
Parce que sa virilité rime souvent avec sa sexualité, un mec qui réussit à faire jouir deux femmes en même temps, est une marque de sa puissance. Jouir de son pouvoir de les faire jouir. Un fantasme qui représente la réalité d’observer deux femmes vivre une expérience lesbienne. Parce qu’ensemble, elles représentent le comble de la féminité et de la sexualité, un scénario qui en a déjà fait rêver plus d’un.
A contrario, les femmes vont rarement s’aventurer dans une chimère ou deux hommes se caressent tendrement. Avant tout, parce que cette image brise la masculinité que la femme aime espérer de l’homme.
Et pourtant, de nombreuses filles doivent dépasser ce cap d’une morale qui l’empêche, ne serait-ce que d’envisager ce fantasme. Un désir d’être l’indivisible au centre de deux hommes, se sentir unique, pleinement sexuée. Homme ou femme, il est nécessaire de dépasser le cap de l’imaginaire pour parfois rejoindre la réalité…




Témoignages


Mon plan à trois raté de A à Z qui a fini à l’hôpital




Cheyenne Blue

16 août 2022


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madmoizelle



Témoignages



Du fantasme à la réalité, il y a un monde. C’est la leçon qu’a apprise Cheyenne, qui rêvait d’un plan à trois avec deux hommes… Jusqu’à ce qu’elle tente l’expérience.

Merci pour ce témoignage, intéressant! "Le fantasme est possible, mais pas n'importe comme. " On est bien d'accord ! Personnellement je pense qu'il y a trois grands principes à respecter pour l'exploration de sa sexualité: lucidité, communication et progressivité. La lucidité implique d'être en capacité mentale et physique de jouer et ça vaut le coup de se poser la question avant de tenter une expérience inédite ("ne suis-je pas trop fatigué/bourré pour ce que j'envisage de faire?". La communication est la clé dans toute relation humaine (et cela implique la discussion autour du consentement comme base évidemment). Enfin, la progressivité, donc définir des paliers très progressifs permet de garantir la possibilité de communiquer, de s'assurer qu'on va bien (émotionnellement, pas seulement physiquement), qu'on est en état de poursuivre (par ex: commencer par des bisous, voire juste se frôler, puis en parler). Réfléchir aux plus petites étapes possibles de ce qu'on envisage, en parler, les faire puis debriefer. Prendre son temps ça permet de s'assurer qu'on va bien et que son/sa/ses partenaires vont bien aussi, c'est essentiel je trouve pour explorer quoi que ce soit. Voilà my two cents sur l'exploration sexuelle qui je pense peut s'appliquer ici aussi .

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La première fois que j’ai maté du porno , j’avais environ 15 ans et je suis tombée sur une vidéo dans laquelle une femme se faisait pénétrer par deux hommes à la fois. Je me souviens avoir un peu halluciné, parce que je n’avais jamais entendu parler de cette pratique.
Mais la DP , comme on l’appelle sur les moteurs de recherche pornographique, m’a intriguée, au point de devenir un vrai fantasme. Alors quand mon premier mec m’a confié avoir exactement le même que moi, j’ai envisagé de passer à l’action…
Je me souviens très bien du matin où Jonathan a voulu partager ses fantasmes avec moi. Il faisait très beau, c’était un samedi, et les heures de glande qui nous attendaient étaient propices aux confidences.
« À quoi tu penses quand tu te touches ? »
Sa question était franche, absolument dénuée de timidité. Et pour cause, ses quelques années de plus que moi lui donnaient une assurance que je n’avais alors pas encore. J’ai donc mis un peu de temps à répondre, et ai sans doute pas mal rougi quand j’ai répondu :
« J’imagine que je suis avec plusieurs mecs, et qu’ils s’occupent tous de moi. »
Son intérêt s’est alors renforcé, et il s’est assis — je m’en souviens très bien — les deux coudes posés sur ses genoux, dans une position attentive.
« Et ils te font quoi ? » a-t-il demandé d’un air gourmand.
Pendant 2 heures, nous avons donc échangé sur ce qui faisaient les fondements de nos plaisirs masturbatoires. Et sommes arrivés à une conclusion plaisante : nous partagions globalement les mêmes envies. Quelques jours plus tard, Jonathan me proposa de boire un verre dans notre bar préféré et s’y pointa avec un sourire malicieux…
Après quelques banalités, il a fini par m’expliquer :
« J’ai un pote avec qui j’ai toujours voulu partager un moment chaud. C’est un très bon copain, et je trouve ça cool d’essayer un fantasme avec des gens de confiance. Ça te dirait qu’on essaie un plan à trois avec lui ? »
Je lui ai répondu que why not , mais que pour cela, bien sûr, il fallait que l’on se rencontre avant, pour que je puisse voir s’il me plaisait.
« Cela va de soi. Et s’il ne te plait pas ou que tu ne le sens pas, on cherchera quelqu’un d’autre. »
Le samedi suivant, le fameux Edouard nous invita à prendre l’apéro chez lui. Ce soir-là, j’ai tout donné en termes de style, et me suis mise sur mon 31 pour lui plaire. J’espérais que la réciproque serait vraie.
Et dès qu’Edouard ouvrit la porte, je sus que j’avais envie de coucher avec lui.
Et il en avait envie aussi, indubitablement.
Sur la table basse du jeune homme ce soir là, il y avait des tonnes de conneries apéritives, et surtout de bonnes bouteilles de vin et de rhum. Edouard et moi avons accroché immédiatement et avons donc librement flirté devant Jonathan, qui semblait ravi que sa meuf et son pote s’entendent si bien.
J’imagine qu’il pensait du coup que ça n’augurait que du bon pour la suite.
Les heures ont ainsi passé, ponctuées d’éclats de rire, de grignotage et surtout d’ingestion colossale d’alcools divers.
Vers 2 heures du matin, Jonathan m’offrit un baiser plus langoureux et suggestif que d’ordinaire, en me caressant les jambes avec sensualité.
Edouard nous regardait sans rien entreprendre.
Et naturellement, j’ai posé ma main sur sa cuisse, tout en poursuivant mes caresses avec Jonathan. 
Edouard s’est alors levé pour se rapprocher de nous, m’a soulevé les cheveux pour poser ses lèvres dans mon cou. En gardant ma main sur le visage de Jonathan, je me suis retournée pour embrasser Edouard. Tout était spontané, puisqu’à l’origine, rien ne devait aller si vite en besogne entre nous trois.
Très rapidement, il a été difficile de distinguer quelles mains appartenaient à qui, et les étreintes se sont faites communes, jusqu’à ce que sans que je m’en rende vraiment compte, je me retrouve allongée, une tête entre mes cuisses, et l’autre dans mon cou.
Le moment était très agréable, bien que brumeux. Je me souviens avoir eu l’impression que tout semblait un peu irréel. Sensation qui résultait, sans doute, de l’adrénaline mêlée à l’alcool. 
Jonathan, surtout, était très soul. Je l’avais vu se resservir maintes et maintes fois pendant la soirée, pour avoir le courage de passer à l’acte sans doute.
Alors qu’il était davantage dans les caresses sages, Edouard se montrait plus entreprenant, m’attrapant par les hanches fortement, passant sa langue partout.
Il maitrisait son sujet, et c’était très excitant. J’ai donc eu envie de lui rendre la pareille.
Ainsi, après avoir embrassé et caressé d’une main Jonathan, j’entrepris de faire une fellation à Edouard. D’un coup, à ce moment précis, Jonathan a changé d’expression. L’air dégouté et triste, il s’est défait de mon étreinte et s’est assis tout seul au bord du lit.
J’ai voulu me redresser pour le prendre dans mes bras, et lui dire qu’il était possible d’arrêter là et de rentrer à la maison mais Edouard, très excité, me prit par la taille au passage, me collant contre lui, passant ses mains sur mes seins.
Jonathan prit l’air furieux et de rage envoya un coup de pied violent dans la fenêtre toute fine du salon qui se brisa immédiatement.
Paniqué, soul, Jonathan marcha sur du verre cassé, s’ouvrant ainsi la plante du pied sur toute sa longueur ainsi que la partie basse de son mollet. 
Il y a avait du sang partout sur le sol.
Tant et si bien qu’après deux minutes de réflexion, nous avons fini par appeler les pompiers.
Résultat : une fois à l’hôpital, Jonathan se fit suturer après un moment d’attente qui me sembla infini.
Une fois rentrés chez nous, au chaud dans notre lit, encore pleins d’alcool, nous avons ressenti le besoin de débriefer. Mais il était si en colère que la communication était biaisée.
« Ça m’a dégouté de le voir te toucher comme ça. Et ça m’a dégouté de te voir aimer ça. »
Eh oui, avant de passer à l’acte, il y avait un facteur que nous n’avions pas considéré : la jalousie. 
Comme c’est Jonathan qui avait été l’instigateur de ce plan à trois, je ne pensais pas qu’il aurait pu à ce point-là mal vivre l’expérience.
Pendant des heures, mon ex m’a donc tenu des propos culpabilisants et franchement désagréables, motivés, je pense, par une jalousie qu’il ne parvenait pas à rationaliser. J’ai dû lui rappeler en haussant le ton qu’IL était à l’origine de ce plan à trois et qu’il était hors de question qu’il me reproche d’avoir donné vie à son fantasme.
Après une heure de discussion, Jonathan finit par reconnaître que ses propos étaient carrément déplacés et m’a exprimé son regret quant à son attitude. 
Nous n’avons jamais reparlé de cette histoire, pendant les presque trois ans qui ont suivi ce foirage. Mais aujourd’hui, je recommencerais bien (dans de meilleures conditions of course ).
Je pense qu’il est primordial de vraiment beaucoup discuter des modalités avant de foncer tête baissée dans un rapport sexuel qui à l’origine tient du fantasme.
Il est important de se préparer à l’éventualité que la réalité ne corresponde pas à ce que nous avions en tête , et surtout rester très alerte à ce que ressentent les autres personnes impliquées dans la réalisation de ce fantasme.
Ah, et dernière chose, je suis convaincue que se bourrer la gueule pour se donner du courage n’est pas une idée brillante , car l’alcool comme chacun sait, n’est pas bon pour la santé, et surtout, il altère les comportements et peut mener à des réactions franchement outrancières, comme celle qu’a eue Jonathan.
Le fantasme réussi est possible, mais pas n’importe comment !
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