Faire l'amour avec sa belle soeur

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Bertrand, 21 ans, surprend la copine de son frère avec son cousin dans la cabane du jardin, il va pouvoir en profiter aussi… mais plus tard !
Retrouvez ici toutes nos histoires de sexe .
Je m’appelle Bertrand, j’ai 21 ans et je suis étudiant . Je vis chez mes parents avec mon frère et sa nana, Monika. C’est une très belle brune de 23 ans. Elle est infirmière.
L’année dernière pour l’anniversaire de notre grand-mère, nous sommes allés chez notre oncle en bord de mer. Il y avait aussi nos cousins. On s’entend très bien tous ensemble. Après le repas, toute la famille est partie faire un tour sur la digue, sauf un cousin, Armand, et Monika qui débarrassait la table pendant que mon frère avait rejoint les autres.
Je suis allé avec la famille, mais j’en ai bientôt eu marre, alors je suis revenu (en plus j’avais oublié mes clopes dans mon sac), mais quand je suis arrivé dans la salle à manger, il n’y avait personne. J’ai appelé Armand en vain. Je ne le trouvais nulle part dans la maison, alors je suis allé dehors…
J’ai entendu des drôles de bruits qui venaient de la cabane du jardin. Je me suis approché lentement, j’ai jeté un œil… Et j’ai eu un choc ! Armand était monté sur l’établi, le pantalon baissé, et Monika lui suçait la queue ! Le membre était fin et long, bien tendu. Ma belle-sœur avalait le truc en entier, elle lui léchait les couilles avec sa petite langue , et lui, soupirait de plus belle.
Il est descendu pour lui peloter les seins, elle avait de belles poires qui avaient l’air bien fermes. Elle le regardait avec un petit sourire, il était aux anges le salopard. Il lui a demandé s’il pouvait la lui mettre dans le cul. Elle a fait non de la tête, alors il s’est remis en position pour se faire sucer. Elle l’a repris en bouche et il a tiré sur sa tête pour l’attirer plus loin sur sa tige. Ses couilles touchaient le menton de Monika à présent. En quelques secondes, il a commencé à râler et il a giclé dans sa bouche. Elle a tout avalé et a fini en lui nettoyant bien la bite avec sa langue.
Entre temps, j’avais réussi à prendre quelques photos avec mon portable. Ma queue était toute raide, je me caressais en douce. Je suis reparti avant qu’ils ne s’aperçoivent de ma présence. Le soir dans mon lit, j’ai regardé les photos. C’était vraiment excitant.
Dimanche dernier, j’étais seul dans ma chambre et j’ai eu envie de revoir les photos. J’ai fait un gros plan sur le visage de Monika en train de pomper le cousin. J’étais nu sur mon lit, avec la bite raide comme un piquet. Tout à coup, la porte s’est ouverte sur Monika qui était venue me demander un service ! Je ne savais pas qu’elle était à la maison. La surprise a été grande des deux côtés… Elle m’a vu comme ça, la bite à la main, le portable dans l’autre. Je lui ai hurlé de sortir de ma chambre bien entendu, en ajoutant qu’elle pourrait frapper avant d’entrer…
Mais elle ne s’est pas laissé démonter et m’a répondu qu’il fallait fermer à clé dans ce cas-là et qu’il y avait d’autres moyens de s’exciter qu’un téléphone portable. J’ai été tellement étonné qu’elle ne sorte pas de ma chambre que je suis resté estomaqué. Et là, elle a vu. J’ai compris qu’elle regardait le téléphone dans ma main et qu’elle s’était reconnue.
Elle est devenue toute rouge et m’a sommé de m’expliquer. Je lui ai tout raconté dans les moindres détails. La honte passée, tout cela m’amusait bien en fin de compte. J’avais fini mon honteux récit, et elle s’est aperçue que j’avais toujours la queue raide et peut-être plus rouge encore qu’avant qu’elle ne me découvre.
Elle s’est approchée et m’a demandé si je voulais qu’elle me soulage. Je m’apercevais qu’elle voulait acheter mon silence et j’avais bien l’intention d’en profiter. Je l’avais toujours trouvée trop belle pour mon frère de toute façon ! Singeant la timidité, j’ai fait oui de la tête. Monika s’est appliquée à me faire une pipe de légende. Je sentais enfin sa bouche sur ma bite tendue et dure comme une barre de fer. Je caressais ses beaux seins pendant qu’elle me suçait si divinement bien. Sa poitrine était encore mieux que dans mes rêves les plus humides : douce et ferme.
Elle s’est redressée pour aller fermer la porte de ma chambre, à clé. Ensuite, elle s’est mise toute nue devant moi en disant : « Tu vois, comme ça, on ne sera dérangés par personne. » Comme elle était belle ! Je bandais comme un âne. Elle est montée sur le lit, elle s’est blottie entre mes jambes et a recommencé à me pomper. Elle m’a dit qu’elle ne m’imaginait pas avec une queue aussi épaisse et qu’elle l’adorait déjà. De fait, elle en prenait grand soin et la cajolait.
J’ai repris ses magnifiques seins à pleines mains. J’ai pincé ses jolis tétons qui durcissaient. Puis j’ai posé les mains sur sa tête pour mieux guider mon membre au fond de sa gorge où j’ai déchargé tout mon foutre. Ma sève était abondante. Elle l’a complétement avalée.
Monika est remontée vers moi et m’a embrassé à pleine langue. Elle était à cheval sur moi, et ma bite en redemandait déjà. Elle l’a sentie. C’était fou. Je sentais son cul très doux qui frôlait mon gland en feu. Elle s’est soulevée légèrement avant de redescendre tranquillement tout le long de mon piston. Sa chatte trempée et en chaleur était un vrai régal. J’en ai senti chaque millimètre jusqu’à ce que ses adorables fesses touchent mes couilles. Nous étions en amazone. Nous avons commencé à onduler comme de vrais amants . Ses hanches merveilleuses étaient très actives.
La baise est devenue incroyable, épique. Nous étions dans une frénésie de cul. Elle s’accrochait très fort à moi. Je lui donnais de formidables coups de queue, je lui labourais le ventre. Je me donnais corps et âme pour la faire jouir. Je la défonçais, c’était du vrai plaisir. Ses longues jambes étaient un étau. Elle me suppliait d’aller plus loin. Mes couilles étaient trempées de sa jouissance.
Elle s’est mise sur le côté, je me suis replongé en elle avec ardeur. Ma bite était de plus en plus raide et gonflée à bloc. Nous étions en sueur. J’ai senti la sève remonter… Je sentais les parois de sa chatte qui me pompaient la queue. J’ai râlé de bonheur. Elle a gémi, ma liqueur a coulé. Nous sommes restés un long moment comme ça, moi sur elle.
Monika s’est relevée doucement. Je bandais toujours. J’ai vu ma semence s’écouler de sa vulve. Elle s’est essuyée avec mon caleçon qui traînait là. « Ça te fera un souvenir ! » Quelle coquine… « Et tu seras gentil de ne pas envoyer mes petites photos à n’importe qui, ça restera notre petit secret, ok ? » Elle s’est rhabillée et elle est sortie après m’avoir fait un clin d’œil. Je les ai toutes effacées sauf une : celle où elle suce notre cousin , celle-là, je l’aime trop. Maintenant, elle et moi, on est très complices…
J’attends notre prochain rendez-vous et j’ai hâte ! Peut-être au moment des fêtes de Noël ? Qui sait…
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Histoire érotique écrite par
Anonyme









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— Oui, baise-moi encore, plus fort !    Je gémis, soupire, râle et la voiture tangue sous mes coups de boutoir comme une 2CV qui dévalerait une pente cahoteuse. Je suis au plus profond de Murielle, les mains accrochées à ses fesses. Ses seins me tressautent sous le nez au rythme des va-et-vient... ses jolis seins, si fermes, si tendres, si sensibles....    J’ai dix-huit ans, je m’appelle Eric : un garçon sérieux, pas trop mal physiquement mais assez timide. Je passe une semaine des vacances scolaires chez mon frère aîné et Murielle, sa femme. Samedi dernier, j’avais rendez-vous avec des copains pour faire une partie de foot au stade municipal. Je me suis levé tôt pour me préparer. D’abord la douche, que je prends dans la baignoire de la salle de bain où se trouve aussi l’unique WC de la maison. Alors que je m’essuyais, Murielle qui devait ressentir un pipi pressant, s’est faufilée dans la pièce dont j’avais laissé la porte entrouverte. Elle pensait sans doute passer inaperçue, ce qui aurait été le cas si je n’avais tiré le rideau à ce moment là... Surprise, Murielle m’a adressé un sourire gêné. Mais le plus gêné des deux n’était pas celui qu’on pense : j’étais nu devant elle, sportif certes mais pas spécialement athlétique, avec mon sexe rétréci par l’eau fraîche qui lui pendait à hauteur des yeux.    - Excuse-moi Eric, je suis confuse...    Ne sachant comment réagir mais pas mécontente apparemment, ma belle-soeur a décidé d’en plaisanter :    - Je n’ai plus qu’à me déshabiller, comme ça on sera à égalité !    Elle s’est levée du siège et, croisant les mains au bas de sa nuisette, l’a ôtée d’un coup par la tête, découvrant intégralement son corps de femme. Puis, elle a joué la camaraderie :    - Comment trouves-tu mes seins ? Ils sont trop petits je sais, les hommes préfèrent les gros nichons. Mais ils me donnent bien du plaisir quand même, avec leurs mamelons nerveux. De toute façon, il faut que je fasse avec, n’est-ce pas ?    Elle parlait avec naturel, comme s’il était normal que nous soyons tous deux à poil dans la salle de bain, avec mon frère qui dormait dans la chambre à côté ! Moi, je fixais son bas-ventre : on voyait le dessin clair du maillot de bain sur sa peau bronzée et de fins poils roux qui ne cachait rien d’un sexe charnu, aux colorations rosées, qui me paraissait assez petit, du moins autant que je pouvais en juger. Murielle a sans doute réalisé qu’elle était équivoque et qu’elle me troublait : elle s’est dissimulé l’entrecuisses d’une main négligente... toutefois, ça la rendait encore plus sexy. L’atmosphère s’érotisait nettement.    - Ca grossit vite ton machin, dis-donc...    Elle regardait avec un air de reproche mon sexe qui prenait de la vigueur. Vexé, je me suis tourné pour achever de m’essuyer. Je frissonnais, rouge de confusion, envahi de pulsions bizarres. Dans un sursaut de hardiesse, comme un coup de poker, je me suis retourné à nouveau : je bandais dur, vraiment dur.    Murielle m’a enveloppé d’un regard lénifiant :    - Eric, je suis terriblement désolée. Tout ça est de ma faute, je n’aurais pas dû... J’en aurais bien envie aussi, mais tu comprends que c’est impossible, n’est-ce pas ? Allez, viens : je vais te faire passer ça...    D’un geste précis, elle m’a saisi le pénis qu’elle a caressé méthodiquement, de plus en plus vite. J’étais mal à l’aise mais je me suis laissé faire, j’en avais besoin certainement. Elle a concentré sa pression sur le gland, j’éprouvais une trouble sensation qui a fini par s’exprimer par de violentes giclées dans le lavabo. Murielle m’a embrassé sur le front comme un enfant, et s’est enfuie vers sa chambre, enfilant rapidement sa nuisette.    En passant devant la chambre à coucher, j’ai entendu les bruits caractéristiques d’un couple en pleine action. C’était injuste ! J’imaginais la fine toison de Murielle toute décoiffée aux premières caresses, les paluches de mon frangin qui lui pétrissait la poitrine, tandis qu’une respiration saccadée, des claquements humides et des plaintes aiguës m’inspiraient une jalousie diabolique. Ca ne s’est pas arrangé le soir ! Mon frère et ma belle-soeur recevaient des amis. On aurait dit que Murielle le faisait exprès, qu’elle cherchait à me faire du mal en m’excitant en vain, moi le jeune qui ne jouait pas dans la cour des grands... Murielle s’était habillée d’une mini noire et d’un chemisier de satin qui s’accrochait à la pointe de ses petits seins. Les hommes qui étaient là n’avaient d’yeux que pour elle. Elle dansait langoureusement, avec l’un, avec l’autre, toujours correcte finalement mais sans cesse limite, sur le fil du rasoir d’une main baladeuse ou d’un frottis suspect... En réalité, elle mettait tout le monde à vif et les types évacuaient leur frustration par des propos salaces qui me laissaient perplexes :    - Petit, si j’avais une belle-soeur aussi bandante, ça ferait longtemps que je l’aurais sautée...    - Dis-donc, vous ne vous emmerdez pas dans la famille...    Ces remarques incessantes, d’abord cauchemar, se sont faites obsession puis tentation. Ce que j’aurais voulu, c’était arracher le corsage de Murielle et lui mordre les tétons, les gonfler de plaisir jusqu’à la souffrance ; lui baisser la minijupe et passer à l’acte. Qu’elle soit ma belle-soeur ne me gênait pas, j’en avais envie moi aussi, ça ne changeait rien au désir que j’avais de la posséder ! Moi, le garçon sérieux, timide, niais pour tout dire, je me sentais dangereusement entraîné vers je ne sais quel abîme.    En attendant, je me défoulais dans le foot ! Le lundi, j’avais fait un match et j’allais rejoindre les vestiaires, quand j’ai aperçu ma belle-soeur sur le bord de la pelouse. On a papoté tant et si bien qu’arrivés aux vestiaires, il n’y avait plus personne. J’étais en tenue sportive : baskets, short et maillot. Il fallait que je me change.    - Ca ne t’ennuie pas si je te regarde, m’a demandé Murielle.    - Si, beaucoup !    J’avais déjà le short aux chevilles. De toute façon, j’allais garder mon caleçon et enfiler mon jean.    - Eric, montre-moi ta bite...    Sans blague, elle pouvait toujours compter là-dessus ! Mais en même temps, vaniteux tel un pou, j’étais pris d’une érection rapide. Après une valse-hésitation, j’ai fini par sortir au-dessus de l’élastique du caleçon mon sexe tel que je ne l’avais jamais vu : énorme, veiné et décalotté sous la pression sanguine. Murielle portait un tricot de laine avec rien dessous, comme souvent. Elle savait que ça me mettait dans tous mes états ! J’aurais voulu la téter, exprimer le lait ou je ne sais quoi qui est à l’intérieur.    - Déshabille-toi, je veux te voir à poil...    Résigné, sous le charme d’une étrange perversité, envoûté à coup sûr, je me suis livré à un curieux strip-tease. J’ai ôté le short, puis j’ai retiré les baskets, le maillot, le caleçon et enfin les chaussettes. J’avais les tétons gonflés comme ceux d’une femme. Je bandais à faire mal, avec les testicules ramassées à la base de la queue.    - On a le temps... baise-moi donc !    A quoi jouait-elle ? Je la connaissais si bien... Allait-elle se dérober ? Cherchait-elle à humilier un trois-quarts puceau pris au piège ? Murielle m’a tendu une capote et s’est allongée sur un banc, les jambes écartées de chaque côté. Il fallait assumer maintenant ! Finis les délires, les fantasmes... la réalité s’imposait dans toute sa crudité. J’ai aidé Murielle à lever les jambes et je me suis mis en position. A genoux, le dos tendu comme pour faire des pompes, le sexe bien raide. J’ai frotté le gland à la vulve, sous le regard sceptique de Murielle. Puis j’ai poussé profond, au maximum de mes forces et, sans réfléchir à rien, j’ai limé comme un dingue. Comme j’étais placé, je voyais ma queue qui pilonnait la chatte rougie, distendue et dégoulinante de ma belle-soeur. Je sentais mes couilles qui lui battaient les fesses. Elle gémissait, soumise et enflammée. C’était un grand moment !    - C’est bon Eric, n’arrête pas, vas-y, vas-y !    Elle voulait jouir. Je ne sais ce qui m’a pris : j’ai glissé lentement mon sexe hors de Murielle, la laissant dans un désarroi colérique qui m’a rempli d’une franche gaieté. Tandis que je remballais mes petites affaires, je me faisais insulter de verte façon !    Le mercredi, mon frangin m’a demandé de laver sa voiture, une Alfa 146 avec Aline, une cousine de mon âge. Il faisait chaud par cette journée d’été. On a arrosé la bagnole au tuyau, sagement d’abord puis on s’est amusé à s’arroser mutuellement plutôt que la carrosserie sale ! Aline était vêtu d’un t-shirt blanc qui, une fois mouillé, est devenu transparent. Je n’y avais pas prêté attention mais la drôlesse semblait chercher quelque chose... Elle avait une manière inimitable de se pencher sur le seau pour y tremper l’éponge en découvrant ses fesses par le bas de sa jupe-culotte. Elle a fini par se vautrer en toute innocence sur le capot, comme pour essuyer le pare-brise. Imaginez le tableau : un joli petit cul dégoulinant de mousse sur les cuisses. La belle était enjouée et menait la danse rondement. Quand on en est arrivé à nettoyer l’intérieur, je lui ai touché les fesses. Elle s’est récriée en gloussant :    - Eric, je ne te croyais pas comme ça !    - Tandis que moi, j’ai toujours su que tu étais une petite cochonne...    Sans attendre, j’ai glissé la main sous sa culotte. Elle n’attendait que ça ! Elle se pâmait déjà :    - Hum, j?adore...enfonce toi doucement, va au fond...    J’entamais une masturbation en règle de la douce enfant quand ma belle-soeur est arrivée. Naturellement, elle avait tout vu mais n’a rien dit, comptant sur une réaction spontanée de ma cousine qui s’est effectivement produite : Aline a brusquement prétexté un rendez-vous pour s’éclipser, trop heureuse d’échapper aux reproches de Murielle. Celle-ci est montée avec moi à l’arrière de la voiture, m’embrassant à pleine bouche :    - Ne te gaspille pas pour n’importe quelle petite conne en chaleur...    Dénudant sa poitrine, elle a sorti ma queue et l’a branlée un peu, le temps de la durcir davantage et
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