Fée marraine accorde un voeu sexy
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Fée marraine accorde un voeu sexy
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8h00. Il fait froid et la température à Doncaster ne doit pas être plus élevée que dix degrés. La gare est déjà bondée de monde. Des enfants qui hurlent et pleurent, des mères qui ne savent plus où donner de la tête. Des hommes d'affaires en costumes noirs, leur donnant un air strict, s'activent et s'engloutissent dans les trains comme si leurs vies en dépendaient. Des amoureux se laissant sur le quai de la gare, s'embrassant, avant de devoir se séparer. Et au milieu de tout ça, un adolescent, assistant à ce spectacle, fronçant les sourcils et muni d'une mine dégoutée à la vue de deux couples s'embrassant à s'en avaler les amygdales. Qu'on arrête le massacre, pensa l'adolescent. Pourquoi les gens amoureux se permettaient-ils toujours de se donner publiquement en spectacle? Pourquoi devaient-ils toujours agir comme s'ils jouaient dans une sitcom pour pré-pubères. Est-ce que c'était un concours de celui qui réussira à faire le plus de tours dans la bouche de son partenaire? Dégoutant . Bon il était vrai que Louis n'était pas novice pour ce genre de choses, bien au contraire. Il avait vu, en un an, passer dans sa chambre plus de filles qu'il n'y avaient de garçons dans l'équipe de foot, de rugby et de natation réunies. Il n'était pas un bourreau des cœurs. Du moins il essayait de se convaincre le contraire. Il était simplement un amoureux de la vie. Il aimait profiter, ne pas se prendre la tête, profiter de l'instant présent sans penser au lendemain. Comme disait son ami Toby avant de se serrer une fille << Y a pas de mal à se faire du bien>>. Cette phrase était son proverbe et il dictait sa vie. Il ne pouvait résister à la vue d'un décolleté plongeant. C'était un garçon de dix-huit ans après tout! Quel garçon normalement constitué ne résistait pas au déhanché d'une belle créature qui s'était vue donnée par Dieu d'un corps de rêve et de lèvres pleines, charnues et chaleureuses? Dans son grand cercle d'amis, principalement constitué de tous les membres des différentes équipes sportives du lycée, il n'en connaissait que très peu. Tout comme eux, il aimait les filles. Blondes ou brunes, petites ou grandes, minces ou rondes. Il ne pouvait pas résister.
Malheureusement son proverbe fétiche l'avait fait atterrir dans cette gare. Tout ça à cause d'un énième plan cul qu'il avait remarqué lors de la soirée organisée par le lycée avant les vacances. Il l'avait remarqué une heure auparavant, elle était vêtue d'une somptueuse robe noire. Assez courte pour faire tourner la tête de tous les garçons présents Elle époustouflait ses formes. Cette fille était pulpeuse, pleine de charme, avec un regard plein de désir. Un regard comme il les aimait et qui disait << Je te veux >> . Cette fille n'allait pas lui échapper. Elle allait être à lui pour la nuit. Il était venu là pour ça, et à en voir le jeu de séduction de cette poupée méditerranéenne, elle était là pour ça aussi. Tout son corps lui criait de céder à son désir et il comptait bien se laisser dicter par ce que sa tête, mais surtout par ce que son corps, lui criaient de faire. Alors quand il l'avait croisé dans un des couloirs, marchant avec grâce, mordant sa lèvre inférieure, le regardant de haut en bas, il n'avait pas pu résister. Il l'avait plaqué contre un mur et l'avait embrassé avec fougue. C'était un baiser animal, rempli de passion et de désir. Pas de sentiments, seulement du sexe. Dix minutes plus tard, Louis se retrouvait dans l'une des cabines des toilettes des garçons. Son pantalon ainsi que son boxer, étaient par terre, libérant son érection plus que douloureuse. Il n'en pouvait plus. Alors que Maia? Naya? Natalia? - il ne se souvenait plus de son prénom-, s'apprêtait à lui faire une fellation digne de ce nom, la porte de la cabine s'était ouverte avec fracas. Quel idiot! Sous le feu de l'action et trop épris par les lèvres de cette fille qui faisait grimper son excitation aux fils des minutes, il avait oublié de verrouiller. Et voilà qu'il s'était retrouvé le paquet à l'air, avec une fille agenouillée devant celui-ci, la bouche ouverte, et les seins presque à l'air. Il n'avait pas réussi à se rhabiller, bien trop pétrifié à la vue de son principal et de Madame Johnson, sa professeur de chimie, le regardant les yeux écarquillés au maximum.
Derrière eux se trouvait, Melissa? Marissa? il ne se souvenait plus non plus. C'était son plan de la veille.. Il l'avait repoussé sans tact, lui disant qu'elle avait un don pour les fellations, que ses mains étaient esquisses mais qu'ils n'avaient pas été assez en osmose lors de leur ébat pour envisager plus. Il pensait que comme les autres elle le giflerait sans retenue, lui laissant les marques de sa main sur l'une de ses joues. Mais non, elle avait seulement dit qu'elle comprenait, qu'elle ne voulait pas plus qu'un coup d'un soir et était partie. Elle avait visiblement menti et était plus machiavélique que les autres. Elle les avait vu partir en direction des toilettes et s'était empressée d'en parler au Principal, qui avait préalablement averti qu'il ne tolérerait aucun dérapage et surtout aucun fricotage obscène au sein de l'enceinte du lycée. Bien entendu, tout le lycée était au courant qu'il s'était fait prendre en pleine fellation avec cette brune dont il avait oublié le prénom. Il aurait voulu crier à tout le monde que la fellation n'avait malheureusement jamais commencé mais il s'était retenu. Le pire dans tout ça, ça avait été de se confronter au regard de ses parents et de voir la déception dans les yeux de sa mère, une nouvelle fois. Il était un Don Juan certes, mais sa mère était tout pour lui. Il était ébloui par elle, il l'aimait tellement fort. Tout l'amour qu'il avait, c'est à elle qu'il le donnait -bon il en donnait aussi beaucoup à ses quatre sœurs et à sa cousine Cassie. Mais aucunes autres n'avaient jamais reçu tant d'amour de sa part. Seule sa mère y avait le droit et seul l'amour de celle-ci comptait pour lui. Alors de voir qu'il l'avait à nouveau déçu à cause de sa vie de Don Juan l'avait anéanti.. Voilà où il en était. Il avait une mine plus qu'affreuse, des cernes soulignant ses yeux bleus, le teint pâle, les cheveux tellement en bataille qu'il avait été obligé de se visser un bonnet sur la tête. Il avait l'air d'un vampire tout droit sorti de la saga Twilight. Il trimballait avec lui une énorme valise contenant assez de vêtements pour tenir trois semaines. Trois longues semaines coupé de tout. Trois semaines dans ce trou paumé qu'était Holmes Chapel dans le Chesire. Un village tellement paumé, qu'il était sûr qu'il y résidait plus de moutons et de vaches que d'habitants. Adieu ses amis, le foot, les parties de billards dans les bars branchés de Doncaster. Surtout adieu les filles de sa ville, chaudes comme la braise. Sa mère était à ses cotés, elle savourait sa punition même si elle ne l'avouait pas. Elle voulait seulement que son fils comprenne que les actes de la sorte n'étaient pas pardonnables, irrespectueux mais surtout nocifs pour son avenir. Qui voudrait d'un garçon irrespectueux à l'intérieur des locaux d'une école réputée telle que Oxford ou bien Harvard? Personne. Alors elle avait trouvé la solution. Il fallait que Louis s'éloigne de Doncaster. Il fallait qu'il retrouve une vie saine pendant trois semaines afin qu'il réfléchisse à ses actions et en paye les conséquences. Elle n'avait trouvé qu'une seule solution : Le retour au source dans le village tranquille et douillet de Holmes Chapel. Il y résiderait pendant trois semaines. Son frère Goeff et sa femme Karen n'avaient vu aucun inconvénient pour héberger Louis. Il l'adorait et c'était une excellente occasion pour Louis de revoir ses cousins Liam et Cassie ainsi que leurs amis. Elle n'avait pas mentionné que son fils avait été surpris dans les toilettes de son lycée, elle avait prétendu qu'il devait réviser au calme pour bien commencer l'année et avoir de bonnes notes et que le vacarme que faisaient des petites sœurs l'empêchait de progresser.
L'adolescent sortit de ses pensées lorsqu'il entendu la voix de sa mère. Il était complétement paumé, prêt à s'endormir et priant pour qu'une fée grassouillette lui accorde un vœu, qu'il puisse retourner dans son lit oh et surtout, qu'il retourne à ce fichu vendredi et qu'il pense à verrouiller cette satanée porte!
- Pour moi? Ah oui vraiment? Enfin maman tu sais bien que je ne supporte plus cette ville.. Je sais que tu l'aimes toi, parce que tu y est restée pendant des années, mais je t'en prie! La seule chose de divertissante pour les jeunes là-bas c'est le loto du dimanche après-midi. Même Liam le sous-entend parfois et pourtant tu sais à quel point il aime Holmes Chapel..
- Très bien, je sais que ce n'est pas l'endroit rêvé pour des vacances quand on a ton âge et qu'on est habitué à la ville et à être entouré de monde. Mais Louis tu as été pris en train de... enfin cette fille et toi.. enfin..
Elle n'arrivait pas à s'exprimer, c'était assez délicat. Certes elle était ouverte d'esprit mais pas ça à ce point, pas au point de parler ouvertement de la vie sexuelle de son fils avec le principal intéressé. Elle se sentit rougir sous l'œil amusé de ce dernier.
- Bon tu vois de quoi je veux parler, continua-t-elle. Mais Louis ça peut être crucial pour ton avenir et tes études. Ce genre de choix peut te coûter beaucoup. Coucher avec une fille dans un toilette sans ne rien connaître d'elle, ne pas être sûr d'avoir quelque chose pour se protéger.. Je ne veux pas que tu gâches ton avenir..Je veux le meilleur pour toi et je ne veux pas que tu fasses les mêmes erreurs qu'Austin et moi ont a pu faire à ton âge.
A l'entende de ce prénom, Louis frissonna. C'était toujours difficile d'entendre sortir de la bouche de sa mère le prénom de son géniteur qui avait largué les voiles et l'avait laissé seule alors qu'elle était enceinte de lui. Il ne le connaissait pas, mais il le détestait.
- Tu dois apprendre à te calmer et à être réfléchi. Crois-moi ce n'est pas la pire des punitions. C'est même un cadeau. Tu seras avec Liam et Cassie et puis il y aura aussi Harry, Zayn et Niall .
Louis se mit à sourire instinctivement à l'entente de ces prénoms -même si l'entente du premier prénom lui fit froid dans le dos. C'est vrai que de les revoir n'avait rien d'une punition. Bien au contraire. Mais tout de même.. Les vacances sont synonymes de renouveau et de rencontres. Qui rencontrer de nouveaux à Holmes Chapel quand tu ne vas pas au lycée? Louis se voyait déjà devoir entretenir la discussion avec des vieilles dames qui lui pinceraient les joues ou bien avec une vache au beau milieu d'un champs. Très glauque.
- Bon d'accord peut-être que oui ce n'est pas si mal mais... maman je t'en prie! Dès qu'il y a un peu de neige le réseau ne fonctionne plus et on peut faire nos adieux aux sms et à la wifi.
- Sauf qu'on est au mois d'octobre et que la neige ne tombera pas de sitôt avait-elle vivement répliqué.
- Je crois qu'après ça je n'ai plus rien à ajouter , rigola-t-il . Bon je ne t'en tiendrai pas rigueur trop longtemps ne t'inquiètes pas. Disons que je t'inviterai le jour de mon mariage, on boira un coup et hop tout sera pardonné.
- Quel idiot! Je ne sais pas d'où tu sors mon fils!
- Je ne sais pas.. du vagin de ma mère. Et c'est-à-dire qu'il me semble que ce toi.
Jay rigola face à la malice de son ainé. Tout était pardonné. Il n'y aura ni rancœur, ni rancune.
- Alors toi mon fils, tu es un sacré numéro , dit-elle en rigolant, tandis que Louis esquissa un sourire tout en haussant les épaules.
- C'est ce qu'on dit oui. On dit même que je suis fou.
- Aussi fou et bordélique que tu sois, sache que je t'aime et que ça va me manquer de ne plus voir ton beau visage tous les jours pendant trois longues semaines , dit-elle tout en le prenant par le menton.
L'amour maternel.. Il n'y a rien de plus beau que cela. Cet amour est précieux et rien ne peut l'égaler. A cet instant, Louis ne pouvait vraiment pas lui en vouloir. Parce qu'il l'aimait et qu'il savait qu'à travers sa punition à lui, elle se punissait également parce que ça allait être dur pour elle d'être loin de lui.
Il fallait qu'il se l'avoue, ce n'était pas seulement pour les filles, le foot et ses activés du soir que Louis ne voulait pas partir. Il ne voulait pas être loin d'elle. C'était un fils à maman, comme disaient les gens, toujours collé à elle, toujours en train de lui faire des câlins. C'était la seule femme à qui son cœur appartenait complétement et devoir la quitter pour trois semaines c'était atroce. Il n'était jamais parti loin d'elle aussi longtemps et ça lui faisait mal de la quitter, comme ça, sur le quai d'une gare. Mais le choix n'était pas entre ses mains et seule sa mère pouvait choisir pour eux dès maintenant. Mais il savait que malgré la peine, elle ne changerait pas d'avis.
<>. Ça y est. Le train en direction du village paumé l'attend et il va falloir dire au revoir. Louis sentait que les larmes n'allaient pas tarder à couler et ce serait tellement cliché de quitter quelqu'un en larmes avant de s'enfoncer à l'intérieur d'un train. Et puis si une fille ultra sexy qui allait partager son train le voyait pleurer, elle penserait qu'il est gay. A cet instant, il aperçu un groupe de filles qui regardaient dans sa direction. Même avec sa mine affreuse, parce qu'il n'était que huit heures trente, des filles ne pouvaient s'empêcher de le trouver beau. Certaines fois, c'était plaisant. Mais certaines fois, il avait l'impression d'être un trophée constamment exposé aux yeux des autres. Il voulait certaines fois n'être que Louis.. Mais les gens ne le voyaient que comme Louis Tomlinson le capitaine de l'équipe de foot ou comme Louis Tomlinson le garçon qui avait décollé une droite au mec le plus baraqué du lycée alors qu'il était beaucoup plus petit que lui.
- Allez vas-y mon bébé. Ton train va partir .
- Oh.. euh oui je devrai éviter de le louper.. , répondit-il alors qu'il tentait d'éclaircir sa voix et puis imagines la honte si je montais trop tard et que mes énormes fesses restaient coincées dans les portes .
- Louis Louis Louis toujours la note d'humour pour éviter les moments tragiques n'est-ce pas? ajouta-t-elle en lui tapotant le bras.
- Que veux-tu j'ai ça dans la peau.. Allez c'est le moment maman.. Je t'appellerai tous les jours c'est promis!
- Oui mon grand et profites d'accord. Il y a de belles filles et de grands champs à Holmes Chapel .
Une minute, est-ce que ma mère vient vraiment de me conseiller d'emmener une belle fille dans un champ pour la bai-pour lui faire l'amour? S'était-il demandé. Sa mère était si imprévisible et ouverte. Trop ouverte même.
- Ok wouah.. là maman je crois qu'il vaut mieux que j'y aille , dit-il en rigolant . Je t'aime fort! - Ne fais pas le garçon gêné Louis. Allez vas-y. Je t'aime aussi .
Louis se saisit de sa lourde et grande valise, et s'avança vers les portes du train, après un dernier signe de main vers sa mère, il s'engouffra à l'intérieur de celui-ci.
Par chance, Louis était tombé sur un train assez grand et pas trop en mauvais état. Son siège n'était pas des plus confortables mais c'était supportable. Il ne lui mettrait ni le dos, ni les fesses en compote. Il était parti de la gare depuis maintenant vingt minutes qui lui avaient paru un siècle. Il lui restait plus d'une heure avant d'arriver à Holmes Chapel, où il serait accueilli par son oncle Goeff et sa tante Karen ainsi que par ses cousins Liam et Cassie. Même s'il ne l'avait pas encore avoué, il était dans le fond content. Cependant trois semaines, c'était hors de sa portée. Mais sa famille de Holmes Chapel lui avait terriblement manqué. Stan était son meilleur ami certes, mais les liens du sang sont les plus précieux et importants. De ce fait Liam était le garçon le plus important dans sa vie. Il était comme son frère. Il avait toujours eu de l'admiration pour lui et le courage qu'il avait toujours su montré. Si quelqu'un demandait à Louis qui était son modèle, son idole, celui qu'il voudrait être pour enfin devenir quelqu'un de bien, à coups sûrs il dirait Liam.
L'adolescent ne supportant plus les cris et gloussements des filles derrière lui, celles du quai, s'empressa de mettre ses écouteurs. Les conversations sur la rupture entre Justin Bieber et Selena Gomez et la fin du groupe The Wanted. l'importunaient au plus haut point. Il avait jeté son dévolu sur l'une d'elles au début, une belle blonde aux yeux bleus-gris, mais l'avoir entendu parler de combien Justin Bieber était sexy ne lui avait donné qu'une envie: fuir. Non pas qu'il ne respectait pas le chanteur. Il ne voulait juste pas d'une fille qui risquerait de crier "Justin" au lieu de crier son prénom lorsqu'il se serait voué corps et âme pour lui donner du plaisir.
Il s'était abandonné à sa musique, se laissant bercer par celle-ci. De The fray à The script et d' Ed Sheeran à Bruno Mars . Il était dans sa bulle. Celle-ci fût éclatée lorsque son téléphone vibra dans sa poche. Il grogna à l'idée de devoir extirper celui-ci de la poche de son jean plus que trop serré et de devoir mettre sa musique en suspens. Cependant à la vue du destinataire, toute trace d'agacement s'échappa du visage de Louis.
Heyyy bro! Je suis tellement excité que tu viennes! Trois semaines mon pote! Tu verras on va s'éclater! Cassie et moi on a hâte de te voir et tu nous as manqué petit con arrogant!!!
Moi aussi Li! J'arrive bientôt et vous m'avez manqué! J'ai hâte de vous revoir aussi.
Il appuya sur le bouton d'envoi. Il aurait aimé écrire "J'ai hâte de vous revoir aussi. C'est juste votre village paumé que je ne veux pas revoir. Entre autre chose ". Mais il s'était retenu et avait supprimé les deux dernières phrases. Il posa son téléphone et lorsqu'il releva les yeux, il aperçu une brune au loin. Assise toute seule et le caressant du regard. Quel regard! Elle avait l'air timide et naïve en apparence. Mais au fond, elle n'était pas si innocente que ça. Son regard trahissait ce qu'elle avait envie de faire et ce qu'elle voulait. C'est lui qu'elle voulait. Elle avait le regard que les précédentes filles avaient eu en le regardant. Le regard du désir.
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Helloooooo! Premier chapitre en ligne
Vous aimez la relation qu'il a avec Jay et Liam?
J'espère que ça vous a plu en tout cas!
Vos impressions sont les bienvenues
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Dix heures quarante-cinq. L'arrivée à la gare est éminente. Assis sur son siège, ses écouteurs vissés dans les oreilles, la tête collée contre la vitre, Louis est coupé du monde. Il n'y a que lui et ses pensées. Pensées tournées uniquement vers ce qu'il venait de se passer dans ces toilettes il y avait moins d'une heure. Il aurait voulu avoir le pouvoir de revenir en arrière, de reprendre ses esprits, de renoncer à l'envie
Écolière baisée intensément
Elle va les dévorer tous les deux
Ses formes sont magnifiques