Extase attachée

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Quand on pense à quel point la mort est familière, et combien totale est notre ignorance, et qu'il n'y a jamais eu aucune fuite, on doit avouer que le secret est bien gardé ! Vladimir Jankélévitch
Comme nous l'avons écrit précédemment , la mecaniqueuniverselle considère la mort, comme un événement dépassable. Selon nous, l'homme découvrira les secrets de ce dénouement et l'anéantira par l'extase (l'extase n'empêche pas la mort d'arriver mais agit sur la façon de l'appréhender)
Il serait hasardeux d'avancer une date aux premières expériences extatiques de l'humanité. Elles existent déjà chez les peuples premiers.
« Le chamanisme est l'une des plus anciennes traditions humaines, elle remonte à environ 1000 ans avant Jésus-Christ. Sa conception de l'homme et de la réalité se retrouve sur tous les continents de la planète, en étant à l'origine des principaux systèmes religieux et spirituels du monde entier » . Écrit Mircea Eliade
Pour ces religions premières, la transe permet d'entrer en relation avec les esprits des ancêtres. « Celui qui voit », « celui qui sait» (c'est la façon dont est perçu le chaman), peut établir une relation avec les esprits. Il peut converser avec le monde invisible.
Avec l'apparition des grandes religions (l'hindouisme en Asie le judaïsme en Occident, puis plus tard avec le bouddhisme, le zen, le christianisme et l'islam), l'extase prend une dimension supplémentaire.
Le confort et le métissage apportés par le peuple, la cité, le pays (réunion de plusieurs tribus) favorise l'émergence des grandes religions . Cette nouvelle organisation sociale offre à l'homme la sérénité nécessaire à la réflexion et à la subtilité. La transe évolue alors vers l'extase, le nirvana, la béatitude.
La différence entre transe et extase est une question d'état d'esprit. La mentalité tribale est attachée au terrestre (même si elle est en relation avec le royaume des esprits). L'état d'esprit extatique est lié au céleste. Il est en relation avec l'amour et l'absolu. L'extase liée à l'amour absolu, permet alors de dépasser la mort.

L'extase est encore un état extrêmement difficile à atteindre de façon volontaire. Depuis la naissance des grandes spiritualités, quelques individus abordent ce lieu subliminal. Grâce à leurs efforts, ils expérimentent ses qualités et en rendent compte à l'humanité. Les témoignages en ce sens sont nombreux. Cette expérience concerne aujourd'hui encore, un nombre restreint d'individus. Quelques moines, quelques sages, quelques saints et ascètes, l'a recherche et l'atteignent.
Comme nous le soutenons dans notre philosophie , l'humanité se dirige progressivement vers sa perfection . Cette perfection, notre étude nous a convaincu qu'il s'agit de l'extase. Ou plus précisément, de la capacité à expérimenter facilement l'extase. L'extase, le nirvana, la béatitude sont donc destinés, selon notre théorie, à devenir parfaitement accessibles à tous.
Quand nous sommes vivants, la mort disons nous, n'existe que par l'imagination que l'on s'en fait. Lorsque nous écoutons ou lisons les propos des sages hindous, bouddhistes, zen, juifs, chrétiens ou musulmans, qui ont expérimenter l'extase, ils s'accordent à dire que cet état aboli toutes formes d'imagination et de peur, y compris la peur de la mort .
Si, comme nous le pensons sur la mecaniqueuniverselle, l'humanité se dirige vers "l'extase facile", en atteignant cet état, elle abolira donc la mort par effacement des inquiétudes qu'elle engendre.
En conséquence de quoi, le futur, permettra à l'humanité toute entière de vaincre cette cause première d'angoisse. De défaire ce générateur d'anxiété.
Autrement dit, un jour, l'humanité vivra sans la crainte de la mort. Notre espèce offrira à l'ensemble humain, la possibilité de vivre et de mourir dans la quiétude la plus totale.

Mais nous n'avons pas encore atteint notre ultime perfection et avant d’accéder à ce palier supérieur, l'homme doit construire son monde. Il doit découvrir le sens de sa présence ici-bas. Il doit comprendre le but de l'humanité et plus loin, les raisons de la création. Il lui faudra sans doute, déchiffrer l'au-delà de la mort et « homologuer » cette découverte pour en faire une certitude. Nous allons essayer d'expliquer tout cela en détail.
Si la mort physique est le prix à payer pour libérer mes frères blancs d'une mort spirituelle irrévocable, rien ne peut être alors plus rédempteur.







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Femme nue attachée, suspendue







© Musée d’Orsay, Dist. RMN-Grand Palais

/ Alexis Brandt

Musée d’Orsay, Dist. RMN-Grand Palais

Charles-François Jeandel
(1859 -
1942)



Oeuvre non exposée en salle actuellement




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Historique - Provenance


Expositions


Bibliographie


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Limoges
, Limousin
(France), 1859
-
Angoulême, Poitou-Charentes (France), 1942

H. 17,0 ; L. 12,0 cm.
avec montage H. 22 ; L. 30,5 cm


jusqu'en 1987, dans la collection de la famille Braunschweig


1987, accepté par l'Etat à titre de don de la famille Braunschweig, en souvenir de la galerie Texbraun (comité du 08/01/1987, conseil du 14/01/1987, arrêté du 22/01/1987)


1987, attribué au musée d'Orsay, Paris


De l'angoisse à l'extase

-

galerie Texbraun

-

France,

Paris,

1984


Pinet, Hélène, 48/14 La revue du Musée d'Orsay , ""Un si funeste désir" - Les photographies de Charles Jeandel", Paris, Réunion des musées nationaux, 2003, p. 84-93 reprod.



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   De l'Extase et du Ravissement. Ce que c'est que l'extase, et combien il y en a de sortes. Ses causes, et ses effets. En quoi elle diffère du ravissement. Par quels signes on discerne les extases et les ravissements qui viennent de la nature, ou des démons.
   I. Nous avons traité jusqu'ici des trois instincts qui arrivent en l'âme par l'Esprit de Dieu, par l'esprit de Satan et par l'esprit humain, en expliquant ce qui est certain sur cette matière, et en laissant dans le doute ce qui est incertain. Il nous reste à traiter des moyens de discerner les révélations véritables et divines, de celles qui sont fausses et qui viennent de Satan. Ce sujet est très difficile, à cause des diverses tromperies et des diverses illusions dont cet esprit est auteur. Et parce qu'ordinairement on ne reçoit point de révélations qui ne soient précédées de quelques ravissements et de quelques visions ou apparitions, il faut traiter premièrement des extases et des ravissements, et ensuite des visions et des apparitions. Et quand je traiterai des révélations, je me contenterai d'expliquer brièvement ce qui regarde mon dessein, en omettant les questions curieuses et superflues.
   L'extase n'est autre chose qu'un transport de l'âme par lequel l'exercice des sens extérieurs est tellement arrêté, que non-seulement ils n'agissent point, mais qu'ils ne peuvent même agir ni être excités par les objets qui leur sont propres. Saint Augustin (L. 2. ad Simplic. q. 1. in Ps. 67. v. 30.), décrivant l'extase dit que c'est un transport par lequel l'âme est séparée et comme éloignée des sens du corps. Et il en parle encore ainsi : L'extase est un transport de l'âme qui arrive quelquefois par une frayeur, quelquefois par une révélation, et par une séparation des sens du corps ; afin que l'esprit reçoive les connaissances qui doivent lui être données. Car à cause que les sens empêchent l'âme de recevoir les choses divines, l'extase est nécessaire afin que Dieu manifeste à l'homme les secrets de sa sagesse, et qu'il opère en lui ses merveilles.
   Saint Bonaventure se conforme à cette définition de l'extase. L'extase, dit-il (De gradib. contempl. to. 7.), est une élévation délicieuse de l'âme jusqu'à cette source du divin amour qui surpasse tout entendement humain, par laquelle elle se sépare de l'homme extérieur : Car dans l'extase surnaturelle qui est celle dont nous parlons principalement, l'âme est emportée au-delà des sens du corps pour être occupée de l'amour de Dieu ou pour être appliquée à l'écouter avec un entier dégagement de tout ce qui lui pourrait venir des sens et des créatures qui troublerait son attention et son repos.
   Les auteurs qui ont traité de la doctrine mystique, disent que l'extase est proprement une élévation de l'âme en Dieu avec une séparation des sens extérieurs qui lui est causée par la grandeur de cette élévation. Car l'âme étant bornée dans ses puissances, plus elle est attentivement et efficacement appliquée à l'exercice de quelqu'une, plus aussi elle est dégagée de l'exercice des autres ; et plus elle est élevée par ses puissances supérieures, plus aussi elle se retire des autres et en suspend les actions ; en sorte que quelquefois elle est tout a fait destituée de l'usage des sens, sans regarder ce qui se présente à la vue et sans écouter ce qui frappe les oreilles, lorsqu'elle est appliquée avec une très grande attention à la contemplation et à l'amour des choses divines selon qu'il plaît à Dieu de l'y attirer et de l'éclairer. Tellement, comme l'enseigne saint Thomas (2. 2. q. 175. art. 5. et de verit. q. 13. art. 4.) , qu'il n'y a que la seule puissance végétative qui ne cesse point d'agir pendant le temps des extases, cause qu'elle fait ses fonctions par l'usage des premières qualités d'une manière naturelle où il n'est nul besoin que l'âme s'applique par la puissance qu'elle a de connaître et d'aimer. Car si ces fonctions naturelles et surnaturelles étaient interrompues, ce qui est nécessaire à la continuation et à la conservation de la vie du corps, cesserait aussi ; d'où il arriverait une sépararation actuelle de l'âme et du corps. Or il n'est point nécessaire pour l'extase que l'âme se sépare ainsi du corps, mais seulement qu'elle n'ait nulle application aux images corporelles, et aux objets sensibles, afin de se pouvoir élever jusqu'aux choses divines qui surpassent toutes ces images matérielles et toutes les espèces créées qui servent à l'intelligence des choses.
   Quelques philosophes ont estimé que l'extase arrivait par la séparation réelle de l'âme et du corps, et que l'âme retournait dans le corps après que l'extase était passée, et ils ont prouvé cette opinion par l'exemple d'un homme dont Platon (L. 10. de Repub. post. med. Max. Tyr.ser. 28.) rapporte qu'il fut pris pour mort, et que son âme étant rentrée dans son corps, il raconta quelles étaient les récompenses et les peines de l'autre vie.
   Pline (Plin. 1. 7. hist. nat. c. 52) rapporte aussi que l'âme d'Hermotime de Clazomène avait accoutumé de sortir du corps, et d'aller fort loin, et qu'étant revenue dans le corps elle racontait diverses choses qu'elle avait vues durant ses voyages ; et qu'elle continua dans cet exercice jusqu'à ce que ses ennemis eussent brûlé son corps.
   Mais il faut rapporter ces sortes d'histoires aux fictions et aux illusions par lesquelles les démons se jouent des hommes, comme l'observent Origène (Lib. 3. adv. Celsum.) et Tertullien (Lib. de Ant. c. 44.).
   Or de savoir si l'âme dans le plus haut et le plus extraordinaire ravissement qui lui soit causé par la puissance divine, s'est quelquefois effectivement retirée du corps, ou s'en peut retirer, c'est une question fort douteuse et fort difficile. Car l'Apôtre ayant été ravi au troisième ciel, déclare qu'il ne sait pas lui-même (2. Cor. 12.), si dans l'instant de ce ravissement son âme était demeurée dans son corps ou en était sortie, et il ne nous est pas permis d'entreprendre de décider ce que ce grand Apôtre a ignoré. Car qui oserait se vanter, dit saint Augustin (L. 12. de Gen. ad lit.c.1.) parlant de ce ravissement de saint Paul, de savoir ce que ce grand Apôtre a déclaré qu'il ne savait pas ?
   Sainte Thérèse a été dans la même ignorance. Car en décrivant, au traité du château de l'âme, les effets du ravissement, elle en parle ainsi (Dem. 6. co. 5.) : Je ne saurais dire si ces choses se passent dans le corps ou hors du corps. Je ne voudrais pas non plus assurer que l'âme en cet état soit encore unie au corps, que dire qu'elle en soit alors séparée. Et cette Sainte employant ensuite une comparaison pour expliquer sa pensée, conclut qu'elle ne sait ce qu'elle dit.
   Sainte Catherine de Sienne (Ep. 12. ad P. Raymund.) recevant en elle de semblables effets de la puissance divine, n'a point craint d'assurer que son âme avait quelquefois quitté son corps, et avait goûté les biens immortels ; et il est certain que cette séparation de l'âme et du corps peut arriver par la vertu toute-puissante de Dieu.
   II. Écoutons ceux qui sont savants en ce sujet. Ils nous apprendront ce que fait l'âme ou plutôt ce qu'elle souffre, lorsqu'étant ravie dans le ciel elle abandonne les sens et le corps, et qu'elle jouit de la présence de Dieu dans une contemplation pleine de douceur et de délices. Saint Augustin enseigne que l'âme de l'homme peut être transférée de cette vie à une vie angélique par la puissance de Dieu, avant que d'être séparée du corps par la mort. C'est ainsi, dit-il ( Ibid. 112. c. 13.), que fut ravi celui qui entendit des paroles ineffables qu'il n'est pas permis à un homme de rapporter (2. Cor. 12. 4. v. 3.). Et dans ce ravissement son âme fut tellement séparée de toute application aux sens du corps, qu'il déclare ne pouvoir dire si elle demeura dans le corps ou si elle en sortit, c'est-à-dire, si, comme il a de co
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