Exposition oral de l'affection

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DerniÚre mise à jour le 6 décembre 2013 à 17:24 par

Jean-François Pillou
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Réalisé en collaboration avec des professionnels de la santé et de la médecine , sous la direction du docteur Pierrick HORDE , directeur éditorial de Santé-Médecine et du Particulier Santé .






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Certificat d'affectation scolaire
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Besoin d'affection


Le terme d'affection revĂȘt deux sens trĂšs diffĂ©rents l'un de l'autre. L'affection dĂ©signe d'une part, dans le langage courant, une forme de tendresse Ă  l'Ă©gard de quelqu'un et d'attachement Ă  cette personne. D'autre part dans un versant plus mĂ©dical, une affection dĂ©signe tout processus en relation avec une maladie exception faite des causes de cette maladie. Dans ce second cas, on parle par exemple d'affection nerveuse pour dĂ©signer une maladie touchant les nerfs (c'est Ă  dire une neuropathie ) ou d'affection aiguĂ« ou chronique pour qualifier une maladie.
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Principaux faits

Les maladies et affections bucco-dentaires, pourtant en grande partie Ă©vitables, sont Ă  l’origine d’une importante charge de morbiditĂ© dans de nombreux pays et font ressentir leurs effets tout au long de la vie, en provoquant une gĂȘne, des douleurs, des prĂ©judices esthĂ©tiques, voire la mort.
On estime que prÚs de 3,5 milliards de personnes sont touchées par des affections bucco-dentaires.
Les caries non traitĂ©es des dents dĂ©finitives constituent l’affection la plus courante selon le rapport sur la charge mondiale de morbiditĂ© en 2019 (Global Burden of Disease 2019).
Le traitement des affections bucco-dentaires est coûteux et ne fait habituellement pas partie de la couverture sanitaire universelle (CSU).
La plupart des pays Ă  revenu faible on intermĂ©diaire ne sont pas en mesure d’offrir des services de prĂ©vention et de traitement des affections bucco-dentaires.
Les affections bucco-dentaires sont causĂ©es par un ensemble de facteurs de risque modifiables, notamment la consommation de sucre, le tabagisme, la consommation d’alcool et les mauvaises pratiques d’hygiĂšne, ainsi que par les dĂ©terminants sociaux et commerciaux qui les sous-tendent.


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L’OMS lance un appel pour rĂ©pondre aux besoins urgents en matiĂšre de santĂ© dans la rĂ©gion de la Corne de l’Afrique
La plupart des affections bucco-dentaires sont en grande partie Ă©vitables et peuvent ĂȘtre traitĂ©es Ă  un stade prĂ©coce. La morbiditĂ© bucco-dentaire est due principalement aux caries dentaires, aux maladies parodontales,
au cancer de la bouche, aux traumatismes de la sphĂšre bucco-dentaire, aux fentes labiales et palatines, ainsi qu’au noma (une infection gangrĂ©neuse sĂ©vĂšre commençant dans la bouche et qui frappe surtout l’enfant).

D’aprĂšs l’étude sur la charge mondiale de morbiditĂ© 2019 ( Global Burden of Disease 2019 ), ces affections touchent prĂšs de 3,5 milliards de personnes dans le monde, la plus frĂ©quente Ă©tant
la carie des dents dĂ©finitives (1) . À l’échelle mondiale, on estime que 2 milliards de personnes souffrent de caries des dents dĂ©finitives (1) et 520 millions d’enfants de caries
des dents de lait (1) . 
Dans la plupart des pays Ă  revenu faible ou intermĂ©diaire, compte tenu de l’urbanisation et de l’évolution des conditions de vie, la prĂ©valence des affections bucco-dentaires continue Ă  augmenter, principalement
en raison d’une exposition inadĂ©quate au fluorure (dans l’eau potable et les produits d’hygiĂšne bucco-dentaire comme le dentifrice), la disponibilitĂ© et l’accessibilitĂ© financiĂšre d’aliments
Ă  forte teneur en sucre et des difficultĂ©s d’accĂšs aux services de soins bucco-dentaires communautaires. La commercialisation d’aliments et de boissons prĂ©sentant une forte teneur en sucre, ainsi que du tabac
et de l’alcool, a entraĂźnĂ© une hausse de la consommation de produits qui contribuent Ă  l’apparition d’affections bucco-dentaires et d’autres maladies non transmissibles.
Les caries dentaires apparaissent lorsque la plaque dentaire qui se forme à la surface des dents transforme les sucres libres (tous les sucres rajoutés aux produits alimentaires par les fabricants, en cuisine ou par le consommateur, mais
aussi ceux que contiennent naturellement le miel, les sirops et les jus de fruits) présents dans les aliments et les boissons en acides qui, au fil du temps, détruisent la dent. Un apport constamment élevé en sucres libres
et une exposition inadéquate au fluorure sans élimination réguliÚre de la plaque dentaire par le brossage des dents peuvent entraßner des caries, des douleurs, voire la chute de dents et une infection.
Les maladies parodontales touchent les tissus qui entourent et soutiennent les dents. Elles se manifestent par un saignement ou un gonflement des gencives (gingivite), des douleurs et parfois par une mauvaise haleine. Dans les formes les plus graves,
la destruction de l’attache qui relie la gencive Ă  la dent et de l’os qui soutient la dent crĂ©e des poches qui provoquent une mobilitĂ© des dents et parfois leur chute. On estime que les parodontites graves affectent
environ 14 % de la population adulte mondiale, soit plus d’un milliard de personnes dans le monde (1) . Les principales causes sont une mauvaise hygiùne bucco-dentaire et le tabagisme.
Le cancer de la bouche englobe le cancer des lĂšvres et des autres sites de la cavitĂ© buccale, ainsi que le cancer de l’oropharynx. Dans l’ensemble du monde, l’incidence du cancer des lĂšvres et de la cavitĂ©
buccale est estimée à 4 cas pour 100 000 personnes, mais elle varie fortement selon les endroits, de nulle à environ 22 cas pour 100 000 personnes (2) . Le cancer de la bouche est plus courant
chez les hommes et les personnes ùgées, et sa fréquence varie beaucoup en fonction de la situation socio-économique.
La consommation de tabac, d’alcool et de noix d’arec (chique de bĂ©tel) figure parmi les principales causes de cancer de la bouche (3) . En AmĂ©rique du Nord et en Europe, les infections Ă  papillomavirus humain sont
à l’origine d’un pourcentage croissant de cancers de la bouche chez les jeunes (4) .
Les traumatismes bucco-dentaires rĂ©sultent d’un choc sur les dents et d’autres tissus situĂ©s dans la bouche et la cavitĂ© buccale. Environ 20 % des personnes souffriront d’un traumatisme dentaire Ă  un
moment ou à un autre de leur vie (5) . Ces traumatismes peuvent résulter de facteurs bucco-dentaires, comme un mauvais alignement des dents, et de facteurs environnementaux (par exemple des aires de jeu mal sécurisées,
des comportements à risque, des accidents de la route et des actes de violence). Le traitement est long et coûteux et peut parfois entraßner la perte de dents, avec pour conséquences des complications affectant le développement
facial et psychologique, ainsi que la qualité de vie.
Le noma est une infection gangrĂ©neuse sĂ©vĂšre de la bouche et du visage qui touche principalement l’enfant malnutri de 2 Ă  6 ans souffrant d’une maladie infectieuse, vivant dans l’extrĂȘme pauvretĂ©
sans une hygiĂšne bucco-dentaire satisfaisante et/ou dont le systĂšme immunitaire est affaibli.
Le noma est surtout répandu en Afrique subsaharienne, mais des cas sont également signalés en Amérique latine et en Asie (6) . Il débute par une lésion (ulcération) des tissus mous (gencives) dans
la bouche. La lésion initiale se transforme en gingivite ulcéro-nécrotique aiguë qui évolue rapidement en détruisant les tissus mous, puis les tissus durs et la peau du visage.
Selon les derniĂšres estimations (1998), 140 000 nouveaux cas surviendraient chaque annĂ©e. S’il n’est pas traitĂ©, le noma est mortel dans 90 % des cas (7) . Les survivants prĂ©sentent des dĂ©formations
faciales graves, ont du mal Ă  parler et Ă  manger, sont victimes de stigmatisation et ont besoin d’un traitement chirurgical et d’une rĂ©adaptation complexes. S’il est dĂ©celĂ© Ă  un stade prĂ©coce,
on peut rapidement stopper sa progression moyennant une bonne hygiÚne, une antibiothérapie et une amélioration de la nutrition.
La fente labiale et la fente palatine, anomalies congĂ©nitales crĂąniofaciales les plus courantes, ont une prĂ©valence d’environ 1 pour 1000-1500 naissances dans le monde, avec de grandes variations selon les Ă©tudes
et les populations (8,9) . Bien que la prĂ©disposition gĂ©nĂ©tique joue un rĂŽle important, d’autres facteurs interviennent aussi, comme une mauvaise nutrition, le tabagisme, l’alcool et l’obĂ©sitĂ©
pendant la grossesse (10) . Dans les pays à faible revenu, le taux de mortalité est élevé pendant la période néonatale. Avec un traitement chirurgical adéquat, la récupération
complĂšte est possible.
La plupart des maladies et affections bucco-dentaires prĂ©sentent les mĂȘmes facteurs de risque modifiables (tabagisme, consommation d’alcool et mauvaise alimentation riche en sucres libres) que les quatre grandes catĂ©gories de
maladies non transmissibles (maladies cardiovasculaires, cancer, affections respiratoires chroniques et diabĂšte).
En outre, le diabĂšte sucrĂ© aurait un lien de rĂ©ciprocitĂ© avec l’apparition et l’évolution de la parodontite (11) . Par ailleurs, il existe un lien de causalitĂ© entre une forte consommation
de sucres et le diabĂšte, l’obĂ©sitĂ© et la carie dentaire.
Les affections bucco-dentaires touchent de maniÚre disproportionnée les personnes pauvres et socialement défavorisées. Il existe une corrélation trÚs forte et constante entre le statut socioéconomique (revenu,
profession et niveau d’instruction) et la prĂ©valence et la gravitĂ© des maladies et affections bucco-dentaires (12) . Cette association s’observe tout au long de l’existence, depuis la petite enfance jusqu’à
la vieillesse, et au sein de toutes les populations dans les pays à revenu élevé, intermédiaire et faible.
Il est possible de réduire la charge des affections bucco-dentaires et des autres maladies non transmissibles par des interventions de santé publique dirigées contre leurs facteurs de risque communs. Ces interventions sont les suivantes :
Une exposition adéquate au fluorure est un facteur essentiel dans la prévention des caries dentaires.
Un niveau optimal de fluorure peut provenir de diffĂ©rentes sources comme l’eau de boisson, le sel, le lait et le dentifrice fluorĂ©s. Le brossage des dents deux fois par jour avec un dentifrice contenant du fluorure (entre 1000 et 1500 ppm)
doit ĂȘtre encouragĂ© (13) .
En raison de la rĂ©partition inĂ©gale des professionnels de la santĂ© bucco-dentaire et de l’absence de services de santĂ© adĂ©quats pour rĂ©pondre aux besoins de la population dans la plupart des pays, l’accĂšs
aux services de santĂ© bucco-dentaire primaires est souvent insuffisant. Les frais de santĂ© bucco-dentaire Ă  la charge des patients peuvent constituer un obstacle majeur Ă  l’accĂšs aux soins. Le coĂ»t des
soins bucco-dentaires nĂ©cessaires est l’une des principales causes des dĂ©penses de santĂ© catastrophiques ; entraĂźnant un risque accru d’appauvrissement et de difficultĂ©s Ă©conomiques (14,15) .

En 2021, la Soixante-QuatorziĂšme AssemblĂ©e mondiale de la SantĂ© a approuvĂ© une rĂ©solution sur la santĂ© bucco-dentaire. Cette rĂ©solution recommande de passer de l’approche curative traditionnelle Ă 
une approche favorisant la prĂ©vention, notamment par la promotion de la santĂ© bucco-dentaire au sein de la famille, Ă  l’école et sur le lieu de travail, et qui inclut des soins complets et inclusifs prodiguĂ©s
en temps utile dans le cadre du systÚme de soins de santé primaires. Elle affirme que la santé bucco-dentaire doit impérativement faire partie intégrante de la lutte contre les maladies non transmissibles et que
les interventions en matiĂšre de soins bucco-dentaires doivent ĂȘtre incluses dans les programmes liĂ©s Ă  la couverture sanitaire universelle. 
Les dĂ©lĂ©guĂ©s Ă  l’AssemblĂ©e mondiale de la SantĂ© ont demandĂ© Ă  l’OMS d’élaborer, d’ici Ă  2022, un projet de stratĂ©gie mondiale sur la lutte contre les
affections bucco-dentaires pour examen par les organes directeurs de l’OMS en 2022 et, d’ici Ă  2023, de traduire la stratĂ©gie mondiale en un plan d’action pour la santĂ© bucco-dentaire, de dĂ©finir des interventions
correspondant aux « meilleurs choix » en matiĂšre de santĂ© bucco-dentaire et d’envisager d’inclure le noma dans la feuille de route pour les maladies tropicales nĂ©gligĂ©es 2021-2030. Il a
Ă©tĂ© demandĂ© Ă  l’OMS de faire rapport sur les progrĂšs accomplis et les rĂ©sultats obtenus jusqu’en 2031 dans le cadre du rapport de synthĂšse sur les maladies non transmissibles.
1.
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