Exploration d'une jeune russe

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Exploration d'une jeune russe
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Les jeunes russes affectionnent particulièrement les activités dangereuses : ils escaladent les toits, pénètrent dans les tunnels souterrains du métro, voyagent sur les marches-pied des trains de banlieue. L’objectif est souvent de faire l’expérience d’une montée d’adrénaline, mais la raison en est aussi parfois l’amour de la photographie.

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Les diggers (explorateurs de souterrain)
L’exact opposé du roofing consiste à
explorer les voies souterraines. Il s’agit ici de jeunes gens préférant
s’introduire non pas sur les toits mais dans les souterrains, les tunnels du
métro et les locaux techniques des usines militaires soviétiques.
Il arrive
souvent que ces amoureux des souterrains soient surveillés de près par les
policiers en charge de la lutte antiterroriste. Les tunnels du métro
constituent leur cible la plus fréquente.
« J’explore les tunnels depuis que
j’ai 12 ans, raconte Semion, 25 ans. Il y a des passionnés plus âgés que moi,
mais beaucoup de jeunes. Il y a de nombreux mythes autour du digging, par
exemple le fait que nous soyons à la recherche d’un second métro secret, ou
bien des bunkers de la guerre froide. Il y a en général de nombreux sites
dignes d’intérêt à Moscou, souvent d’anciennes installations militaires
désaffectées » .
Le jeune homme n’est pas en mesure d’expliquer pourquoi il
risque sa vie en se faufilant dans les tunnels du métro pour marcher sur les
rails à la recherche d’un autre local technique rempli de câbles ou de
documentation technique. « J’ai juste envie d’explorer ces endroits, de
trouver quelque chose d’intéressant, comme la quête d’un trésor dans un roman
d’aventure » , explique-t-il.
Semion s’est vu à deux reprises interrogé
par la police, la vigilance des services de sécurité se renforçant de manière
ponctuelle après les attaques terroristes, ces dernières accordant alors une
plus grande attention aux curieux passionnés par l’exploration des souterrains
de la ville.
« Nous avons même réussi à faire un tour de canot pneumatique
sur la rivière souterraine Neglinka qui traverse le centre de Moscou » , raconte Semion.       
Cette sous-culture dispose même de ses propres
compositions musicales, dont les textes sont consacrés aux problèmes rencontrés
par les diggers russes.
Les zatsepistes (passagers clandestins)
Le divertissement le plus dangereux pratiqué
par les jeunes russes est très probablement le z atseping . Cette pratique
consiste à s’accrocher et voyager sur tous les moyens de transport
possibles : les trains de voyageurs et de marchandises, les trains
électriques de banlieue, les transports publics urbains et même les trains du
métro.
Après la mise en service du train à grande vitesse Sapsan entre Moscou et Saint-Pétersbourg pouvant atteindre la vitesse de 250km/h, il a
fallu périodiquement faire descendre du toit plusieurs passagers clandestins.
Selon la police des transports, plus de 600 adeptes de cette pratique ont
trouvé la mort sur les chemins de fer de Russie en 2013.
Chaque accident a
entraîné des perturbations de l’horaire des trains. 424 amateurs de voyages à
l’extérieur des trains ont été arrêtés par la police. Il reste toutefois
difficile de combattre ce phénomène, dans la mesure où ce délit est puni d’une
amende de 100 roubles (2 euros).   
Les jeunes se mettent d’accord sur les réseaux
sociaux sur où se retrouver et dans quelle direction aller. Ils achètent des
clés spéciales permettant d’ouvrir les portes des trains électriques depuis
l’extérieur. Ils s’efforcent de ne pas attirer l’attention des employés des
chemins de fer susceptibles de les « mettre à l’amende » par
eux-mêmes, en utilisant la force physique.
« J’ai commencé à voyager sur
les toits ou entre les wagons des trains électriques après avoir manqué mon
train, je me suis ensuite mis à voyager de cette façon lorsque les wagons sont
pleins » , a confié Roman au correspondant de Russia Today. Le jeune
homme ne semble pas considérer cette pratique comme dangereuse, la qualifiant
de moyen pratique de voyager. 
Selon ces jeunes, comme pour les autres
catégories d’activité de ce type, le but de cette pratique est d’expérimenter
une montée d’adrénaline.
Crédit : Vadim Zhernov / RIA Novosti
Il s’agit ici de sauter depuis des
bâtiments désaffectés ou bien en cours de construction en étant relié à une
corde. Les jeunes choisissent un site élevé, puis se communiquent le lieu du
rendez-vous par SMS ou sur les réseaux sociaux, avant de s’y rendre pendant le
week-end.
Si le bâtiment est abandonné, il n’y a aucun obstacle à la pratique
de cette activité. S’il s’agit d’un chantier de construction, il faut alors
choisir une période durant laquelle les ouvriers ne sont pas sur place.
Le
danger peut être évité si l’équipe en charge de l’organisation des sauts est
composée de personnes expérimentées capables de positionner correctement le
matériel, ainsi que de vérifier l’équipement des participants.

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Rédaction Europe1.fr

avec AFP
21h52, le 07 juillet 2016 , modifié à
06h36, le 08 juillet 2016

Une jeune Russe réfugiée à Blois depuis quatre ans a appris le même jour, mardi dernier, à la fois sa réussite au bac avec mention très bien et la notification de son expulsion de France avec ses parents.
"Je ne comprends pas". Zarema Abieieva, 20 ans, a fui le Daguestan en 2012 avec sa mère et son père aveugle. Quatre ans plus tard, elle a décroché son bac gestion et administration avec mention très bien et est admise en BTS pour la rentrée prochaine... mais la famille s'est vu notifier par la préfecture du Loir-et-Cher trois arrêtés de reconduite à la frontière. "Je ne comprends pas, ces trois années et ces bons résultats n'auraient donc servi à rien ?", a commenté la jeune fille. Les professeurs et les élèves du lycée de Zarema, la mairie de Blois et le collectif des sans-papiers se sont émus de la situation et espèrent que la jeune bachelière pourra obtenir une carte de séjour étudiante.
Sa sécurité était menacée au Daguestan. La famille Abieieva a indiqué aux autorités françaises avoir dû fuir le Daguestan car sa sécurité était menacée. Selon ses déclarations, le père de Zarema a été agressé en 2006 lorsqu'il a voulu dénoncer les malversations financières de ses associés dans une entreprise de matériaux. Un de ses cousins a été assassiné pour les mêmes raisons tandis que la jeune Zarema a échappé de justesse à un enlèvement, toujours selon le dossier présenté par la famille pour demander l'asile.
Une requête rejetée pour manque de preuve . "Nous ne pouvons pas retourner là-bas, nous ne serions pas en sécurité et mon père serait immédiatement arrêté pour ne pas avoir respecté l'interdiction de partir du pays", a assuré Zarema. Cependant, l'OFPRA (Office français de protection des réfugiés et apatrides) a rejeté leur requête l'année dernière pour manque de preuve, malgré des témoignages produits par des proches. La préfecture a également rejeté leur demande de titre de séjour, demandée notamment en raison de la maladie dont souffre le père : il doit consulter régulièrement un neurochirurgien pour le méningiome consécutif à l'agression dont il a été victime, mais l'administration estime qu'il pourra être suivi médicalement au Daguestan. Expulsée de son appartement en avril dernier, la famille vit depuis dans une chambre d'hôtel. C'est là que la jeune fille a révisé avec succès son bac.

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“MA RUSSIE, traditions et modernité. Un Film présenté par Michel Drachoussoff”


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Michel Drachoussoff nous a passionnés et enchantés à la projection de chacun de ses 3 films consacrés à son pays d’origine, la Russie. La dernière fois, nous avions vécu avec émotion sa recherche de la propriété de ses ancêtres, suivie d’un voyage fluvial nous faisant découvrir les merveilles de la Russie historique. Le dernier volet de cette série s’intitule « Ma Russie ». 
Aucune volonté d’appropriation, mais simplement une marque d’attachement pour un pays qu’il fréquente depuis plusieurs décennies. Parlant couramment le Russe, sa langue maternelle, il compte dans le pays de nombreux amis, et ce dans les diverses couches de la société.
Il nous offre des images exceptionnelles, une vision particulièrement personnelle des lieux les plus connus (Moscou, Saint-Pétersbourg, cités de l’Anneau d’Or), et de nombreux autres qui le sont beaucoup moins (Mer Blanche, les Iles Solovki, la Carélie).Le commentaire fort, sans complaisance, nous plonge dans la réalité de la Russie contemporaine à la recherche de ses racines et tentant de réaliser son devoir de mémoire par rapport à son histoire de la première moitié du XXè siècle.Un voyage très personnel, d’une grande sincérité, d’une grande beauté et d’une grande poésie. 
À ne pas manquer pour celui qui désire se plonger « autrement » dans les réalités et les mystères de ce pays fascinant si mal connu des étrangers. 
Communiqué de presse - RUSSIE - Michel Drachoussoff.doc
Né au Congo belge de parents russes, Michel Drachoussoff a grandi dans un environnement multiculturel. 
Dès son plus jeune âge, il parcourt la planète avec une prédilection pour les pays de la Cordillère des Andes et de l'Afrique sahélienne. En 1985, Michel Drachoussoff décide de découvrir la réalité soviétique. C'est le premier d'une longue série de voyages et de tournages de reportages en Russie. Son attrait pour l’Afrique le ramène de nombreuses fois sur les rivages du Sahara mais il n’oublie pas ses racines et sa culture originelle. 
Passionné d’histoire, il revient régulièrement sur les grands empires qui ont façonné l’Europe dont celui des Habsbourg.En 2017, il se tourne à nouveau vers la Russie. Une dizaine de voyages plus tard, il nous propose une découverte passionnante de « sa » Russie. Aboutissement d’une vie entièrement consacrée à la découverte du monde, c’est là, sans doute, son plus beau film.

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