Exhibitionnisme de Rosie bourgeoise anglaise

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Elle a vécu pendant 8 ans aux côtés de sa mère dans une plantation. Ce dernier l’abandonne alors en s’enfuyant. Solitude connaît l’abolition de l’esclavage en 1792. Elle décide alors de rejoindre la communauté des « Nègres marrons » de Guadeloupe regroupés dans la commune de Goyave.
Cette communauté est dirigée par un certain « Moudongue Sanga ». C’est avec cet homme que Solitude comprend vraiment la condition de sa famille et qu’elle décide de s’enfuir avec eux. Malgré sa couleur, fruit de son métissage, elle parvient à se faire accepter. En 1802, lorsque Napoléon décide de rétablir l’esclavage aux Antilles, elle décide de se rallier à l’appel de Louis Delgrès. Solitude rencontre une esclave récemment arrivée d’Afrique nommée Maïmouni, dont elle tombe amoureuse. Celle qui se fait désormais appeler Solitude, tombe enceinte.
Cependant, elle ne renonça pas au combat et combattit aux côtés des combattants de Delgrès, qui affrontèrent les troupes de Richepanse. Elle a survécu à la bataille du 8 mai 1802, mais elle a été exécutée en novembre 1802, le lendemain de son accouchement. Les colons voulaient récupérer l’enfant de Solitude avant de l’exécuter, afin de le vendre à un propriétaire d’esclaves.
Aujourd’hui de nombreux monuments rendent hommage à cette figure majeure, notamment en Guadeloupe, où une statue de la mulâtresse Solitude du sculpteur Jacky Poulier a été érigée en 1999, dans le quartier de Baimbridge aux Abymes.
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↑ Karl Marx, Misère de la philosophie , 1847

↑ Trotski, La guerre et l'Internationale , 31 octobre 1914

↑ Friedrich Engels, Préface à La Guerre des paysans en Allemagne , 1850

↑ Lénine, Du droit des nations à disposer d’elles-mêmes , écrit de février à mai 1914

↑ Revenir plus haut en : 5,0 et 5,1 Lénine, Deux tactiques de la social-démocratie dans la révolution démocratique , 1905

↑ Karl Marx et Friedrich Engels, L'Idéologie allemande , 1845

↑ Par exemple Daniel Guérin dans Les Luttes de classes sous ta Première république. Bourgeois et Bras nus Gallimard, Paris, 1973.

↑ Edouard Bernstein, Cromwell and Communism , 1895

↑ Friedrich Engels, Socialisme utopique et socialisme scientifique , 1880

↑ Trotski, Le caractère de la révolution russe , 22 août 1917

↑ K. Marx, La bourgeoisie et la contre-révolution , La Nouvelle Gazette Rhénane n° 165, 10 décembre 1848


Une révolution bourgeoise est une révolution sociale dirigée par un parti/mouvement bourgeois mettant en place un régime bourgeois, ou transformant suffisamment les rapports de production pour permettre le développement de la bourgeoisie .

Les marxistes parlent aussi de révolution démocratique-bourgeoise pour désigner une révolution qui soulève le peuple dans un élan démocratique, mais qui en fin de compte aboutit au pouvoir de la bourgeoisie.

Au sein du féodalisme , les forces productives nouvelles développées par la bourgeoisie ont donné un poids économique et social croissant à cette nouvelle classe . Ce mouvement historique de fond en a alors fait une classe progressiste , d'abord par les idéologies humanistes et libérales dont elle s'est parée, puis pratiquement en menant des révolutions instaurant de nouveaux rapports sociaux .

En pleine ascencion, la bourgeoisie a pu diriger idéologiquement et politiquement ces révolutions, mais cela ne signifie pas que c'est particulièrement elle qui "fait" la révolution : ce sont la paysannerie et les plébéiens qui s'impliquent le plus concrètement dans les soulèvements, les barricades, etc...

Les révolutions bourgeoises ont éclaté sous l’effet des tensions que le développement de l'économie marchande, puis du capitalisme, au sein même de la société féodale, faisait subir à l'Ancien Régime féodal et absolutiste confronté à la limite de ses capacités d’adaptation.

Les transformations juridiques et institutionnelles qui caractérisent la transition de l’Ancien Régime à l’Etat bourgeois moderne peuvent être résumées comme suit:

Ces transformations n’ont nullement été réalisées de façon linéaire; selon les pays elles l’ont été dans des combinaisons, des formes et des rythmes différents. Certaines se sont réalisées petit à petit par le simple jeu du développement de l’économie de marché puis du capitalisme au sein de l'Ancien Régime. Certaines ont été réalisées par l’absolutisme dans ses réformes rationalisatrices, centralisatrices, mercantilistes . Mais toutes les révolutions bourgeoises ont marqué leur accélération et ont eu pour contenu et pour enjeu, la mise en oeuvre, ou la tentative de mise en oeuvre de programmes de telles réformes, et les conflits de classes et de partis autour de ces programmes.

En Europe occidentale, les premières expériences de "révolution" bourgeoise que l'on peut observer remontent aux 12 e et 13 e siècles, lorsque les villes d'Italie du Nord, alors les plus riches d'Europe, se rebellent contre la noblesse germanique et italienne. Pendant trois siècles, ces villes constitueront un archipel de Républiques urbaines indépendantes. (Cependant, selon l'analyse de Gramsci, elles vont s'installer dans un système de contado qui va empêcher la bourgeoisie d'hégémoniser les classes populaires et unifier le pays).

Plusieurs mouvements ponctueront l'histoire européenne, malgré la stabilité générale du féodalisme :

C’est la révolution anglaise de 1640-1660 , apparemment échouée, qui enclenche la transformation pour la première fois des institutions d’un grand royaume. Marx écrit que :

« la bourgeoisie anglaise, parvenue sous Guillaume d'Orange à sa constitution politique, créa tout d'un coup un nouveau système d'impôts, le crédit public et le système des droits protecteurs, dès qu'elle fut en état de développer librement ses conditions d'existence. » [1]

Par contre, les autres crises révolutionnaires contemporaines — la Fronde en France 1648- 1653, la révolution catalane (1640-1652) , les soulèvements de Naples et de Sicile de 1647 — ne parviennent pas à renverser l’ absolutisme .

L’Angleterre, principale puissance commerciale puis industrielle du monde pendant plus de deux siècles servira de modèle aux Philosophes des Lumières , engendrera de profondes transformations dans l'aire atlantique, que certains appellent les " révolutions de l'Atlantique ". Le développement commercial et idéologique rayonne autour de l'Angleterre, et le libéralisme va être un des facteurs clés de la révolution américaine et de la révolution française . Dans les colonies européennes l'idée nationale va se répandre, avec la révolution dite des “Jacobins noirs” à Saint Domingue/Haïti de 1791-1802 , et les mouvements d’indépendance de l’Amérique latine de 1809 à 1822.

C'est alors l'apogée des révolutions bourgeoises. De nombreux pays plus petits en Europe connaissent des bouleversements, associés surtout à la révolution française : républiques soeurs batave , helvétique , cisalpine ...

Le Printemps des Peuples (1848) peut être vu comme une vague de tentatives de révolutions bourgeoises en Europe. Des républicains y revendiquent partout des droits, des parlements, ou l'unité nationale face aux vieux régimes aristocratiques. Mais ce sont ces derniers qui l'emportent presque partout.

Néanmoins, l'unification des pays morcelés se fera tout de même, même si c'est finalement sous la direction de forces aristocratiques. « Les guerres de 1859, 1864, 1866 et 1870 créèrent une nouvelle Italie et une nouvelle Allemagne. Les féodalités réalisèrent, à leur profit, ce que 1848 avait laissé en suspens. » [2]

Pour l'Allemagne, l'unification et la modernisation a été réalisée par en haut, sous l'égide de la Prusse. Engels écrivait en 1874 : « C'est ainsi donc que l'étrange destinée de la Prusse voulut qu'elle achevât vers la fin de ce siècle, sous la forme agréable du bonapartisme, sa révolution bourgeoise qu'elle avait commencée en 1812-13 et continuée quelque peu en 1848. » [3]

Dans le cas particulier de l'Autriche, la démocratie bourgeoise a été acquise dans les années qui ont suivi 1848, sans que cela débouche sur la constitution d'un Etat-Nation . Ainsi Lénine considérait à la veille de la guerre de 1914 que la révolution démocratique-bourgeoise en Autriche « avait commencé en 1848 et s’est terminée en 1867 » [4] .

La péninsule ibérique verra des révolutions tout au long du 19 e siècle (de la Constitution démocratique proclamée à Cadix en 1812 à la monarchie constitutionnelle établie par les Coites en 1876).

Lénine dira que « presque toutes les révolutions démocratiques [bourgeoises] de l'Europe au 19 e siècle » ont été « une fausse couche, un avorton, une chose bâtarde » . [5]

Ce cycle de révolutions se clôt par la révolution mexicaine de 1910-1920 et la révolution russe de février 1917 . Cette dernière est justement à la croisée des débats sur les révolutions bourgeoises, mais aussi de débats plus contemporains sur l'idée de révolution permanente .

Au Japon, l'Ancien Régime féodal est renversé par la révolution Meiji de 1867-1889 .

En Chine, la révolution de 1911 lance un processus d'abolition du féodalisme qui ne prendra vraiment fin qu'avec la révolution nationaliste de 1949 .

Les idéologies sous lesquelles laquelle la bourgeoisie a porté des changements ont été très diverses, et se sont exprimées dans le langage de leur temps. Pendant les siècles de féodalisme, ces idéologies ont pris la forme de courants religieux dissidents (hérésies cathares , Réforme protestante ...)

A partir du 18 e siècle, le langage laïc des Lumières s'est imposé. Sous la Révolution française , un certain nombre de références à la République romaine ont été brandies.

Un point commun est d'avoir recours à des mystifications, des exaltations de la réalité (même si elles sont sincères pour beaucoup de ces acteurs). A l'inverse de la révolution socialiste , qui elle devra clairement désigner son but :

« La révolution [socialiste] ne peut pas tirer sa poésie du passé, mais seulement de l'avenir. Elle ne peut pas commencer avec elle-même avant d'avoir liquidé complètement toute superstition à l'égard du passé. Les révolutions antérieures avaient besoin de réminiscences historiques pour se dissimuler à elles-mêmes leur propre contenu. La révolution [socialiste] doit laisser les morts enterrer leurs morts pour réaliser son propre objet. Autrefois, la phrase débordait le contenu, maintenant, c'est le contenu qui déborde la phrase. » [6]

Les mouvements ouvriers peuvent être influencés par les idéaux qui ont été utilisés par la bourgeoisie.

En Angleterre un mouvement ouvrier basé sur un large mouvement syndical formé tôt dans le XIX e siècle et ayant hérité peu de choses du mouvement démocratique d’une révolution bourgeoise déjà très ancienne ; un mouvement ouvrier combinant de larges mouvements revendicatifs économiques et une fascination docile de larges masses populaires pour la monarchie. En France un mouvement ouvrier qui lui hérita directement, trente ans après la révolution française, des formules politiques sans-culottes et robespierristes ; un mouvement ouvrier où le politique a précédé et surplombe le syndical ; un mouvement ouvrier qui partage avec la bourgeoisie française une certaine tradition jacobine faite d’esprit de système étatique et de la tradition de la mobilisation politique socialement hétérogène et verbalement outrancière.

La société d’Ancien Régime était complexe, bien plus que la société capitaliste contemporaine. Que de fois l’absolutisme a joué les plébéiens contre la bourgeoisie ou la noblesse, ou la bourgeoisie contre la noblesse, que de fois la noblesse a joué les plébéiens contre l’absolutisme allié à la bourgeoisie, etc., etc., et chaque fois sur la base d’intérêts matériels très concrets de chacun des acteurs de cette lutte de classes. Ainsi, toute analyse sérieuse devrait réintégrer un acteur trop oublié mais qui était pourtant familier à Marx et Engels, le mouvement constitutionnaliste nobiliaire, voire le républicanisme nobiliaire, qui ne se confond pas avec l’insubordination de la noblesse à l’égard de l’absolutisme. Ce mouvement nobiliaire a pendant plusieurs siècles de société féodale européenne joué plus d’une fois un rôle d’allié concurrent complexe du mouvement anti-absolutiste bourgeois.

Les révolutions bourgeoises ont toutes fini d'une façon ou d'une autre par l'écrasement des masses plébéiennes, et une réconciliation sur leur dos des possédants, la noblesse et la bourgeoisie .

Mais de le processus, des transformations ont eu lieu dans leur poids respectifs. La noblesse avait énormément perdu, et l’économie de marché s’étend au travers de toutes les brèches, ce qui profite avant tout à la bourgeoisie de par sa place dans les rapports de production . Cela n'empêche pas que la noblesse a souvent préservé de beaux restes, mais son avenir n’est plus comme seigneurs féodaux mais comme grands propriétaires foncier capitalistes. L’État absolutiste vaincu est remplacé par un État qui désormais protègera ces rapports de production capitalistes ou semi-capitalistes.

Les schémas marxistes de la révolution bourgeoise ont été beaucoup imprégnés de l’image immédiate de la lutte des classes prolétariat-bourgeoisie des 19 e et 20 e siècles. Les sans-culottes de 1793 [7] ou encore les niveleurs de la révolution anglaise [8] sont vus parfois de façon anachronique comme des prolétaires modernes. Or les études de George Rudé des foules révolutionnaires ont démontré que si les prolétaires (ouvriers de manufactures, chômeurs, journaliers) ont bien sûr constitué une fraction lentement croissante du peuple urbain dans l’évolution qui va du 16 e siècle au 19 e siècle, leur mobilisation n’a pas acquis un caractère politique propre, se distinguant de l’ensemble plébéien auquel ils étaient jusqu’alors mêlés, avant les années 1790 pour ce qui est de l’Angleterre, et pour ce qui est du continent européen, avant les années 1830 ; même si leurs luttes revendicatives économiques, professionnelles (par exemple, leurs grèves) sont bien sûr plus anciennes.

L'implication plus ou moins importante des paysans et des plébéiens/prolétaires détermine la distinction que l'on peut faire entre deux types de révolutions bourgeoises :

Les révolutions bourgeoises, et plus généralement la question de la transition du féodalisme au capitalisme, est un sujet de recherches et de controverses de la part d'auteurs marxistes et non marxistes.

On peut considérer que James Harrington , au 17 e siècle, fut un brillant précurseur de l'analyse du déclin du féodalisme causé par les progrès du commerce et de l’industrie. Cette façon de penser se retrouvera au 18 e siècle chez les penseurs des Lumières et notamment Voltaire , admirateur du modernisme anglais et l’un des maîtres à penser des révolutionnaires français. Des historiens français du XIXème siècle, Augustin Thierry et François Guizot , inventèrent le concept de luttes des classes en étudiant les révolutions française et anglaise.

Marx et Engels n’ont jamais produit d’analyse systématique des révolutions bourgeoises « classiques » (selon eux, celle des Pays-Bas de 1566-1609 , l’anglaise de 1640-1660 , la française de 1789-1815 ). Les remarques à leur sujet, dispersées dans plusieurs œuvres de Marx, en particulier dans ses grandes études d’histoire immédiate sur les luttes de classes en France de 1848 à 1871, témoignent d’une grande souplesse et prudence dans le maniement du concept de révolution bourgeoise, et surtout d’un grand respect des spécificités du temps et du lieu, d’une « analyse concrète d’une situation concrète ».


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