Exhibition érotique
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Exhibition érotique
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/ Les cultissimes érotiques / By
Swann
Les acteurs de Change pas de main avec Claudine Beccarie à droite.
6 thoughts on “Exhibition: monument du cinéma érotique”
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Nous sommes en 1975 et Paul Vecchiali est en plein tournage de son film Change pas de main . À la production, Jean-François Davy, plus connu en tant que réalisateur dans le petit cercle du cinéma érotique. Il assiste alors au casting de Change pas de main , où il fera la plus belle découverte de sa carrière: Claudine Beccarie.
” C’est en rencontrant Claudine Beccarie pour un casting pour ce film que j’ai trouvé le personnage tellement étonnant, tellement truculent, hors normes… Ayant sous le coude une équipe, j’ai dit à mon chef opérateur habituel avec qui j’avais fait Le Désir, Roger Fellous, qu’avec notre caméra 16mm, on devrait faire un reportage, un making-off comme on dit aujourd’hui, sur le film de Vecchiali et sur cette nana, mais on ne savait pas du tout ce qu’on allait en faire, un court-métrage, voire rien (…)”
Durant ce tournage, Davy interview alors longuement Claudine Beccarie, toujours plus intrigué par ce personnage haut en couleurs. Du tournage Change pas de main , naitra alors Exhibition et les Pornocrates . Le premier opus est essentiellement basé sur Claudine Beccarie, tandis que le second aborde davantage la post-production et la question du film chorale avec ses multiples interprètes.
Très souvent comparé à Jean-Luc Godard de par sa vision quasi-documentaire, Jean-François Davy réalise alors Exhibition sur un coup de tête, sans scénario, ni phase de production.
“S’incrustant” sur le tournage de Vecchiali, comme il le dit lui-même, il tournera au fil des évènements se présentant à lui. Cependant, Davy tient à rétablir la vérité: Exhibition n’est pas à proprement parler un documentaire.
” (…) Exhibition n’est pas tout à fait un documentaire: il y a quand même beaucoup de scènes qui sont mises en scène (…). Dans Exhibition, il y a au moins deux scènes, de mémoire, où j’avais organisé avec Beccarie la situation (…). Il y en a une où j’ai demandé au partenaire de la coincer, de l’embarrasser, et il y en a une autre où c’est l’inverse (…) car j’avais demandé à Beccarie de jouer un personnage de castratrice, ce qu’elle a fait d’ailleurs avec plaisir;”
Tandis qu’ Exhibition se construit au jour le jour, la chance va sourire à Davy. Premièrement, il profitera de l’abolition de la censure par Giscard au moment même où il s’apprête à passer au montage. Il pourra alors le faire sans trop mutiler son film.
Puis, alors que le film est en plein montage, Jacques Baratier, réalisateur qui travaillait dans la salle de montage voisine vient voir le film de Davy. Interloqué par son contenu, il en parle à Shula Siegried qui était l’attachée de presse de la Quinzaine des réalisateurs à l’époque. Celle-ci, malgré son manque d’intérêt pour le genre, demande à visionner à son tour le film avec la commission de sélection. Contre toute attente, le film est retenu. Il sera présenté à la Quinzaine de Cannes !
“Alors là, je me suis dit qu’il était en train de se passer quelque chose. Je tourne par hasard ce film, je suis en train de le monter, Giscard abolit la censure, on me demande de le présenter pour la sélection à Cannes, il est sélectionné… Il est en train de se passer quelque chose qui m’échappe.
Suite à cette nouvelle, le film aura une très bonne distribution et n’aura finalement pas vraiment besoin de faire de la publicité outre mesure. Exhibition réunira 3 millions et demi de spectateurs avant d’être prématurément retiré de l’affiche. La cause ? L’arrivée imminente de la loi dévastatrice du X .
Pour l’anecdote, le film fut classé Art et Essai à sa sortie, puis ixé (il sera d’ailleurs le premier film classé X) , puis reclassé Art et Essai quelques années plus tard !
Pour couronner l’histoire d’ Exhibition , il sera le premier film érotique diffusé à la télévision française dans le programme du samedi soir de Canal +.
Avant Exhibition , Claudine Beccarie était déjà connue du public sans le savoir: effectivement, son corps, fragmenté dans bon nombres de films servait de doublure sexe aux actrices les plus frileuses. Heureusement pour elle, elle connut un avant et un après Exhibition .
Le film remporta l’énorme succès qu’on lui connaît, et le public retiendra surtout une scène: la longue séquence dans laquelle elle se masturbe. Elle devient alors la première grande star française du cinéma érotique. Se livrant corps et âme à Davy, elle est incroyable de vérité, n’hésitant pas à parler de son enfance malheureuse et même de présenter sa mère à la caméra.
Des années plus tard, Davy réalisa Exhibition 79 dans lequel il filme une nouvelle fois sa muse dans son quotidien post-porno. À savoir que la fin d’ Exhibition (version restaurée) dans laquelle on découvre Beccarie vivant seule avec ses enfants à la ferme, est tirée d’ Exhibition 79 et rajoutée après coup…
J’espère que cet article vous a plu; à bientôt sur cinéma érotique 🍑
Diplômée d’un Master 2 de Recherches cinématographiques spécialisées dans la nouvelle vague française à l’Université Paris-Diderot, je partage actuellement mon quotidien entre mon métier de comédienne, mon activité d’auteure et ma passion pour le cinéma érotique.
Voici encore une perle du cinéma érotique trop peu (re)connue, j'ai nommé: Les Pornocrates !…
Lorsque j'ai commencé à m'intéresser sérieusement à la question du cinéma érotique, c'est tout naturellement…
Est-ce que vous essayez aussi tous vos clients ? Quand ils me plaisent, oui".Dialogue entre…
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Diplômée d’un Master 2 de Recherches cinématographiques spécialisées dans la Nouvelle Vague française à l’Université Paris-Diderot, je partage actuellement mon quotidien entre mon métier de comédienne, mon activité d’auteure et ma passion pour le cinéma érotique.
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Je m’appelle Coralie, j’ai vingt-neuf ans. Je suis très exhib et j’ai déjà participé à plusieurs concours amateurs organisés par des publications de charme. Parfois, il s’agissait de revues spécialisées dans les annonces de rencontres libertines ou des magazines plus hard et vendus en sex-shop. J’ai fait le “ peep-show des copines ”, une série “ le minou de nos lectrices ”, un spécial “ fesses et petits trous ” réservés aux modèles amateurs.
Au début, il y avait toujours le risque d’être reconnue par un proche. Le boulanger du coin, un collègue de travail, un ami… Cela fait partie du jeu et aujourd’hui, j’en assume les risques. Tant pis pour ceux qui se trouveraient choqués en me reconnaissant dans ces pages et qui ne pensaient pas que j’étais capable d’aller aussi loin ! Maintenant, ils seront au courant…
Je ne suis pas mariée mais je vis avec le même homme depuis quelques mois. Il s’appelle Franck, il est un peu plus âgé que moi. C’est lui qui m’a photographiée. Ce n’est pas un professionnel mais je trouve les clichés réussis. J’ai lu, dans une revue très sérieuse de sexologie, que les fantasmes d’exhibition étaient, en général, plutôt féminins, tandis que le voyeurisme, plus spécial aux hommes. Notre couple semble en être une parfaite illustration. Franck est très voyeur. Quand j’ai commencé à mieux le connaître, j’ai été assez étonnée du nombre de magazines érotiques qui s’amassaient sur ses étagères. Certains étaient d’un genre assez soft mais il y en avait d’autres qui étaient beaucoup plus épicées avec des photos très crues.
Franck et moi, nous nous sommes rencontrés d’une manière assez banale au cours d’une soirée chez des amis communs. Une copine fêtait ses vingt-quatre ans, Franck était son cousin. Il n’était pas encore minuit que déjà, nous nous éclipsions discrètement pour aller chez lui. A cette époque, j’assumais sans complexe ma réputation de coureuse, de fille qui multipliait les aventures. Je n’étais pas trop difficile sur le choix de mes partenaires, mais ce soir-là, lui me plaisait vraiment beaucoup. Avec Franck, j’ai senti tout de suite que ce serait différent de ce que j’avais connu auparavant avec mes anciens partenaires. Mais je n’imaginais pas qu’il allait devenir en quelques heures un homme qui compte autant pour moi. J’ai bien crû qu’il allait me prendre dans l’ascenseur qui montait vers son appartement. Il m’embrassait à pleine bouche sans cesser de me caresser partout. Lorsque nous sommes arrivés au troisième étage, l’ascenseur s’est arrêté mais Franck ne voulait plus quitter ma bouche. La lumière s’est éteinte et il a continué de me peloter contre la cloison. Ses caresses se sont faites beaucoup moins chastes. Il passait sa main entre mes cuisses, il pelotait mes fesses et chercher à passer sa main sous ma culotte. Tout émue et excitée moi aussi, j’étais prête à m’offrir sans attendre plus longtemps dans cette minuscule cabine. Mais Franck a préféré me faire entrer chez lui.
Là, nous sommes passés sans attendre dans sa chambre. Le lit n’était pas fait, il régnait un grand désordre mais à cette minute précise, cela n’avait pas vraiment d’importance. Franck s’est empressé de faire sauter les fines bretelles de mon bustier et, comme je ne portais pas de soutien-gorge dessous, il s’est précipité sur mes seins dénudés, les a léchés et malaxés, s’amusant à les presser l’un contre l’autre avec force. Je me laissais faire, gémissante, sous ses mains expertes. J’étais en train de devenir folle de plaisir. Chez moi, les seins c’est presque un deuxième sexe. Ils sont au moins aussi sensibles que ma chatte.
Franck a fini par retirer ma jupe. Nous étions en plein hiver et je portais un ensemble très coquin, porte-jarretelles en dentelle noire et un brésilien assorti. Cette tenue a fait toujours beaucoup de succès auprès des hommes et Franck n’a pas été en reste en me découvrant ainsi. Il lui a fallu à peine quelques secondes pour se retrouver nu à son tour. J’ai été surprise par la grosseur de son sexe. Sa queue épaisse restait plaquée sur son ventre, tellement il bandait. Nous nous sommes allongés sur le lit et ce fut le lieu de nouvelles caresses enfiévrées. J’avais très envie de lui plaire et de lui montrer combien j’étais douée en amour. J’ai pris l’initiative de masturber sa queue entre mes doigts. J’ai également caressé ses bourses, tout cela en m’appliquant avec un maximum de sensualité.Franck m’a fait comprendre qu’il désirait que j’aille plus loin encore et, langoureusement, je me suis glissée entres ses cuisses à la hauteur de son sexe. Je l’ai pris dans la bouche. J’aime exciter un homme de cette manière. Je m’efforçais de l’exciter encore plus, faisant glisser mes lèvres le long de son sexe, puis je frottais le gland humide sur la pointe de mes seins et je l’avalai encore. Je l’ai amoureusement sucé jusqu’à ce qu’il ne me guide avec ses mains pour que je me place tête-bêche sur lui. Il m’a léchée et caressée à travers la culotte avant de l’écarter pour passer sa langue sur ma fente. De temps en temps, il la remontait entre mes fesses et l’agitait sur mon anus. La sodomie n’a jamais été un tabou pour moi et je prenais beaucoup de plaisir avec cette langue qui m’explorait en profondeur.
Franck m’a débarrassée de me culotte, il ne me restait plus que les bas et le porte-jarretelles. J’étais haletante, au bord de l’orgasme quand il m’a prise, en levrette sur le lit. Il a appuyé ses mains sur mes reins pour m’obliger à me cambrer au maximum. Il s’est enfoncée en moi et a commencé à aller et venir. Je ne pouvais plus retenir mes râles, emportée par le plaisir que j’éprouvais.
Il me maintenait avec force au niveau des hanches avec une manière de faire à la fois très virile et très séduisante. J’ai essayé de me retenir tant que j’ai pu mais j’ai joui très vite, tétanisée. Franck s’est laissé aller avec moi et m’a inondée.
Nous avons refait l’amour. Il a eu envie de me prendre par-derrière. Il voulait, disait-il, que je sois toute à lui, dès le premier soir. J’étais déjà sous le charme et bien incapable de lui refuser quoique ce soit et dans un tel état que j’en avais autant envie que lui. Il m’a préparé à le recevoir avec une grande délicatesse, léchant et m’ouvrant avec un puis plusieurs doigts. Quand il a estimé que j’étais suffisamment prête, il m’a demandé de m’agenouiller sur lui en tenant mes fesses écartées. Il a frotté son gland sur mon anus avant de l’immobiliser et je me suis laissée descendre lentement sur sa queue. Je n’avais jamais été sodomisée par un sexe aussi large. La progression fut à la fois douloureuse et très sensuelle. J’ai beau aimé la sodomie et l’accepter sans trop de difficulté, j’éprouve toujours un peu de honte à laisser un homme me prendre ainsi, surtout si je viens à peine de faire sa connaissance. Mais avec Franck, cela n’a fait que décupler mon plaisir.
Une fois complètement introduit en moi, il a voulu que ce soit moi qui bouge. J’ai obéi tandis que Franck m’embrassait et me caressait les seins. Il ne cessait de répéter que c’était très bon d’être planté en moi. J’ai posé mes doigts sur mon clitoris et je me suis mise à monter à descendre. Lentement d’abord, avant de perdre la tête et de m’empaler plus violemment. Je gémissais de plus en plus fort et me trémoussais dans tous les sens à la recherche de mon plaisir. Quand celui-ci est arrivé, j’ai été emportée comme si j’éprouvais un double orgasme aussi intense derrière que devant.
Ce soir-là, nous avons très peu dormi. Franck était insatiable et moi, je n’avais qu’une envie : jouir et jouir encore avec lui. Quinze jours plus tard, je quittais mon petit studio et je venais m’installer chez lui. Depuis, nous vivons une relation torride, nous faisons l’amour tous les jours, nous passons des week-ends entiers au lit. Nous nous efforçons de réaliser, ensemble tous nos fantasmes.
Ce qui me fait jouir très fort avec Franck, c’est qu’il me raconte toujours une petite histoire cochonne en faisant l’amour, il m’invente un scénario ou imagine une situation. Moi, je dois m’offrir complètement à lui et ne rien lui refuser. Je suis une sorte de poupée docile qui ne doit jamais dire non. Il arrive que je le laisse m’attacher et me bander les yeux. Dans ces cas-là, c’est comme si je faisais l’amour avec un inconnu et il me raconte que des hommes sont en train de me regarder et de se masturber derrière des miroirs sans tain pendant que je me donne à lui. Jamais je n’avais connu autant de complicité amoureuse avec l’un de mes partenaires.
Un jour, alors que je feuilletais l’une de ses revues coquines, c’est lui qui m’a proposé d’envoyer, à la rédaction, quelques clichés que nous venions de faire. Une rubrique était réservée aux photos amateurs. J’ai été un peu hésitante puis j’ai accepté. J’ai ressenti un trouble assez intense le jour où elles ont été publiées. J’ai pensé à tous ces hommes que j’avais peut-être exciter avec mes seins, ma chatte et mes jolies fesses. Depuis, c’est devenu, pour moi, un jeu très excitant. Je ne sais pas si j’aurais vraiment le courage de m’exhiber devant de véritables voyeurs mais là, j’en éprouve autant de fierté que d’excitation. Et quand Franck me découvre dans une nouvelle revue et qu’il pense à tous ceux qui vont me mater, se branler et fantasmer sur ma chatte et mon cul ”, comme il dit, cela lui donne très envie de moi.
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