Examen vaginal pour l'étudiante

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Examen vaginal pour l'étudiante
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vegamissyl 
Le 09/02 à 21:48
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Une enquête révèle que des étudiants en médecine gynécologique s'exercent à pratiquer le toucher vaginal au bloc opératoire, sur des patientes endormies, pas forcément consentantes. L'information a été dévoilée par des formulaires de stage de l'Université de Lyon-Sud.
C'est une découverte publique qui risque de faire grand bruit, et pour cause !
Une enquête dévoilée par le quotidien Metronews révèle que des étudiants en médecine gynécologique s'entraîneraient au toucher vaginal au bloc opératoire, sur des patientes endormies, sans leur consentement préalable.
C'est en tout cas ce que laissent percevoir des formulaires de stage d'externat présents sur le site de l'Université de Lyon-Sud, rapidement diffusés sur Twitter. Ils ont été depuis retirés du site par l'établissement. Sur l'un des textes, il clairement écrit que l'apprentissage des touchers vaginaux sera effectué « au bloc opératoire, sur patiente endormie ». Une autre feuille de stage précise que l'étudiant devra être « présent parfaitement à 8h30 tous les jours au bloc opératoire » pour rendre compte d'un certain nombre d'actes médicaux, tels que le toucher vaginal, abrégé en « TV », sous anesthésie générale, abrégée en « AG ».
Très vite, la toile s'embrase, des internautes montent au créneau et évoquent la question du consentement de la patiente. Certains parlent même de « viols », au sens juridique du terme (tout acte de pénétration sexuelle, qu'elle soit vaginale, anale ou buccale, « commis sur la personne d'autrui par violence, contrainte, menace ou surprise », aussi bien à l'aide d'un sexe ou d'un doigt que d'un objet).
« Les médecins n'abusent pas de la personne qui est endormie. On travaille ensemble et à l'occasion de la chirurgie, l' interne et l'externe vont apprendre », explique la doyenne de l'UFR de médecine de Lyon-Sud, Carone Burillon, qui reconnait cependant que ce système «d'apprentissage » n'est pas parfait. « On pourrait effectivement demander à chaque personne l'accord pour avoir un toucher vaginal de plus mais j'ai peur qu'à ce moment-là, les patientes refusent», ajoute la doyenne. Pourtant, et selon la loi, le patient doit être informé au préalable et donner son « consentement éclairé » au vu des actes médicaux qu'il va subir et de la présence éventuelle d'un étudiant en médecine. Pour Emmanuel Hirsch, directeur de l'espace éthique Ile-de-France à l'Assistance Publique des Hôpitaux de Paris, si cette pratique est non consentie, il s'agit tout simplement d'un « acte de maltraitance ». « Un patient pourrait entamer une procédure contre les équipes pour acte médical non consenti », alerte-t-il. « On ne peut pas, au nom de la formation, anéantir ce principe », relatif à la loi Kouchner de 2002.
Depuis la polémique, un grand nombre de témoignages d'étudiants fleurissent sur le web, de quoi mettre en lumière une pratique qui semble loin d'être réservée à l'Université de Lyon-Sud.
Mais si certains s'offusquent de ces méthodes peu éthiques, d'autres les défendent, par nécessité pédagogique. « Il ne faut pas être hypocrite, tout le monde le fait », affirme le chef du service urologie d'un hôpital parisien, qui forme lui-même ses externes de la sorte. « Je refuse que mes patients subissent deux touchers rectaux d'affilée alors qu'ils sont éveillés. Il n'est absolument pas question d'un entraînement à la chaîne ! Les externes effectuent un toucher seulement s'il y a un intérêt thérapeutique et pédagogique (un cancer des ovaires , une prostate gonflée...) », tente tout de même de rassurer l'urologue.
De son côté, le Conseil national de l'Ordre des médecins condamne une pratique dont il jure n'avoir jamais entendu parler. « La formation doit être faite dans la transparence et dans le respect de la dignité. Il y a ici un manquement très clair à la déontologie médicale », assure Jean-Marie Faroudja, président de la section éthique et déontologique de l'Ordre.
A noter qu'en France, certaines facultés de médecine proposent des formations sur des mannequins reproduisant fidèlement la physiologie de l'homme, de la femme du nourrisson ou de l'enfant, de quoi éviter ce genre de problème. De plus, cet apprentissage permet de répondre aux recommandations de la Haute autorité de santé (HAS) qui stipule clairement : « Jamais la première fois sur le patient ! »
Et vous que pensez vous de ces " touchers vaginaux effectués sans consentement" ? Parlez-en sur le forum .
Non, se faire soigner en CHU ne veut pas dire que l'on est un cobaye... Après tout, chaque acte pratiqué est facturé...
« On pourrait effectivement demander à chaque personne l'accord pour avoir un toucher vaginal de plus mais j'ai peur qu'à ce moment-là, les patientes refusent», ajoute la doyenne.
Si cette dame trouve cette démarche naturelle, qu'elle prenne la place des patientes...
Si c'est dans un but purement médical , ça ne me choque pas. J'accepterais même de signer un papier pour prouver que j'y ai consenti.
Réveillée , ce n 'est pas très agréable , après tout.
Et si ça peut servir !
vous n'avez pas le consentement c'est un viol! comme toutes les violes Basta!!!
Je pense qu aucun d entre vous ne comprend dans quelle situation cela se passe . C est dans le cadre d une opération gynécologique ou on passe des instruments par le vagin de la personne et l étudiant fait parti du personnel de l hôpital qui prend en charge la patiente et prend part a l'opération pose le spéculum , les bougies .... . C est le plus souvent des hystérectomie par voie basse, ou stérilisation définitive par clip ou des avortemens par aspiration ... Donc oui factuelle ment quand ils font cela ils n ont pas l accord de la patiente les concernant mais quand vous acceptez l'opération vous acceptez la prise en charge par l ensemble de l équipe du bloc. Ça se passe comme ça dans tous les hôpitaux universitaires de France . Les ibode n ont pas non plus l autorisation nominative pour mettre la sonde urinaire et ainsi de suite... Je suis personnellement plus choqué de voir ce que l on sort lors de l avortement chirurgical.... Mais bon le peuple de France est un peuple progressiste...
Ce qui me fait "bondir", c'est que j'ai fait de la recherche en Nouvelle-Zélande, et pour bien moins que ça, j'ai dû faire des rapports éthiques, dont certains ont été refusés. A partir du moment où l'on parle de l'humain, on doit obtenir un consentement pour tout acte relatif au corps ou à la psychologie. Point final. Et ça me parait tout à fait normal. C'est pas bien compliqué de demander à quelqu'un son accord. Le pire surtout, c'est le "oui mais certaines vont refuser !". Ben alors... raison de plus pour leur demander leur accord avant !
Les medecins ne doivent pas abandoner cette pratique puisque par elle pas mal de pathologies peuvent etre diagnostiquees seulement il serait de bon ton d' informer la patiente sur l'objectif.....
si la femme est une fille vierge ? se passe quoi ?
@anonyme de 19h06 : ça se discute... y en a sûrement qui ne sont pas doués ?!
Plus sérieusement :
@anonyme de 17h59 : les médecins ont peut être un rapport au corps différent mais ça ne les autorise pas pour autant à se passer du consentement des patient(e)s (cf code de déontologie médicale)
..ou peut être que mes propos s'adressent à Jg8888, plus correctement?
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Medisite > Santé A-Z > Santé au quotidien > Gynécologie > Examen gynécologique complet : le déroulement
Généralement pratiqué par un médecin gynécologue, l'examen gynécologique peut être réalisé dans le cadre d'une visite de routine ou pour un motif précis. Voici comment se déroule ce type de consultation.
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Publié par La Rédaction Médisite , le 15/04/2017 à 18:04
Avant de procéder à l'auscultation, le gynécologue interroge sa patiente sur les motifs éventuels de sa consultation. Si cette dernière présente un trouble gynécologique, le praticien va réaliser un interrogatoire plus minutieux afin d'en déterminer les possibles origines. Au terme de cette étape, la patiente est invitée à se dévêtir et à s'installer sur la table d'examen en position gynécologique. La plupart du temps, le médecin va débuter l'examen clinique par une palpation de l'abdomen, du bas-ventre et des seins afin de détecter une éventuelle anomalie. Ensuite, le spécialiste va réaliser l'examen périnéal avant de positionner un spéculum au sein du vagin afin d'en écarter les parois et de contrôler le col utérin.
L'examen pelvien est parfois l'occasion pour le gynécologue d'effectuer un frottis cervico-utérin qui va permettre, en prélevant quelques cellules in situ, de dépister, par exemple, un cancer du col de l'utérus ou des lésions précancéreuses. Il est d'ailleurs conseillé à toutes les femmes de réaliser ce type d'examen tous les deux ans. Dans le cadre de pathologies gynécologiques plus spécifiques, le médecin dispose de plusieurs autres types d'outils de diagnostic. Il peut ainsi décider de pratiquer une échographie pour vérifier l'anatomie de l'utérus ou des ovaires, de préconiser une hystéroscopie pour visualiser les parois utérines ou encore de recourir à une biopsie endométriale pour déterminer les causes de saignements anormaux.
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Un toucher vaginal ( National Cancer Institute/CC)
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stevenV a posté le 11 septembre 2017 à 13h43
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ba_ka a posté le 11 septembre 2017 à 13h28
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gilbertduroux a posté le 04 septembre 2017 à 19h19
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gilbertduroux a posté le 04 septembre 2017 à 18h52
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Nicky Mado a posté le 04 septembre 2017 à 17h33
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Sur Twitter, elle a "deux, trois trucs à dire". Etudiante en cinquième année de médecine, Elsa Dechézeaux (c'est un pseudo) veut réagir à une tribune lue sur le site du Monde qu'elle a moyen kiffé.
Un texte écrit par Laurent Vercoustre, un gynécologue obstétricien à la retraite au sujet des maltraitances subies par les patientes (et dont il est beaucoup question ces derniers jours) a agacé la jeune femme.
Le médecin parle à plusieurs reprises d'hystérie. Un propos qui n'est pas du tout sexiste et a, de plus, le mérite d'être bien assumé.
Wokay. Ensuite, on apprend que cette colère des femmes est en réalité... une stratégie.
Que les femmes qui osent se plaindre parce qu'elles ont subi une épisiotomie ou un toucher vaginal sans y consentir arrêtent leur petit jeu. Ah ah ! Vous voilà démasquées diablesses !
Vous complotiez pour "piéger la médecine".
Au sujet du toucher vaginal forcé, les femmes n'ont pas compris non plus, pense le médecin.
Bon certes la loi du 4 mars 2002 , dite Kouchner dit :
Et par ailleurs l'article 222-23 dit :
Donc juridiquement un toucher vaginal non consenti c'est un viol. Mais qu'importe ! Parlons plutôt d'hystérie, si vous le voulez bien.
Sur Twitter, Elsa Déchézeaux a donc décidé d'argumenter calmement.
J'ai lu cette tribune d'un gynéco-obst à la retraite et j'ai 2-3 trucs à dire. A thread https://t.co/iMta479swP
Dans l'argumentaire déroulé, un point se détache. Une expérience vécue par l'étudiante en CHU (centre hospitalier universitaire). En avril 2016, au cours d'une coloscopie (examen du colon sous anesthésie générale), elle s'est vue proposer d'effectuer un toucher vaginal.
... alors qu'elle était endormie. J'ai refusé (et j'ai du m'en expliquer). Avril 2016, grand CHU parisien.
Colon => toucher vaginal. Vous vous dites que vous ne voyez pas le rapport. C'est normal. Il n'y en a pas. Rien ne justifie médicalement un toucher vaginal dans le cadre d'une coloscopie. Dans un nouveau thread la jeune femme raconte plus en détail ce qu'il s'est passé.
Thread : comment un jour, un médecin m'a proposé de violer une vieille dame
Il voulait sincèrement l'aider à apprendre. Ce qui en soi est plutôt positif, explique-t-elle au téléphone.
Il a fallu qu'elle se justifie comme elle le raconte dans son thread.
Elsa Dechézeaux n'est pas opposée à un toucher vaginal sur une patiente endormie mais elle souhaite simplement que la patiente endormie y ait consenti, que cela se justifie et qu'il n y ait pas plusieurs étudiants invités à le faire. Car cela s'est vu dans le passé ( dix étudiants qui font un toucher à une patiente endormie).
10/ Pour moi, faire des gestes sur patients endormis c ok si : 1. C'est ds la procédure et utile. 2. Je suis la seule étudiante à le faire.


Elle est restée incomprise du médecin mais a senti l'approbation silencieuse de l'infirmière.
L'information intéressante de cette anecdote, c'est surtout que les touchers vaginaux non consentis existent encore.
Même après la polémique qui avait éclaté en 2015.
Tout est parti d'un homme. Appelons le Arnaud (car il souhaite rester anonyme). Arnaud est pharmacien pour l'industrie pharmaceutique. Il tient aussi le blog "La Coupe d'Hygie" . Au téléphone, il revient sur ce qu'il s'est passé il y a deux ans.
Le couple, bien informé , rappelle que cet examen est "médicalement non justifié" et que "quand bien même, il le serait. Il ne peut pas se faire sans l'accord de la patiente." Rien à faire. Ils parlent à un mur. Traumatisés par l'épisode Arnaud et sa compagne rentrent chez eux.
Les documents sont diffusés et la polémique explose. Une pétition est lancée recueillant plus de 7000 signatures.
Chez les médecins et gynécos, c'est un peu la tempête. Et Elsa Dechézeaux explique au téléphone :
Et vu l'ampleur de la polémique qui a secoué la profession personne n'a pu y échapper, conclue-t-elle. Après avoir lu le thread d'Elsa, Arnaud a publié une nouvelle note de blog.
Et il y raconte qu'il veut lire plus de ces carnets. "Libérez les" dit-il même.
Tandis qu'au téléphone, il explique avoir été reçu par l'Igas (Inspection générale des affaires sociales), qui avait promis un rapport sur le sujet, mais..
Les seuls chiffres dont on dispose sont donc ceux d'un rapport de la Conférence des doyens de facultés de médecine et selon lequel 33% de touchers vaginaux, rectaux et autres examens du pelvis ou des «orifices herniaires», sont effectués sans consentement.
Mais ce flou des chiffres n'est pas anodin conclue Arnaud :
Le terme viol n'a pas à changer de définition lorsque cela choque. Il s'agit ici bien de viol et votre message ne fait que le confirmer.
Merci pour cet article dont le contenu demande à être partagé le plus largement possible. N'ayant pu me procurer le courriel de la journaliste, Mme Greusard, je me permets d 'utiliser la fonction commentaire afin de faire part de deux suggestions, suite à la lecture de cet article dont je salue, encore une fois, l'existence. Cela étant dit donc, je déplore tout à fait le choix de la photo illustrant l'article. Qu'on ait ou pas été victime d'agression sexuelle, voire de viol, et vu le titre brutal de l'article, la photo peut susciter des émotions très fortes ou des flashs négatifs chez certaines personnes. Les mots sont déjà assez crus pour éviter de choisir une image qui intensifie les émotions suscitées et surtout qui ne fait que représenter encore une fois un acte qui, historiquement, a été commis malgré l'absence de consentement des femmes concernées, et qui a plus particulièrement touché le corps de certaines d'entre elles plus vulnérables que d'autres (telles que celles qui sont marquées par la différence raciale et/ou de classe, ou possédant un handicap ou une maladie mentale). N'oublions pas que les techniques dites "modernes" de gynécologie sont le produit d'expérimentations ressortissant à la torture commises à la fin du 19ème siècle par un médecin (homme blanc) états-uniens contre des femmes (noires). Je suggère donc de supprimer la photo d'illustration et/ou de la remplacer par une photo plus neutre ou "empowering" pour les femm
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