Etudiantes s'amusent avec un musicien

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Des étudiants font une parodie de la derniÚre chanson de Stromae. Et c'est un succÚs. En effet la vidéo devient virale sur les réseaux.
La derniĂšre chanson de Stromae donne des idĂ©es aux Ă©tudiants. Certains font mĂȘme une parodie de la chanson dans le mĂȘme format. Et cette vidĂ©o devient virale. Il faut dire qu’elle est Ă  la fois drĂŽle et concernante. On vous en dit plus.
Des Ă©tudiants ont repris la chanson de Stromae : L’Enfer. Il faut dire que cette derniĂšre faisait sensation le 9 janvier au journal de TF1. AprĂšs une question de la prĂ©sentatrice, le chanteur commençait Ă  chante r et dĂ©voilait alors son nouveau titre.
Une chanson sombre qui parle de suicide et de toute la pĂ©riode qu’il a pu traverser. Pas trĂšs joyeux mais puissant. Depuis, certains ont dĂ©cidĂ© de faire une parodie. Et c’est le cas d’un groupe d’étudiants dont la vidĂ©o devient virale . On vous en dit donc plus.
C’est donc en Belgique qu’un groupe de jeunes en Master Ă  l’IHECS a dĂ©cidĂ© de faire sa propre version. Sur un sujet qui touche tous les Ă©tudiants : les exams ! Et ce sujet parle alors Ă  beaucoup de gens. Alors, la vidĂ©o devient trĂšs vite virale et cela se comprend.
L’étudiant qui a eu l’idĂ©e confiait ainsi la naissance de la chanson Ă  la Libre. « J’ai eu l’idĂ©e de faire une parodie mercredi dernier, avant mon examen « , explique Sacha Possoz, qui a le rĂŽle du chanteur. Et tout va trĂšs vite pour eux. De suite, ils dĂ©cident d’enregistrer.
« Avec deux autres Ă©tudiants, ClĂ©ment Simon et Louis Maire, on a dĂ©cidĂ© qu’on allait se lancer tout de suite, sinon l’idĂ©e risquait de tomber Ă  l’eau. On a Ă©crit les paroles le jour-mĂȘme. Puis, on a louĂ© du matĂ©riel de l’Ihecs pour tourner la sĂ©quence. « 
De base, le but de cette reprise Ă©tait de faire quelque chose de drĂŽle . « Le succĂšs a Ă©tĂ© au rendez-vous. A la base, on voulait juste dĂ©compresser pendant nos examens. On pensait bien qu’on aurait un petit succĂšs, mais on ne s’attendait pas Ă  avoir autant de vues. »
Depuis, les vues ne cessent alors de grimper. Actuellement la vidĂ©o a Ă©tĂ© vue plus de 40 000 fois. Un beau score pour ces Ă©tudiants qui voulaient juste s’amuser. Il faut dire que la chanson rĂ©sume bien les problĂšmes de ceux qui font des Ă©tudes.
« J’ai encore eu une soirĂ©e hier, j’en suis peu fier. J’étais bĂȘte de penser que l’avant-derniĂšre serait la derniĂšre. Ces syllas qui nous font vivre un enfer. Ces examens qui nous font vivre un enfer » chante-il dans la chanson. Des paroles qui sonnent donc trĂšs juste.
Et les Ă©tudiants reçoivent des messages par rapport Ă  leur chanson. « On est vraiment hyper contents que ça marche Ă  ce point. J’ai mĂȘme eu quelques messages privĂ©s d’étudiants qui m’ont dit Ă  quel point ils aimaient notre chanson , c’est hyper gratifiant ».
Mais dĂ©sormais, les Ă©tudiants vont pouvoir prendre une petite pause en attendant leurs prochains examens. Un repos bien mĂ©ritĂ©. En attendant, ils peuvent alors ĂȘtre fiers de la parodie de Stromae. Cette derniĂšre est un vrai succĂšs, en Belgique comme en France !

Tags : aide - depression - Ă©tudiants fantĂŽmes - parodie - Stromae - TF1

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One happy young mixed race woman listening to music with headphones on laptop in at home. Cheerful female singing, swaying and dancing to the beat of her favourite songs while working freelance online
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Des Ă©tudiants pratiquent le bizutage Ă  Lyon, le 9 septembre 2010. Jean-Philippe Ksiazek, AFP




Texte par :


Catherine BENNETT







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La pratique du bizutage Ă  l’universitĂ©, souvent associĂ©e aux cĂ©lĂšbres fraternitĂ©s amĂ©ricaines, n’épargne pas les facultĂ©s et les grandes Ă©coles françaises. Une Ă©tudiante tĂ©moigne auprĂšs de France 24 des violences subies.
Pour les Ă©tudiants français entrant en premiĂšre annĂ©e d’ universitĂ© , la rentrĂ©e est parfois synonyme de "weekend ou soirĂ©e d’intĂ©gration". Celui-ci prendra la forme d’une soirĂ©e ou d’un sĂ©jour loin du campus de la facultĂ©, le but supposĂ© Ă©tant d’intĂ©grer les Ă©tudiants Ă  la vie de leur futur Ă©tablissement.
La rĂ©alitĂ©, en revanche, peut ĂȘtre trĂšs diffĂ©rente
 Plusieurs universitĂ©s ou Ă©coles françaises ont fait les gros titres des journaux ces derniĂšres annĂ©es parce que leurs Ă©tudiants ont Ă©tĂ© dangereusement humiliĂ©s lors de ces sĂ©jours, qui ont virĂ© au bizutage .
France 24 a pu s’entretenir avec l’étudiante d’une Ă©cole spĂ©cialisĂ©e, situĂ©e en Île-de-France. La jeune femme, qui a souhaitĂ© rester anonyme, a participĂ© Ă  la cĂ©rĂ©monie d’intĂ©gration de son Ă©tablissement universitaire l’an dernier. "La premiĂšre activitĂ© qui nous a Ă©tĂ© proposĂ©e a Ă©tĂ© de se passer de bouche en bouche un dĂ©odorant usager. AprĂšs cela, ils [les Ă©tudiants de seconde annĂ©es Ă  l’origine du voyage] nous ont demandĂ© d’effectuer le mĂȘme geste avec un godemichet. Si l’un d’entre nous venait Ă  refuser, ils inscrivaient des insultes au feutre sur notre front. Lorsque j’ai refusĂ© de jouer avec le godemichet, ils m’ont fait remonter dans le bus qui nous avait acheminĂ©s lĂ , ils m’ont conduite dans le fond du vĂ©hicule. Ils ont tirĂ© les rideaux et ils m’ont bandĂ© les yeux avant de me forcer Ă  boire, alors que je ne bois jamais."
L’étudiante raconte qu’une autre partie des activitĂ©s consistait Ă  leur faire avaler des aliments avariĂ©s et des mĂ©langes d’alcool. Elle tĂ©moigne d’un Ă©pisode encore plus violent, lors duquel les premiĂšres annĂ©es ont eu les yeux bandĂ©s, puis ont Ă©tĂ© frappĂ©s Ă  la cravache par l’un des Ă©lĂšves de seconde annĂ©e.
L’organisation de ces cĂ©rĂ©monies initiatiques est laissĂ©e aux mains des Ă©tudiants. Parfois, les rites sont encouragĂ©s par les institutions elles-mĂȘmes. L’étudiante questionnĂ©e raconte dans son cas que le directeur de l’école faisait partie du voyage.
À plusieurs moments, il supervisait les activitĂ©s proposĂ©es, tĂ©moigne la jeune femme qui poursuit son rĂ©cit : “Ils nous ont emmenĂ© dans la forĂȘt, oĂč ils nous ont rĂ©partis en binĂŽmes, attachĂ©s les uns aux autres, cĂŽte Ă  cĂŽte ou dos-Ă -dos. C’est le directeur en personne qui nous a liĂ© les mains. À ce moment-lĂ , je n’étais pas encore choquĂ©e, parce que je pensais que le but Ă©tait de nous faire participer Ă  une simple course d’obstacle. Je pensais qu’on allait s’amuser." La jeune femme va vite dĂ©chanter en dĂ©couvrant les rĂšgles cruelles imposĂ©es par ses camarades. Si l’un des Ă©tudiants tombe durant la course, le binĂŽme doit avaler une boisson dans laquelle flotte des excrĂ©ments ou du poisson mort, rapporte-t-elle. "Certains des Ă©tudiants ont vomi, et s’ils ne parvenaient plus Ă  boire, les Ă©tudiants de seconde annĂ©e leurs renversaient la boisson sur la tĂȘte."
L’étudiante raconte qu’à la fin de la course, alors que ses jeunes camarades Ă©taient sales et sentaient mauvais, les organisateurs de ce "weekend d’intĂ©gration" se sont contentĂ©s de leur donner des bouteilles d’eau pour se nettoyer. Pourtant, des douches se trouvaient non loin de lĂ .
"Je me suis sentie trĂšs mal dans ma peau Ă  l’école aprĂšs cela et je n’ai pas osĂ© en parler Ă  ma famille", dĂ©crit la jeune femme. "Pour moi, ce qui s’est passĂ© lors de ce weekend a Ă©tĂ© inacceptable. Mais la plupart des Ă©tudiants ont trouvĂ© ça normal. Ils ont acceptĂ© de participer."
Le principe du bizutage rĂ©side dans la domination, explique Marie-France Henry, la prĂ©sidente du ComitĂ© national contre le bizutage (CNCB) : "Un groupe domine l’autre. Dans ce cas, ce sont les Ă©tudiants les plus ĂągĂ©s qui imposent des Ă©preuves aux nouveaux entrants. Et les nouveaux Ă©tudiants acceptent forcĂ©ment, parce qu’ils se trouvent en position dĂ©licate. Ils craignent d’ĂȘtre exclus ou bien ils ne veulent pas se faire remarquer et ont peur de la punition qui leur sera infligĂ©e."
Forcés de mimer des scÚnes pornographiques
L’association de Marie-France Henry est trĂšs sollicitĂ©e pour la rentrĂ©e. Des parents appellent le CNCB pour demander en quoi consistent les cĂ©rĂ©monies d’intĂ©gration de l’universitĂ© et des grandes Ă©coles de leurs enfants. Ils souhaitent savoir s’il y a lieu de s’inquiĂ©ter.
En France, le bizutage est pourtant interdit par la loi depuis 1998. Toute personne qui se risque à "amener une autre à subir ou à commettre des actes humiliants ou dégradants ou à consommer de l'alcool de façon excessive" est punie de six mois d'emprisonnement et de 7 500 euros d'amende. Malgré cela, chaque année, des affaires de bizutage éclatent au grand jour, aprÚs quoi les universités et les écoles prennent des mesures contre ces pratiques.
Cette annĂ©e, une facultĂ© de mĂ©decine de Caen a mĂȘme dĂ» organiser un stage anti-bizutage pour ses Ă©tudiants aprĂšs le scandale soulevĂ© en 2017. L’universitĂ© avait alors appris que ses Ă©tudiants organisaient de dangereux rites initiatiques, aprĂšs avoir dĂ©couvert un site Internet listant des "commandements" de bizutage Ă  l’adresse des premiĂšres annĂ©es. Il leur Ă©tait demandĂ©, entre autres, de frotter des orties contre leurs parties gĂ©nitales ou encore de harceler des passants dans la rue. InterrogĂ©s pour l’enquĂȘte, des Ă©tudiants ont racontĂ© qu’ils avaient dĂ» mimer des scĂšnes de films pornographiques, d’autres ont dĂ©clarĂ© que plusieurs hommes leurs avaient giflĂ© le visage avec leurs pĂ©nis.
Les prestigieuses écoles ne sont pas épargnées
D’autres Ă©lĂšves, cette fois de la prestigieuse École nationale supĂ©rieure d'arts et mĂ©tiers (ParisTech), ont Ă©tĂ© victimes de multiples brĂ»lures causĂ©es par des cuillĂšres chauffĂ©es Ă  blanc lors d’un bizutage simulant une sĂ©ance de tatouages. L’épreuve a Ă©tĂ© organisĂ©e sur leur campus en octobre 2017. En janvier, l’établissement a banni la pratique, connue sous le nom de "PVT" pour "pĂ©riode de transmission des valeurs".
Au fur et Ă  mesure, d’autres universitĂ©s et Ă©coles françaises ont suivi. En juillet, l’Insead, grande Ă©cole de commerce, a annoncĂ© avoir suspendu sa semaine d’intĂ©gration pour les Ă©tudiants entrant en MBA aprĂšs une plainte de quatre d’entre eux, forcĂ©s de participer Ă  des rites jugĂ©s humiliants.
Certains Ă©tudiants et anciens Ă©lĂšves continuent pourtant de dĂ©fendre la tradition du bizutage. "Je pense que ces rites forment le caractĂšre" estimait ainsi Reshma Sohoni, une ancienne de l’Insead, dans les colonnes du Financial Times.
Dans une lettre au journal britannique, Jakub Parusinski, autre ancien de l’école de commerce, dĂ©crivait ce rituel comme un "dĂ©fi Ă  l’élitisme" qui avait aidĂ© Ă  "remettre" les Ă©tudiants les plus arrogants "Ă  leur place".
Ilian Mihov, le doyen de l’Insead, a pour sa part affirmĂ© que la santĂ© et le bien-ĂȘtre des Ă©tudiants Ă©tait la prioritĂ© de l’école. "Les semaines d’intĂ©gration ne peuvent pas reprendre tant que des Ă©tudiants s’en plaignent", a-t-il rĂ©pondu dans une lettre adressĂ©e aux anciens les plus nostalgiques de ce genre de pratiques.
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