Etudiante noire se fait deboiter

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Une vlogueuse spécialisée dans le jardinage a fait le buzz sur le web grâce à l'une de ses vidéos en tenue très sexy. Non Stop Zapping vous fait découvrir la séquence.


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Home / Vidéos / Bagarre / [Ex VIP] Elle se fait humilier, battre et déshabiller par une fille de son école

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NetPratic


6 avril 2014
Bagarre

commentaires
113,904 Vues
Par ma gentillesse j'offre à tous les pauvres netpraticiens qui n'ont pas de compte VIP cette vidéo anciennement vip :
Elle se fait humilier , battre et déshabiller par une fille de son école
IL SE BAT CONTRE 5 FILLES POUR SAUVER SA PETITE AMIE
une catégorie de vans pire sans tète nie lois ni principe mes ou sons passer les droit de l’homme dans le monde on crée des bette avez une intèligence bien en dessous des animaux
Non?Tu crois? Comme tes compétences en grammaire,en gros…
– Cordialement .
Quel bande de connard et connasse j aurais ete la je les aurait crever c est gens . Les gens sont stupide mechant moqeur . L humanite me degoute.
je comprends pas pourkoi elle ne l’a pas mise sur ses genoux cuisses écartées pour lui donner la féssée cul nu,pour mieux l’humilier…
pour moi,voir une fille autoritaire soumettre et punir une bonne garce,c’est le pied!
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« Je jouis à tous les coups sans capote, rarement avec. Alors je décide de jouir »


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Publié le 3 janvier 2015 à 11h13 Mis à jour
le 3 janvier 2015 à 11h13

Eric Zemmour (Photo Jacky Naegelen) et le casting d'"Hélène et les garçons" (Photo AB Productions)
Réduction de l’usage du préservatif et dépistage en berne, les pratiques sexuelles à risques continuent d’augmenter chez les jeunes. Bilan d’une tendance à la non-vigilance.
« La capote c’est relou, quoi qu’il arrive ». Paul, Mehdi, Arthur et Olivier, étudiants en classe préparatoire et en licence de Staps, âgés de 19 à 21 ans, se disent « prévoyants en la matière ». « C’est à dire qu’on a des préservatifs mais qu’on ne les utilise pas forcément ». Sur les quatre étudiants, trois s’accordent à reconnaître que « tout dépend de la personne que tu as en face de toi. Si c’est une amie ou une connaissance, on a tendance à s’en passer ». Même discours chez Juliette, 24 ans: « Si je connais un peu le garçon, je ne mets pas de préservatif, jamais. Je me dis qu’on est protégés par notre quotidien, notre catégorie sociale, que nous ne sommes pas des personnes à risque. Mais je sais que c’est complètement débile, c’est nul ». Tous clament leur volonté de jouir sans entrave ni filet de protection. « Je jouis à tous les coups sans capote, rarement avec. Alors je décide de jouir », avoue Juliette. Même argument pour Bob, 25 ans :
« Ma bite ne supporte plus le préservatif. C’est comme si on avait des millions de terminaisons nerveuses qui aboutissaient… sur un morceau de plastique. C’est ingérable. Et pour tous mes amis c’est pareil. Certains n’en mettent jamais. On s’accommode difficilement de cette barrière entre les corps ».
C’est devenu beaucoup plus abstrait, irréel
Selon la dernière étude Harris Interactive pour la mutuelle étudiante Smerep, en 2014 un étudiant sur trois fait l’amour en n’utilisant jamais de préservatif, un tiers d’entre eux n’effectuent pas de test de dépistage, et ils ne sont plus que 33% à se protéger systématiquement (contre 41% en 2013). Ces « chiffres alarmants » et qui « augmentent en permanence » confirment et aggravent « une tendance observée depuis plusieurs années » souligne Pierre Faivre, chargé de la prévention à la Smerep. En cause, selon lui, la banalisation des infections sexuellement transmissibles et l’évolution des regards portés sur le VIH :
 » Il y a quelques années, la lutte contre le sida était une cause commune. C’est devenu beaucoup plus abstrait, irréel. La nouvelle génération a intégré la dimension technique et informative de la prévention autour du préservatif, mais elle ne construit pas forcément une sexualité normée et réfléchie. Si seulement les chiffres du dépistage augmentaient, il y aurait moins de problème ».
Alain Legrand, directeur général de l’association AIDES, martèle que « le premier instrument de prévention reste et restera le préservatif. C’est le meilleur outil, le plus utile ». Mais il reconnaît qu’aujourd’hui « les campagnes de prévention sont moins axées sur le préservatif que sur le dépistage ». Une évolution qu’il explique par la nécessité de déceler et de traiter au plus tôt les nouvelles contaminations :
« En terme de santé publique, pour arrêter l’épidémie, il faut se concentrer sur les personnes qui sont porteuses du virus sans le savoir. Si les jeunes prenaient cette habitude, ils pourraient vivre dans un pays où il y aurait très peu de risques de transmission. Ce ne sont pas les personnes séropositives et qui prennent des traitements qui le transmettent, ce sont les personnes au statut incertain ».
Le sida, ça nous dépasse complètement
Selon l’Institut de veille sanitaire (InVS), 150 000 personnes séropositives sont aujourd’hui décomptées sur le territoire français, dont 30 000 à 50 000 qui ignorent encore leur statut sérologique ou ne bénéficient d’aucun suivi médical. Par ailleurs, environ 6 300 nouvelles contaminations sont enregistrées chaque année. Un nombre qui ne diminue pas depuis 2007 et qui s’agrège aux 35 millions de personnes vivant avec le VIH dans le monde.
Pour Paul et ses amis, la petite vingtaine, « le sida, ça nous dépasse complètement. Dans notre imaginaire, ça reste la maladie du Botswana. On n’a aucune idée du nombre de personnes séropositives en France par exemple. Et concrètement, même quand on utilise une capote et qu’elle craque, on pense davantage aux problèmes de contraception qu’au dépistage ». Même discours chez Bob : « On n’a pas été touché directement par cette maladie. On n’en connaît pas exactement les méfaits. On sait aussi qu’on ne peut toujours pas la guérir, mais qu’on peut la traiter. Alors, on s’autorise à se relâcher ». Citant pêle-mêle le développement des traitements préventifs par antirétroviraux et les progrès de la recherche relatifs aux vaccins thérapeutiques, ils en arrivent à assimiler le sida à une maladie chronique. Sur le terrain, Pierre Faivre constate que « les jeunes ne se rendent pas compte de la difficulté de vivre avec le sida ».
Une insouciance déjà signalée par Yaëlle Amsellem-Mainguy, chargée de recherche à L’Institut national de la jeunesse et de l’éducation populaire (Injep) et auteur, en 2013, d’une étude intitulée Le VIH/sida chez les jeunes: idées fausses toujours tenaces et érosion relative des connaissances :
 « Les jeunes ayant commencé leur vie sexuelle après 1996 l’ont fait dans un contexte épidémiologique et social du sida différent de celui des générations antérieures. En effet, ceux qui se sont eux-mêmes appelés la « génération sida » ont débuté leur vie sexuelle dans les années noires de la maladie (entre 1981 et 1995), et ont bénéficié plus longtemps que les jeunes d’aujourd’hui de campagnes de prévention et d’une visibilité de l’épidémie plus importante ».
Outre-Atlantique, consciente de la désaffection croissante pour le préservatif, la fondation Bill et Melinda Gates a décidé de financer le projet d’une équipe de chercheurs fermement décidés à développer le préservatif du futur. Sans latex et composé d’un puissant hydrogel, il est censé offrir la « seconde peau » idéale. En France, AIDES réagit en lançant une nouvelle campagne « Pas de préservatif, pas de sexe », rappelant notamment et sans détour que 10% des nouvelles contaminations concernent les 15-24 ans, ce qui représente 2 jeunes touchés par jour.
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Ils font tranquillement l’amour dans un parc à côté de leur fille 0
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Un couple à été surpris en train de faire l’amour dans un parc. La femme était accompagnée de sa fille de 6 ans, qui jouait juste à côté d’elle, pendant qu’elle était à califourchon sur son amant, entrain de faire des mouvements de va et viens. La petite fille joue tranquillement à côté de sa mère mais semble éviter de regarder ce qui prouve qu’elle à bien compris ce que sa mère était entrain de faire.
La scène s’est déroulée dans un parc de Paredes de Coura au nord du Portugal. L’homme n’est pas le père. Le père, en voyant ces images, à demandé à ce que la garde de sa fille lui soit confiée.
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