Etudiante excitée goûte sa première bite

Etudiante excitée goûte sa première bite




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Etudiante excitée goûte sa première bite


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Petite question : de toutes les histoires que j'ai publiées, quelles sont celles où vous souhaiteriez voir/lire une suite ? Ou un spin off ? Ou si vous voulez que je développe un évènement que vous avez vécu ou sur lequel vous fantasmez. Faites-moi signe. Cordialement, Jérôme. jblchretien@yahoo.fr

© Tous droits réservés. Jerome3140.

Robin ferma la porte derrière lui et me laissa de nouveau seul. Mais aujourd'hui était très différent d'hier. Hier soir, je pensais que c'était fini, qu’il ne voulait plus avoir affaire avec moi, mais maintenant j'étais encore plus impliqué avec Robin comme il l’a dit : J’étais son vide-couilles buccal !

J'étais en quelque sorte satisfait de moi-même qu'il voulait toujours de moi, qu’il voulait toujours m'utiliser. Je me sentais bien d'avoir pu passer quelques heures avec lui et avoir le cul douloureux des coups de ceinture et avoir dû sucer sa bite ne me dérangeait pas du tout ; bien au contraire !

Étais-je bien sûr ? Est-ce que j’aime sucer sa bite ? Recevoir des coups ? Et suis-je bien hétéro ? Ce bracelet, je l’avais reçu d’une ex-petite amie, mais ce n’est qu’un bracelet ! Comment puis-je me sentir content de sucer une bite ?

Aurais-je déjà oublié la dernière chose qui s'était produite ? Que c’est moi qui ai supplié Robin de me permettre de sucer sa queue et que j’ai été humilié quand il m’a ordonné de me contenter de lécher ses baskets ! Pas étonnant qu'il m'ait appelé salope, car j’agissais comme une salope. En étais-je une ?

Je me suis masturbé en revoyant les images quand je suce sa bite et je l’ai vécu à nouveau, mais cette fois, c'est moi qui ai juté et profité de l’orgasme.

Le lendemain matin, dimanche, je me suis réveillé tard, j'ai pris une douche et j'ai enfilé mon jeans rouge moulant sur ma peau nue, mes Converse et un t-shirt propre. J'ai à peine mangé et réalisé qu’il était déjà midi et j’ai filé directement vers le magasin où j’ai acheté 12 canettes de bière bon marché ; c’est ce que boivent ces petits voyous !

Naturellement, j'ai encore dû prouver mon âge et en sortant, il y avait un petit groupe de gars, tous d’environ seize ans, et tous vêtus de leur uniforme, le survêtement ! On avait en quelque sorte quelque chose en commun maintenant, car si précédemment je baissais les yeux en passant devant des jeunes gars en uniforme, cette fois j’avais la tête haute ; ils étaient de Laroue et moi aussi j’en faisais partie !

Sur le retour, Robin m’a envoyé un texto qui disait : "Salope, quand on sonne tu nous accueilles à genoux" ! Je n’étais qu’à moitié surpris par ce texto et j’y ai répondu en disant : Très bien Robin. Sans plus, bien qu’au départ, je voulais écrire bien maitre, mais je me suis abstenu.

Une bonne heure plus tard la sonnette a retenti, j’ai ouvert la porte et je me suis mis à genoux. C’était Robin accompagné de Sacha et David ; les gars du premier soir ; j’ai reconnu leurs baskets, plus que leur tête… c’est fou, non ?

C’est tout ce qu’ils avaient en bouche pour me saluer.

— On a un DVD ! Tu as la bière comme demandé ?

— Va les chercher pour nous ; bien sûr, tu restes à genoux !

J’ai été chercher les bières à genoux et quand je suis revenu, ils étaient tous 3 dans le canapé. J’ai donné à chacun une canette qu’ils ont ouverte et pris quelques gorgées.

C'était Thor. Je l'ai mis dans le lecteur puis j’ai entendu :

— Tes vêtements sont ridicules, lève-toi ! A dit Robin, il m’a détaillé de haut en bas et m’a dit :

— Ouais, putain, tu as un look tellement gay avec tes frusques !

— On n’aime pas que tu portes ce look gay punkie avec nous ! Fous-toi à poil ! Garde ton slip !


Ce n'était pas très différent de la nuit dernière, mais j'étais un peu plus mal à l'aise par le fait de la présence des deux autres gars, mais j’ai fait ce que l’on m’a ordonné et, très vite, je me suis retrouvé à poil devant eux, puisque ce matin j’étais sorti commando, sans mettre de slip !

— Robin, je ne portais pas de slip ce matin donc…

— Putain de malade ! Et bien sûr il bande, notre petit salaud ! A dit Sacha et Robin de surenchérir :

— Je vous l’ai dit qu'il était fou de tout ça, c'est un pédé plus que complet ! A déclaré Robin comme si j'étais un objet continuellement excité ou une ordure à ne pas respecter.

Une fois à poil, je me suis remis à genoux et quand j’ai voulu m’asseoir sur mes talons, Robin m’a arrêté :

— Tu ne penses quand même pas que tu vas regarder le film avec nous. Mets-toi à quatre pattes devant nous et relève bien ton cul de pédé !

Dès que j’étais en place, ils ont tous les 3 étendu leurs jambes ; j’allais servir de repose-pieds ! Et tous se marraient ! Moi, je bandais à fond. Et pour m’humilier totalement, Robin a pris mon t-shirt et l’a foutu sur mon visage ; je ne voyais plus rien.

J’avais vu le film et je peux dire que jusqu’au milieu de film, j’ai servi de petite table et ils ont fait une pause ; j’ai dû aller leur prendre des bières, à genoux évidemment, et eux ont été pisser… aux toilettes… heureusement… ou non ?

Moi, cette fois-ci j’ai dû prendre la position du muezzin ; une idée de David. Ainsi, je pouvais à la fois servir de repose-pieds pour deux d’entre eux et lécher les baskets du troisième. Robin a trouvé l’idée géniale.

Quand le film était terminé, en plus de lécher leurs baskets, j’avais aussi reçu pas mal de coups de pied au cul rien que pour leur plaisir et, nouveauté, pour la première fois, j’ai pu lécher les pieds de Robin. Enfin, je pouvais savourer l’odeur et le goût de ses panards toujours emprisonnés dans ses godasses.

Quand le film était terminé, j’avais mal aux genoux, mais surtout aux fesses et les seules paroles qu’ils m’ont adressées avant, pendant et après, étaient des ordres, alors qu’entre eux ils riaient, plaisantaient, faisant des commentaires tout au long du film comme on le fait avec des copains !

— Va nous chercher des bières, chienne ! Et à genoux !

À la limite, je me suis presque senti heureux que Robin me parle même si c’était un ordre ! Et quand je suis revenu, il a dit :

— Pourquoi, cette fois-ci tu ne ferais pas connaissance avec ce qui est dans la basket ? Commence par David !

Je me suis mis entre les jambes de David, et je lui ai ôté les deux baskets. L’odeur était forte et sa chaussette et son pied étaient moites et j’ai d’abord brièvement léché son bas, mais déjà l’ordre suivant arrivait :

— Tu l’enlèves avec tes dents ; mets tes mains dans le dos !

Je bandais déjà à fond, mais quand j’ai entendu ce que Robin exigeait de moi, je pensais que j’allais exploser. Pendant que j’opérais, ils se marraient et les coups de pied au cul ainsi que leurs pieds taquinant mes couilles ont continué.

Puis ce fut au tour de Sacha, qui avait, selon moi, une hygiène meilleure que David, mais cela sentait quand même aussi fort et cela m’excitait autant. En plus, à ce moment-là, David a pris une de ses chaussettes et l’a tirée autour de ma bite et tous se sont mis à rire.

Après chaque léchage de panard, j’étais aussi obligé de remercier mon bienfaiteur :

— Merci d’avoir laissé ce pédé inutile lécher vos baskets et vos pieds virils.

— Pas de souci, petit pédé de chienne, à tout moment !

Je me suis soudain senti faible, petit, médiocre, tout nu, à genoux, la bite tendue devant 3 gars de 17 ans environ qui me paraissaient énormes dans la position où j’étais.

— Alors, Robin, tu vas nous montrer le nouvel exercice que tu as pensé pour lui. A dit Sacha en riant.

— Ouais, très bien ! Pourquoi ne rampes-tu pas jusqu’aux pieds de Sacha pour solliciter la permission de lui sucer la bite comme le fait une bonne chienne !

Je savais que cela m’allait arriver, mais pas de devoir mendier, mais bien que j’aurais des bites à sucer.

À genoux, je me suis mis devant les pieds de Sacha et je l’ai regardé droit dans les yeux ; j’avais l’impression d’être un chiot regardant son maitre.

— S’il te plait, Sacha, s’il te plait, puis-je sucer ta bite ?

Sacha et David n’arrêtaient pas de rire à tel point que je me sentais maintenant comme une sous-merde !

— S’il te plait, s’il te plait, puis-je sucer ta bite…

— Alors, vas-y, baisse mon froc, mais pas trop bas !

J’ai baissé son pantalon de survêt de quelques centimètres et découvert directement sa bite puisqu’il était commando (sans slip). Lui-même s’est mis à la caresser et elle a pris vie. À genoux, je me suis déplacé entre ses jambes et je me suis penché et j’ai commencé à lécher sa queue. Il m'a attrapé brutalement par les cheveux en disant :

Bientôt, il était en érection et totalement dans ma bouche. Je pense que sa bite était encore plus grosse que celle de Robin et je n'avais pas d’indication sur ce que je faisais. Je suçais, un point c’est tout ! Mais Sacha, lui, il aimant. Cela se voyait clairement, mais si moi j’aimais ou pas, je ne sais pas, mais… est-ce important ? En tout cas, déjà il jouissait dans ma bouche.

Robin est venu voir et a dit à Sacha :

— Ouais, vas-y salope, on sait que tu adores, vas-y, avale toute ma purée, salope !

Ensuite, j’ai reçu l’ordre de répéter les mêmes gestes avec David : supplier, sucer, avaler et ensuite aussi avec Robin. J’avais cet après-midi avalé le sperme des trois gars. Putain, c'était de nouveau quelque chose qui me rabaisse.

Quand ils en avaient fini avec ma bouche, je voulais me lever ; mes genoux étaient rouges, douloureux ; je devais avoir l’air minable. J’étais nu, je transpirais et j’avais depuis leur arrivée la trique.

— À genoux, pédé ! Et ne bouge plus.

Robin s’est éclipsé, je pensais qu’il était aux toilettes, mais bien vite il est revenu avec la grosse ceinture punk ! J’allais le sentir passer. Il l’a montrée à ses deux copains puis il m’a fait prendre appui sur l’accoudoir du canapé…

— Je vais être gentil avec toi ! C’est vingt et un ans que tu as, n’est-ce pas pédé punkie ?

— Cher, mon vieux, cela fera 21 coups de ceinture et comme nous sommes 3… tu fais le compte ! Mais je veux être gentil avec toi ; tu nous as bien servi aujourd’hui. Alors Sacha, David et moi allons te donner chacun 7 coups de ta fameuse ceinture.

C’est David qui a commencé et ses 7 coups étaient partagés sur mon corps, mais il ne frappait pas très fort. Puis ce fut le tour de Sacha.

Lui, c’est une brute ! Il a frappé de toutes ses forces et à deux reprises Robin a dû retenir sa main ; mon maitre trouvait qu’il allait trop loin. Quant à Robin, en vrai chef de bande, a fait la moyenne ; chez lui, les coups n’étaient pas trop forts, mais toujours placés à des endroits sensibles, érogènes.

— Va remettre ta ceinture dans ta chambre ! Reste à genoux.

Quand je suis revenu, tous les trois étaient resapés et Robin m’a demandé :

— Tu as bien aimé de nous servir, petite salope de pédé punkie ?

— Tu vas nous remercier et nous dire combien tu as aimé lécher nos baskets, nous servir de meuble, lécher nos pieds, sucer nos bites et recevoir une bonne raclée.

Sans hésiter, j’ai répondu volontiers à leur demande :

— Merci, Sacha, David et Robin d’avoir pu lécher vos baskets, lécher vos pieds, sucer vos bites, endurer vos coups et vous servir de repose-pied, s’il vous plaît, revenez quand vous voulez, car la por…

À ce moment, Sacha s’est levé d’un bond, terriblement en colère. En une fraction de seconde, il m'a attrapé par les cheveux et m’a écrasé contre le mur. Il a tenu ma tête en arrière et ses yeux cherchaient les miens. J’étais terrifié. Ses copains n’intervenant pas. Ce devait être un gars violent.

— Tu es foutrement pitoyable, minable !

Je l'ai entendu préparer un gros mollard dans sa bouche, accompagné de glaires, et il m’a craché au visage.

Tout le monde a ri, je me suis laissé tomber à genoux, ils sont partis…

Lundi était un autre jour étrange. Je suis allé à l'université comme d'habitude, mais maintenant au lieu de penser aux sujets que j'étudiais, je ne parvenais à penser qu’aux bites que j'avais sucées la veille. Comment était-ce possible ? Moins d'une semaine avant, je n’avais jamais regardé un gars de cette façon-là.

Maintenant, je ne pouvais pas m'arrêter de penser à ces gars, mais surtout à Robin. Me souvenir d’avoir à sucer des bites, à en avoir en bouche m’humiliait peut-être un peu, mais cela ne m’empêchait pas du tout d’être en érection rien que d’y penser.

Tout au long de ce lundi, je n'ai pas entendu un mot de Robin, et rien des autres non plus… Cette fois, je ne l'ai pas contacté. J'étais sûr qu'il me contacterait à un moment donné ; je ne voulais pas devenir trop accroc, trop dépendant ; en un mot, je ne voulais pas les faire chier !

Mardi, il m'a envoyé un texto. Je tombais du ciel et c’était assez bizarre : Quelle pointure chausses-tu ? Je ne comprenais pas pourquoi il voulait le savoir. Peut-être voulait-il se moquer de mes petits pieds ? J'ai répondu instantanément et espérais qu'il enverrait un nouveau texto, mais je n’ai rien vu venir.

Par contre, mon colocataire m'a appelé pour me dire qu'il ne reviendrait pas avant vendredi ; j'étais soulagé. C'était quand même bizarre de penser à lui et moi dans la même pièce où je suçais des bites à genoux durant son absence.

Mercredi, Robin m'a appelé pour me dire qu'il viendrait vers 17 heures et s’assurer que je serais là. J'étais chez moi à 16h30, en attendant pour Robin… À 17h10, on a frappé à la porte, c'était Robin, il avait un sac à la main et il est rentré.

J'ai murmuré un oui, ça faisait quand même mal quand il m’appelle salope.

Il m'a dit de me déshabiller, alors je me suis déshabillé devant lui jusqu'à mon slip blanc et serré. Être à moitié nu devant lui me semblait de plus en plus normal.

Il a poussé le sac contre ma poitrine. C'était plein de vêtements.

— Si tu veux être vu à l’extérieur avec nous, tu dois arrêter de t’habiller comme un pédé.

J'ai mis ma main dans le sac et la première chose que j'en ai retirée était un pantalon de survêt Adidas gris avec 3 bandes bleues sur chaque jambe. J'étais étrangement nerveux et excité en les mettant. Ensuite, j’en ai sorti un maillot de football de Barcelone qui puait la transpiration. Quand je l’ai mis, on voyait qu’il avait été porté souvent sans être lavé !

— Ce maillot est à mon petit frère, fais gaffe de bien le soigner !

La sensation de la matière douce du maillot de football était un peu bizarre sur ma peau ; ce n'était pas un matériau que j'avais l'habitude de porter.

Ensuite, j'ai mis des chaussettes blanches, qui n’étaient pas trop propres non plus, et enfin une paire de baskets Adidas blanches avec des bandes vertes. Ce qui me déconcertait, c’est qu’il n’y avait pas de lacets, mais des bandes Velcro ; j’ai supposé que les petits voyous étaient trop balourds pour faire leurs lacets.

— Pointure 41 ! Comme tu m’as dit ; ce sont mes anciennes ; elles sont trop petites pour moi maintenant !

Enfin, il y avait un sweat bleu à capuche avec un grand logo Adidas blanc sur le devant et je l’ai mis.

Je me sentais vraiment bizarre de porter ces vêtements, mais excité aussi.

— Voilà, tu as enfin l'air normal. Allez, allons-y…

J'ai soudainement gelé. Comment pourrais-je sortir habiller comme ça ? Comme un petit voyou ? Que vont dire mes voisins s’ils me voient ainsi ou même d’autres personnes !

Non, je ne pouvais pas sortir comme ça. Il ne me reste qu’une chose à faire : me donner entièrement à lui !

— Robin, maitre, je voudrais être complètement à toi ?

— Qu’est-ce que tu veux dire ? Tu veux me donner ton cul ?

— Plus tard peut-être salope, on a des choses à terminer aujourd’hui !

J'ai essayé de me cacher en moi alors que nous sortions de l'immeuble. Je ne voulais tout simplement pas qu’on me voie dans ces vêtements-là. Ce n'était pas grave vraiment, j'avais probablement l'air normal pour une fois. Mais je me sentais mal, vraiment pas bien, avec ça sur le dos !

Je transpirais vraiment et ma sueur se mélangeait à la sueur déjà séchée dans ce maillot de Barcelone déjà bien porté. Nous avons suivi la route. Robin m’observait quand nous descendions la rue :

— Tu as l'air bien ! Continue à t’habiller ainsi et tu pourras désormais passer du temps avec nous !

— D’accord Ai-je répondu, mais sans enthousiasme !

— Non, en fait, tu t'habilleras comme ça tout le temps à partir de maintenant, ici, en rue, à la fac, partout. Je ne veux pas te revoir dans cette merde, pédé punkie. Tu as compris ?

Mes mots étaient d'accord avec lui, mais je ne pouvais pas lui dire ce que je pensais. Je ne pouvais, je ne voulais tout simplement pas ressembler à ça.

Quand nous sommes descendus vers les magasins, il y avait divers groupes de jeunes ados, tous avec des baskets aux pieds. C’étaient des jeunes des environs. Normalement, je me sentirais intimidé par eux, mais maintenant je me sentais en quelque sorte l'un d'eux, mais un imposteur aussi. Dieu merci, Robin était avec moi.

Deux garçons d'environ quinze ans sont passés devant nous.

— Salut les gars ! Ceci est Adrien, il est avec nous maintenant, il habite plus loin sur la route.

Et ils ont continué leur route. J'ai suivi Robin et on a rencontré un jeune d’environ 16 ou 17 ans qui était assis sur le dossier d’un banc du parc en face des magasins.

Nous nous sommes assis sur le banc à côté de lui, Robin au milieu.

— Hm, putain, le garçon dont tu me parlais ?

— Tu pensais qu'il était Gothic ou quelque chose comme ça ?

— Je dois rentrer pour le dîner. A dit Robin pour l’assemblée et en me regardant il a ajouté :

— Toi, tu restes avec Benoît et tu fais tout ce qu’il te demande de faire ; je reviendrai plus tard.

Robin s’est levé et s’est éloigné. Benoît a glissé sur le banc jusqu'à ce qu'il soit juste à côté de moi et nos jambes se touchaient. Il parlait très doucement.

On s’est levé et j'ai suivi Benoît hors de la zone commerciale et on a pris une route menant à un chantier abandonné. En marchant, on a parlé… en fait, il m’a questionné.

Nous sommes montés dans le petit chantier et nous nous sommes mis derrière un tas de terre dans une sorte de fossé ; c’était une petite cachette secrète que les jeunes utilisaient pour jouer…

Benoît s’est branlé sous son pantalon et a joué avec sa bite. Je commençais à m’exciter à peine, mais je me suis agenouillé près de lui. Finalement, il a sorti sa bite semi-rigide et l'a guidée dans ma bouche. Il m’a dit de prendre appui sur mes mains et j’ai commencé à le sucer. Il a rejeté sa tête en arrière plein de plaisir et après une minute ou deux il crachait tout son jus dans ma bouche. Et j’ai tout avalé.

Benoît avait l'air d'un mec sympa, je l'ai regardé et j’avais envie de le dévorer ; je me sentais très proche de lui ; peut-être plus proche que de mon maitre.

— On attend cinq minutes puis on remet ça !

Nous nous sommes assis tous les deux sur la terre. Nous n'avons parlé de rien pendant quelques minutes puis il a recommencé à jouer avec lui-même.

Il m'a dit de me mettre entre ses jambes, donc, je me suis agenouillé et je me suis soutenu avec mes mains et j’ai sucé sa queue pour la deuxième fois sans utiliser mes mains. Il a tiré une charge beaucoup plus petite cette fois.

Je suis resté là sur mes genoux, devant lui alors qu'il remettait sa bite dans sa culotte.

— Tu aimes vraiment ça, n’est-ce pas ?

J'ai baissé les yeux de honte et il a ri.

J'ai suivi Benoît alors que nous quittions le site avec cette étrange sensation de sperme dans ma bouche et mon estomac. Nous avons marché jusqu'au terrain de sport où j'avais livré la bière à Robin.

Maintenant, en ce début de soirée, ce n'était pas un endroit isolé pour se saouler en cachette. Non, c’était bondé de gens pour la pratique du football. Tous des ados du coin en maillots jaunes et short et chaussettes bleus.

Je me tenais sur la touche avec Benoît regardant les moins de dix-sept ans pendant quelques minutes en attendant la fin de
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