Etes-vous vraiment comme cela

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Etes-vous vraiment comme cela
Êtes-vous vraiment comme les autres croient ?
Lieu : Lausanne, VD, Suisse · L'auteur a 7,9 k réponses et 9 M vues de réponse · 3 ans
Qu'est-ce qui nous amène à croire qu'une personne est acquise ?
Pourquoi les idiots se croient intelligents ?
Quels sont les détails qui montrent que vous n'êtes pas vraiment amoureux/se ?
Pourquoi persistez-vous à croire que vous êtes bon(ne) ?
Pensez-vous avoir déjà découvert qui vous êtes vraiment ?
Travaille chez Fonction publique ( 2008 – aujourd'hui ) · 3 ans
Qu'est-ce qui nous amène à croire qu'une personne est acquise ?
Pourquoi les idiots se croient intelligents ?
Quels sont les détails qui montrent que vous n'êtes pas vraiment amoureux/se ?
Pourquoi persistez-vous à croire que vous êtes bon(ne) ?
Pensez-vous avoir déjà découvert qui vous êtes vraiment ?
Savez-vous qui vous êtes réellement ?
Pourquoi êtes-vous la personne que vous êtes ? Qu'est-ce qui fait de vous la personne que vous étes ?
Quel genre de personne croyez-vous le moins ?
Le pervers narcissique aime-t-il vraiment blesser les autres ?
Êtes-vous certain d’être réellement apprécié ?
Etes-vous vraiment la personne que les autres pensent ou celle qu'ils veulent que vous soyez ?
Comment agissez-vous quand personne ne croit en vous ?
Qu’est-ce que les gens croient vrai mais qui ne l’est pas vraiment ?
Qu'est-ce qui nous amène à croire qu'une personne est acquise ?
Pourquoi les idiots se croient intelligents ?
Quels sont les détails qui montrent que vous n'êtes pas vraiment amoureux/se ?
Pourquoi persistez-vous à croire que vous êtes bon(ne) ?
Pensez-vous avoir déjà découvert qui vous êtes vraiment ?
Savez-vous qui vous êtes réellement ?
Pourquoi êtes-vous la personne que vous êtes ? Qu'est-ce qui fait de vous la personne que vous étes ?
Quel genre de personne croyez-vous le moins ?
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Nous ne sommes jamais comme le pense les autres.
Nous pouvons nous voir partiellement comme les autres nous voient. Mais nous nous connaissont nos pensées, nos sarcasmes, nos désillusions, nos envies, nos fantasmes, nos envies, nos sentiments. Les autres ne voient qu'une partie de nous, celle qu'on veut bien montrer, plus une partie de ce qu'on révèle sans le vouloir par nos comportements (conscient ou pas).
Nous ne sommes jamais comme le pense les autres.
Nous pouvons nous voir partiellement comme les autres nous voient. Mais nous nous connaissont nos pensées, nos sarcasmes, nos désillusions, nos envies, nos fantasmes, nos envies, nos sentiments. Les autres ne voient qu'une partie de nous, celle qu'on veut bien montrer, plus une partie de ce qu'on révèle sans le vouloir par nos comportements (conscient ou pas).
Il y a d'autres raisons probablement mais je pense que d'autres sauront mieux écrire que moi sur ce sujet qu'est la psychologie.
Parfois je me sens être quelqu’un d’autre, sans être bipolaire ou schizophrène.
Parfois en me regardant le matin dans un miroir je me dis que je devrais être quelqu’un d’autre et que ma voix ne correspond pas à “ qui je suis “ au fond.
Mais en fait je me rend compte que ce ne sont que des illusions de mon esprit quand j’ai passé une journée difficile et du coup étant un peu déprimé ou angoissé cela perturbe ma perception de moi-même.
En fait nous ne sommes jamais la même personne d’une minute à l’autre, mais tout en restant le même.
Notre réalité n’est que la conjonction de notre vécu
Parfois je me sens être quelqu’un d’autre, sans être bipolaire ou schizophrène.
Parfois en me regardant le matin dans un miroir je me dis que je devrais être quelqu’un d’autre et que ma voix ne correspond pas à “ qui je suis “ au fond.
Mais en fait je me rend compte que ce ne sont que des illusions de mon esprit quand j’ai passé une journée difficile et du coup étant un peu déprimé ou angoissé cela perturbe ma perception de moi-même.
En fait nous ne sommes jamais la même personne d’une minute à l’autre, mais tout en restant le même.
Notre réalité n’est que la conjonction de notre vécu (ce que l’on vit individuellement) avec les évènements extérieurs indépendants de nous (la réalité objective).
Cependant, tandis que la “réalité extérieure” obéit à des lois physiques universelles et ne dépend pas de notre état psychique intérieur, notre état psychique intérieur quant à lui obéit à ses propres règles.
Comme l’être humain est un être irrationnel par nature, à chaque seconde il se passe des choses dans notre cerveaux, comme des pensées fluctuantes et des processus inconscients.
Même dans le plus grand moment de calme intérieur, nous “pensons”.
Parfois nous pensons ne pas penser et nous vider la tête grâce à la méditation, mais en fait notre état psychique intérieur est en perpétuel mouvement (ou calcul si vous le souhaitez).
Ainsi, quand on saisit une réalité extérieure, nous la voyons jamais de la même manière, et donc nous projetons parfois une image différente de ce que nous sommes.
Les personnes avec une forte agitation mentale interne sont parfois troublées par leur image et voix(comme moi).
Au contraire, les personnes avec un état mental plus apaisé sont plus en accord avec elles-mêmes.
Mais en fait cela varie beaucoup d’un individu à un autre.
Au final il n’y pas de règle, mais des tendances.



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« Je suis né dans la faute, et ma mère m'a conçu dans le péché » Ps 51.7
Que nous com­bat­tions l’al­cool, les drogues, le sexe, la colère, la médi­s­ance, le manque de par­don, le vol, le men­songe ou le jeu, une chose est sûre, nous sommes tous nés avec la même ten­dance à éviter ces com­porte­ments. Ce n’est donc pas une fatal­ité géné­tique, c’est un prob­lème spir­ituel. Il ne s’ag­it pas de sci­ence, il s’ag­it de péché. Cha­cun peut se con­fron­ter à l’un de ces prob­lèmes, non pour avoir hérité d’un mau­vais gène, mais pour avoir, le jour de notre con­cep­tion, hérité de la nature pécher­esse d’Adam. David a dit : « Je suis né dans la faute, et ma mère m’a conçu dans le péché ». Salomon affirme qu’il n’y a pas d’ex­cep­tions : « Il n’y a sur la terre point d’homme juste qui fasse le bien et qui ne pèche pas » ( Ec 7.20 ). Oui, nous sommes vrai­ment nés comme ça. Nos mau­vais pen­chants naturels ne sont pas dus à l’in­ca­pac­ité de chang­er les choses. Ils sont dus à notre nature pécher­esse plus forte que le désir de plaire à Dieu. Mal­gré toutes nos ten­ta­tives, à la fin nous per­dons la bataille ! Paul lui-même admet­tait avoir échoué en voulant bien faire. « Le désir de faire le bien existe en moi, mais non la capac­ité de l’ac­com­plir » ( Ro 7.18 , BFC). Dans ce cas, où est la bonne nou­velle ? Paul nous la donne : « Qui me délivr­era de ce corps qui m’en­traîne à la mort ? Dieu soit loué, par Jésus-Christ notre Seigneur ! » ( Ro 7.24–25 , BFC). À votre nais­sance, vous avez reçu la nature cor­rompue d’Adam, mais à tra­vers la nou­velle nais­sance, Christ vous fera vain­cre le péché, trans­former votre vie, jus­ti­fi­er votre nature !
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Et au lieu de poser cette question, pourquoi ne demandons-nous pas à l’autre en priorité : «Es-tu heureux(se) ?»
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     Pour cet article, j’ai envie de prendre le problème à l’envers, pour retomber sur nos pattes. Si je vous vous croisais dans la rue et que je vous demandais qui vous êtes, vous me répondriez sûrement votre nom, votre métier et votre âge. Mais si je vous observais un peu, je pourrais voir comment vous vous estimez d’après plusieurs éléments visibles (votre physique, vos possessions matérielles …) 
Et si je vous disais que vous n’êtes pas tout ça? Que tout ça ne sont que des projections de ce que vous croyez être? Une illusion de votre identité ? Si je vous demandais qui vous êtes vraiment , que me répondriez-vous ?
     C’est quelque chose dont je me rends compte de plus en plus et qui me dérange énormément. On se définit souvent par notre métier, comme si cette place dans la société pouvait rendre une personne supérieur à l’autre et inversement. Mais nous ne sommes pas notre métier et notre voisin, patron, frère, soeur, compagnon, ne l’est pas non plus.
Notre métier n’est qu’une des choses que nous faisons et nous sommes bien plus que ça. Or à la question bien connue : « qu’est ce que tu fais dans la vie? » on répond quel métier nous exerçons. Et surtout, nous répondons par « JE SUIS … » et non « j’exerce le métier de …. mais je fais aussi ça et ça, j’aime faire ça etc… » 
On est dans une société dans laquelle pouvoir s’identifier à notre métier nous rassure. On a une impression d’appartenance à un groupe et ça nous rassure de pouvoir dire qu’on fait tel métier. Affirmer haut et fort quel métier nous faisons sous entend bien souvent « je ne me tourne pas les pouces, je suis actif dans la société » et « je réussis ma vie ».
Lorsque nous nous présentons à quelqu’un, la première chose qui sort de notre bouche après notre nom c’est le plus souvent notre métier (encore plus quand nous estimons que nous avons un métier valorisant). Le métier que nous exerçons est un rôle que nous endossons lorsque nous l’exerçons. Ce n’est pas notre identité, ce n’est pas ce qui nous définit. 
C’est en grande partie pour ça, je pense, que les personnes au chômage ou qui se cherchent (cherchent leur voie), se sentent non seulement à part mais surtout, ont peur d’être jugées et surtout de ne pas avoir d’identité à donner à part leur nom! 
Parce que donner son nom, la plupart du temps, cela n’indique pas à la personne en face, dans quelle « cour on joue », quel rang on a. Cela n’indique pas si on est d’égal à égal, si l’autre est « supérieur » ou « inférieur » à nous…. Et souvent, lorsque l’on ne peut pas se comparer, on se sent inférieur. Malheureusement, nous évoluons dans une société (que nous avons créé), dans laquelle tout le monde (ou presque) se compare avec les autres, dans le but d’être meilleur, plus riche, plus ci, plus ça… Et quel dommage!
Mais c’est à nous de sortir de ce schéma que nous avons construit et que nous faisons vivre en y contribuant.
     J’ai souvent ressenti ça dans mon évolution personnelle et professionnelle. Tant que j’étais étudiante, ça allait, je pouvais donner la direction dans laquelle je me dirigeais. Et encore, comme j’étudiais le théâtre et que je faisais des études pour être actrice, j’étais souvent regardée de travers parce que pour beaucoup de personnes, « ce n’est pas un vrai métier ». 
Cette voie ne me correspondait finalement pas. Je me suis alors cherchée et là…j’étais dans une période où une des choses que je redoutais le plus était la question : « qu’est ce que tu fais dans la vie ? ». J’évitais cette question à tout prix, de peur de devoir répondre : « ben rien, je cherche ce que j’ai envie de faire ». Je me sentais à part, comme si j’étais presque sans identité.
J’ai ensuite entamé des études d’architecture d’intérieur. Ah, enfin un vrai métier ! Je vous avoue que j’étais fière, une fois mes études terminées, de dire que j’étais architecte d’intérieur. Je me sentais enfin bien intégrée dans la société.
Est ce que j’étais heureuse pour autant? Non, car ce n’était pas moi, ce n’était pas un métier qui me correspondait vraiment et je me suis rendue compte que tout ce dont j’avais envie, c’est contribuer au monde, à ma manière. Tant pis si c’est « à part », je sentais bien que rentrer dans une case, ce n’est pas pour moi, ce n’est pas moi.
C’est à partir de là que je me suis enfin formée à quelque chose qui me correspond vraiment et que j’ai décidé de créer mon métier à mon image. Maintenant, je suis fière de dire ce que je fais, même si c’est marginal et que ce n’est pas toujours compris. Je ne rentre pas dans un moule mais je suis fière de ça car je suis moi-même et que je me respecte. Parce que j’ai décidé d’arrêter de vouloir vivre une vie qui correspondrait plus aux autres qu’à moi-même , dans le but d’être acceptée. J’ai décidé de suivre mon coeur, je suis heureuse et n’est ce pas ça, finalement, un des plus grands objectifs dans la vie ? 
Le plus beau, c’est que je n’ai jamais eu autant de compliments de la part des personnes qui m’entourent, que maintenant. La raison est simple, je suis heureuse et bien dans mes baskets et ça se voit. C’est tout!
Alors ne vous enfermez pas dans quelque chose qui ne vous convient pas. Nous avons à apprendre de chaque situation mais lorsqu’on sent que ça ne va plus, rien ne sert de continuer.
Même sans un métier qui vous valorise, vous existez! Et vous existez bien plus lorsque vous suivez votre coeur et vos aspirations profondes.
     J’ai pris cet exemple du métier parce que c’est quelque chose que j’observe souvent. Je suis dérangée par le fait que de savoir ce que fait un tel ou un tel comme métier nous donne l’impression de « connaître » cette personne et nous fait inconsciemment nous sentir supérieur ou inférieur.
Mais j’aurais aussi pu prendre cette question en parlant des possessions matérielles, du physique. Nous ne sommes pas tout ça. Avoir une belle voiture, une belle maison et une montre de luxe peut bien évidemment être plaisant. Mais la personne qui a tout ça, n’est pas « supérieure » à la personne qui vit très simplement avec peu de choses. Nous sommes tous et toutes des âmes vivant une expérience humaine, ce n’est pas le rôle qu’on joue dans la vie qui nous définit entièrement, ce n’est qu’une petite partie.
Je vous invite à vous poser cette question : Si vous n’aviez plus de métier, plus de possessions matérielles, seriez-vous différent? Ou inversement, si actuellement vous n’avez pas tout ça et si demain, vous les aviez : au fond de vous, seriez-vous différent?
Qui êtes-vous vraiment, au fond de vous lorsque vous sortez de tout rôle, de toute case ?
Je vous propose de vous aider à identifier et libérer ce qui entrave l’accès à votre épanouissement personnel et l’expression de qui vous êtes vraiment.
     ➤   Si vous sentez que quelque chose coince et que vous souhaitez être accompagné(e) pour identifier, comprendre et débloquer cela, je vous invite à jeter un coup d’oeil à l’accompagnement Eclosion !
Je serais ravie de vous aider ! Vous pouvez me contacter par mail pour m’expliquer votre problématique par écrit ou réserver un appel découverte visio gratuit de 30 min pour que nous puissions discuter de vos besoins et de votre problématique.
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Merci pour ton article ! J’ai beaucoup aimé. La notion d’être et de paraître que tu traite dans ton sujet est très intéressante. Je suis totalement d’accord avec le fait qu’il faut arrêter de faire les choses – de choisir un métier – parce que ça nous donne une certaine « importance » et qu’il faut à un moment donné prendre son courage pour oser vivre la vie QU’ON rêve pour se faire plaisir à soi et non à autrui..
Merci pour ton commentaire, je partage totalement ce que tu dis
Encore un super article, j’aime vraiment beaucoup ton blog ! Je me reconnais vraiment dans ce que tu dis et je ne supporte plus non plus cette définition par le métier, c’est tellement triste… Maintenant quand on me demande ce que je fais dans la vie je réponds tout simplement: Je fais de mon mieux et j’évite de poser ce genre de question car nous sommes tellement plus ! Finalement c’est plus facile de se cacher derrière un statut car peu de personnes ont pris le temps de se connaitre vraiment.
Merci beaucoup pour ta fidélité et ton intérêt à mes articles Exactement, nous sommes tellement plus, c’est réellement dommage de se limiter à notre rôle dans la société !
Merci beaucoup pour cet article ! Comme beaucoup, je me définis souvent par mon métier mais aujourd’hui, je suis capable de dire que je peux aller plus loin. J’ai rencontré une professeur qui nous posais souvent la question « Qui es-tu ? » et lorsqu’on lui donnait dontre métier, notre âge etc, nous reposait la question. C’est très frustrant au début, surtout quand tu ne comprends pas ce qu’elle attends. Mais quand tu as compris qu’elle attend que tu te définisses autrement
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