Essaye d'être un peu à la hauteur

Essaye d'être un peu à la hauteur




⚡ TOUTES LES INFORMATIONS CLIQUEZ ICI 👈🏻👈🏻👈🏻

































Essaye d'être un peu à la hauteur


Comment être à la hauteur ?


436
0
18/12/2019
Apprendre à s’aimer
par Nathalie



Je reçois régulièrement des personnes en coaching et en formation qui ont peur de ne pas être à la hauteur. Quand ils me disent cela, je leur pose une question : vous avez peur de ne pas être à la hauteur de quoi ?
Si vous aussi vous avez l’habitude de ressentir la sensation d’avoir peur de ne pas être à la hauteur, de pas être “assez” ni “suffisant”, je vous pose également la même question.
Bien souvent, la réponse à cette question se traduit par un long silence puisqu’on ne me répond généralement rien ! Tout simplement parce c’est devenu une expression qui fait partie du langage courant . Vous avez sûrement déjà entendu quelqu’un dire “Sois à la hauteur !” ou encore “j’espère que je serai à la hauteur”.
Quelle est donc cette “hauteur” de laquelle on parle ? Souvent, cette hauteur que l’on évoque est en réalité ce que nous croyons que les autres attendent de nous. Cela peut être également la hauteur de la perfection.
Le problème, c’est qu’en essayant de viser cette hauteur de perfection, on se met trop de pression. On se fait peur, mais surtout on tente de viser l’inatteignable. Donc si vous êtes dans cette quête de perfection, je vous invite à baisser un peu cette hauteur et vos exigences envers vous même.
Il va falloir que vous arriviez à déterminer où est cette fameuse hauteur. Je vous invite à faire tout ce travail de réflexion sur papier, afin de répondre à la question ; “Comment est-ce que vous saurez que vous êtes à la hauteur ?”.
Puisqu’on a peur de ne pas être à la hauteur, comment peut-on réellement savoir que l’on sera à la hauteur et quels sont les critères de cette hauteur ?
Par exemple, si vous avez peur de ne pas être à la hauteur de votre nouveau travail, les critères sont tout simplement que votre patron soit content de votre travail, qu’on vous félicite, que vous atteignez vos objectifs , etc. Si vous avez peur de ne pas être à la hauteur dans votre rôle de parent, les critères sont plutôt de savoir gérer votre enfant, de lui donner une bonne éducation, de savoir garder votre calme dans toutes les circonstances, etc.
En listant les critères qui vous permettent de voir quand vous serez à la hauteur, vous saurez de quoi vous parlez. Parce qu’il arrive, dans les situations de doute, que l’on ne sache pas vraiment de quoi l’on parle. Surtout quand cela nous concerne. C’est pour cela qu’il vaut mieux poser les choses ; réfléchir aux significations de ce type de phrases et pouvoir être fier de nous en reprenant confiance en nous.
Ma seconde question est celle-ci : est-ce que les critères que vous avez notés sont humainement tenables ? Grâce à cette question, vous allez pouvoir vous apercevoir si vous visez la perfection, ou si vos attentes sont trop grandes. Autrement dit, si vous vous demandez d’être autre chose qu’un être humain dans toute son imperfection.
Si ce n’est pas le cas et que vous avez noté des critères atteignables, il y a fort à parier que la hauteur de la barre que vous vous êtes fixé soit jouable.
Ma troisième question, vous l’aurez compris, c’est de repérer parmi votre sélection quels critères dépendent de vous et uniquement de vous. Il faut que vous arriviez à identifier vos leviers d’action.
Quand on aborde le critère “atteindre mes objectifs”, il faut que vous puissiez déterminer comment vous allez faire pour pouvoir atteindre ces objectifs. Il faut aussi que vous puissiez connaître les ressources et les talents dont vous disposez pour y arriver. A contrario, il faudra que vous sachiez quels sont vos points de vigilance. C’est-à-dire, les choses pour lesquelles il va falloir que vous vous méfiez.
Généralement, là où on a l’impression que nous ne sommes pas à la hauteur, soit par manque de connaissances, de compétences, ou alors parce que nous ne faisons pas de notre mieux, c’est quand notre état d’esprit nous fait faux bond. C’est pour cela que nous devons nous accrocher à ce que nous sommes en capacité de faire pour faire en sorte d’atteindre nos objectifs, et quels sont les critères qui ne dépendent que de nous.
Nous allons mettre volontairement les critères qui ne dépendent pas de nous de côté. Par exemple, si nous avons un critère qui nous montre que nous sommes à la hauteur quand la personne qui partage notre vie nous fait des compliments, mais que ce n’est pas dans son fonctionnement de complimenter les gens, nous attendons quelque chose qui ne viendra jamais !
Ainsi, pendant longtemps nous risquons d’avoir l’impression de ne pas être à la hauteur pour les mauvaises raisons. En effet, ce n’est pas parce que nous ne recevons pas de compliment que nous faisons mal les choses ou que nous ne sommes pas à la hauteur. Il s’agit là tout simplement d’un mauvais choix au niveau des critères car ils ne dépendent pas de nous mais des autres.
Il est donc préférable de bien lister nos critères et de se concentrer uniquement sur ceux qui ne dépendent que de nous.
À mon sens, la seule hauteur qui est bénéfique à viser, c’est la hauteur de “je fais de mon mieux, je fais le meilleur”.
Que pouvez-vous attendre d’autre que cela ? Si vous attendez la perfection, vous risquez tout simplement d’être déçu de vous et vous finirez par perdre confiance en vous.
De plus, il y a probablement de nombreuses choses que vous n’avez même pas essayé de faire car vous étiez persuadé à l’avance que ce ne serait parfait. Étant donné que vous tenez absolument à cette perfection, vous avez préféré ne pas le faire du tout plutôt que d’essayer quitte à ne pas être à la hauteur que vous vous étiez fixé.
Pourtant, il vaut mieux une action imparfaite qu’une parfaite inaction. Faire de son mieux permet de fixer la barre à sa juste hauteur.
Que ce soit dans des actions simples du quotidien comme jouer avec ses enfants, faire à manger, méditer ou bien pour votre carrière professionnelle, je vous invite à faire de votre mieux pour être à la hauteur atteignable que vous vous serez fixé, ainsi vous contribuez à votre maximum et cela nourrit votre intérieur.
info@nathalie-martin.com

01 84 80 66 25

Siret : 85212759600017



Désir d'enfant
Grossesse
Bébé
Enfant
Ado
Activités
Vidéos
Alimentation
Famille
Prénoms






Allaitement
Consommation
Couple
Femme
Finances
Garderies
Gouvernement
Livres/CD/DVD
Loisirs
Mode/Beauté
Papa
Santé
Sécurité
Vacances
Vie scolaire







Accueil




Femme →


Psycho




Continuer à naviguer le site
Pour plus d'information

En tant que maman, on ressent une si grande pression! On essaie d’appliquer les nombreuses recommandations et on s’en veut de ne pas toujours y parvenir, mais surtout on a peur de ne pas répondre adéquatement aux besoins de notre enfant!
Peur de nuire à son épanouissement, à son estime et à son bonheur futur : cette peur influence nos choix et nos décisions. Elle nourrit le doute en soi et le sentiment de ne pas être assez. Elle étouffe notre intuition et mine notre confiance.
La première étape serait sans doute de confronter cette peur de commettre une faute irréparable envers notre enfant! Est-elle fondée? Agissons-nous dans le but de causer du tort à notre enfant? Et si nous prenions un recul?
Certaines recommandations peuvent finir par nous faire croire que si nous faisons différemment les choses que notre enfant en subira de graves conséquences. Est-ce vraiment le cas?
Il suffit de parler à des parents d’enfants plus vieux pour réaliser que malgré le fait qu’ils n’ont pas été parfaits et qu’ils n’aient pas toujours appliqué les recommandations des experts, leurs enfants sont équilibrés, heureux et imparfaits!
Oui, dans un monde idéal nous serions conscientes de nos propres blessures d’enfance et nous chercherions à les guérir. Nous arriverions à être totalement présentes aux besoins de notre enfant et nous parviendrions toujours à y répondre adéquatement.
Dans ce monde idéal, nous aurions une excellente gestion de nos émotions. Nous serions un modèle pour notre enfant en mangeant santé, en faisant de l’activité physique, en nous réalisant dans notre vie professionnelle, en faisant preuve de positivisme, en faisant du bénévolat, en pratiquant la gratitude et bien plus…
Et dans la réalité, nous faisons de notre mieux avec qui nous sommes…
Il est temps que le discours change envers les mères et que l’unicité de chacune soit prise en considération! Il n’y aura jamais de recette parfaite et universelle. Ce qui nous motive et nous inspire en tant que maman est en lien avec l’être unique que nous sommes!
Les enfants naissent avec un tempérament et ils interprètent les situations selon ce tempérament. Les enfants sont des personnes intelligentes et complexes. Ils auront une vie bien à eux basée sur leur personnalité qui s’est forgée grâce à leur famille, leur environnement, leur vision de la vie, leurs expériences, leurs amitiés, leurs talents, leurs limites et leurs choix. Il est difficile de prédire comment notre enfant se développera et comment il percevra la vie… Chaque enfant est unique comme l’est chaque relation mère-enfant.
Attention, ces propos ne sont pas un encouragement à la déresponsabilisation! Notre rôle est de répondre aux besoins de notre enfant et de l’accompagner dans son développement. C’est à nous d’identifier les situations à améliorer et à trouver une solution. C’est dans la façon que nous assumons notre rôle que se manifeste notre personnalité et notre liberté de choisir!
Face à toutes ces recommandations et expertises, ce qui compte le plus est de trouver ce qui nous convient à nous, à notre conjoint et à notre enfant. Bien que cela semble évident, il n’est pas toujours simple de partir de l’intérieur de soi et de ne pas se laisser déstabiliser par l’extérieur.
L’idée n’est pas de rejeter les conseils et de se fermer aux recommandations, mais d’apprendre à les faire passer à travers notre filtre. Comment filtrer les recommandations et les nombreuses informations? Posez-vous quelques questions : est-ce que cette approche me convient? Est-ce que cela correspond à mes valeurs? Est-ce que ça concerne la sécurité de mon enfant? Suis-je prête à faire autrement? En ai-je vraiment assez de cette situation qui me préoccupe? Est-ce réaliste comme objectif? Qu’est-ce qui me motive à appliquer cette recommandation? Quel est le point de vue de mon conjoint? Mon enfant réagit comment?
Rappelons-nous que tant que nous ne sommes pas dans la violence, la négligence et la dysfonction, nous sommes des bonnes mères! Et s’il vous arrive d’avoir des comportements que vous savez nuisibles pour votre enfant, il est possible de trouver des ressources qui vous aideront à agir autrement.
Face à cette grande responsabilité, il est important de se rappeler que nous sommes en apprentissage et qu’être maman est un cheminement. Heureusement, nous pouvons y arriver avec de l’engagement, de la persévérance, de l’indulgence envers notre enfant et envers soi! 
Depuis la naissance de sa première fille, Isabelle Dagenais a choisi de mettre ses connaissances en sexologie et en travail social au service des mamans. Elle a créé les Conférences/Ateliers Être maman dont le but est de contribuer au bien-être émotionnel, relationnel et sexuel des mères. Pour plus d’information concernant ses conférences et ateliers, visitez son site internet, Être maman et suivez-la sur Facebook .

Être maman pour le meilleur et pour le pire
par Isabelle Dagenais
Éditions de Mortagne
2011
ISBN 9782890749849
19,95 $

Mentionnez le mot « culpabilité » à ma mère et elle va tout de suite vous dire : « Le mot culpabilité n’existe pas dans mon dictionnaire! » Très jeune, elle a décidé qu’elle ne vivrait pas cette émotion.
Nous avons toutes expérimenté cet écart entre ce que nous sommes et qui nous voudrions être. Est-ce possible de réconcilier les deux, en valorisant chaque aspect? Bien sûr!
L’envie de connaître le bonheur maternel nous inspire à avoir un enfant et les promesses de ce bonheur sont si grandioses. Être maman nous permettra d’expérimenter l’amour inconditionnel.
Votre enfant est tellement déçu et fâché qu’il ne vous aime plus. Vous êtes tellement méchante! On a beau en rire après coup, ce sont des mots qui blessent notre petit cœur de maman.
Les meilleures activités et sorties du mois d’août 2022
Non, vous n’êtes pas coupable de l’avoir laissé trop tôt ou trop vite au service de garde, car l’intégration tardive et « en crescendo » n’est pas une panacée.
Que ce changement soit causé par un récent déménagement ou encore par l’arrivée au secondaire, changer d’école peut être un bouleversement dans la vie de votre enfant. 
On voit souvent la femme accoucher sur le dos, les pieds dans les étriers. Mais ce n’est pas la seule position qui existe et, surtout, ce n’est peut-être pas la plus favorable!
Les bienfaits des cours parascolaires sont nombreux. Mais peut-il y avoir une limite? Un moment où on doit dire « non » à ces activités?
Tous droits réservés © 2022 Mamanpourlavie.com
Développé par : Un Zeste de génie!
Ce site utilise des témoins (cookies). En continuant à naviguer sur ce site, vous acceptez notre politique de confidentialité et l'utilisation des témoins.

Paramètres des cookies Tout refuser Autoriser tous les cookies
Vous venez de trouver un emploi et l'idée de repartir de zéro vous inquiète ? Il est normal d'avoir peur de ne pas être à la hauteur quand on commence un nouveau travail. Dans cet article, vous allez vous apercevoir que cette situation est très fréquente. Vous découvrirez également tous nos conseils pour vivre cette période de transition de manière plus sereine.
La peur de l'inconnu est une réaction ancestrale. Elle nous amène à nous méfier des situations nouvelles, des choses que nous ne connaissons pas. Pour certains, il est même préférable de ne pas changer, pour éviter la peur que provoque souvent les grands bouleversements. C'est pourquoi certaines personnes ont du mal à quitter leur travail, leur conjoint ou conjointe, leur environnement, même si elles ne se sentent pas épanouies. Une étude de l'Insee a montré que, parmi les actifs occupés qui souhaitaient changer de travail, moins de 10 % avaient effectivement trouvé un autre emploi au cours du trimestre suivant.
Il est donc tout à fait normal de ressentir de l'anxiété à l'idée de commencer un nouveau travail. En effet, vous allez devoir vous adapter à un nouveau poste, une nouvelle équipe, de nouvelles manières de travailler, des valeurs différentes, un lieu de travail que vous ne connaissez pas, etc. Cela implique de faire face au regard des autres, qui ne vous connaissent pas encore. Il vous faudra à nouveau faire vos preuves et montrer vos compétences. Et puis, il est facile d'être victime du syndrome de l'imposteur et de se poser des questions telles que « Suis-je à la hauteur de la tâche ? » ou « Est-ce que je mérite vraiment ce poste ? ».
Si l'anxiété est normale dans des situations de changement, elle ne doit toutefois pas devenir invalidante. Ainsi, si elle vous empêche de mener à bien vous nouvelles missions ou a des répercussions sur votre vie privée (insomnies, crises d'angoisse, etc.), il peut être judicieux de consulter votre médecin. Ce dernier pourra peut-être vous aider à aborder cette période compliquée d'une autre manière.
Les personnes anxieuses ont souvent peur de ne pas être à la hauteur des enjeux et des attentes. Elles sont souvent exigeantes avec elles-mêmes et se fixent des objectifs élevés quant à la qualité de leur travail. C'est votre cas ? Alors, découvrez comment vivre la période de transition de manière plus sereine et exploiter votre tendance à vouloir bien faire les choses.
Si vous ressentez de l'anxiété à l'idée de ne pas être à la hauteur pour votre nouvel emploi, prenez le temps de repenser au précédent. Remémorez-vous les missions que vous avez accomplies avec succès et les résultats que vous avez obtenus. Souvenez-vous des commentaires positifs de votre supérieur ou de vos collègues. Essayez de vous souvenir de ce que vous avez ressenti dans ces moments-là : joie, fierté, sentiment du devoir accompli, etc. Il s'agit de votre premier poste ? Alors, pensez à tout ce que vous avez déjà accompli avec succès jusqu'ici, que ce soit dans vos études ou dans vos loisirs. Cela vous permettra de vous convaincre que vous êtes capable de mener à bien des missions et de réaliser vos objectifs.
Vous venez de commencer votre nouvel emploi et vous ne connaissez évidemment encore personne. N'hésitez pas à aller vers vos nouveaux collègues et à entamer la conversation. Cela vous permettra de vous sentir immédiatement plus à l'aise et contribuera à créer une bonne ambiance dès le départ. Par ailleurs, vous allez rapidement identifier les personnes qui seront enclines à vous aider. Certains collègues peuvent en effet faire preuve d'empathie et auront tendance à vous apporter les informations qui vous manquent ou des conseils. Mettre vos compétences relationnelles à contribution est donc primordial quand vous arrivez dans une nouvelle entreprise.
Essayez de vous rappeler la dernière fois que vous avez dû commencer un nouveau travail ou des études. Focalisez-vous sur ce que vous avez éprouvé les premiers jours. Puis revoyez-vous quelques mois plus tard. Cela vous aidera à dédramatiser la situation, en vous rendant compte que votre mal-être est passager. En effet, dans quelques jours, semaines ou mois, vous ferez pleinement partie de l'équipe, maîtriserez les compétences demandées et viendrez à bout de vos tâches sans difficulté. Gardez cela en tête pour ne pas vous laisser submerger par l'anxiété.
Si vous avez un bureau attribué, n'hésitez pas à personnaliser votre espace de travail. Apportez des objets personnels, comme des photos, un petit objet de décoration, une plante, etc. Essayez de faire de cet endroit un lieu confortable, dans lequel vous vous sentez bien et qui vous apaise.
Même si vous occupiez un poste similaire au préalable, vous allez tout de même devoir vous habituer à une quantité importante de choses nouvelles. Si vous ressentez de l'anxiété à l'idée d'oublier certaines tâches, notez tout ce que vous devez faire. Établissez un planning : définissez vos objectifs du mois et répartissez votre travail sur la semaine. Enfin, avant de quitter votre travail le soir, écrivez précisément ce que vous devez faire le lendemain. Ne vous contentez pas de lister vos tâches. Indiquez également dans quel créneau horaire vous devrez les réaliser. Le fait de prévoir votre travail vous aidera à faire diminuer l'anxiété. En effet, vous verrez qu'il est possible de venir à bout de tout ce qui vous a été confié. Et vous aurez la certitude que vous n'avez rien oublié.
Quand on commence un nouveau travail, il n'y a rien de honteux à avoir peur de ne pas être à la hauteur. Ne cherchez pas à étouffer ces sentiments légitimes. Au contrair
Rien de mal à se déguiser
Une jeune amatrice suce en voiture en POV
Une prof sexy baise avec son collègue de travail

Report Page