Esclave sexuelle pour femme en manque

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Esclave sexuelle pour femme en manque
Maître de conférences à l'université Paris-I-Panthéon-Sorbonne
président de l’Association des hauts fonctionnaires territoriaux /AATF
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vidéo Découverte par des universitaires coréens, elle aurait été tournée par un soldat américain en 1944.
Le 5 juillet, la Corée du Sud a rendu publique une vidéo qui pourrait être la première montrant celles que l’on a longtemps appelées par euphémisme « les femmes de réconfort ». Ces femmes étaient, en réalité, des esclaves sexuelles exploitées par l’armée japonaise au cours de la seconde guerre mondiale. Selon les historiens, jusqu’à 200 000 personnes, pour la plupart des Coréennes mais aussi des Chinoises, des Indonésiennes et des ressortissantes d’autres pays asiatiques, ont été enrôlées de force dans les bordels de l’armée impériale.
Cette question empoisonne les relations entre Séoul et Tokyo depuis des décennies, nombre de Sud-Coréens y voyant le symbole des abus et violences commis par le Japon durant sa domination coloniale, de 1910 à 1945. Seules des photographies de cet épisode étaient connues jusqu’à aujourd’hui. L’extrait vidéo, qui aurait été tourné par un soldat américain en 1944, a été découvert par des universitaires coréens après deux ans de recherche dans les archives américaines.
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De la fin des années 30 jusqu’à la défaite du Japon en 1945, environ 200 000 femmes furent capturées et forcées à la prostitution. Elles devinrent alors esclaves sexuelles à la disposition des troupes de soldats japonais. L’histoire se souvient d’elles comme les « femmes de réconfort ». Aujourd’hui, les rares survivantes tentent d’établir une véritable reconnaissance des atrocités qu’elles ont subies… 
En 1937, la guerre sino-japonaise fait rage. Celle-ci débuta avec l’invasion d’une partie de la Chine par l’armée japonaise. Dans ce contexte d’extrême violence se déroula la bataille de Nankin . Une bataille qui se solda par une victoire écrasante de l’armée japonaise. Malheureusement, aux atrocités de la guerre vinrent s’ajouter de monstrueux crimes sur les populations civiles. En effet, durant les six semaines qui suivirent la bataille, se déroula le « sac de Nankin » .
Des centaines de milliers de civils sont alors assassinés, ainsi que des soldats déjà vaincus. À cela s’ajouta le viol de plusieurs dizaines de milliers de femmes et d’enfants (de 20 000 à 80 000 dépendamment des sources…). Un événement qui marquera durablement le conflit, car très révélateur des exactions commises par l’armée japonaise sur le territoire chinois.
Bien évidemment, le tollé international ne se fit pas attendre face à ce déferlement de violences. Le quartier général impérial japonais dut alors prendre une décision pour apaiser les tensions d’un côté, tout en maintenant le « moral des troupes » intact. Décision fut alors prise de créer des « maisons de confort ». Pour parler plus crument : des bordels ! Sauf que pour créer des bordels militaires, il fallait recruter les femmes qui serviraient de réconfort pour ces soldats. Or, le « recrutement » ne fut pas des plus conventionnels…
«Au lieu de chercher à contrôler ou à punir les soldats responsables, le haut commandement entreprend de créer un immense système clandestin de prostitution militaire qui attirerait dans ses mailles des centaines de milliers de femmes venues de toute l’Asie»
Animé par une mentalité colonisatrice, le Japon de l’époque ne s’embarrassait pas des Droits de l’Homme lorsqu’il s’agissait des Chinois ou des Coréens. Alors pour les femmes, n’en parlons pas… Ainsi, de fausses campagnes de recrutement furent organisées, soi-disant pour embaucher des serveuses ou des ouvrières. Des campagnes de recrutement auxquelles s’ajoutèrent des enlèvements , notamment dans les villages vaincus et les territoires occupés, où l’on força les jeunes femmes à se regrouper, pour ensuite être embarquées.
On sait aujourd’hui, grâce aux travaux de l’historien Yoshiaki Yoshimi, que les autorités japonaises eurent un rôle prépondérant dans ces rafles et l’organisation de cet esclavage institutionnalisé. Bien évidemment, le rôle de l’armée fut essentiel. Mais l’on put également établir une participation non négligeable du Ministère du travail, celui de l’Intérieur ou encore celui des Finances. En bref, il ne s’agit pas là de l’action isolée d’une minorité militaire, mais bien d’un crime d’État.
On notera d’ailleurs qu’en 2007, des documents retrouvés dans les archives du Tribunal de Tokyo furent rendus publics. Des documents qui attestent que des femmes chinoises, indochinoises et indonésiennes furent enlevées par la Tokkeitai , à savoir la police militaire navale. Ces femmes furent par la suite expédiées dans des bordels (nommés pudiquement « maisons de réconfort »).
Au total, ce sont pas moins de 200 000 femmes qui seront kidnappées pour devenir des « femmes de réconfort » . Des chiffres sous-estimés selon beaucoup d’historiens chinois et coréens. Ainsi, La Korean Central News Agency évoque plutôt le chiffre de 200 000 rien que pour les coréennes. Quant à la Chine, certains historiens affirment qu’au total, ces femmes étaient plutôt entre 360 000 et 410 000 .
Nul besoin d’être un historien diplômé pour déduire que les conditions de vie de ces femmes furent absolument déplorables. Mais ce n’est qu’après la guerre que l’on prit pleinement conscience de l’ampleur du phénomène. En effet, au sortir de la guerre, les témoignages affluèrent de la part des « femmes réconfort ».
On évoqua alors des conditions assimilables à de l’esclavage. Les femmes sont marquées par les violences physiques, sexuelles et psychologiques. Malgré certaines « règles » imposées par le gouvernement japonais, la sécurité de ces femmes était la dernière des priorités. Seuls comptaient la sécurité, le plaisir et le confort des soldats venant dans ces bordels.
«En semaine, nous servions quinze soldats japonais en moyenne par jour. Le samedi, ils commençaient à s’aligner à partir de midi. Et cela durait jusqu’à 20 heures. Le dimanche, c’était de 8 heures à 17 heures.»
Selon d’autres témoignages, certaines des victimes enlevées étaient prépubères. Elles furent non-seulement forcées à travailler sans salaire, mais leurs vêtements et nourritures devaient parfois être fournis par leurs propres parents. On notera enfin que nombre de ces « femmes de réconfort » furent battues, torturées voire tuées par les soldats japonais (ceux de passage ou encore ceux chargés de les garder).
Il faudra attendre 1971, soit presque trois décennies plus tard, pour que le premier témoignage public se fasse entendre à propos de cet esclavage sexuel. Cela se fit par l’intermédiaire d’un ouvrage… Un livre racontant l’expérience traumatique d’une jeune femme vendue par son père à une maison de confort dédiée à l’armée impériale japonaise. Toutefois, cette œuvre sort dans l’indifférence générale.
Il faudra attendre encore jusqu’en 1991 pour que le scandale éclate. C’est en effet à cette période que Kim Hak Sun , victime de cet esclavage, décide de porter plainte contre le Japon. Une procédure judiciaire est alors ouverte, ce qui fait émerger l’histoire à un niveau international.
L’année suivante, l’historien Yoshiaki Yoshimi diffusera des documents jusque-là entreposés à la bibliothèque du National Institute for Defense studies de Tokyo. Des documents établissant clairement et sans équivoque les actions menées par l’armée et l’État dans cette affaire. En 2008, c’est l’ONU qui prendra part à ce conflit juridique et social, en déclarant :
« Le Japon devrait accepter sa responsabilité légale et présenter des excuses sans réserve pour le système des “femmes de réconfort”, d’une manière qui soit acceptable pour la majorité des victimes. À ce sujet, le pays devrait restaurer la dignité des victimes, poursuivre les responsables qui sont encore en vie […] et sanctionner toute tentative visant à diffamer les victimes ou nier les événements en cause. »
Encore aujourd’hui malheureusement, les tensions sont vives et la reconnaissance ardue . Faire mention de cette période sombre du Japon, c’est prendre le risque de créer un conflit diplomatique. Ainsi, l’installation en 2016 d’ une statue à Busan rendant hommage à ces victimes poussa le Japon à rappeler son consul et son ambassadeur qui étaient installés en Corée. De surcroit, la ville de San Francisco installa en 2017 une statue rendant hommage à ces victimes. Cela mit fin à son jumelage avec la ville d’Osaka.
En 2015 toutefois, le Japon et la Corée du Sud ouvrirent des négociations pour dédommager les dernières survivantes de cet esclavage. Le Japon avoua finalement et décida le 18 décembre 2015 de dédommager les dernières survivantes coréennes . 1 milliard de yens (7,5 millions d’euros) furent ainsi versés aux quarante-six « femmes de réconfort » encore en vie à ce moment là. Mais cet acte ne signa pas la fin de l’histoire ! En effet, début 2021, la Corée condamna une fois encore le Japon après que douze femmes ont porté plainte, demandant réparation. Une décision qui n’a pas manqué de raviver des tensions entre les deux pays…
Plus de 70 ans ont passé, mais la plaie est toujours ouverte pour les « femmes de réconfort ». Cet épisode constitue une tache indélébile dans l’Histoire du Japon. Une tache que les autorités actuelles semblent s’efforcer, encore aujourd’hui, de cacher sous le tapis. Reste à savoir quelle reconnaissance sera accordée à l’avenir pour ces nombreuses victimes, encore peu écoutées… 
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Cet article date de plus de trois ans.



Publié le 14/10/2018 17:08


Mis à jour le 14/10/2018 17:20



Édition du dimanche 14 octobre 2018


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"Il y avait une forte odeur de chair brûlée... C’était comme dans un film d’horreur", confie l’actrice Sarah Edmondson qui croyait intégrer l’élite de la secte de Keith Raniere en acceptant d’être marquée comme du bétail. Elle entrait plutôt dans le harem du gourou aujourd’hui en prison. Extrait du magazine "13h15 le dimanche" du 14 octobre 2018.
Pour fêter l’anniversaire de son gourou Keith Raniere, la communauté de la secte NXIVM (prononcer Nexium) lui organise une semaine de fête : "Bon anniversaire à notre visionnaire", déclare la maîtresse de cérémonie. En cadeau, le fondateur de cette organisation, basée dans l’Etat de New York, s’offre des femmes qu’il repère pendant des sorties collectives pour alimenter son harem, soit un groupe d’une douzaine d’esclaves sexuelles.
Sa plus belle conquête est l’actrice américaine Allison Mack, vue notamment dans la série télé Smallville . Keith Raniere se sert alors de sa notoriété comme d’un faire-valoir. Il réalise avec elle des vidéos de propagande diffusées sur Internet pour attirer plus d’adeptes : "Tu vas trouver ton moi essentiel, un être unique" , dit-il à la jeune femme qui éponge quelques larmes sous le coup de l’émotion. "C’est quelque chose que j’attendais…" lui répond-elle.
La disciple Allison Mack a peut-être dépassé son maître, car c’est elle qui aurait eu l’idée du marquage au fer rouge des recrues. Son amie l’actrice Sarah Edmondson va faire partie des cobayes. En mars 2018, elle est invitée avec quatre autres jeunes femmes chez Allison, pensant intégrer un groupe secret, l’élite de la secte. C'est en fait le harem du gourou. La comédienne canadienne subit alors ce rituel initiatique qu’elle est la première à dénoncer publiquement.
"Il y avait une forte odeur de chair brûlée, confie-t-elle magaine " 13h15 le dimanche " ( Facebook , Twitter , # 13h15 ). Nous étions en pleurs. C’était comme dans un film d’horreur. La femme sur la table criait comme un porc qu’on égorge, comme un animal qu’on marque au fer rouge. Je m’étais engagée, j’avais dit que je le ferais et je l’ai fait, même si tout en moi hurlait 'Sauve-toi de là !'" Sur sa peau désormais, les initiales KR, pour Keith Raniere, arrêté en mars 2018 pour trafic sexuel. Et aussi AM, pour Allison Mack, incarcérée le mois suivant pour l’avoir aidé à recruter des esclaves sexuelles.
Extrait de " L'Amérique des gourous ", diffusé dans le magazine "13h15 le dimanche" du 14 octobre 2018.
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