Esclave sexuelle d'un jour

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Publiée sur les réseaux sociaux, la vidéo d’une mère de huit enfants vendue comme esclave sexuelle après avoir été kidnappée scandalise les internautes.
Alors que de nombreuses associations appellent au boycott des Jeux olympiques de Beijing en raison du « génocide » perpétré par le gouvernement chinois sur les Ouïghours, une vidéo diffusée sur la Toile suscite l’indignation de la communauté internationale.
Publiée par un blogueur le 28 janvier dernier, la séquence, tournée dans le comté de Feng, un village dépendant de la ville de Xuzhou (province du Jiangsu), montre une femme enchaînée à un mur .
Détenue contre son gré, cette dernière, décrite comme une mère de famille de huit enfants âgés de 2 à 23 ans, vit dans des conditions déplorables et sa nourriture est gelée, selon nos confrères du Monde .
Alors que l’homme à l’origine de cette publication pensait « illustrer le courage d’un mari modeste qui s’occupe bien de ses enfants », les internautes ont fait part de leur effroi.
Selon les informations de plusieurs médias locaux, la mère de famille aurait été kidnappée avant d’être vendue à un homme avec qui elle a eu huit enfants.
Pointées du doigt, les autorités ont expliqué que la femme était une vagabonde et que son « mari » l’avait épousée en 1998.
Publiée sur les réseaux sociaux, la vidéo d’une mère de huit enfants vendue comme esclave sexuelle après avoir été kidnappée scandalise les internautes.
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Alors que l’homme à l’origine de cette publication pensait « illustrer le courage d’un mari modeste qui s’occupe bien de ses enfants », les internautes ont fait part de leur effroi.
Selon les informations de plusieurs médias locaux, la mère de famille aurait été kidnappée avant d’être vendue à un homme avec qui elle a eu huit enfants.
Un cas malheureusement loin d’être isolé en Chine, comme le souligne un internaute qui affirme qu’à Xuzhou, ville de 9 millions d’habitants, 48 100 femmes auraient été kidnappées avant d’être vendues dans les années 1980.
Pointées du doigt, les autorités ont expliqué que la femme était une vagabonde et que son « mari » l’avait épousée en 1998.
Des explications qui n’ont pas convaincu la Toile qui rappelle que le gouvernement a pour habitude de régulariser des unions forcées.
Passionnée par l'actualité, Anaïs décrypte pour vous les dernières informations et vous aide à démêler le vrai du faux tout en offrant un angle nouveau à des sujets qui méritent d'être traités.
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Pointées du doigt, les autorités ont expliqué que la femme était une vagabonde et que son « mari » l’avait épousée en 1998.
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