Esclave de deux filles britanniques

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Esclave de deux filles britanniques
Publié
le 23/11/2013 à 16:42 , Mis à jour le 23/11/2013 à 20:23
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INTERVIEW - Alors que les suspects arrêtés dans l'affaire d'esclavage à Londres sont d'origine indienne et tanzanienne selon les dernières avancées de l'enquête, la présidente du Comité contre l'esclavage moderne (CCEM), Sylvie O'Dy, évoque le sort des esclaves domestiques en France, qui sortent rarement de leur silence.
Quarante-huit heures après la découverte de trois cas d'esclavage à Londres , l'enquête avance. L'homme et la femme arrêtés jeudi et accusés d'avoir retenu contre leur gré trois femmes pendant plus de trente ans sont d'origine indienne et tanzanienne. Agés de 67 ans, «ils sont arrivés au Royaume-Uni dans les années 60», a indiqué samedi Scotland Yard, ajoutant que victimes et suspects ont vraisemblablement vécus ensemble dans une «communauté». «Nous pensons que deux des victimes ont rencontré le suspect masculin à Londres via une idéologie politique partagée et qu'ils ont vécu ensemble à une adresse qui pourrait effectivement être décrite comme ‘une communauté'», a précisé la police. Alors que l'Angleterre n'avait jamais connu de cas d'esclavage d'une telle ampleur, la présidente du Comité contre l'esclavage moderne (CCEM), Sylvie O'Dy, fait le point sur la situation en France.
Elle est exceptionnelle par sa durée, puisqu'on parle d'une trentaine d'années d'enfermement. En France, les victimes d'esclavage le sont généralement entre deux et cinq ans, même si nous avons déjà aidé des personnes asservies pendant plus de dix ans.
Malheureusement, la nature de leur séquestration me surprend moins. Travail forcé, agressions sexuelles, violences physiques répétées, nous entendons des histoires similaires régulièrement. Entre 6 000 et 10 000 personnes seraient victimes d'exploitation sexuelle en France.
Les esclaves domestiques travaillent et vivent chez leur exploiteur. Des journées de 18 heures de travail, parfois, à laver du linge à la main pour économiser l'électricité, à nettoyer le même sol plusieurs fois par jour, à s'occuper des enfants... Sans parler des cas d'exploitation sexuelle. Epuisées par leur travail, souvent mal nourries, les victimes de servitude logent généralement dans des conditions indignes. Nous avons rencontré des jeunes filles qui dormaient sur le balcon de leur exploiteur, par terre dans la cuisine ou recroquevillées dans un placard.
90% des personnes suivies par le CCEM sont des femmes, dont 30% de mineures. En 2010, 82% des victimes étaient d'origine africaine, notamment d'Afrique de l'ouest. Il y a aussi des femmes plus âgées venues des Philippines, du Sri-Lanka et d'Indonésie, qui sont attirées par la promesse, évidemment non tenue, de gagner assez d'argent pour aider leurs enfants.
Au départ, ce sont toujours des gens vulnérables financièrement. À cela s'ajoute une faiblesse psychologique, l'isolement linguistique et l'absence de papiers d'identité. Les exploiteurs en profitent pour manipuler leurs victimes, qui connaissent mal la loi et sont souvent terrorisées à l'idée de croiser un policier.
Il faut un déclic: un geste particulièrement violent, une tentative de viol par exemple. Les esclaves mettent fin à leur calvaire le jour où elles réalisent que leur vie est en danger.
Non, les victimes ont toujours beaucoup de mal à mettre des mots sur ce qu'elles ont vécu. Elles sont tétanisées de peur. Raconter leurs souffrances, c'est comme les revivre. Il nous faut parfois six mois de dialogue pour qu'une victime parle enfin librement. C'est particulièrement long quand il y a eu agression sexuelle. Les victimes n'en parlent souvent qu'après une dizaine de rendez-vous chez nous.
Il y a quelques signes encourageants. Le 5 août dernier, la France a introduit la notion de servitude dans le Code pénal. La police et à la justice peuvent désormais nommer clairement les cas d'esclavage, qu'on réduisait trop souvent à du travail dissimulé ou à des séjours clandestins.
Mais la crise empêche que la situation s'améliore nettement. Nous accompagnons actuellement une centaine de personnes et suivons environ 80 affaires en justice, autant que les années précédentes. Je m'inquiète aussi du nombre croissant d'esclaves masculins, forcés de travailler dans des petits entreprises du bâtiment par exemple. Je crains que ce nouveau phénomène prenne davantage d'ampleur ces prochaines années.
pourquoi pas des millions pendant que nous sommes dans la manipulation marxiste
un peu surpris par cette notion d'esclaves hommes dans le bâtiment...
Beaucoup de questions posées dans cet article, mais evidemment, pas la bonne. Quand les nouveaux-venus (même d'assez longue date) importent avec eux leurs traditions...
L'humoriste, qui se produit dans un bus après avoir été interdit de spectacle en 2014, s'est vu refuser dimanche le stationnement dans plusieurs communes de Loire-Atlantique.
Fustigeant l'arrosage des greens en période de sécheresse, ils ont saccagé deux parcours près de Toulouse.
LE POINT SUR LA SITUATION - Les habitants évacués vont pouvoir rentrer chez eux, ont annoncé les autorités.
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Séquestrées de Londres : «Des milliers de femmes-esclaves en France»
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Deux entreprises britanniques de premier plan, la chaîne de pubs Greene King et le marché de l'assurance Lloyds of London, vont verser des donations à des organismes de soutien aux minorités ethniques, une forme de compensation pour leur implication passée dans le commerce des esclaves.
Nick Mackenzie, le directeur général de Greene King, a déclaré jeudi dans un communiqué reçu par l'AFP qu'il est "inexcusable que l'un de nos fondateurs ait profité de l'esclave et milité contre son abolition au 19e siècle".
Greene King a été fondé en 1799 par Benjamin Greene, l'une des 47.000 personnes qui ont bénéficié de compensations payées aux anciens propriétaires d'esclaves après l'abolition de l'esclavage par l'Empire britannique en 1833.
Les liens de Greene King avec la traite des esclaves ont été mis en lumière par une banque de données de l'université UCL, tout comme ceux de Lloyds of London mais aussi d'autres entreprises britanniques comme la banque RBS ou le promoteur immobilier British American Land Company.
Greene King, qui compte environ 2.700 établissements et a été rachetée l'été dernier par le milliardaire de Hong Kong Li Ka-Shing, affirme vouloir investir de manière "importante" et durable dans des associations et organismes de soutien aux communautés noires et minorités ethniques (l'acronyme anglais BAME, ndlr) et oeuvrer plus fortement en faveur de la "diversité raciale en entreprise".
M. Mackenzie a aussi affirmé que le site internet du groupe serait mis à jour dès jeudi pour reconnaître son passé esclavagiste.
De son côté Lloyds of London s'excuse dans un communiqué pour "le rôle joué au 18 et 19e siècles dans le commerce des esclaves - une période horrifiante de l'histoire anglaise, et de la nôtre".
Il s'engage également à verser des dons à des organisations de soutien aux minorités ethniques, sans donner de chiffres ou de détails, et à des programmes de promotion des minorités dans ses rangs.
Les décisions de Lloyds of London et Greene King interviennent après plusieurs semaines de manifestations à travers le monde après la mort de George Floyd, un homme noir qui n'était pas armé lors d'une interpellation par un policier blanc aux Etats-Unis, après une longue série d'incidents similaires.
Début juin, des manifestants ont déboulonné la statue d'Edward Colston, un ancien marchand d'esclaves anglais à Bristol, au sud-ouest de l'Angleterre. Cet acte a été le point de départ d'une série de dégradations de statues de personnalités contestées en raison de leur implication dans le commerce triangulaire ou d'anciennes prises de position racistes - celle de Winston Churchill compris. Il a aussi lancé un débat dépassant les frontières du Royaume-Uni sur le bien-fondé du maintien de ces marques d'honneur dans l'espace public.
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Kidnappée et droguée pour être vendue comme esclave sexuelle, Chloe Ayling raconte son calvaire

Les photos de Chloe Ayling peuvent faire rêver, pourtant cette Britannique vient de vivre un véritable calvaire qu'elle a raconté sur la chaîne de télévision Rai .
Le 10 juillet dernier, elle quitte Londres pour se rendre à Milan, où elle pensait participer à un shooting de mode. A peine arrivée sur le lieu de rendez-vous, deux hommes l'ont kidnappée, droguée, puis enfermée dans une maison isolée du village de Lemie, près de Turin.
Pendant plusieurs jours, Chloe est contrainte de dormir avec son ravisseur, un Polonais de 30 ans, Lukasz Herba, proche du groupusclue Black Death. Toutefois, le criminel respecte l'intégrité de la jeune femme qui explique qu'il ne l'a " pas agressé sexuellement et n'a réclamé aucune faveur sexuelle ". Une certaine proximité s'est même crée entre Chloe et Lukasz puisqu'ils ont été aperçus ensemble en public dans les jours qui suivirent l'enlèvement de Chloe. Et si la jeune femme n'a pas tenté de s'enfuir, c'est parce que Lukasz lui avait expliqué qu'elle serait bientôt libérée, mais surtout qu'elle serait abattue si elle tentait de fuir...
Alors pourquoi Chloe a-t-elle été enlevée ? Selon la police chargée de l'enquête, les ravisseurs souhaitaient vendre Chloe sur le dark web afin d'en faire une esclave sexuelle. La somme demandée était de 270 000 livres, soit près de 300 000 euros. Finalement, et heureusement pour Chloe, ils ne sont pas allés au bout de leur projet. Après s
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