Esclave Latex à l'Allemande

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Esclave Latex à l'Allemande

Société Faits divers Politique Monde Santé Justice


Publié le 29/07/16 à 07h05
— Mis à jour le 29/07/16 à 12h54

#Sexcapades: Aloysse: «Dominer, c’est simplement MON plaisir»
Gégé de la compta est méconnaissable. - Démonia
Des gens délicieux et charmants. - Démonia
Un spectacle un peu flippant. - Démonia
Ca s'échauffe du côté des cordes. - Démonia
Il y avait aussi un vrai gros serpent. - Démonia
#Sexcapades: S’échanger pour mieux s’aimer, le libertinage redonne des couleurs à leur libido
#Sexcapades: «20Minutes» va à la rencontre des sexualités hors norme


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Société #Sexcapades: Une soirée avec les adeptes du BDSM et du fétichisme

SERIE ETE Pendant la saison chaude, « 20 Minutes » part à la rencontre de sexualités hors normes…
Ils ressortent avec leur sac à dos sur l’épaule, leurs manteaux et leurs têtes de monsieur et madame Tout-le-monde. Sur les Champs-Elysées encore grouillants à 4h du matin, les participants à la soirée Démonia se fondent dans la foule. Quelques heures plus tôt, ils étaient cagoulés, enchaînés, travestis, moitié nus. Ils dansaient sur de la grosse techno allemande, ils se caressaient discrètement, ils observaient des gens se faire ligoter par des pros du shibari . Ils étaient une autre personne, habillée de cuir et de latex, libre de ses fantasmes et de ses gestes. Ce moment hors du temps et de l’espace, ils l’attendent avec impatience tous les ans : la soirée Demonia, organisée par la boutique du même nom, temple du BDSM installé dans le 11e arrondissement de Paris, est LE rendez-vous des fétichistes et « joueurs » de tout poil.
Pour qui ne fréquente pas assidûment ces milieux, il faut un peu de préparation pour entrer dans le jeu. Même avec une accréditation presse, impossible d’échapper au dress code : tenue vinyle, latex, « wetlook » ou cuir « strictement obligatoire pour tous », me rappellent les organisateurs. J’ai beau retourner ma penderie, pas l’ombre d’une jupe en cuir. « Viens à la boutique, on va te trouver quelque chose », me propose Miguel, l’homme-orchestre qui gère le magasin. L’aventure commence là, dans la cabine d’essayage : enfiler une robe plus sexy que tous tes strings additionnés, c’est commencer à envisager son corps autrement et créer le personnage que l’on incarnera dans ce costume.
Les organisateurs ont prévu un vestiaire pour que les fêtards puissent se changer en arrivant. Pour moi, ça évite de traverser Paris en très-mini-jupe. Pour d’autres, c’est indispensable : les tenues sont bien plus extravagantes que je ne l’imaginais. Pendant que je me change rapidement, un petit monsieur à côté de moi prend son temps : cagoulé et enchaîné des pieds à la tête, avec pour seul « vrai » vêtement un slip en cuir, il semble un peu empêtré dans ses accessoires. En cinq minutes d’attente pour accéder au vestiaire, j’ai vu des fesses d’homme dépasser d’une micro jupe, des quinquas bedonnants en cuir les poils du ventre à l’air, des infirmières en short, beaucoup de peau, des jeunes, des vieux, des moches, des beaux. Tout le monde, quoi. Je suis saisie d’une angoisse : et si je croisais quelqu’un que je connais ? Genre le mec de la compta ou un membre de ma famille ? « Ça m’est déjà arrivé, et alors ? On est tous dans la même situation », me confiera plus tard Valentin*, trentenaire fringuant bossant dans la finance.
« Hey, salut, tu es venue pour jouer ? » : un mec que j’avais rencontré pour un article m’apostrophe. « Jouer à quoi ? », je lui réponds. Je ne comprendrais que plus tard l’air affligé qui a traversé son visage à ce moment-là. « Et bien, aux gentils et aux méchants », me résume-t-il. Pour le moment, je me dirige vers la démonstration de cordes. Du shibari, l’art de s’attacher. Visiblement, la fille qui se fait attacher aime ça. Ca dure un bon moment et je crois qu’elle aussi passe un bon moment : soit elle prend réellement son pied, soit elle a le hoquet. Qu’en pensent la dame aux seins dépassant à dessein de son bustier ou le monsieur en train d’attacher ses bas à son porte-jarretelle ? Et ceux qui, de leur balcon, ont une vue plongeante sur la salle ? Et que font ceux qui préfèrent fermer les rideaux de leur loge à l’étage ?
Pour en avoir le cœur net, je monte au balcon. Un couple surplombe les lieux. Ils ont 130 ans à eux deux et sont incroyablement beaux : corset en cuir pour madame et monsieur, jupe longue, gants et éventail. Jacqueline* et son compagnon se sont rencontrés à une soirée du même type « il y a très longtemps », me confie-t-elle. « On revient car il y a toujours de bons spectacles et on ne rencontre que des gens délicieux et charmants. Et car il y a de moins en moins de lieux où on trouve cette tolérance. »
Il est vrai qu’on ne sent aucun regard de jugement ou de concupiscence sur soi, contrairement à ce qui se passerait dans une boîte de nuit « normale ». La seule chose qui manque selon Jacqueline, et qui selon elle fait la différence avec les fameuses soirées BDSM allemandes, ce sont des espaces prévus pour les jeux SM. Les soirées Demonia sont très soft, me dit-elle. « Vous jouez aussi ? », me demande-t-elle alors. Et là, tout s’éclaire : jouer, ça veut dire pratiquer le BDSM. Maintenant, je saurai quoi répondre.
La salle se remplit vite. Il doit y avoir 1.500 personnes devant la scène où un acteur habillé en prêtre simule un mariage entre la mort et une jeune fille fardée en blanc. Je suis à deux doigts d’avoir la trouille et j’ai le sentiment d’assister à un exorcisme géant au milieu de ces bourreaux de théâtre, de ces cagoules noires, de ces femmes et hommes en laisse, de ce noir, tout ce noir, partout, sur tout le monde. « L’imaginaire de ces soirées est de plus en plus macabre », m’explique Jacqueline. C’est paradoxalement dans le coin fumeur que je rencontre un rayon de soleil : avec leur accent du Sud de la France, ce couple de quadras me demande du feu. Lui, que j’imagine facilement en train de me vendre de la tapenade sur le marché de Cogolin, est habillé d’une combinaison en latex rouge et coiffé d’une perruque noire coupée au carré. Elle est hyper sexy dans sa combi moulante orange. « Nous sommes venus d’Aix, m’expliquent-ils. Chez nous, ce genre de soirées est hyper privé et il y a moins d’ouverture d’esprit. » Malgré « l’ouverture » parisienne, ils me confient que « ça n’a pas été facile de trouver un taxi » : « On a mal lu l’invitation, on savait pas qu’il y avait un vestiaire alors on est partis de l’hôtel habillés comme ça… »
Retour du côté des cordes, où ça s’échauffe un peu : une fille seulement vêtue (c’est un grand mot) de bas résille est ligotée avec une des cordes qui lui passe, si je ne m’abuse, très très près des parties génitales. Mais ça n’a pas l’air de la préoccuper. Un homme vêtu d’une combinaison rouge, queue de cheval blonde sortant de sa cagoule intégrale, observe seul dans un coin. Il me dit qu’il a 43 ans, qu’il est célibataire et qu’il n’est pas facile pour lui d’aborder le sujet du fétichisme quand il rencontre quelqu’un. On sent une grande timidité dans sa voix, qui tranche radicalement avec son accoutrement. « Mon fétichisme me rend heureux. C’est mon anti-stress », me dit-il. « Ici, je suis au milieu de tout le monde, nous sommes identiques ». Ce sentiment d’appartenance se retrouve dans la bouche de tous les participants. Même Valentin, très soft dans son tee-shirt noir et son pantalon passe-partout en cuir, aime « faire partie d’une population qui a un esprit en commun mais des pratiques très hétéroclites ». Lui aime juste voir des filles très sexy en bas résille et talons aiguilles. Il ne perdra pas son temps ce soir.
Il est presque 2h du matin, l’ambiance commence à être chaude. Ca s’attache et ça se tripote dans les coins. Notre amie aixoise se fait mouler la poitrine dans le plâtre par un artiste. Valentin a une jeune fille dans les bras. Tout le monde danse sur de la techno bien assourdissante. Assise sur les baffles, une jeune femme regarde sa copine se dandiner avec un grand sourire. « On est venues toutes les deux, on fréquente les clubs ensemble, on est bi », me dit Carole, venue de Normandie. Elle est soumise mais son maître n’est pas là ce soir. « A 16 ans, mes copines rêvaient du prince charmant, moi je rêvais d’être attachée. » Elle s’éclate ce soir. Comme ce couple qui, à une heure avancée, se met dans un coin pour « jouer » : la jeune femme, très jolie, se déshabille et son compagnon la fouette avec expertise. Des curieux s’approchent. Ca ne dégénère pas. Si on ne veut pas, on dit non et c’est compris du premier coup. Ce n’est pas une partouse. C’est un jeu. Un jeu entre adultes consentants où seuls les préjugés sont perdants.
Dr Laurent Karila, psychiatre addictologue spécialisé dans la prise en charge des addictions au sexe, auteur de Votre plaisir vous appartient (éd. Flammarion)
« Les pratiques BDSM tournent beaucoup autour de la théâtralisation, de la scénarisation de la sexualité. On y voit des couleurs sombres, des accessoires saillants, du cuir, on incarne un personnage moulé dans du cuir ou du latex. Cette ambiance gothico-macabre peut avoir un côté aphrodisiaque, comme les sonorités un peu violentes qui peuvent exciter. Mais cela n’empêche pas la communauté BDSM d’être joyeuse dans sa pratique ! Il y a même un côté très « rose » dans ces pratiques : c’est leur grande tolérance.
La base des pratiques sado-masochistes, c’est une violence qui induit du plaisir, et les notions de domination et soumission sont centrales. Tout est très codifié. Il faut vraiment bien s’y préparer si on a envie d’y aller. On rentre dans une communauté, c’est un style de vie. Et ça peut être une échappatoire à la vie quotidienne. Dans tous les cas, fantasmer, faire travailler son imagination, c’est un signe de vitalité psychique. »
Prochain épisode des #Sexcapades le vendredi 5 août: Etre une T-girl, pour une nuit ou pour la vie
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tweesty a posté le 08 novembre 2016 à 16h01
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lienrag a posté le 08 novembre 2016 à 16h01
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a_da_ma_naga_le_8_10_2011 a posté le 08 novembre 2016 à 16h01
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lienrag a posté le 08 novembre 2016 à 16h01
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camillerue89 a posté le 08 novembre 2016 à 16h01
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Endroit miteux, décoration kitsch, cinquantenaires classes qui se font sucer (les doigts) par de grosses dames d’une vulgarité monstre, soirées afterwork, tout le monde en cuir et en latex, chaînes autour du cou et poils partout, instruments de torture... Ça, c’est le cliché. Rien de faux dans tout ça, rien de plus croustillant non plus, désolés de vous décevoir. L’endroit est néanmoins fascinant [la soirée est racontée du point de vue d’Alice, ndlr].
Il est près de 23 heures, on arrive, fin fond du XVIIe populaire, une rue perdue. Il crachine. Rien de moins que le début d’un film glauque à souhait. Martin, le gérant du club, nous accueille : « Mais vous savez ce que c’est ? ».
On s’étonne de rentrer aussi facilement. On avait préparé tout un discours, qu’on pensait ressortir consciencieusement si on venait à nous refuser l’entrée. Le guide du Routard conseillait d’adhérer au dress code « fétichisme, latex et cuir », n’ayant rien de tout ça chez nous, on a choisi d’être classes, tout en noir. A propos, à quoi bon instituer un dress code, puisque, par la suite, tout le monde se retrouve à poil ?
Martin nous demande nos prénoms et si c’est la première fois qu’on vient. On lui répond que oui, en profitant ainsi pour justifier notre gêne, notre rire nerveux. Il y a quelque chose de désagréable en lui, il est mielleux, affable. Trop souriant, peut-être, trop tactile, surtout. Il s’excuse :
On descend l’escalier en colimaçon. Des « bonsoirs » guillerets suivis de regards appuyés nous répondent.
Il nous fait visiter les salles, plafond en pierre, vouté façon médiévale. La salle principale est une espèce de petit salon kitsch, fauteuils XVIIIe et bougies un peu partout, presque chaleureux. Toutes les salles sont ouvertes, le voyeurisme fait partie du jeu. S’enchaînent les salles, des menottes accrochées un peu partout, des chaises assez larges, un immense lit devant un miroir sans tain, « pour être plus tranquilles » explique Martin.
Notre première confrontation a lieu dans le salon Pompadour. Un homme d’une trentaine d’années, au physique embarrassant, nous fait part de son plus joli sourire, comme si nous étions le Messie, nous, jeunes gens candides avec une tête à ne pas traîner dans des endroits pareils. On discute un peu. Il vient souvent ici, il a d’ailleurs « rendez-vous avec un couple ». Son marcel noir laisse apercevoir un ventre rond, appelons le Monsieur Marcel. On est un peu gêné, genre : « Est-ce qu’il va nous caresser la cuisse, secouer sa main droite devant nous ? ».
On monte l’escalier genre Ikéa, qui tranche un peu avec le décor « art déco ». Là haut, une grosse dame commence à se déshabiller. Un homme, qui semble être un bon Versaillais pure souche, lui attache les mains au mur, prend une espèce d’objet circulaire en plastique sur lequel sont disposés quatre clous et en pose un sur chaque téton, puis serre l’objet au fur et à mesure, les clous transpercent la peau. La femme gémit, il lui bande les yeux. « Oh maître, j’aime, maître... que c’est bon » d’une voix niaise de soap à la française. Il me demande :
Je réponds à ses questions indiscrètes, tentant de garder mon sérieux.
Il lui pose ensuite des bougies allumées sur les mains, fait couler la cire brûlante sur ses paumes, elle frémit, puis se met à sourire :
Elle, ne daigne pas répondre, se contente de sourire. Ensuite, « il » prend une cravache et la fouette sans vergogne. « C’est à vous » nous dit-il, en nous tendant l’objet. Je me lève, regarde Louis, puis la fouette allègrement sur le dos. Il faut bien tout tenter. Le « Versaillais » semble en colère, il prend ma main, la guide vers le derrière de celle qui semble être son épouse, et me dit « c’est ici qu’il faut frapper, et moins fort s’il vous plaît », paradoxal. Je tends la tige à Louis qui la cravache à son tour. Dur de réprimer un fou rire nerveux.
Et encore tout cela vous semble doux... Du SM de petits joueurs. Je vous répondrai que ce n’était que les prémices d’une scène bien plus poignante. Quelle image marquante que celle de ces deux hommes bedonnants (tiens, Monsieur Marcel est à poil maintenant ?), l’air penaud, tête baissée, queue entre les jambes, marchant à petits pas résignés l’un derrière l’autre, fesses à l’air, poils mal placés, avec une chaîne autour du coup, tirés comme des caniches par la grosse dame blonde.
C’était cette même grosse dame au crâne quasiment rasé (seul un duvet peroxydé lui couvrait la tête) qui nous souriait si tendrement, lorsque, assise en tailleur sur le « lit gynéco », Monsieur Marcel la masturbait pendant qu’elle lui caressait le ventre avec une plume et que leur collègue chauve se branlait devant la scène...
Voilà encore nos trois hurluberlus. Cette fois-ci, Monsieur Marcel est pendu par les bras, la pointe de ses pieds caresse le sol. La grosse dame le suce goulûment, tandis que le chauve lui pince les tétons. Il pousse des soupirs appuyés, valorisé par l’angle de son membre, son plaisir est visiblement intense. Son visage, crispé au maximum, démontre néanmoins qu’il souffre un petit peu.
Toutes ces scènes, bien entendu, observées par cette pauvre petite chose coincée dans un coin, individu des plus timides, faisant limite partie du décor, qui s’en donnait néanmoins à cœur joie !
Mais, comme le dit si bien Martin, « ce n’est pas une soirée vente aux esclaves », il n’y avait pas beaucoup de monde, mais ces quelques acteurs nous ont donné un aperçu assez burlesque de cet endroit réputé pour être extrêmement malsain. Effectivement.
Ben quoi ?


Y’en a bien qui vont voir Christophe Mae en concert...


N’est-ce pas Robbe-Grillet, bon connaisseur, qui disait que « l’alcool et le SM ont été inventés pour permettre aux vieilles et aux moches d’avoir une vie sexuelle » ?


Mal élevé, ça mérite qu’on passe à la vitesse supérieure !



Mon mauvais genre va jusqu’à dire que j’ai pu avoir des histoires avec des personnes de genre indéfini ! Comme je le dis souvent, j’aime des gens, pas des genres ! La notion de « bi » me parait restreinte par rapport aux possibles.



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