Esclave Asiatique satisfait la maîtresse

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Comment je suis devenue une dominatrice sadomaso


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Publié le 6 décembre 2015 à 11h52 Mis à jour
le 6 décembre 2015 à 11h52

Domina, fouets, pratiques SM, homme-esclave… ça vous parle? Moi, pas du tout. Alors que le deuxième volet de Fifty Shades of Grey est sur le point d’être tourné, j’ai voulu voir à quoi ressemble une soirée sadomaso “dominatrices et hommes soumis” à Paris. Par Cheek Magazine.
“Dis-moi, tu aimes les soirées SM et domina?”. Je n’aurais jamais cru envoyer un tel message. Encore moins à une dizaine de copains. Et surtout pas accidentellement à ma target du moment… Étrangement, les volontaires manquent. Lâcheurs. 21h10 le 31 octobre, j’ai des sueurs froides. Au cœur du Marais à Paris, je cherche le numéro 8 de la rue de Beauce, où m’attendent Francis Dedobbeleer et Eric Indé, cofondateurs de l’association Modernité Relative .
Ils organisent la 27ème Nuit Girl Power , réservée aux dominatrices et aux hommes soumis, y compris les “débutants”. Je distingue un spot rouge, qui éclaire une porte fermée: Le Rock’s , bar à tapas la semaine et salle à louer le week-end. Je frappe. Francis Dedobbeleer m’ouvre. La chaleur du minuscule vestibule, fermé d’un rideau opaque, me saisit. Je joue les “détendue-attends-j’en-ai-vu-d’autres”. Pas gagné avec ma tête de minette rangée.
J’écarte timidement le rideau. Le bar lounge est sobre sous des lumières roses, des fauteuils en cuir noir, des tables basses, et face au comptoir, un escalier pentu qui descend au sous-sol d’où s’échappe une lumière tamisée. Un bar comme les autres, exception faite de deux femmes -la trentaine- en corsets noirs à lacets et pantalons vinyle ultra moulants. Coupe de champ’ à la main, elles discutent avec un quinqua cul nul, en porte-jarretelles, bas résilles, escarpins et casquette de policier.
“Dans les clubs, la police est très stricte. On n’a pas le droit au sang, ni à l’étouffement par exemple.”
Face au bar, divers accessoires de la boutique Fetish Up sont étalés sur une table: corsets, harnais en cuir de toutes sortes, vibromasseurs, fouets, chaînes…. Je m’agrippe à mon manteau. Avec son léger accent belge, Francis prévient: ici, le but “c’est de parler à tout le monde et de ne pas rester dans son coin. Nous, on ne se mêle de rien”. Je tente de me rencarder sur ce qui m’attend “en bas” . Il embraye. “Dans les clubs, la police est très stricte. On n’a pas le droit au sang, ni à l’étouffement par exemple.” Rassurant.
Au comptoir, je discute avec la casquette en bas résilles. Un type charmant, qui me raconte que “dans son milieu professionnel, il a souvent affaire à des journalistes” et, l’air de rien, me fait comprendre que ça l’arrangerait qu’on ne le prenne pas en photo. Il me raconte que c’est sa première soirée “femdom” (Ndlr: quand le pouvoir est aux femmes) et qu’il “espère bien se faire dominer ce soir”. Une rousse débarque en corset noir, jupe courte et talons hauts, un fouet autour du cou et des lunettes carrées sur le nez.
Ma première soirée dominatrice sadomaso
Son nom de maîtresse? “Juste Frédérique” , répond-elle timidement. Elle est venue avec son “esclave” , et précise: “C’est pas mon amoureux. Juste un homme avec qui je sors.” Avant, elle était soumise à un seul “maître” . Puis elle est passée à une “relation vanille” (Ndlr: quand il n’y a pas de pratique SM). Depuis, elle n’a plus de maître, s’ennuie et a décidé de passer de l’autre côté du fouet. Frédérique m’assure qu’elle n’est pas fan du hard. Elle enchaîne: “Le pire que j’ai fait, c’est clouer les couilles de mon mec sur une planche.” Note pour plus tard: revoir ma définition du mot “hard”.
Il est temps de descendre. J’emprunte les escaliers. Au sous-sol, une odeur d’humidité. Je découvre la “salle de jeux” . Des flashs colorés s’affolent dans tous les sens. Sous voûte, une cage équipée de chaînes et une croix de Saint-André sont disposées sur un parterre en alu. En face, des fauteuils pour les spectateurs. Je me dirige vers le fumoir et rencontre Alban, la vingtaine, plutôt beau gosse. C’est sa première fois aussi: “J’ai eu ce genre de rapports avec mes copines, mais je n’ai jamais osé aller en club.” Il n’en a parlé à personne, pas même à ses potes. Nous sommes interrompus par des coups de fouet.
“Si la domina ne veut pas s’occuper de lui, elle le rejette d’un coup de pied. Et quand je dis coup de pied…”
Dans la grande salle, Frédérique donne une bonne correction à un grand gaillard chauve attaché à la croix de Saint-André, pantalon baissé aux chevilles et chemise remontée aux épaules. Les clients se massent pour observer. À chaque coup, des gémissements de plaisir -du supplicié autant que des hommes spectateurs- retentissent sous la voûte. L’homme tressaute lorsque le cuir percute sa peau. “Arrête de bouger” , ordonne Frédérique. Je suis mal à l’aise, l’expérience se transforme en voyeurisme. Visiblement, je suis la seule. Des jets de fumigène épaississent l’atmosphère.
Quelques coups de martinet plus tard, une domina brune met un Anglais en cage. Un homme vient s’agenouiller devant elle. Heureusement pour moi, une maîtresse aux cheveux courts, dans le milieu depuis trois ans, m’explique les codes: “C’est comme ça que le soumis fait comprendre à la domina qu’elle lui plaît. Si la domina ne veut pas s’occuper de lui, elle le rejette d’un coup de pied. Et quand je dis coup de pied…” La brune est d’accord. Elle saisit une cravache et s’occupe de l’Anglais encagé, dont le pantalon est déjà aux chevilles. L’autre s’allonge à terre et se met à lécher les talons vertigineux de la jeune vamp. Elle lui marche dessus, joue avec les barreaux de la cage entre le châtiment et la danse, sur fond de musique électronique. Elle est sensuelle, féline. Soudain, elle décampe. “C’est toujours la domina qui décide quand ça commence, et quand ça s’arrête” , me glisse mon initiatrice.
Ma première soirée dominatrice sadomaso
Un homme en laisse s’accroupit à côté de moi et me supplie d’une voix frêle: “Est-ce que je peux vous servir de repose-pieds pendant que vous prenez vos notes?” J’étouffe un rire nerveux et baragouine une excuse pour me défiler. “Désolée… Pas participante… Journaliste… juste pour observer… ” Il insiste. “Mais vous pouvez me poser des questions si vous voulez et m’insulter en le faisant.” J’imagine l’interview… Il me suit au fumoir où je lui propose de s’asseoir en lui montrant la banquette. “Non, je préfère me mettre à ma place” , répond-il en s’aplatissant au sol. Il attrape mes bottes de ville et les cale sur son ventre. “Voilà, et maintenant vous m’ignorez” , me dit-il, satisfait. J’ai peur de lui faire mal. Ironique.
Une (vraie) domina débarque. Elle se jette sur l’homme à terre et lui colle ses pieds dans la bouche. “Rends-toi utile au moins, lèche!” , commande-t-elle avec un accent polonais. Elle retire ses talons et enfonce ses orteils sur le visage du bienheureux malheureux. J’ai toujours mes propres chaussures sur sa chemise. C’est mou, ça bouge. Le fumoir s’est rempli, tous observent la scène en silence. La domina lui somme d’ouvrir la bouche et fait tomber la cendre consumée de sa cigarette dedans. Il avale et halète un “merci, maîtresse“ , puis glisse le bout de sa laisse dans ma main. Je l’évite en insistant: “Ah non, non, donnez-la à quelqu’un d’autre.” Elle saisit la chaîne et le flatte: “C’est ça, bon chien.” Il aboie. Elle lui crache au visage. Je m’en vais, et manque de lui écraser la main.
“Maso romantique” et petites commissions
“Si vous voulez essayer quelque chose, vous pouvez me pisser dessus” , lâche un soumis à côté de moi. J’éclate de rire malgré moi. Au mépris de mes refus catégoriques, il se fait insistant. Je panique et m’invente un copain très très musclé et très très jaloux. “C’est pas grave. Si vous m’acceptez comme soumis, je ne vous forcerai même pas à le quitter. Vous ne savez pas la chance que vous avez, c’est rare de tomber sur un maso romantique.” Une femme l’appelle: “Dominique, viens on monte.” Sauvée par la domina.
Un sexagénaire dénudé m’explique: “Ce que vous voyez ce soir, c’est le plus poussé. Mais la relation dominant/dominé, ça peut commencer par des petites choses: si vous devez aller acheter du pain, faire la vaisselle ou la lessive, vous m’appelez et je le fais pour vous.” J’ai pris son numéro. On ne sait jamais.
Un papier publié initialement sur Cheek magazine. 
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Les coups de la vie : Mon mari m’a vendue à son patron


Par Le Flambeau
- Date: 03 Février 2015
138 réactions
 


Ton mari et son patron sont tout simplement des i.m.b.e.c.i.l.e.s. Ils n'ont ni honneur ni dignité.


Une enquête doit être rapidement diligentée pour traduire ces deux voyous en justice pour inceste et atteinte à la dignité de la femme. Ce que cette pauvre femme raconte est inadmissible dans ce pays que nous voulons construire en le débarrassant de ce genre de cancrelas.


Mon ami, tu ne sembles pas savoir ce qu'est l'inceste!!!


Ce sont moins des ******** [masqué car insultes interdites sur Malijet !] que des profiteurs!


Pourquoi cela vous étonne? Le malien de nos jours est capable de faire pire que ça. QUe Dieu nous protège.


Marshall, contrôle ton langage. Pourquoi tu dis que le malien de nos jours est capable de faire pire que ça. Qui t'a dit que se sont des maliens. Ils pourraient être d'un autre pays qui n'est pas le Mali ? En plus, ils disent qu'ils habitent dans une villa à "Badiala". Peux-tu nous dire dans quelle ville ce quartier "Badiala" se trouve au Mali. Tu n’es qu'un ignorant. Fais attention à toi espèce de con que tu es.


vraiment une histoire tres triste....la faute n'est pas à la femme, mais à son mari...comment un homme de sa trempe peut-il tromper et vendre sa femme...pour de l'argent????et l'autre le gros balourd...en tant que croyant ose-t-il courtiser la femme d'autrui(LE CIEL N'EST PAS LOIN DE CRAQUER ALLAHOU AKBAR!!!!!!!!!!...LA FEMME AIMAIT BEAUCOUP SON MARI...POUR AVOIR MORDU À L'HAMEÇON...CROYANT QUE LE GRAND TROU DE DIX MILLIONS(10.000000 ETAIT L'ACTE DE SON MARI...ET EVITER À SON MARI D'ÊTRE RENVOYÉ OU EMPRISONNÉ..C'ETAIT POUR L'AMOUR DE SON MARI......JE NE CONDAMNE PAS LA FEMME, DU FAIT QU'ELLE ETAIT ENTRE LE MARTEAU ET L'ENCLUME( DANS CE BAS MONDE OU L'INSTINC SEXUEL EST PLUS VIVACE QUE LA VERTUE QUAND ON A PAS UN BRIN DE PUDEUR DANS LE CERVEAU.....IL FAUT RESPECTER LA PAUVRE FEMME...ET UNE FEMME QUI A UN TRES MAUVAIS MARI...(MAIS UN MAUVIETTE!!!)..


Douba c'est toi qui ne connait le Mali, le quartier "Badiala" se trouve en Commune III du District de Bamako entre Bolibana et Niomirambou en partant à Kati et fait face à N'Tomikorobougou se sont les rails qui les séparent


Il faut bien lire ils sont à Badiala.


Douba c'est toi qui ne connait le Mali, le quartier "Badiala" se trouve en Commune III du District de Bamako entre Bolibana et Niomirambou en partant à Kati et fait face à N'Tomikorobougou se sont les rails qui les séparent


C'est des histoires à dormir debout,une vue de l'esprit que le mec propose juste pour vendre son canard.


La fille est fautive sur toute la ligne. Si c'est un mariage initié par les parents d'abords ça n'allait pas etre comme cela car on allait se rendre compte que le mari est issu d'une bonne famille, donc pas cela. La fille et le garçon se sont connus et ont arrangé ce mariage et la fille ne peut pas dire qu'elle ne connait pas le garçon de quoi il est capable. Avant le mariage ils sortaient ensemble, donc elle connait bien ce garçon. Elle a été attirée par le petit moyen de son mari. Une femme est capable de deceler à partir du premier clin d'oeil les intensions de l'homme qui veut la courtiser. Depuis après le premier passage chez le patron la fille devait dire à son mari les caractère du patron et ne plus mettre pieds. Une fille qui est capable d'accepter un monsieur sachant ses caractères de coureur de jupon , d'aimer les sorties de mauvais caractères, si tu rentres dans un mariage de ce genre rien au monde ne doit te surprendre de ce mariage


Je pense qu'il faudrait, un peu, relativider les choses. Si cette histoire est vraie, je ne pense pas que la dame soit coupable sinon elle ne viendrait pas se donner en pâture aux commentaires de gens qui ne la connaissent et ne vont pas y aller avec le dos de la cuillére dans les critiques. On se marie pour le meilleur et pour le pire. Comment laisser la personne avec laquelle on choisit de faire sa vie s'empétrer dans une situation compliquée sans lui venir en aide. Si l'histoire s'était arreter à la une seule fois, peut être, nous n'en aurions pas entendu parler. S'il y a quelqu'un à blamer dans cette affaire, c'est le mari qui n'a aucun honneur et pas de vergogne. Un tordu est un tordu. On a beau être averti, un tordu parvient souvent à nous en mettre plein la vue et ces gens ont plusieurs cordes à leurs arcs. Espéront seulement que ceci soit un navet fait pour vendre un journal ou pour nous donner sujet à réfléchir.


pour tout au monde cette femme ne devrait accepter de couher avec cet homme sans vergogne. c'est vraiment indigne de la part de tout homme de se livrer à des pratiques indignes. c'est vraiment immoral qu'un homme laisse sa propre femme au profit des ******** [masqué car insultes interdites sur Malijet !] .


Le
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