Erotisme avec un modèle japonais

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Erotisme avec un modèle japonais
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On ne fait pas l’amour à Tokyo comme à Paris. De son voyage au Japon, notre journaliste a rapporté quelques secrets d’alcôves à faire pâlir nos mâles occidentaux...

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Le bain japonais et la chaleur des massages
























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Mon commentaire supprimé juste pour avoir dit ce que j'en pensais vis à vis de mon expérience perso ? elle est belle la liberté d'expression sur Marie Claire.

Je suis pas d'accord ,le sexe au Japon est juste esquis croyer moi

Bellissimo!
Quand on s'aime ,c'est merveilleux, comme j'aimerai retrouve ma jeunesse perdue et chaste.

sublime... là maintenant, je viens de finir de lire l'article et j'ai carrément envie de mon homme !!
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Tout l’érotisme japonais tourne autour de ce moment d’intimité privilégié où les hommes et les femmes s’autorisent enfin un premier contact corporel. Enveloppantes, d’une façon presque électrique, les femmes qui veulent séduire caressent l’intégralité du corps de leur amant... Aucune partie de l’anatomie masculine n’échappe à cette exploration câline : elles effleurent et souvent lèchent, lentement, longuement, avec une application studieuse, les pieds, entre les doigts de pied, insistant sur les orteils qu’elles aspirent et suçotent un par un en émettant un bruit de salive suggestif, puis remontent le long des cuisses, embrassent les fesses, s’attardent dans le creux qu’elles couvrent de bécots ou de petits coups de langue pointus qui finissent en profondes et voluptueuses incursions... " Oui, on peut rouler une pelle à un anus au Japon, remarque Aya en souriant. Dans notre pays, le baiser est considéré comme un acte sexuel . Il y a encore cinq ans, il était interdit de s’embrasser dans le métro et c’est pourquoi nous aimons tant embrasser, profondément embrasser, tout le corps bien-aimé, en nous servant de la bouche comme d’un suçoir irrésistible, une trompe aspirante et vrillante, un véritable trou noir. " Veillant toujours à faire de leur corps un gouffre aimanté de tendresse, les Japonaises s’enroulent autour des reins de l’homme et balaient sa poitrine de leur bouche... jusqu’aux épaules qu’elles flattent de caresses. Leurs baisers vont du menton jusqu’au sommet du crâne : même la tête d’un homme est érogène pour ces amoureuses qui vont palper, frotter, étreindre leur amant en un enlacement fusionnel. Vous a-t-on déjà léché les aisselles ou le talon, glissé une langue dans le nez ou à l’intérieur des gencives ? Au Japon, rien n’est sale quand il s’agit d’aimer, et c’est même " vertigineusement bon ". 
La plus belle preuve d’amour consiste d’ailleurs pour les épouses à nettoyer les oreilles de leur compagnon à l’aide de longs Coton-Tige en bambou, tandis qu’il est couché, la tête sur leurs genoux, comme un enfant dans le giron maternel... C’est l’image de l’entente conjugale absolue. Perpétuant cette tradition qui remonte à l’ère d’Edo, les amantes modernes mettent tout leur orgueil à scruter l’anatomie de leur homme. Elles examinent chaque centimètre carré, comptent les grains de beauté (elles en connaissent le nombre exact), effleurent les cicatrices, mémorisent la forme exacte du sexe, et décryptent le langage des testicules, dont la consistance prend pour elles les allures d’un poème : " Elles sont impatientes aujourd’hui, "anata" (mon chéri) ", " Oh, ce soir, tu as envie d’être consolé, elles sont si douces. " " Iyashi " (guérir) est le mot le plus affectueux entre amants, synonyme de soins attentifs. Ainsi on examine le corps de l’autre, traquant les kystes qui sont pressés entre deux ongles, épilant les poils rebelles des sourcils, et couvrant les parties génitales de regards et de caresses assidues... Les hommes japonais éprouvent la même fascination pour le corps de la femme qu’ils examinent parfois à la loupe et dont ils déplient tous les détails avec un appétit curieux, palpant doucement les nymphes qu’ils ouvrent comme un livre sacré, et exhumant ces trésors humides avec une patience d’entomologiste : de la langue ou du regard, usant de petits vibromasseurs diaboliques déployés sur le lit, ils s’efforcent de connaître mieux votre corps que vous-même. Leurs caresses sont aussi précises et attentives que celles des femmes. Ils cherchent la zone érogène et ne s’arrêtent pas tant qu’ils n’ont pas trouvé le moyen de rendre la femme plus folle qu’un troupeau de chèvres. Le cri d’orgasme féminin, au Japon, est d’ailleurs " Iku " (j’y vais). Non pas " je viens " comme en Occident, mais " j’y vais ", hors d’elles-mêmes, arrachées à elles-mêmes. 
C’est au bain – et non au lit – que la science de l’érotisme japonais atteint le degré de raffinement suprême. Car le bain (" arai "), depuis plus de mille ans, est le moment le plus important de la journée. Après le travail, quand l’homme et la femme peuvent enfin se retrouver, ils entrent ensemble, nus, dans la petite pièce carrelée, chaude comme un sauna, qui sert d’abri à toutes les caresses. Au Japon, le bain se déroule en deux temps : il faut d’abord se décrasser, à l’aide de seaux d’eau tiède, de pierres ponce et de petites serviettes, avant de plonger dans l’eau bouillante de la baignoire. En guise de préliminaires, les amants se savonnent donc l’un l’autre avec un savon liquide très doux qui sert de lubrifiant et, surtout, de prétexte aux attouchements les plus titillants... Suivant le modèle des " awahime " (princesses des bulles) qui officient dans les soapland (les bordels les plus prestigieux du Japon), les Japonaises jouent aux courtisanes : elles collent leur poitrine contre le dos de l’homme, font adhérer leur ventre à ses lombaires comme une ventouse tout en lui embrassant le cou et la nuque... Les coquines se servent aussi souvent de leur toison pubienne pour frotter leur amant. Elles cultivent avec fierté la beauté de ce buisson soyeux, composé de longs cheveux noirs qui se replient en conque sur leur sexe, et qui, enduit de savon, se transforme en un gant éponge chaud et délicieusement gluant... Allongé au sol, l’homme se laisse chevaucher et la Japonaise frotte son entrejambe sur ses tibias, l’enfourche au niveau des reins avec un mouvement de balancier traîtreusement stimulant. Elle vient parfois même se planter sur son visage, pour lui faire goûter l’" aieki " (la liqueur d’amour). Un autre jeu consiste – assis – à lui glisser une main entre les fesses (le siège de bain est souvent en U, pour permettre l’accès au scrotum et aux bourses) afin de stimuler cette zone érogène, sous prétexte de savonnage... Un doigt, deux doigts, trois doigts s’infiltrent parfois plus loin qu’il ne faudrait et, par un avantageux retournement de situation appelé " tsubo-arai ", c’est alors la femme qui doit subir à son tour ce frottement intime sur le petit banc érotique. 
Dans le bain, porté à 40-50 °C, les corps fondent comme une pâte sensuelle et les jeux deviennent plus moites. Il existe de nombreuses positions érotiques pour le bain au Japon. Une des plus courantes s’appelle " senbokyo " : les partenaires entrent dans la baignoire face à face, la femme glisse ses jambes sous celles de l’homme pour le soulever, de sorte que le pénis érigé émerge tel un périscope ou vienne affleurer paresseusement la surface. Il n’y a plus qu’à happer le sexe avec la langue et le garder en bouche jusqu’à ce que l’homme réclame une autre position, celle du " sumata ", par exemple... À cheval sur son amant, la baigneuse masturbe le pénis entre ses cuisses lubrifiées. Le pénis appuie contre son clitoris et entre parfois à l’orée de ce sexe que l’eau a rendu brûlant. La chaleur des bains japonais sert d’ailleurs de retardateur, car il est impossible d’y conserver longtemps son ardeur. Quand les amants en sortent, c’est pour s’allonger sur un matelas de massage sensuel où ils se frottent avec des huiles, jusqu’à recouvrer leurs forces. Encore un prétexte pour prolonger les caresses jusqu’au vertige... L’huile rend le contact visqueux. Glissant leur corps l’un contre l’autre dans un jeu de patinage dermique, enlaçant leurs bras collants, caressant leur poitrine luisante avec des bruits de cloaque, les amants se métamorphosent en muqueuses : " On éprouve, grâce à l’huile, une incroyable sensation de seconde peau, explique Aya. Faire l’amour sur un corps glissant, c’est comme être un organe sexuel intégral au sein d’une matrice à hyperpropulsion : on dérape à chaque mouvement, on rebondit, on patine, on skie sur le corps de l’autre avec une fluidité aérienne... On se croirait en apesanteur. " Aya précise, en rougissant, que le matelas est en plastique (pour ne pas tacher) et parfois muni d’attaches afin que la femme, fixée par les poignets et les chevilles, ne puisse glisser ni se soustraire aux assauts de son gluant amant. Elle n’est alors plus qu’offerte, crucifiée, martelée sur ce matelas gonflable qui lui sert de tremplin vers les étoiles : " Iku ! Iku ! " J’y vais.
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Lieu


Vendredi 27 mai à 12h15





Vendredi 27 mai à 12h15







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Bonjour Je suis Avalokiteshvara Avez-vous une question ?
Conférence publique et gratuite par Agnès Giard, anthropologue, chercheuse associée au Sophiapol
Il existe au Japon une industrie de love dolls, des poupées grandeur nature conçues pour susciter le désir. Curieusement, ces produits sexuels haut de gamme se présentent sous la forme fantomatique de jeunes filles aux regards vides et aux corps incomplets… Est-il seulement possible de les « utiliser » ? Confrontant les humains à la question de la solitude, ces ersatz moulés dans les postures d’une attente sans fin, fournissent un modèle représentatif de ce qui est considéré comme excitant et attirant dans la société actuelle. En étudiant la façon dont ces love dolls sont fabriquées, vendues puis utilisées, Agnès Giard tentera de dégager quelques caractéristiques de la culture érotique japonaise contemporaine.
Musée national des arts asiatiques - Guimet
6, place d'Iéna, 75116 Paris
Hôtel d'Heidelbach
19, avenue d’Iéna, 75116 Paris
Musée d'Ennery
59, avenue Foch, 75116 Paris
Information : 01 56 52 54 33
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Gourmandes Lesbiennes
UN beau couple baiser dans le lit
Aux pieds de Lola Taylor

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