Entouré par la bête

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La faiblesse de sa voix. Cette fragilité qui émane de lui. Mon joueur de soccer. William l'Invincible. William qui s'est appelé William pour William Wallace dans Braveheart. Il ne m'a jamais paru si petit, si vulnérable. Cent-vingt km plus tard, nous sommes au Childrens Hospital. L'homme à la guérite du stationnement.
28. Okt. 2020 Belgique, années 50. Le jeune François grandit rejeté par ses camarades, car il est le fils bâtard d'un soldat allemand. Il recueille les animaux blessés qui croisent sa route et vit avec sa mère entour é d'une singulière de ménagerie qui illumine son quotidien. Un jour, il découvre une étrange créature semblant n'appartenir à aucune espèce connue.
La bête du lac On rapporte que les premières apparitions de la « bête du lac» remontent au début de la colonisation, vers 1874. Et depuis, la nouvelle se transmet de génération en génération. Le mystère qui entoure «Ponik» nourrit et enrichit l'imaginaire des petits et des grands.
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Regardez les mineurs. A Soma 301 mineurs sont morts en mai 2014, parce qu'ils travaillaient sans aucune sécurité, puis dans une autre mine, il y a eu 18 morts à Ermenek, pour les mêmes raisons, ensuite 2 par -ci, 3 par-l à, dont on ne parle pas trop…Le ministre a fait son apparition médiatique avec des larmes au coin de ses yeux de croco pendant que la police tenait violemment à ...
24. Juni 2022 Ce syndrome remonte à un fait divers datant de 1973 : lors d'un hold-up à Stockholm, les quatre employés de banque pris en otage par leurs ravisseurs se sont interposés entre les forces de l'ordre et leurs ravisseurs et sont même allés visiter ces derniers en prison par la suite.
Ou bien La Bête du Gévaudan (2003), téléfilm de Patrick Volson, entour é de Jean-François Stévenin et Guillaume Gallienne, qui reprend à la fois les hypothèses du loup et du fou sadique. En...
24. Juni 2022 L'œuvre de l'artiste Lekto est titrée : La Bête 2. Dans un premier temps, le Grand Avignon et la ville d'Avignon avaient refusé de l'effacer, au nom de la "liberté d'expression" et estimant que...
Compte Rendu : Le Monde Qui Nous Entoure . Recherche parmi 274 000+ dissertations. Par ch23 • 24 Février 2015 • 1 368 Mots (6 Pages) • 730 Vues. Page 1 sur 6. L'homme est en difficulté à comprendre un monde qui évolue très rapidement. Pour cela, les historiens, les scientifiques, les écrivains essayent d'appréhender l'évolution du ...
Par -delà la religion, est-il possible de penser la différence entre l'humain et l'animal autrement qu'en termes purement scientifiques ?Jan Hoeven, par courriel
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Publié le

09/08/2022 à 7:00


Décembre 1976. C’est l’hiver dans la plaine de Rambervillers, petit village en plein cœur des Vosges. Là, des forestiers font une découverte dont ils ignorent encore l’importance : les empreintes d’un animal inconnu. Car dans la région, un vrai carnage se prépare. Dans la nuit du 27 au 28 mars 1977, sept brebis sont retrouvées égorgées. Le 30 mars au soir, dix bœufs sont attaqués. Le 16 avril, un jeune taureau est égorgé. Dix-sept brebis et quatre agneaux sont tués le 27 avril, huit brebis le 5 mai, vingt-et-une le 6, six le 22 mai, trois le 2 juin… De mars 1977 à janvier 1978, plus d'une centaine de moutons, des vaches, un taureau et un poulain vont être retrouvés égorgés à Rambervillers, Châtel-sur-Moselle et La Bresse. Dans la population, une vive inquiétude s’installe et dans les médias, l’animal à l’origine du carnage devient « la Bête des Vosges ».
Mais de quelle bête parle-t-on ? On dirait qu'elle tue pour le plaisir : la plupart des carcasses ne sont même pas dévorées. S’agit-il d’un chien errant ? D’un loup ? D’un lynx ? « Un témoin parle d’une bête de soixante kilos aux oreilles noires, la queue pendante… On retrouve du poil, beaucoup pensent à un loup, mais personne ne sait avec certitude ce qui tue le bétail », raconte à Marianne le documentariste Robin Hunzinger, qui a réalisé en 2008 La Bête des Vosges, autopsie d’une rumeur *.
L’homme est né à Colmar, en Alsace. Il a 8 ans en 1977 et se souvient parfaitement de cette histoire que tout le monde raconte encore : « J’avais l’impression qu’on était comme dans une fable moderne, comparable à la Bête du Gévaudan. » Aux promeneurs et vacanciers, la préfecture recommande la plus grande prudence ; la Bête est là, mais personne n’est capable de la débusquer. Des battues sont pourtant organisées, on y croise tous les chasseurs du coin et les notables de la région. Le temps que le cortège se mette en route, la Bête est déjà loin.
Les médias font leurs choux gras de l’affaire. Le Tout-Paris journalistique fond sur les Vosges, s’installe sur place pour quelques jours dans l’espoir de neutraliser la créature, d’obtenir le meilleur témoignage. « On commence à avoir une information répétitive qui tourne en boucle sur l’histoire des moutons égorgés… On est presque dans "le Bal des vampires” », se souvient le documentariste. Le parisianisme, lui aussi, tourne à plein régime. En 1977, un article paraît dans L’Express . Les habitants de la Bresse y sont décrits comme « une communauté de 4 000 à 5 000 personnes repliées sur elles-mêmes, qui a longtemps vécu à l’écart, des marginaux, en somme [... ]. » « Ça a beaucoup marqué la population, ils s’en souviennent encore, témoigne Robin Hunzinger. C’est un peu comme dans l’affaire Grégory, les nouvelles vont vite déjà à l’époque, le fait divers prend de l’ampleur… Ça a été grossi et déformé par la presse parisienne. »
D’autant que l’affaire ne s’arrête pas là. Plus la Bête tue, plus les habitants s'inquiètent et plus la rumeur circule. La Bête ne serait pas un animal errant, tuant au hasard de ses déplacements. Elle est trop vicieuse, trop intelligente, massacre des dizaines d'animaux avant de s’évaporer mystérieusement. Aucune des battues ne permet de la retrouver… « C’est trop bien fait », témoigne un des habitants interrogé par Robin Hunzinger. Alors, naturellement, une conviction se répand : la Bête est dirigée, téléguidée par un individu mal intentionné. Un éleveur jaloux aurait-il dressé ses chiens à attaquer ses rivaux ? Des écologistes extrémistes auraient-ils ramené une bête exotique ou lâché un lynx, comme le disent certains ?
Les rumeurs se fixent bientôt sur un nom : l’industriel allemand Manfred Reinartz. L’homme possède le château d’Hadigny-les-Verrières et son domaine, une immense propriété de 900 hectares qu’il a fait encadrer de clôtures. La rumeur voudrait qu’il possède plusieurs animaux de chasse… et peut-être un couple de loups ? Les bêtes se seraient enfuies, ou pire : Reinartz les aurait dressées pour décimer les troupeaux alentour. Certains disent même qu’il les dirigerait grâce à des ultrasons. Pourquoi lui ? Les Vosgiens n’ont jamais vu d’un bon œil l’arrivée de cet Allemand sur une terre qui a tant souffert de la Seconde Guerre mondiale.
Par un malheureux hasard, Manfred Reinartz porte le même nom, à deux lettres près, qu’un général de la Wehrmacht qui a sévi dans la région : le général Georg-Hans Reinhardt, héros allemand de l’avancée des Ardennes, condamné pour crimes de guerre en 1948. Dans la grande propriété, l’autre Reinartz a fait dresser des miradors qui, pour certains, peuvent rappeler le traumatisme des camps. Le Nouvel Obs , à l’époque, écrit : « L’Allemand du grand domaine, dont le manoir est plein de trophées d’éléphants, de grizzlis, de buffles massacrés aux quatre coins du monde, monte chaque nuit la garde, avec son fusil à lunette, en haut des miradors qu’il a dressés dans la forêt. » Des miradors « de type Auschwitz » ose le journal.
Dès 1973, on parlait déjà du « boche » comme l’appellent certains. Dans La Liberté de l’Est , le journal local, on s’interroge sur son identité : « Peut-on croire l’avoir vu chez nous dans d’autres circonstances ? La chose est toujours possible. L’Association des Anciens combattants a fait savoir qu’elle suivrait de près cette affaire. » Le journal L’Humanité titre, en référence au domaine entouré de clôtures : « Vosges : une zone interdite aux Français ».
« Cette région a vécu une histoire particulièrement douloureuse à la fin de la guerre. Les troupes de la Wehrmacht ont combattu dans la région. Dans ce coin-là, la libération du massif des Verrières a été très difficile, il y a eu une répression terrible. Cinquante et un hommes ont été déportés dans le village d’à côté », rappelle à Marianne Robin Hunzinger. Une terre où l’histoire de la Seconde Guerre mondiale est encore très forte, le mythe du loup qui rôde dans les forêts à une époque où la France croit encore être débarrassée de l’animal, un Allemand reclus dans son domaine barricadé et la loupe grossissante des médias nationaux qui s’emparent de l’affaire… « Il y avait tout ce qu’il fallait pour fabriquer la légende de la Bête des Vosges », estime le documentariste.
Tout le monde cherche la Bête et tout le monde croit l’avoir identifiée : la bête, c’est l’autre, l’étranger, l’oppresseur. Pour les chasseurs, c’est Reinartz, le seigneur Allemand. « Ils ne lui ont pas pardonné d’avoir fermé son domaine avec de grandes clôtures, parce que le beau gibier ne peut pas s’échapper. Ils ne peuvent pas le chasser alors, c’est l’Allemand le coupable. Pour les écolos, ce sont les chasseurs eux-mêmes. » Pour certains éleveurs, ce sont les écolos qui ont réintroduit le lynx, ou quelque autre bête fantasmatique. « Chacun à sa thèse qui raconte son rapport à la nature, aux forêts vosgiennes. » La Bête elle, la véritable Bête, celle qui a tué, demeure à ce jour introuvable, non identifiée.
Vraiment ? Vingt ans plus tard, en 1994, les massacres reprennent. L’animal tue quelques dizaines de bêtes avant d’être identifié : une louve. Son corps est retrouvé le 19 mai 1995. En 2011, une quinzaine d’années plus tard, une quarantaine de moutons sont retrouvés morts en moins d’un mois. À nouveau, le spectre de la Bête surgit. La première Bête était-elle un loup, elle aussi ? « Un loup, un couple de loups… On ne le sait pas et on ne le saura jamais. Mais cette légende existe, elle est racontée, transmise, et joue son rôle. Elle a son utilité sociale », conclut Robin Hunzinger.
*Voir le documentaire La Bête des Vosges : autopsie d'une rumeur réalisé par Robin Hunzinger, disponible gratuitement du 8/08/2022 au 22/08/2022.

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Natacha Polony, directrice de la rédaction de Marianne


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