Entouré de sa pasison interdite

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Après « De là où tu es », Claire Vassé consacre un nouveau livre à sa passion ardente et interdite pour le cinéaste, qu’elle dédie à sa fille.
« Tu vois, même mort, il arrive à me faire rire, papa », dit Joséphine, 6 ans, après avoir regardé la scène de « l’Effrontée » où Charlotte Gainsbourg lance à Bernadette Lafont : « T’as qu’à bouger ton gros cul ! » Ce père, qu’elle n’a pas eu le temps de connaître et qui ne l’a pas reconnue, elle venait de découvrir son visage dans « l’Enfant sauvage », de Truffaut ; il poussait la brouette dans laquelle le petit Victor est hilare, un bonheur furtif qui fut refusé à Joséphine. Car elle avait 18 mois lorsque, en avril 2012, Claude Miller est mort d’un cancer du poumon, entouré de sa femme et de son fils, dans une chambre de l’hôpital Saint-Antoine, dont la porte était fermée à celle qui fut son amour clandestin et la mère de Joséphine.
A sa passion ardente et interdite pour le cinéaste de « Dites-lui que je l’aime », de vingt-huit ans son aîné, Claire Vassé a déjà consacré un livre, « De là où tu es » (Stock, 2012) . Si elle la raconte à nouveau dans « A partir de toi » ( Editions La Mer Salée, 18 euros ), c’est que Joséphine a grandi et qu’elle veut partager avec elle le souvenir de Claude Miller dont, pour l’une comme pour l’autre, l’absence est omniprésente. La mère ne veut pas que sa fille souffre d’être sans père officiel, légitime. La fillette observe sa mère tenter, en vain, de refaire sa vie, d’aimer d’autres hommes.
Bientôt (elle n’a que 11 ans et demi), Joséphine pourra lire ce récit, où sa mère tutoie son père et ne regrette rien :
En fait, Claire Vassé n’écrit que pour ça : continuer à parler au disparu afin de l’empêcher de disparaître tout à fait. Elle n’a pas eu le droit de lui tenir la main à l’hôpital ni de le voir mort, elle peut donc lui raconter Joséphine, comme s’il était retenu par un tournage à l’étranger et demandait à être informé de l’évolution, des vacances, des rêves, de la scolarité de sa fille, dont l’instituteur, usant d’une métaphore, avait lâché : « Son petit sac à dos est très chargé. »
Dans ce livre touchant où elle en appelle à la physique quantique et veut croire à la présence palpable des fantômes, Claire Vassé ne cède jamais à la nostalgie, elle réussit au contraire à distendre le temps, faire du passé un avenir, et surtout rendre un père à sa fille. A la fin, on imagine même qu’il la pousse dans une brouette et qu’ils rient. Immortelle randonnée.
Paru dans « L’OBS » du 20 janvier 2022.

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Source : http://www.ruedux.com/








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Journal d’une passion interdite





Publié dimanche 2 juin 2013 à 22:56

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La Genevoise Monique Barbey a aimé en cachette le général français Pierre Koenig à la fin de la guerre. Son fils publie le journal de cet amour, «Il n’y a qu’une façon d’aimer»
Sur la couverture d’ Il n’y a qu’une façon d’aimer , qui paraît ce jeudi, une femme élégante et belle. Passé cette impression de surface, quelque chose dans le dessin des lèvres et du nez, dans le regard aussi, laisse deviner une détermination hors norme. Il s’agit de la Genevoise Monique Barbey, petite-fille de Gustave Ador.
Il n’y a qu’une façon d’aimer , qui paraît chez Alma éditeur, contient de larges extraits du journal intime que Monique Barbey a tenu sa vie durant. C’est son fils, Barthold Bierens de Haan, psychiatre à Paris, qui s’est chargé de transcrire les écrits de sa mère et de sélectionner et présenter les extraits. Il a retenu les années de guerre et jusqu’au début des années 1950. Ces années-là, Monique Barbey, onzième enfant d’une grande famille protestante, désireuse de suivre le modèle de haute spiritualité de sa mère, verra sa vie intérieure bouleversée par un amour interdit.
Londres, 20 juillet 1944. Monique Barbey et son mari, le Hollandais Barthold Bierens de Haan, assistent au mariage d’une amie. Monique a alors 34 ans et s’est engagée un mois plus tôt dans les troupes féminines de l’armée néerlandaise en Grande-Bretagne, les VHK. Barthold travaille pour le gouvernement hollandais en exil. Monique a laissé leurs trois enfants à Genève, chez ses parents. Ce jour de juillet donc, le soleil tape. Pendant la cérémonie, à l’église, Monique a tout de suite remarqué l’arrivée d’un officier français. Elle demande doucement qui est cet homme qui rit en se frottant les mains comme s’il venait de faire une bonne farce. C’est Pierre Koenig, le héros qui, deux ans plus tôt, à la tête d’une troupe de légionnaires, a résisté à l’assaut de l’Afrikakorps de Rommel à Bir Hakeim.
Plus tard, dans le jardin, sur un banc, Monique et Pierre Koenig font connaissance. Le coup de foudre est réciproque. Ils s’aimeront secrètement pendant trois ans.
Campagne genevoise, février 1994. Monique Barbey a 83 ans. Elle est veuve depuis 1952 et ne s’est jamais remariée. C’est la fin de la journée. Elle rentre chez elle après la répétition générale de La Visite de la vieille dame , la pièce de Dürrenmatt. C’est elle, évidemment, qui joue la vieille dame, entourée par 40 comédiens. La première a lieu dans quelques jours au Théâtre Pitoëff. Monique Barbey doit y penser sans doute en conduisant. Sa voiture est violemment percutée par un 4X4. Elle est tuée sur le coup.
C’est en triant les affaires de leur mère que ses enfants tombent sur 82 carnets d’où s’échappent des lettres, des coupures de presse, des cartes, des citations. «Les réflexions d’une petite-bourgeoise en mal d’amour n’ont aucun intérêt», lance l’un d’eux. Barthold est le seul parmi ses frères et sœurs à trouver un intérêt à ces textes. Le tout est rangé dans un carton. Barthold s’y plongera huit ans plus tard, pressentant qu’il doit écouter ce que sa mère avait à dire.
Il découvre alors sa grande passion pour Pierre Koenig. «Elle nous parlait de son admiration pour lui, évoquait un béguin. Mais jamais je n’avais pu entrevoir l’intensité de leur amour. La passion, elle l’avait cachée jusqu’au bout», explique aujourd’hui Barthold de Bierens.
Qu’a-t-il ressenti face à cette découverte? «Un vrai bonheur. Et un soulagement aussi. Au fil des pages, je découvrais une mère de chair, vraie, authentique. Devant nous, elle masquait sa vérité derrière une personnalité très rigide et contrôlée. Elle avait un idéal du moi très élevé. Elle valorisait plus que tout l’exigence spirituelle. En fait, derrière la statue du commandeur se tenait Alice au pays des merveilles.»
Le côté sombre de la découverte se tient du côté du père dont le fils porte le prénom: «Je me reconnais dans l’attitude de mon père. Je n’ai pas la preuve qu’il était au courant de la liaison de sa femme avec Koenig. Mais je ne peux pas imaginer qu’il ne savait pas. En bon Hollandais, il tenait à laisser sa femme libre.»
Monique Barbey voulait écrire depuis l’adolescence. Elle sait retranscrire les dialogues, planter les scènes et les personnages. Au début du journal, elle est tancée par sa mère et son frère Eric, outrés par son projet de rupture de fiançailles avec Barthold. Monique est bouleversée par leur absence d’empathie. Elle ne peut toutefois envisager une quelconque rébellion. On retient aussi la transcription du coup de foudre avec Koenig, sa grande lucidité dans les tourments qui suivront, la description du lent désamour qui fait place à l’emportement amoureux. De son histoire avec Koenig, Monique Barbey a longtemps voulu faire un roman. Son journal en restera l’esquisse inspirée .
«Il n’y a qu’une façon d’aimer» , Monique Barbey, (Alma), 426 p.
«Derrière la statue du commandeur se cachait Alice au pays des merveilles»
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Quelles sont les différentes passions et comment s’en servir ?

Accueil > Articles divers > Quelles sont les différentes passions et comment s’en servir ?
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Parce qu’être soi n’est pas négociable.
Après avoir obtenu mon Master en Sciences à l’Université de Nantes en 2009, je travaille pendant 4 ans en tant qu’ingénieur d’études auprès des plus grands noms français de l’aérospatiale, du nucléaire et du militaire. En février 2012, alors que je ne trouve plus aucun sens dans mon métier, je crée Penser et Agir. C’est ainsi que je renoue avec mes passions : la psychologie, le développement personnel et l’entrepreneuriat. J’adapte à la psychologie et au développement personnel la logique et la structure des raisonnements que j’ai acquis en tant qu’ingénieur d’études pour créer ma propre approche : Le développement personnel par l’Action.

Aujourd'hui, Penser et Agir, c'est plus de 100 000 visiteurs par mois, plus de 150 000 abonnés à la newsletter et plus de 3 000 personnes qui m'ont déjà fait confiance en suivant mes programmes en ligne. Pour en savoir plus : Qui est Mathieu Vénisse ?
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Lorsqu’on parle de passion, on a certainement tous une idée dans la tête. Elle est peut-être abstraite, mais elle est là. Les grands philosophes ont d’ailleurs chacun leur manière de définir ce terme. Si pour Descartes, la passion se rapporte notamment à l’état affectif et s’oppose à l’action, Bossuet la voit plutôt comme un « mouvement de l’âme ». À un niveau élémentaire, on peut toutefois tout simplement dire qu’elle représente un sentiment ou un désir intense. Mais saviez-vous que comprendre les différentes passions peut également vous aider à atteindre l’épanouissement personnel ? Après tout, « Tout ce qui n’est pas passion est sur un fond d’ennui » (Henri de Montherlant). Vous pouvez par exemple vous en servir pour trouver votre voie et mieux appréhender l’avenir.
Dans cet article, je vous donne tous les secrets pour découvrir le vôtre et l’utiliser à bon escient. Mais avant, découvrons quelques notions de base.
« Passion » se retrouve un peu partout aujourd’hui. Surtout dans le cadre du développement personnel. Les différentes passions constituent effectivement un levier d’épanouissement important . Cependant, il s’agit aussi d’un terme qu’on utilise souvent à tort et à travers. Si je vous demande aujourd’hui de me dire ce qu’elle évoque en vous, vous me diriez sûrement un ensemble d’émotions fortes qui vous attirent vers un être humain, un objet, un loisir ou un concept. Néanmoins, c’est bien plus que cela.
Par exemple, « passion » vient du latin « patior/pati » qui signifie « souffrance » . Bien loin de son usage actuel alors… Kevin Hall, dans son livre Aspirer , aborde d’ailleurs les différentes passions comme une « volonté de souffrir pour ce que vous aimez ». C’est peut-être pour cette raison aussi qu’on aborde habituellement la « passion destructrice ».
Toutefois, il serait difficile de mettre de côté l’évolution de ce terme au fil des années. Bien qu’elle ne se limite pas à un simple sentiment, il convient effectivement de préciser que la passion, selon une définition simple du dictionnaire, se réfère à « un état affectif et intellectuel, violent, puissant qui domine la raison ». De nos jours, la plupart d’entre nous utilisent les différentes passions pour désigner des émotions fortes reflétant un désir intense ou un enthousiasme sans limites. C’est d’ailleurs là tout son intérêt.
Gaël Crutzen disait notamment « Réaliser ses passions est la clé du bonheur ».
Quant à Michel Godet, il était d’avis que « Sans la raison, la passion est aveugle, et sans la passion qui anime le projet, la raison ne mène nulle part ». La passion peut ainsi réellement être décrite co
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