Enseignante géante

Enseignante géante




⚡ TOUTES LES INFORMATIONS CLIQUEZ ICI 👈🏻👈🏻👈🏻

































Enseignante géante

Ne pas utiliser de caractères spéciaux (/ " - #...)

"Je suis en train de perdre ma santé…

Bien que nous ne nous en rendions pas toujours compte, le langage que nous utilisons au quotidien peut ne pas être acceptable pour certaines personnes. Nous faisons référence à tous les cas où les…
L'enseignement est bien plus qu'un simple métier : ce devrait être une véritable vocation. C'est pourquoi il ne convient pas à tout le monde, car si on peut construire de grandes choses et avoir des élèves formidables, même la personne la plus motivée du monde peut changer d'avis.
C'est ce que démontre Jessica Gentry , une maîtresse de maternelle américaine de 34 ans qui, après douze longues années de bons et loyaux services, a décidé de publier son point de vue sur le sujet de l'enseignement. Son épanchement extrêmement sincère sur les raisons qui l'ont amenée à tout arrêter a suscité des milliers de réactions, et c'est pourquoi il est intéressant d'en savoir plus à ce sujet.
Auriez-vous le courage de laisser derrière vous la profession que vous avez toujours exercée et aimée, avec passion et dévouement ? Dans le cas de Jessica, c'était exactement comme ça : la jeune enseignante n'a pas renoncé à un emploi saisonnier ou de passage, mais à toute une carrière. Les raisons ? Beaucoup plus complexe que nous le pensons, que nous soyons d'accord ou non avec elles.
Commençons par dire que ce n'était pas un choix dicté par l'aspect économique. Tout d'abord, Jessica ne sera plus enseignante à cause des parents : selon elle, ce ne sont pas les enfants qui ont changé, mais les parents qui ont modifié leur comportement vis-à-vis de leurs enfants . Travail, réseaux sociaux, échanges de plus en plus virtuels et limités : la situation n'est plus ce qu'elle était il y a des années, ce qui a inévitablement eu des répercussions sur les enfants et l'école.
À propos de la relation des enfants avec la technologie , Gentry a poursuivi en disant que "même l'école, de plus en plus technologisée et désireuse de faire devenir les enfants technologiques, contribue à faire oublier les bases des relations humaines et de l'apprentissage". Il est difficile de lui donner tort sur cet aspect : il suffit de regarder autour de soi pour constater que de plus en plus d'enfants, même très jeunes, ont accès à des appareils qui, au final et selon de nombreuses études, causent des dégâts.
Ces mêmes écoles, selon Jessica, estiment qu'elles ont raison d'investir et de tout miser sur le progrès technologique, même si cela enlève du temps à l'enseignement "classique" en face à face , celui qui se fait en classe et sans l'utilisation d'appareils électroniques.
Dans tout cela, la relation enseignant-parent devient de plus en plus complexe et inégale. "Nous, les enseignants, sommes trop au service des parents. J'en suis arrivée à un point où j'ai des parents qui me critiquent sévèrement pour avoir dit non à leurs enfants, me disant que je ne devrais le faire sous aucun prétexte".
Toutes ces motivations ont conduit Jessica Gentry à vivre une véritable dépression mentale et physique . Un engagement sans reconnaissance, la frustration conduisent au stress, surtout lorsque l'on ne reçoit pas de soutien, même pas de la part des collègues ou des supérieurs. C'est pourquoi, malgré son énorme passion, son dévouement et son honnêteté, Jessica a décidé de baisser les bras. Ce n'est pas seulement une défaite personnelle, mais aussi une défaite pour l'enseignement en général, car cette femme de 34 ans n'est certainement pas la seule à ressentir cela.
En témoignent les milliers de réactions que la publication a reçues , la plupart d'entre elles en faveur de Jessica Gentry. Un soutien si fort qu'il motive la jeune femme à donner la parole à de nombreux autres enseignants comme elle, dans l'espoir de créer un véritable changement.
Que pensez-vous de la pensée de cette maîtresse ? Le système scolaire vit-il les conditions qu'elle décrit ?

Tous les jours, nous lisons, sélectionnons et racontons les histoires les plus intéressantes et surprenantes du web.
Cliquez sur "j'aime" et ne manquez pas les meilleures.

Ne pas utiliser de caractères spéciaux (/ " - #...)

Une enseignante dénonce les parents…

Être une mère, c'est toujours essayer de faire ce qui est juste, bon et meilleur pour ses enfants, sans heurter leur sensibilité. Mais nous sommes tous des êtres humains et, en tant que tels, nous…
Les personnes qui décident de devenir enseignants sont animées par des motivations très nobles qui ne relèvent pas simplement de l'amour de leur matière. Ceux qui pensent qu'être enseignant est un métier facile se trompent : être en contact quotidien avec les jeunes est une grande responsabilité. Les enseignants - avec les parents - ont un grand rôle à jouer dans l'éducation des jeunes, et eux aussi ont pour mission de transmettre des valeurs, d'apporter un soutien, de proposer de nouveaux points de vue. Julia Marburger est une enseignante qui a pris une décision difficile à cause du comportement impoli de ses élèves.
La femme, une enseignante de sixième au Cedar Creek Intermediate School au Texas, a écrit un message virulent sur Facebook où elle affirmait en avoir assez de tous les enfants qui faisaient de ses cours un véritable enfer . Qui est à blâmer ? Selon Julie, ce sont les parents qui ne leur ont pas appris les bonnes manières et le respect. Dans le post, elle partage ce qu'elle a vécu pendant ces années d'enseignement et dit vouloir quitter l'école. Pourquoi les enfants sont-ils irrespectueux ? Parce que les parents le sont. Pour étayer son idée, la femme décrit un événement réel qui s'est produit : un parent, affirmant que l'enseignante ne devrait pas tenir les parents responsables du comportement de leurs enfants, s'est adressé à elle de manière grossière devant d'autres personnes.
Julia a également partagé des photos, montrant comment les élèves ne respectent pas les biens de l'école ou des enseignants : livres déchirés, instruments détruits, chewing-gum collé à la fenêtre. La femme a finalement conclu son post par un message, qui, elle l'espère, interpellera les parents : ils doivent cesser de choyer et d'aider leurs enfants, ce n'est pas juste pour la société, et ils doivent cesser de faire comprendre à leurs enfants que leur comportement est acceptable.
La passion de Julia pour son travail lui a été arrachée par ces comportements : la colère, la frustration et l'épuisement causés par les comportements qu'elle était forcée d'endurer ont pris le dessus. Son message a été partagé et commenté par de nombreuses personnes, dont beaucoup partageaient ses idées. Qui a raison ? Les enseignants peuvent-ils faire ce que les parents ne font pas ? Où s'arrête la responsabilité de ces derniers et où commence celle de l'école ?

Tous les jours, nous lisons, sélectionnons et racontons les histoires les plus intéressantes et surprenantes du web.
Cliquez sur "j'aime" et ne manquez pas les meilleures.

Canicule : la France face à une 3e vague de chaleur
Incendies, restrictions d'eau : une sécheresse d'ampleur
Suicide d’Evaëlle : la prof de la collégienne harcelée répond aux accusations dans "Sept à Huit"
Publié le 7 juin 2021 à 9h50, mis à jour le 7 juin 2021 à 10h08
Personnalisez votre expérience TF1 Info et créez votre JT rien que pour vous.
International L'écrivain Salman Rushdie poignardé à New York
Environnement Opération sauvetage pour un béluga coincé dans la Seine
Police, justice et faits divers Rodéos urbains
Parce qu'elle ne supportait plus le harcèlement scolaire, Evaëlle, jeune collégienne de 11 ans, a mis fin à ses jours à Herblay (Val-d'Oise) le 21 juin 2019. Plus d'un an plus tard, fait rarissime, sa professeure de français a été mise en examen, avec interdiction d'exercer et une obligation de soins, ainsi que trois élèves de sixième, âgés de tout juste 11 ans. 
Depuis le drame, la douleur est toujours aussi vive pour ses parents. "Elle est rentrée comme d'habitude. On devait faire les valises pour partir le lendemain pour les grandes vacances. Elle est allée prendre sa douche, je l'entends encore aller dans sa chambre. Elle a dû rester 15 à 20 minutes toute seule. Et puis mon mari est allé lui apporter la panière de linge propre pour faire la valise, et là il l'a trouvé. Je l'ai entendu dire : 'mais qu'est-ce que tu as fait ?' Elle était dans ses bras, il essayait de défaire le nœud. Je l'ai aidé. On a appelé les secours, mais on nous a expliqué que c'était fini" , raconte sa mère, étranglée par les sanglots, dans l'enquête de "Sept à Huit" en tête de cet article. 
Le cauchemar d'Evaëlle, décrite comme "précoce et hypersensible" par ses parents, avait débuté dès la rentrée 2018. La jeune fille, entrée en sixième dans un collège de cette ville pavillonnaire de 30.000 habitants, entretenait des relations parfois conflictuelles avec ses camarades. Ses parents s'en étaient rendus compte quand un soir de novembre, Evaëlle avait tenté de mettre le feu à une poutre dans leur cuisine. "Je vois des traces de flamme, donc on lui dit : 'tu te rends compte tout le monde peut mourir'. Et là elle m'a répondu : 'Mais non je veux juste mourir moi'. C'est là qu'elle nous dit que dans sa classe, ses camarades l'embêtent beaucoup" , explique son père.
Les insultes, les brimades et les bousculades s'étaient répétées à de nombreuses reprises dans cette classe de sixième difficile obligeant le directeur à convoquer tous les parents d'élèves. À cette occasion, les parents d'Evaëlle avaient découvert que leur fille était aussi dans le collimateur de la professeure de français qui avait fait d'elle sa "tête de turc". L'adolescente avait particulièrement mal vécu deux séances de vie de classe spécialement dédiées à son cas, sur le thème : "Pourquoi Evaëlle se sent-elle harcelée ?". "Ça a viré au tribunal populaire", avait alors confié son père à l'AFP.
Le harcèlement dont leur fille était victime était monté d'un cran quand, un jour, un collégien était allé jusqu'à la pousser sur la chaussée quand arrivait le bus. Après cet incident, les parents avaient décidé de changer Evaëlle de collège. Malgré cela, la jeune fille, suivie alors par un psychologue, mettait fin à ses jours quatre mois plus tard. Le lien entre le harcèlement supposé et son suicide n'est pas établi. Selon l'enquête en cours, le jour du drame, elle aurait eu une embrouille avec son petit copain, ce qui aurait pu aussi précipiter son geste. 
Placée sous contrôle judiciaire, la professeure de français, soupçonnée de harcèlement, a décidé de s'exprimer pour la première fois sur cette affaire. Cette quinquagénaire expérimentée, enseignante de l'Éducation nationale depuis 33 ans, est désireuse de "laver son honneur" , dit-elle. "Je n'ai jamais eu de problème avec Evaëlle" , lâche-t-elle. "Je l'avais cinq heures par semaine. En revanche, je me suis rendue compte assez rapidement de certaines difficultés de cette enfant. Elle était à l'aise à l'oral, en difficulté à l'écrit, ce qui provoquait chez elle des accès de colère incontrôlables. Ce qui n'était pas facile" , souligne-t-elle. Et de poursuivre : "En même temps, ce n'était pas un cas exceptionnel, mais il aurait fallu mettre en place un accompagnement adapté pour l'aider. C'est ce que j'ai proposé, mais c'est ce que la mère a refusé, et ce qui m'a effectivement amené à avoir des problèmes avec la mère d'Evaëlle" . 
La professeure conteste tout harcèlement. Elle nie également avoir consacré une heure de cours aux problèmes d'Evaëlle, ce que la fillette aurait ressenti comme une humiliation. "Ce jour-là, les élèves sont arrivés à mon cours extrêmement agités. Ils sortaient d'un cours d'EPS où une dispute avait eu lieu entre plusieurs élèves dont Evaëlle. J'ai voulu comprendre et je leur ai laissé la parole" , reconnaît-elle. Malgré tout, certains anciens élèves rapportent des propos blessants, parfois limites et un enseignement à la baguette. "Elle nous avait rendu les copies d'une dictée où j'avais eu zéro et donc elle a montré ma copie devant la moitié de la classe, en montrant que j'avais eu une mauvaise note. Donc, je m'étais mise à pleurer en essayant de ne pas trop lui montrer" , se rappelle l'une d'elle. "Elle nous traitait souvent de crétins, d'abrutis quand on avait des difficultés sur certains points ou quand on n'arrivait pas à travailler tout seul", renchérit un autre.
Evaëlle n'aurait pas été la seule à souffrir des propos de la professeure de français, une autre maman explique que son fils a sombré dans la dépression : "Dès le début de l'année scolaire, j'ai remarqué un comportement différent chez mon fils. Il avait l'air plus malheureux, plus distant. Et apparemment, il avait des petits soucis en cours de français. Il s'agissait de petites phrases maladroites : tu es bête, tu es nul. Les six premiers mois, il pleurait tous les soirs. Ensuite, il s'est mis à pleurer carrément soir et matin", témoigne-t-elle au téléphone. Cette maman a aussi déposé plainte. 
Pour l'avocate des parents d'Evaëlle, l'enseignante aurait mis en place un système de mépris et d'humiliation. Professeure sadique ou enseignante stricte et sévère ? L'intéressée revendique ses méthodes pédagogiques : "Concernant ma façon de m'exprimer, évidemment que je peux entendre que selon la personnalité de certains élèves, un mot, une phrase peut, à un moment donné, être mal perçu et c'est normal. Être un professeur strict ne me semble pas être, surtout aujourd'hui, un défaut. On peut être stricte et à l'écoute des élèves. C'est d'ailleurs ce que les inspecteurs et les chefs d'établissement ont toujours souligné" , lance-t-elle. De son côté, le rectorat de Versailles, qui a ouvert une enquête, a conclu à "une certaine forme de rigidité dans ses méthodes pédagogiques".
La justice, elle, l'a mise en examen pour "harcèlement sur mineur de 15 ans", ainsi que pour "harcèlement" sur trois autres collégiens, après des plaintes qui ont toutes été déposées après le suicide d'Evaëlle. Le procès devrait se tenir d'ici à deux ans. Les parents d'Evaëlle espère des réponses, mais surtout des sanctions. La professeure risque trois ans de prison avec sursis et 30.000 euros d'amende. Quant aux trois collégiens incriminés, ils ne pourront écoper que de mesures éducatives. 

Elle se penche en échange d'argent
Gode jaune planté dans les fesses en webcam
Amy Reid veut se faire démonter

Report Page