Enseignant et élève Japonais

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Avec l’appétence croissante des jeunes Français depuis les années 1990 pour les mangas, et plus largement la culture japonaise , la langue japonaise fait l’objet d’un engouement considérable chez les élèves de collège et lycée, mais aussi à l’université. En 2016, on comptait déjà plus de 6000 jeunes qui étudiaient le japonais dans les établissements publics et privés.
Avec la création d’un CAPES externe de japonais il y a plusieurs années, nul doute que les professeurs de japonais ont un bel avenir devant eux et se feront de plus en plus nombreux au fil des années. Zoom sur ce métier, ses missions et ses évolutions possibles. 
L’enseignant de japonais est un expert de l’idiome nippon, qui compte plus de 120 millions de locuteurs dans le monde, vivant pour le plus grand nombre d’entre eux dans le pays du soleil levant : le Japon. Le professeur de japonais en France a donc pour mission de transmettre sa connaissance de la langue japonaise , aussi bien en termes de compréhension que de pratique écrite et orale. 
Au-delà des heures passées avec ses élèves, le professeur de japonais prépare longuement ses cours , notamment lors de ses premières années d’exercice. Il doit également régulièrement corriger les différents devoirs qui lui sont rendus par les élèves dans un temps restreint. 
Comme tout autre professeur, le professeur de japonais maîtrise parfaitement la langue nippone . Mais être expert dans son domaine ne suffit pas. Il faut vouer un véritable intérêt pour l’enseignement et être pédagogue. Pour pouvoir proposer des cours clairs et attractifs à ses élèves, il se doit d’être rigoureux et organisé. 
Face à un public de tout âge, il est nécessaire d’avoir un bon sens du contact , disposer si possible d’une pointe de créativité et surtout savoir faire preuve de patience, particulièrement avec les enfants et les adolescents. 
Le métier de professeur, tous domaines confondus, n’est pas de tout repos : il est ainsi essentiel d’avoir une bonne résistance au stress ! 
Pour devenir enseignant en langue nippone, il est nécessaire d’étudier au moins jusqu’en bac+4 en suivant :
Après ces études en japonais , il est alors possible de se tourner vers les concours de l’Éducation nationale pour devenir enseignant certifié, notamment le CAPES (Certificat d’Aptitude au Professorat de l’Enseignement du Second Degré) qui permet d’ exercer dans les collèges et les lycées. 
Pour enseigner à l’université , il est cependant essentiel de poursuivre ses études au-delà du bac+4 ou du bac+5 , et de se lancer dans un doctorat. 
Tout comme un professeur d’anglais , d’espagnol , d’allemand , d’italien ou même de chinois , l’enseignant de japonais dispose d’une rémunération variable selon l’établissement où il exerce et s’il est agrégé ou non. En début de carrière, son salaire net mensuel est généralement d’environ 1500 euros . 
Après de nombreuses années d’expérience dans un lycée ou un collège, le professeur de japonais peut tenter de devenir directeur d’établissement scolaire . 

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Vous êtes ici: Home > Trois Quatorze > Reportages > Le système scolaire au Japon
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Deux ans en arrière, Trois Quatorze lance auprès de tous ses participants au programme d’une année scolaire à l’étranger, une enquête sur les lycées étrangers. Cette enquête porte sur les structures, les horaires, les relations et les objectifs des différents systèmes éducatifs. L’idée est que chaque jeune nous présente l’école (au sens large) au sein de laquelle il vit et étudie pendant toute une année. Aux informations purement techniques s’ajoutent des commentaires personnels des élèves (différences avec le système français, atouts et complémentarité des enseignements). Après avoir présenté les écoles de Russie, d’Afrique du Sud, d’Allemagne, des États-Unis (N°29) de Suède et de Chine (N°30) puis du Canada, Trois Quatorze lève le voile sur l’école japonaise.
Une seule participante PIE étudie cette année au Japon. Notre enquête est menée à partir de son témoignage et de celui de certains anciens. Pour compléter l’information, « Trois Quatorze » a également fait appel à Azusa, une jeune Japonaise qui passe actuellement une année en France.
En bien des points, le système scolaire japonais ressemble au système scolaire français. S’il suit le cursus classique, le jeune Japonais entre à l’école primaire – Shagako – à 7 ans et en sort à 13 ans (6 années). Il va ensuite au collège – Chugako – entre 13 et 16 ans, puis au lycée – Kookoo – entre 16 et 18 ans.
L’école japonaise est très sélective. Le tronc commun classique est donc difficile à suivre. « Ici, l’école est un véritable parcours du combattant », nous dit une participante. « Tous les jeunes Japonais n’en viennent pas à bout, loin de là » nous dit une autre. Et d’ajouter : « C’est un peu comme en France. » En cours de route, nombre d’élèves sont en effet réorientés vers des filières professionnelles.
On notera que si, aujourd’hui, une majorité de « kookoo » (lycées) sont mixtes, tous, loin de là, ne le sont pas. Ils restent donc des écoles pour filles et des écoles pour garçons.
Les trois années de lycées (autrement appelées première, deuxième et troisième années) sont ponctuées de nombreux examens : un examen principal à la fin de chaque trimestre, un autre en milieu de trimestre.
Le système de notation est assez particulier – il s’agit en fait d’un pourcentage (la note globale est calculée sur une base 100) établi à partir de plusieurs critères.
L’esprit de compétition est fort. Il domine l’école japonaise et influence beaucoup les mentalités. « On se bat pour être la meilleure de la classe. » Après chaque examen, les résultats sont affichés dans les classes. Les noms apparaissent en fonction de la note obtenue (de la meilleure à la moins bonne).
Le « Daigakenyugakehigun » est un diplôme d’entrée à l’université. Non seulement il conclut le long cycle d’études secondaires, mais il oriente également le cursus universitaire (matière, type d’université et niveau). Il s’agit en fait d’un concours déguisé.
Ce « concours » est déterminant pour la suite des études des jeunes Japonais – déterminant aussi pour leur avenir professionnel. « J’ai sincèrement l’impression que toute la vie des lycéens japonais est déterminée par une réussite ou un échec à cette épreuve. » On comprend alors qu’à l’image des jeunes Français, les jeunes Japonais semblent obnubilés par cet examen. « Ils n’ont que cela en tête » nous dit une participante. « Beaucoup de collégiens et de lycéens suivent des cours, après l’école, pour être sûrs de réussir le concours et de pouvoir entrer dans les universités ou écoles qui les intéressent. »
L’école au Japon débute en avril. Le fait est original. C’est même, à notre connaissance, un cas exceptionnel dans l’hémisphère nord. L’année est divisée en trois trimestres (avril-juillet / septembre-décembre / janvier-mars). Les vacances principales (celles qu’en France nous appelons grandes vacances) séparent le premier et le deuxième trimestre – elles ont lieu en août et durent un mois environ. D’autres vacances sont programmées entre chaque trimestre, à Noël (15 jours), et à la fin de l’année scolaire (3 semaines). Les Français jugent que cela est trop peu : « Les vacances sont rares, pas plus de deux mois par an, mais heureusement il y a beaucoup de jours fériés et de journées d’école consacrées à des activités extrascolaires (visites et autres…).
Les élèves japonais ont cours du lundi au vendredi, généralement de 8 h 30 à 15 h 30 et deux samedis par mois (le 1er et le 3e, de 8 h 30 à midi). Les cours durent 50 minutes et sont entrecoupés de pauses de cinq minutes. La coupure prévue pour le repas de midi est de 35 minutes. Le rythme, de prime abord, paraît donc supportable. Mais les choses ne sont pas si simples : « Ici on ne peut pas se fier aux horaires officiels, car les élèves ont un tel souci de réussite qu’ils passent leur temps à prendre des cours supplémentaires. » En réalité, les cours commencent souvent plus tôt le matin (« il n’est pas rare que les profs me convoquent à 7 h 30 » dit une participante), et ils s’achèvent plus tard (rarement avant 16 h 30 – « sans compter que beaucoup d’élèves restent en étude »). Les choses se compliquent encore, dans la mesure où beaucoup de journées libres et de week-ends sont consacrés aux devoirs ou aux cours particuliers. » Une participante française note que « certains travaillent pendant les vacances, quelquefois la veille et le jour même de Noël ! »
Le rythme réel est donc très soutenu. D’autant qu’au travail s’ajoute toujours une obligation de résultat – obligation qui engendre, aux dires de tous nos témoins, une bonne dose de stress et de fatigue.
Jusqu’à la fin de la première année de « kookoo », toutes les matières sont obligatoires. Ces matières sont : Japonais, Maths (Analyse et Algèbre), Anglais, Sciences, Sciences sociales (Histoire, Économie, Géographie), Sport et Art.
Au début de la seconde année, l’élève choisit entre deux branches (section scientifique ou section littéraire) mais on ne lui propose quasiment aucune matière à option. Certaines écoles, en revanche, sont plus axées sur les langues, et d’autres plus orientées sur les sciences.
Toutes les matières semblent revêtir la même importance. Si hiérarchie il y a, elle semble « favoriser légèrement le Japonais, les Maths et l’Anglais ».
Les Français apprécient qu’une place importante soit réservée aux arts (aux arts plastiques en général et à la peinture en particulier, à la danse et à la musique). « L’art est une matière à part entière, qui a toute sa place dans l’éducation et la formation du jeune Japonais. »
La place réservée au sport est importante aussi. « Dans mon école, précise une de nos enquêtrices, on peut faire du volley, du badminton, du « Lacrosse », du tir à l’arc, du flipper, du base-ball, du soft-ball, du football, de la gymnastique… ».
Ici, tradition et discipline sont les maîtres mots. Tout est très hiérarchisé – les droits des élèves, des professeurs ou du proviseur sont très différents. « Au début et à la fin de chaque cours les élèves doivent une révérence aux professeurs. De même, les élèves et les professeurs font la révérence au proviseur du lycée quand ils croisent. Ce dernier est une personne très respectée. » Une participante prétend que « l’élève n’a aucun droit, sinon celui de venir à l’école et d’être éduqué. On lui demande de porter l’uniforme, d’avoir une coupe de cheveux parfaite, des ongles courts, de ne porter aucun bijou, ni maquillage, un point c’est tout ! » Une autre participante ne voit pas les choses ainsi : « C’est vrai que la discipline est stricte, mais il y a un grand respect entre professeurs et élèves. Je trouve pour ma part que les relations sont beaucoup plus détendues qu’en France, et moins stressantes. » « Les professeurs vous soutiennent, vous épaulent, ils ont un vrai souci par rapport à votre avenir. Je dirais qu’ils agissent plus comme des parents. Ici ils vous protègent. On ne peut absolument pas comparer avec l’attitude des professeurs en France. »
Si l’esprit de compétition « entraîne de grosses rivalités entre les élèves quant aux résultats », il n’en reste pas moins vrai que « l’atmosphère, en classe, est très cordiale, très chaleureuse. » La photo ci-dessus est là pour confirmer ces dires et témoigner du sens de l’accueil des élèves Japonais.
Nos enquêteurs, quand ils évoquent les objectifs de l’école japonaise, s’accordent pour dire qu’ils sont assez proches de ceux de l’école française : « soucis d’acquérir du savoir et des connaissances », de mener à bien les commentaires de texte et les analyses. De l’avis de tous, ces objectifs sont d’ailleurs atteints. Nos participants jugent en effet que le niveau est assez relevé. Mais attention, ce niveau est souvent atteint au détriment de l’équilibre de l’élève (« trop de travail »). Les Français regrettent la place trop importante faite aux cours magistraux (« le professeur parle et les étudiants écoutent »), le manque de réflexion de l’élève, et la « faible autonomie qui lui est laissée ». Ils regrettent en fait, que sur le fond cette école ressemble un peu trop à l’école française. Ils apprécient, par contre, que sur la forme elle diffère vraiment. On parle de « dépaysement », voir même « d’exotisme. » « Chaque école a un code qui régit les tenues vestimentaires et les comportements, c’est plutôt marrant ». « Les « kookoo » sont bien mieux équipés que les lycées français : matériel sportif, instruments de musique, ordinateurs, matériel audiovisuel. »
L’atmosphère est jugée globalement très agréable et l’enseignement dispensé paraît profiter aux étudiants français (« surtout en langue », et « parce qu’on apprend à s’adapter à des univers très différents »).
« J’ai été merveilleusement accueillie dans mon école et dans ma classe. Les élèves m’attendaient, mais ne connaissaient pas précisément le moment de mon arrivée. Quand ce moment est venu, j’ai eu droit à de véritables manifestations, on était proche de l’hystérie. »
Article paru dans le journal Trois-Quatorze n°33
Spécialiste des Études à l'Étranger, PIE (Programmes Internationaux d’Echanges) permet aux jeunes lycéens français et belges francophones d’être scolarisés sur la longue durée à l’étranger , aux jeunes adultes d’ étudier dans une université américaine et aux jeunes filles de partir au pair aux USA . PIE organise des séjours d’études dans plus de 25 pays dans le monde. Les programmes scolaires sont mis en place dans le cadre d’un accueil bénévole (année) ou sur la base de la réciprocité de l’ échange (trimestre). PIE permet également à de jeunes étrangers, venus des quatre coins du monde, d’ être scolarisés en France et d’être accueillis bénévolement par des familles françaises. PIE travaille à la formation des adolescents et des jeunes adultes et les aide à acquérir à la fois des outils et de l’autonomie.
Pour consulter en ligne les dossiers complets (lettre, photos…) des jeunes étrangers PIE, merci de remplir le formulaire de contact « Famille d’Accueil » . Vous pouvez également nous contacter par téléphone au 04 42 91 31 00 ou 01 55 78 29 90 . Nous vous enverrons ensuite des identifiants de connexion.



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3 Études primaires et secondaires - L'uniforme scolaire
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

↑ Zha Qiang, Foreign influences on Japanese and Chinese higher education: a comparative analysis (1er janvier 2004).

↑ Edwin O. Reischauer, Histoire du Japon et des Japonais , tome 1, Editions du Seuil, Collection Points Histoire, 1973, 251 p.

↑ Benjamin Gauducheau, « Le Japon est toujours le pays de l'OCDE qui investit le moins dans l'éducation », Aujourd'hui le Japon, le 8 septembre 2010.

↑ Japanese education system [ archive ]

↑ « Une ado forcée à teindre ses cheveux attaque son lycée en justice », L'Orient-Le Jour ,‎ 27 octobre 2017 ( lire en ligne [ archive ] , consulté le 27 octobre 2017 )

↑ The Economist , « Le chiffre du jour.Pourquoi si peu de Japonais voyagent » [ archive ] , sur Courrier international , 5 mars 2020 (consulté le 7 mars 2020 ) .

↑ Yoshiharu Iwashige, « L’enfer des bourses d’études du système japonais » [ archive ] , sur Nippon.com , 13 novembre 2017 (consulté le 13 décembre 2017 ) .

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