Endroit idéal pour la masturbation

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Endroit idéal pour la masturbation


Par :


Véronique Larivière






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Les zones érogènes chez la femme peuvent entraîner une excitation sexuelle en étant tout simplement caressées ou embrassées, elles sont généralement divisées en trois catégories.
Certaines zones sont communes à toutes les femmes pour atteindre l’orgasme et mener l’excitation jusqu’à son paroxysme. Il s’agit d’une part du clitoris, très sensible il peut provoquer une jouissance totale en étant stimulé par des caresses et d’autre part du vagin dont la sensibilité varie selon les femmes et qui permet de mener à l’orgasme en contractant ses muscles autour de la verge de l’homme pendant la pénétration.
En plus du vagin et du clitoris, il existe d’autres zones qui suscitent le plaisir et peuvent mener à l’orgasme. On retrouve notamment les seins et les mamelons (particulièrement sensibles), la paroi vaginale, les fesses et le pubis . Lorsque ces parties sont stimulées et caressées en plus des zones érogènes primaires, la femme a de fortes chances d’atteindre l’extase.
Propres à chaque femme et sa sensibilité, ces parties relèvent plus de l’érotisme que de l’orgasme mais leur stimulation est importante durant la phase des préliminaires car elles permettent de faire grimper la température et de vous mettre en condition pour un rapport qui s’annonce chaud ! Que ce soit des caresses des pieds , des morsures délicates du lobe de l’oreille ou un léger souffle sur la nuque, ces zones sont source de plaisir et varient d’une femme à l’autre tant au niveau de leur localisation que de l’intensité.
Aussi bizarre que cela puisse paraître, les zones érogènes chez la femme sont essentiellement liées à l’inné et à l’acquis. Certaines parties sont sensibles naturellement tandis que d’autres se sensibilisent progressivement à partir de l’enfance et ne cessent d’évoluer jusqu’à l’âge adulte. C’est la raison pour laquelle certaines femmes découvrent de nouvelles sources de plaisir même en étant adultes, notamment lorsqu’elles et leur partenaire prennent le temps de se découvrir.
Il semblerait que l’épanouissement sexuel à l’âge adulte soit lié à l’enfance, et plus précisément au contact physique de la mère qui intervient dans la perception des sens. A titre d’exemple, si une mère n’a pas eu de gestes affectueux et tendres envers son bébé, cela va conduire à un manque de confiance en lui sur le long terme et à un manque de souvenirs agréables sur sa peau et inversement. Quant aux nombreuses zones érogènes de la femme, elles seraient liées au fait que les bébés de sexe féminin bénéficieraient de bien plus d’attention et de câlins que les bébés garçons.
Zone clé proche de l’entrejambe, plus les caresses sont dirigées vers les parties génitales, plus le plaisir s’intensifie.
Composé de nombreuses terminaisons nerveuses, son massage sécrète de nombreuses hormones du plaisir.
Que ce soit un léger souffle, une caresse ou un baiser délicatement posé, la stimulation de cette zone procure des frissons agréables et enivrants.
Tout au long de la colonne vertébrale se trouvent des sources de plaisir qu’il est possible de stimuler par le biais de tendres caresses ou de massages relaxants.
Cette partie du corps est douce et délicate et peut susciter du plaisir en étant caressée avec tact.
Ce petit morceau de chair est idéal pour être mordillé, sucé, léché ou embrassé.
Tout comme le cuir chevelu , elle est dotée de capteurs sensoriels qui provoquent la sécrétion d’hormones du plaisir lorsqu’ils sont stimulés.
Egalement composée de nombreux nerfs, son massage apporte énormément de plaisir et entraîne des frissons dans tout le corps. Certaines fétichistes aiment notamment que leurs orteils soient sucés.
Zone érogène par excellence, les terminaisons nerveuses qui la composent en font une partie de prédilection pour monter au septième ciel.
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Ce livre permet de se soigner naturellement. Plus de 150 affections y sont répertoriées. De « abcès » à « Yeux irrités » des centaines de remèdes y sont dévoilés en utilisant des solutions naturelles. Il est offert gratuitement en ce moment pour tous nos lecteurs
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En plus du vagin et du clitoris, il existe d’autres zones qui suscitent le plaisir et peuvent mener à l’orgasme. On retrouve notamment les seins et les mamelons (particulièrement sensibles), la paroi vaginale, les fesses et le pubis . Lorsque ces parties sont stimulées et caressées en plus des zones érogènes primaires, la femme a de fortes chances d’atteindre l’extase.
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Il semblerait que l’épanouissement sexuel à l’âge adulte soit lié à l’enfance, et plus précisément au contact physique de la mère qui intervient dans la perception des sens. A titre d’exemple, si une mère n’a pas eu de gestes affectueux et tendres envers son bébé, cela va conduire à un manque de confiance en lui sur le long terme et à un manque de souvenirs agréables sur sa peau et inversement. Quant aux nombreuses zones érogènes de la femme, elles seraient liées au fait que les bébés de sexe féminin bénéficieraient de bien plus d’attention et de câlins que les bébés garçons.
Zone clé proche de l’entrejambe, plus les caresses sont dirigées vers les parties génitales, plus le plaisir s’intensifie.
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Que ce soit un léger souffle, une caresse ou un baiser délicatement posé, la stimulation de cette zone procure des frissons agréables et enivrants.
Tout au long de la colonne vertébrale se trouvent des sources de plaisir qu’il est possible de stimuler par le biais de tendres caresses ou de massages relaxants.
Cette partie du corps est douce et délicate et peut susciter du plaisir en étant caressée avec tact.
Ce petit morceau de chair est idéal pour être mordillé, sucé, léché ou embrassé.
Tout comme le cuir chevelu , elle est dotée de capteurs sensoriels qui provoquent la sécrétion d’hormones du plaisir lorsqu’ils sont stimulés.
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Plaisir féminin : « La masturbation est une aide dans les relations avec les autres » - ©iStock






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On en parle de plus en plus mais la connaît-on vraiment ? La masturbation fait partie de nos vies mais il reste encore beaucoup à faire pour la décomplexer. Entretien avec Mélanie Guénette-Robert, sexologue et auteure du « Petit manifeste de la masturbation féminine ».  
Longtemps taboue, la masturbation est aujourd’hui présentée comme un rituel de « self care » pour les femmes et un outil de prise de pouvoir sur son corps . Pourtant, elle représente toujours une zone d’ombre, soit parce que les clichés subsistent, soit parce que le plaisir solitaire demande une connexion avec son corps parfois difficile à appréhender. Deux autrices québécoises, la sexologue Mélanie Guénette-Robert et la comédienne Roxanne Gaudette-Loiseau consacrent un ouvrage éducatif et inclusif au plaisir féminin. Histoire de la masturbation, détails de l’anatomie féminine, déconstruction des stéréotypes et acceptation de soi, le « Petit manifeste de la masturbation féminine » donne les clés pour (re)découvrir le plaisir.  
Mélanie Guénette-Robert. Cela fait vraiment longtemps qu’on en parle : déjà dans l’Antiquité on parlait du clitoris des femmes, sans le nommer ainsi. Mais est-ce qu’on en parlait bien ? Si on remonte un peu dans le temps, on voit que l’une des pionnières ayant permis de parler de ce sujet est Helen O’Connell, qui a découvert l’anatomie complète du clitoris. Et ça ne date que des années 90. Avant elles, il y a eu quelques sexologues mais si on cherche avant les années 70, ce sont les hommes qui parlaient majoritairement de la masturbation chez les femmes. Quand on effectuait nos recherches avec Roxanne Gaudette-Loiseau, on a été surprises de voir à quel point les hommes parlaient plus de la masturbation que les femmes. 
M.G-R. Longtemps, la masturbation des femmes a été contrôlée, considérée comme écœurante. À l’époque de la chasse aux sorcières, on considérait que les femmes guérisseuses, les sage-femme étaient écœurantes, on les marginalisait. Si on regarde la période de l’hystérie au 19ème siècle, qui était devenue une maladie en vogue, la sexualité des femmes était très contrôlée. On disait la masturbation reliée à une frustration sexuelle. Et puis on a eu Freud, qui nous a enseigné que la masturbation et le plaisir liés au clitoris était infantiles, immatures. Il y a eu un discours dans l’Histoire qui a rendu notre rapport au corps complexe, dominé par le patriarcat. Si on regarde juste au niveau de la masturbation, les études montrent que les hommes se masturbent avant la première relation sexuelle. Les femmes, au contraire, commencent à se masturber en majorité après le premier rapport sexuel.  
M.G-R. Il y a des femmes pour qui la masturbation est aisée, qui en retirent facilement du plaisir. Mais d’autres ont eu des expériences plus difficiles. Leur premier rapport à la sexualité n’était pas évident, elles étaient incertaines des sensations qu’elles ont vécues. Certaines craignent aussi de se masturber par rapport à l’éducation qu’elles ont eue. Il existe tellement de pluralité d’expériences chez les femmes, nous voulions leur dire que chaque expérience est valide. Quoi qu’elles ressentent, c’est normal. Nous voulions que les femmes se sentent puissantes et en contrôle de leur sexualité en lisant ce livre.  
M.G-R . Je travaille avec des survivantes et survivants de violences sexuelles . Avant cela, je travaillais avec des personnes touchées par les troubles du comportement alimentaire. Beaucoup de personnes survivantes sont aux prises avec un trouble alimentaire . Dans un cas comme celui-là par exemple le rapport au corps peut être problématique. Le toucher n’est pas évident pour certaines personnes, surtout si ça implique les organes génitaux. Certain.es nourrissent un malaise par rapport à leur vulve. C’est dur à dire mais certaines personnes ressentent aussi un dégout de leur corps. Apprendre à le dépasser demande un travail sur l’image. Être à l’aise avec sa sexualité et son corps peut nécessiter un accompagnement thérapeutique.   
M.G-R. On peut commencer par se renseigner. Plus on a de connaissances sur un sujet, plus on l’apprivoise, plus on se sent en pleine possession de nos capacités. Pour une personne qui nourrirait des émotions négatives par rapport à ses organes génitaux, il existe des comptes Instagram et des livres qui présentent une variété de vulves ou d’organes génitaux. On a peu été exposé.es à des représentations diverses de la vulve. Ça commence juste, par exemple, avec le compte « Vulva Gallery ».  
Beaucoup de personnes avec une vulve ne reconnaissent pas leurs organes génitaux. Un petit exercice pour se familiariser avec soi-même : s’installer avec un miroir et regarder les textures, les couleurs. Mais précisons que la masturbation n’est pas juste génitale : toutes les zones du corps peuvent être érogènes. Il faut aussi prendre le temps d’explorer dans un endroit sécurisant, tester les zones et les sensations qui nous excitent. Si une personne y est ouverte, les jouets sexuels peuvent être facilitants. Ce n’est pas obligatoire mais ça peut agrémenter l’expérience de la masturbation.  
M.G-R. On entend souvent qu’il y a: clitoridien et vaginal. Cette idée nous vient en partie de Freud. Mais dans le fond, c’est un mythe à déconstruire. Oui je peux tirer du plaisir d’une pénétration vaginale comme je peux tirer du plaisir d’une stimulation externe ou interne du clitoris. Mais l’orgasme est le même. La stimulation peut venir de différents endroits mais physiologiquement parlant, l’orgasme est similaire. D’une façon ou d’une autre,
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Une fille en 3D attachée et torturée
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