Encore une fille qui aime son père

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Fête de pères oblige, des filles nous racontent cette relation unique qui les lie à leur père. Décryptage d’un lien fusionnel plus universel qu’il n’y paraît.























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“La relation avec mon père ? Elle est unique”, déclare Johanna, la petite trentaine, des étoiles dans les yeux. "On s’appelle pratiquement tous les jours, que ce soit pour 5 minutes ou pour 45, pour parler d’absolument tout et de rien”, continue-t-elle.
Elle est ce que l’on appelle parfois une fille à papa, “mais pas dans le sens péjoratif ou pourrie-gâtée”, conteste la jeune fille, qui admet d’une certaine manière, idolâtrer son père. "Je ne peux pas m’imaginer passer une semaine sans lui parler par exemple", assure-t-elle.
Une relation spéciale que partagent également Laetitia, 27 ans et son père. "Lui et moi avons une relation un peu particulière parce que nous travaillons ensemble, dans le même espace, sans pour autant être dans la même branche. Nous sommes très proches, si j’ai un problème ou une question, c’est automatiquement vers lui que je vais me tourner”, raconte-t-elle.
Des contes de Perrault à la pop culture, en passant par les ouvrages références de la psychanalyse, la relation père-fille interpelle par sa puissance et sa rareté.
" Amour, admiration, possessivité, fidélité, violence, abandon, adoption, absence, faiblesse, filiation naturelle, inceste, trahison, parricide... l'extrême diversité de la relation père-fille, l'obscurité qui l'enveloppe, jette sur ce lien invisible bien des complications et des mystères", peut-on ainsi lire en présentation de l’ouvrage 

Filles à papa de Lorraine Kaltenbach

, (Ed Flammarion, 2017).
Pour autant, la dénomination s’est galvaudée au fil du temps . " Je n’aime pas forcément l'appellation 'fille à papa' car elle est souvent associée à des petites filles gâtées dont le père cède à tous les caprices", se rebiffe Laetitia, qui admet malgré tout que son père est probablement "l’homme le plus important de [sa] vie".
"Je crois que j’ai une relation privilégiée avec mon père, par rapport à ma sœur par exemple qui est plus proche de ma mère", analyse Elodie, 29 ans, qui se voit comme la fille de son père, plus qu’une fille à papa.
Comme de nombreuses jeunes femmes, son père "a été longtemps son héros. D’autant plus qu’il est pompier volontaire et que l’idée même de savoir qu’il sauve la vie des gens et leur vient en aide, à toute heure du jour et de la nuit, a renforcé l’admiration naturelle que j’ai pour lui", témoigne-t-elle.
Même regard admiratif du côté de Laetitia, qui s’enthousiasme : " Mon père est un homme engagé, ouvert d’esprit, qui nous a toujours appris le respect, la valeur du travail, l’honnêteté, et sur qui on peut toujours compter. Il est une vraie source d’inspiration !”.
Il reste mon héros, [...] mais je réalise qu’il vieillit, tout simplement et que moi je grandis.
Pour Johanna aussi, son père est son héros. "Quel que soit le problème, il trouve une solution. C’est pour ça que je l’appelle toujours dès que j’ai un problème que je n’arrive pas à résoudre seule. Bon et aussi parce que ma mère répond moins souvent au téléphone”, nuance-t-elle en riant.
Claire, 30 ans, considère aussi son père comme un modèle. "Il est parti de rien et a tout construit seul sans rien demander à personne. Il a réalisé son rêve professionnel et familial en donnant tout ce qu’il avait, pour lui et pour nous". Mais depuis quelques années, son regard change : "il reste mon héros, mais je vois plus ses faiblesses, ses doutes. Il reste fort en tous points, mais je réalise qu’il vieillit, tout simplement et que moi je grandis. Mais je resterai toujours sa petite fille”.
Pour le psychiatre Alain Braconnier, auteur de Les filles et les pères (Ed. Odile Jacob), malgré la pudeur qui recouvre bien souvent les relations père-fille, il y a "une influence déterminante de cet homme sur la construction et l'épanouissement de la femme à venir".
Tout au long de sa vie, étape par étape, le père va ainsi aimer, protéger, défier, sa fille pour qu’elle se révèle et qu’elle puisse se construire et développer sa propre personnalité. En psychanalyse, on évoque généralement une évolution de la relation père-fille, depuis l'enfance jusqu'à l'âge adulte. Après la période fusionnelle qui lie un nourrisson à la mère, la petite fille passe par le complexe d’Electre (le pendant féminin du bien nommé Oedipe, durant lequel elle entre dans une simili compétition avec sa propre mère). Puis elle s’affirme, se doit de quitter son père pour entrer dans la pré-adolescence et puis finalement, pas à pas, devenir une personne à part entière.
Un cheminement qui peut varier bien évidemment en fonction des schémas familiaux et des histoires de chacun. " Après sa séparation avec ma mère, notre relation a été chaotique durant quelques années. Mon regard sur lui a changé, il est devenu plus adulte j’imagine. Mon père sera toujours mon père mais c’est un homme d’abord, avec ses qualités et ses défauts", médite Elodie.
Ses enfants passent avant tout le reste, et j’essaye souvent de me rappeler que tout le monde n’a pas cette chance.
“En grandissant, j'ai très vite eu une relation d’adulte à adulte avec lui. Il aime discuter, est curieux de tout et de nous mais sans être intrusif, ce qui est une qualité que j'apprécie. C’est un papa protecteur mais pas surprotecteur. Il m’a toujours encouragé dans mes choix même s’ils ne correspondaient pas à ce qu’il pouvait éventuellement projeter sur moi ou espérer pour moi”, sourit la jeune femme.
Comme tout parent, un père se doit de transmettre ses valeurs mais aussi sa force, pour que sa fille ait toutes les cartes en main pour s’épanouir dans la vie. “ On a toujours été très complices et très proches. J’ai longtemps voulu faire le même métier que lui, j’ai fini par m'émanciper mais on est identiques dans le caractère et dans la façon de voir les choses”, s’amuse à son tour Claire.
Et à Johanna, le mot de la fin : "Mon père, c’est la personne la plus désintéressée au monde que je connaisse, toujours à vouloir aider les gens sans rien attendre en retour. Ses enfants passent avant tout le reste, et j’essaye souvent de me rappeler que tout le monde n’a pas cette chance”.
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Publié le
23/10/2017 à 16:00







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Le lien entre une fille et son père peut conditionner fortement le reste de ses relations tant professionnelles qu'amoureuses.
Au commencement, il y a la mère , avec laquelle on ne fait qu'un. Puis vient le père, cet autre qui va nous donner la confiance en soi , l'assurance en nos capacités une fois lancées dans le monde extérieur. De nombreuses femmes aux carrières brillantes l'affirment: sans ce regard paternel confiant et plein d'espoir, elles n'auraient pas aussi bien réussi. 

"Tout comme ma mère, mon père m'a encouragée à beaucoup travailler, explique Catherine Barba, 44 ans. Très tôt, mon père me parlait de l'informatique et des ordinateurs." Expatriée à New-York, la Française est désormais une serial entrepreneure chevronnée, l'une des meilleures expertes de l'e-commerce et à la tête du Women in Innovation Forum NY. 

Alors qu'il est souvent mis de côté ou dépeint comme le parent "secondaire", le père serait "le tiers séparateur entre l'enfant et la mère, explique la psychothérapeute Valérie Colin-Simard, auteure de Pères d'aujourd'hui, Filles de demain (éd.Marabout). Déjà dans le ventre, la voix du père symbolise l'étranger, l'inconnu pour le bébé . Plus tard, il représentera le monde extérieur, le regard de la société sur l'enfant. Toutefois, ce schéma est un archétype qui se traduit de mille et une façons différentes." 

Plus le père "autorise" la fille à s'identifier à lui, plus il lui donne le droit de conquérir des terrains hors des carcans sexistes que la société a prédisposés pour elle. Mais pour la fille, c'est toujours le premier drame: ce père qui va lui permettre de se différencier de la mère est aussi celui qui va la rejeter. 

"Entre 3 et 6 ans, les filles espèrent que leur papa pourra leur donner ce que la mère n'a pas pu: un bébé, un pénis, et tout son amour", résume Didier Lauru, psychanalyste et auteur de Père-fille, une histoire de regard (éd.Albin Michel). "Le père doit tout faire pour que sa fille renonce à lui en tant que partenaire amoureux, mais est censé aussi la rassurer sur deux choses: sa féminité, sa capacité de séduction et son intelligence, ses capacités à se débrouiller seule." Un peu comme une feuille de route pour la suite. Évidemment, tous les pères ne suivent pas cette théorie. Et les filles ne les écoutent pas toujours. 

L'entrepreneure Muriel de Saint Sauveur est un cas à part parmi ses amies. Aujourd'hui à la tête du cabinet de coaching Women Masterclass, la sexagénaire a d'abord monté son entreprise à 23 ans seulement et fait carrière, soutenue par son père. "Il était très concentré sur moi, alors que ma mère était portée sur mon frère. Il m'a présenté son comptable, m'a introduite auprès des bonnes personnes. Je venais d'un milieu bourgeois où les filles avaient aussi droit à une éducation, mais on ajoutait toujours qu'elles 'allaient se marier'. Pour moi, tout cela est arrivé bien après." 

À l'inverse, Émilie, 32 ans, n'avait pas l'impression que son père attendait grand-chose d'elle. "Il ne m'a jamais trop posé de questions sur mes ambitions et mon avenir. En revanche, il était toujours d'accord avec mon frère aîné, il lui passait tout, s'intéressait à ses loisirs, à ses études. Je savais qu'il avait toujours voulu un garçon... Moi, je suis arrivée juste après lui, mais je n'étais pas vraiment désirée." 

Le besoin de reconnaissance sera le moteur de l'évolution de la jeune femme de 32 ans. "Quand j'ai eu ma première rupture amoureuse , j'ai transféré toute cette haine sur mon père. Je me suis mis la tête dans le guidon pour bosser, je me suis battue pour arriver à Paris et acquérir un statut social. Je voulais prouver à ces hommes que je n'étais pas une moins-que-rien, que j'allais réussir ma vie, que j'étais intelligente. Ça m'a pris dix ans, j'ai réussi, puis j'ai tout lâché pour faire enfin les choses pour moi." 

Même s'ils sont présents physiquement, les pères peuvent ainsi être absents, comme l'a étudié à travers différents ouvrages la psychologue et psychanalyste canadienne Louise Grenier, auteure de Filles sans père, l'attente du père dans l'imaginaire féminin (éd.Québecor). 

"Certains sont incapables de s'investir en tant que tel, soit parce qu'ils sont dépressifs, silencieux, repliés sur eux-mêmes, qu'ils ont des problèmes d'addiction. D'autres sont présents durant l'enfance puis se retirent quand la fille devient femme. Ils ne peuvent pas reconnaître leur féminité, ils la dénient, l'ignorent, par peur d'un rapprochement incestueux, nous explique-t-elle. Souvent, ces femmes vont très bien réussir sur le plan professionnel, mais vivront des échecs amoureux car elles ont de la difficulté à se sentir femme, elles n'ont pas appris à se situer en tant que telle." 

Si elle ne dirait pas qu'elle a choisi tous ses compagnons en fonction de son père, Camille, 28 ans, remarque un point commun entre tous ses hommes: ils ont plutôt été avares de compliments et de preuves d'amour . "Ma relation avec mon père était bonne, malgré le divorce, jusqu'à l'adolescence. Après, il me faisait des réflexions, un peu la morale, mais jamais de compliments ni contrepartie valorisante. C'était: 'j'espère que tu travailles bien à l'école', mais jamais 'c'est bien, tu as de bons résultats'. Je me demandais toujours si j'étais une bonne 'fille à ses parents', bien éduquée. À côté, je voyais mes oncles clamer combien ils étaient fiers de mes cousines. Mon père leur faisait des compliments mais à moi, rien. J'avais l'impression d'être nulle." 

D'après la psychothérapeute Valérie Colin-Simard, il est fréquent que l'adulte se replace dans des situations analogues à celles qu'il n'a pas pu résoudre durant l'enfance. "C'est alors une occasion d'affronter de nouveau ces traumatismes et blocages sous une autre forme pour cette fois-ci guérir et s'en libérer. C'est une quête de réparation." 

La réparation peut venir en se libérant de ce regard paternel, déterminant certes, mais jamais fatal. "Petite, la fille a fait de son père un idéal, elle l'a mis sur un piédestal, constate Didier Lauru. Pour ne pas rester coincée dans des schémas répétitifs malheureux une fois adulte, il faut qu'elle l'en fasse descendre." C'est désormais au tour de la femme de poser un regard critique sur son père. 

Camille a arrêté de se remettre en question quand son père l'a profondément déçue. "Nous avions convenu qu'il me verserait la pension alimentaire jusqu'à mon premier salaire mais il a arrêté avant, sans même me prévenir. J'ai eu ensuite des difficultés financières et je lui ai demandé de l'aide. Il m'a conseillé d'aller faire un prêt. Le problème n'était pas qu'il ne me donne pas d'argent, mais qu'il me laisse me débrouiller seule, sans réfléchir ensemble à une solution. J'en ai conclu qu'il était égoïste, que je ne pouvais pas compter sur lui. Je lui ai écrit une lettre à laquelle il n'a pas voulu répondre. À partir de là, j'ai décidé de ne plus l'appeler. Ma famille dit que c'est dommage, mais tant pis." 

Cette attitude est saine selon Louise Grenier: au lieu de virer dans la quête pathologique, mieux vaut assumer cette faille pleinement. "Souvent, celles qui ont eu des pères absents ont honte, la famille parle peu... Pourtant, il faut le partager. On peut trouver des figures de substitution, mais on ne pourra jamais combler ce manque, ni changer de père. Il vaut mieux renoncer et faire le deuil. L'important n'est pas d'aller à la recherche du père, mais de voir en soi la part de l'enfant que nous étions qui attend encore son père, pour mieux s'en distancier." 

Pour conscientiser ces émotions restées bloquées en nous, Valérie Colin-Simard conseille de trouver un lieu sécurisé où les exprimer. "Ça peut être auprès d'un psy , ou dans une lettre qu'on brûlera ensuite. L'essentiel dans cette démarche est de faire comme si on s'adressait directement à la personne concernée, mais on l'écrit pour se libérer soi. Je déconseille fortement de l'affronter directement car en général cela aggrave les blessures réciproques et empire les choses." 

Plutôt que de se déverser sur son père, Émilie, aidée par sa psy, a arrêté de lui en vouloir... Et a aussitôt ouvert les yeux sur ses bons côtés. "Il n'est peut-être pas très expressif, mais quand j'ai eu des problèmes de santé, il a été là. Quand j'ai tout quitté pour partir en voyage en Asie plusieurs mois, il m'a soutenue." 

Camille, elle, essaie de s'accorder la bienveillance qu'elle aurait aimé recevoir de son père. "Quand je vois que certains pères sont hyper fiers de leur fille pour des choses que je fais ou suis capable de faire, ça me conforte dans l'idée que je ne vaux pas rien. Ma psy m'a permis de déculpabiliser et de ne plus me dire que j'étais la mauvaise fille qui attendait trop de son père. J'ai donné de la légitimité à mes émotions et j'ai compris que j'avais le droit de revendiquer certaines choses. Au final, j'arrête de me faire souffrir pour lui." 





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