Encore un pénis imposant pour un anus

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Bonsoir, alors merci de lire même si j'en ai vraiment honte.. Donc il y a deux mois j'ai pratiqué ma première sodomie, malheureusement j'avais pas très bien lubrifié et mon partenaire n'avait pas une petite épée si vous voyez ce que je veux dire.. Depuis cet évènement mon anus est toujours irrité et j'ai remarqué que le " contour " de l'anus est violet et quand j'ai regardé de plus près j'ai vu qu'il y avait une veine qui fait le tour de l'anus et celle-ci est violette. On ne la voit pas beaucoup sauf si il y'a beaucoup de lumière dessus. Je pense que c'est la veine anal et que la peau qui la caché a du partir.. Bref j'en ai marre, ça m'énerve beaucoup j'ai honte de moi et ça fait deux mois que je ne pense qu'a ça !
Une petite hémorroïde, une irritation ou une légère fissure. Médecin, pommade et il n'y paraitra plus dans quelques semaines.
Edité le 18/07/2015 à 8:31 PM par Cyril
T'es sûr ? Parce que c'est vraiment tout le tour de l'anus donc j'y est jamais pensé mais merci beaucoup !
Je ne suis pas médecin. Une consultation s'impose.
Pourquoi avoir honte ?? ❓ C'est un problème médical. Tu vas voir un médecin, il te prescrira un truc et voilà... je ne comprends pas pourquoi tu as honte ? Ce n'est pas grave, et quand bien même, ce n'est pas de ta faute.
Mais j'ai pas envie qu'on le sache surtout que je suis pas encore tout à fait majeur.. (17ans) Donc voila..
Majeur ou pas, le secret médical existe... Tu vas voir un médecin que tu ne connais pas. Tu n'as pas à avoir honte, tu as autant le droit de te soigner que n'importe qui... Au pire à l'hôpital, je ne sais pas, ensuite tu habites en ville ? Si oui ce sera simple, sinon essayes de trouver un moyen et regardant sur internet, une infirmière, une pharmacie, un appel pour savoir comment faire...
Oui je vais faire ça ! Bon après c'est pas trop grave parce que je ne souffre pas et ça fait 2mois mais c'est plus tôt pour l'esthétique.. x)
N'attends pas d'autres réponses que celles qui t'indiquent de consulter ! 😙
D'accord mais c'est juste pour savoir si quelqu'un a eu la même chose mais je ne pense pas. Bon bah il me reste plus qu'à consulter
Plus vite tu consulteras plus vite tu seras débarrassé de ce petit problème qui visiblement te préoccupe beaucoup.
Appelons une bite une bite et un chat un chat. Parler d'"épée" pour parler du pénis, c'est tellement réducteur ! Ça entérine l'idée que l'organe sexuel des hommes est un instrument de guerre, autrement dit ça renforce l'idée que la sexualité masculine est une sorte de combat, où il y a un vainqueur et un vaincu, un dominant et un dominé, un "mâle" et une "femelle". Assez de ces images surannées qui détruisent la beauté de l'amour ! Si vous ne surveillez pas votre langage, vous concourrez à la banalisation d'une forme d'homophobie latente, qui fait croire que dans un couple il y a forcément un "mâle" et une "femelle", un qui "fait la fille" et un autre qui "fait le garçon". Un pénis n'est pas une épée, ce n'est pas un instrument qui blesse, ce n'est pas un symbole de virilité, sauf si vous vivez encore au Moyen-Âge et encore l'idée de pénis-épée n'était valable que pour les mystiques cf. Sainte Thérèse ou Saint Baptiste d'Anjou. Halte à cette confusion malheureuse qui rend la sexualité cruelle, hideuse ! Si l'on commence à parler d'épée pour parler de pénis, où s'arrêtera-t-on ? Dira-t-on d'un homme qui se fait enculer qu'il s'est fait empaler ? Qu'il s'est fait trancher le cul ? Non, nous ne dirons pas cela, car nous savons que ceci est faut, qu'il n'en est rien ! Se faire enculer n'est pas honteux, ce n'est pas une défaite, ce n'est pas subir l'épée de son partenaire ! Celui qui dira le contraire sera confondu : au contraire, celui qui se fait enculer a souvent plus de plaisir que celui qui encule, et il peut être dominant, sans utiliser son "épée". En vérité, je vous le dit : parler d'épée pour parler de pénis, c'est comme parler de chatte pour parler d'anus : cela revient à hétéronormer le rapport sexuel, et pire encore, à le rendre conforme à la vision androcentrée qui est perpétuée par la société depuis les pères de nos pères jusques à nous ! Parler d'épée, c'est offrir l'image d'un rapport sexuel violent, comme depuis toujours les hétérocentristes essayent de faire voir le rapport homosexuel ! En parlant d'épée, vous entrez dans le jeu de ceux qui font croire qu'entre deux hommes, nul amour n'est possible, car il n'y a qu'un combat d'épée, dont un meurt (transpercé) et l'autre jouit, vainqueur d'un tournoi dominateur : et celui-là qui meurt transpercé perd sa virilité, son "épée" ne sert à rien, il n'est pas "viril" parce que son organe-épée n'a pas vaincu ! Quelle erreur ! Cessons de parler le langage androcentée, hétéronormant que la société nous sert tous les jours. Comme Monique Wittig, parlons un langage qui nous est propre, où les "pénis" ne sont pas des épées (il est fini le temps où les hommes pouvaient autant tuer leurs femmes que les engrosser ! Fini le temps où il faut avoir une épée pour être un homme ! Sortez de la caverne !), mais où les pénis sont des pénis, des organes vivants, des organes érotiques et érogènes ! Qui, aujourd'hui, pour parler de la beauté d'un ithyphalle dressé dans la lumière de la chambre ? Osons nous conduire en cœurs vaillants prêts à être exilés peut-être, mais ne participons plus à cette hétéronormalisation androcentrée et agonistisation faussement virile de notre sexualité !
Citation : ithyphalle \i.ti.fal\ masculin (Antiquité) Représentation du phallus en érection, que l'on portait en procession aux fêtes de Dionysos (chez les Grecs) et Bacchus (chez les Romains).

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Publié par La Rédaction E-Santé , le 12/04/2018 à 10:31
Le plug anal est un sex-toy de forme conique: sa pointe plus fine permet une insertion en douceur. Sa base large évite quant à elle une pénétration trop profonde, tandis que son rétrécissement final permet aux muscles de l’anus de se refermer. Il existe en différentes tailles et diverses matières. Il faudra donc faire attention à ne pas acheter un plug anal trop gros, au risque de provoquer des déchirures lors de l’introduction.
Afin que l’insertion du plug soit plus facile et non douloureuse, il est conseillé de procéder par étapes. Tout d’abord lubrifier l’anus avec un gel, puis introduire en premier lieu un doigt dans l’anus avec douceur afin de détendre les muscles. Enfin, introduire délicatement le plug préalablement lubrifié et le faire s’enfoncer en le tournant doucement.
L’insertion d’un plug anal permet à l’homme d’atteindre le point P ou point prostatique. En effet, le plug va stimuler la prostate et engendrer un orgasme d’une intensité décuplée par rapport au traditionnel orgasme phallique.La bonne santé sexuelle du couple passe aussi par des jeux érotiques. Le plug anal peut en être un. Inséré dans l’anus de la femme, il va stimuler sa zone anale, en lien direct avec sa zone vaginale. De même, la présence du plug dans l’anus de la femme va induire une pression et une excitation au niveau du pénis de l’homme. La position idéale avec un plug? La femme à quatre pattes, l’homme à genoux derrière elle.
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Medisite > Bien-être et beauté > Psycho / Sexo > Amour et Sexualité > Voilà ce qui arrive à votre pénis quand il vieillit
Impuissance, scrotum flasque et courbure... Il n'y a pas que les cheveux et la peau qui prennent les marques du temps, l'intimité aussi. Dans une interview pour le magazine Men's Health un médecin urologue explique ce qui arrive à l'intimité des hommes quand ils prennent de l'âge.
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Publié par Rédaction Medisite , le 12/01/2017 à 11:49
Si avec l'âge les hommes gagnent en expérience sous la couette, ils perdent en dynamisme au niveau de leur intimité. Afin de prévenir ces messieurs sur ce qui risque de changer au niveau de leur pénis le magazine Men's Health a interviewé Brian Steixner, médecin urologue. Il va falloir s'y faire en vieillissant le pénis diminue. Pourquoi ? "Les cellules saines sont peu à peu remplacées par des fibres moins élastiques causant un aspect réduit du membre", explique le spécialiste.
Il est possible également de constater une légère courbure . Les petits traumatismes subis lors des rapports sexuels, mais aussi le sport peuvent laisser des tissus cicatriciels s'accumuler autour du pénis résultant en une déviation vers 60 et 70 ans. La perte des muscles en vieillissant provoque également un affaissement du scrotum le rendant plus flasque.
Enfin si l'aspect physique extérieur peut causer quelques complexes, il est plus important de prêter attention à son fonctionnement. D'abord parce que des troubes érectiles peuvent traduire un problème de pression sanguine, puis, parce qu'en prenant de l'âge l'homme devient plus susceptible d'être touché par un cancer de la prostate ou des testicules . En connaître les signes aide à dépister au plus tôt pour mieux prendre en charge la maladie.
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Société Faits divers Politique Monde Santé Justice


Publié le 06/11/17 à 10h03
— Mis à jour le 06/11/17 à 12h57

A l'occasion de «Movember», mouvement dédié à la sensibilisation des cancers masculins, «20 Minutes» se penche sur le plaisir prostatique. Une pratique encore taboue et source de clichés Tous les hommes sont éligibles à ce plaisir, sans exception. Certains nous détaillent cette «quête»
VIDEO. «Ejaculer au moins vingt fois par mois participe à la bonne santé de la prostate»


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*20 Minutes a été élue marque préférée des Français dans la catégorie presse d’information nationale, dans le cadre d’une étude réalisée en juin 2022 avec l’institut OpinionWay, auprès d’un échantillon représentatif de la population française.
Société VIDEO. Plaisir prostatique, «il faut s’affranchir des clichés»

«POINT P» A l’occasion de « Movember », « 20 Minutes » s’intéresse au plaisir prostatique. Des hommes racontent leur « exploration » après avoir cassé le tabou autour de cette pratique….
C’est l’une de ses premières petites amies qui lui avait montré la voie. « Au début, quand elle m’a rentré un doigt dans l’anus durant l’acte, j’ai été surpris, mal à l’aise. En réalité elle venait de m’ouvrir les portes du plaisir prostatique », affirme Baptiste, aujourd’hui trentenaire. Depuis, cette sensation est devenue une véritable « exploration », une « quête » souvent personnelle, mais loin d’être isolée. Si l’accès à cette jouissance ne s’obtient « pas en un claquement de doigts », précise-t-il, elle reste à la portée de tout être masculin. Et pour cause.
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« Tous les hommes sont éligibles à ce plaisir, sans exception. C’est organique. A l’instar des femmes qui ont toutes un clitoris et peuvent donc accéder au plaisir clitoridien. Après, le sexe est aussi une question de psychologie », analyse Alain Héril, psychanalyste et sexothérapeute . Et dans le cas de la prostate – glande de l’appareil reproducteur masculin située à 5-7 centimètres de l’anus et principalement associée au cancer –, le tabou sexuel est encore très fort. Accéder au plaisir du « point P » demande en effet une déconstruction mentale des schémas sociaux et un certain lâcher prise.
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« La prostate est là, au bout de l’index ou du majeur », illustre Alain Héril. Ce Graal s’obtient donc en « se glissant un doigt dans l’anus, en le remontant très légèrement vers cette glande, afin de la masser », poursuit-il. A la différence de sa cousine « masturbatoire », cette pratique davantage « cérébrale » oblige l’homme – notamment dans le cas d’un plaisir solitaire – à une attitude « plus douce, lente et attentionnée » et s’obtient en grande partie par la respiration, décortique le spécialiste. A un détail près.
« Beaucoup d’hommes ne sont pas habitués à cela et doivent surtout changer leur mode de penser s’ils veulent y parvenir. Si cette pratique est taboue en Occident, elle est courante dans des cultures orientales et extrême-orientales depuis plusieurs millénaires », rappelle le psychanalyste. Seul ou en couple, « il faut en effet tout déconstruire », note Baptiste. Alors, où se situe le blocage dans notre structure sociale ?
« Notre société a construit l’homme comme étant le pénétrant, le dominant, le puissant. Et la femme comme la pénétrée, la dominée, la vulnérable. Et nous sommes prisonniers de la puissance de ces structures », débite Baptiste. Se faire toucher la prostate, via quelques phalanges, dans un cadre de plaisir, remettrait donc en cause pour certains, la fierté, la virilité, la masculinité . « Il faut s’affranchir de ces clichés confortés en plus par beaucoup d’insultes et de termes péjoratifs », note Baptiste. « A travers le plaisir prostatique, qui passe par l’anal, on touche à la représentation dans l’inconscient collectif que l’homme pénétré est dans un état de soumission, qu’il se féminise, qu’il n’est plus viril », expose Alain Héril. « C’est faux ! Ce n’est pas du tout le cas », s’exclame-t-il.
« La prostate, c’est le siège du plaisir masculin. Notre anatomie est faite comme ça. Par ailleurs, ça ne remet absolument pas en cause l’orientation sexuelle », martèle Baptiste. En recevant un doigt dans l’anus « la femme prend surtout le pouvoir », exalte-il. Mais pour parvenir à ce bien-être, l’homme qui accepte de « renverser les rôles » doit aussi oublier son outil de « dominant » : Le pénis.
Un atelier sur le plaisir prostatique le 8 octobre. Découvrez la puissance du point P. https://t.co/ZY3OFCi5rb pic.twitter.com/757m1NVe7T
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« Il faut accepter que le pénis ne soit pas au centre du débat. Les hommes ne sont pas habitués à ça. Ils sont familiarisés à quelque chose qui jaillit
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