En string ficelle dans la cabine d'essayage

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En string ficelle dans la cabine d'essayage
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Elles ont entre 18 et 35 ans et elles vendent de la lingerie… mais ce n’est pas toujours aussi sexy que ça en a l’air… Cinq jeunes femmes nous racontent leur quotidien dans une boutique de fantasmes séculaires.
Y a-t-il beaucoup d’hommes qui entrent dans la boutique ?
Elodie : De plus en plus, mais ça dépend des périodes… A Noël et pour la Saint-Valentin, ils débarquent en meute. Le reste de l’année ils sont moins nombreux. Cela dit, on a parfois de vrais spécialistes. Ils sont rares mais pointus : ils connaissent le nom des collections et des modèles, ils arrivent en sachant très bien ce qu’ils veulent, « telle taille, tel coloris ».
Charlène : Nous aussi, on voit pas mal d’hommes, mais surtout d’âge mur. A 17-18 ans, ils ont honte. Un jour, un jeune homme de 20 ans est entré dans la boutique : il n’osait pas me poser de question ! Je lui ai expliqué la différence entre le tour de dos, qu’on désigne avec un nombre, et le bonnet, qu’on désigne avec une lettre. Il n’osait même pas me regarder. Et puis je lui ai présenté différents modèles ; il n’arrivait pas à se décider. Il me jetait des coups d’œil apeurés comme si j’allais le juger sur son choix.
Lisa : Moi je les trouve gênés quand ils accompagnent leur petite copine, mais s’ils sont seuls avec nous, ils sont moins timides. On leur explique comment fonctionne un soutien-gorge et les différentes formes qui existent : les push-up, les corbeilles, les balconnets…
Est-ce qu’ils connaissent la taille de leur femme ?
Lisa : Majoritairement oui, parce qu’ils se renseignent avant de venir. Peut-être parce qu’ils sont un peu stressés. Ils regardent dans les tiroirs discrètement d’abord, puis ils entrent dans la boutique en disant : « Elle fait du 90C ». Mais ensuite, ils ont besoin de nos conseils pour choisir le modèle, la forme et la couleur. Ils sont perdus par la diversité des produits. Ils nous demandent ce qu’on aime nous, ils nous décrivent précisément leur copine : « Elle est brune, blonde, elle aime telle marque de fringues, etc ».
Bérengère : Le plus drôle, quand ils ne connaissent pas la taille, c’est qu’ils essaient souvent de la représenter avec les mains. Ils arrondissent les doigts comme s’ils tripotaient mentalement les seins de leur nana. Ça a l’avantage pour nous d’être très visuel, mais après il faut arriver à traduire : « Bon alors ça, ça doit faire du tant… »
Elodie : Chez nous, la plupart du temps, ils choisissent une taille un peu au hasard. Et puis les femmes reviennent essayer et on procède à l’échange.
Clothilde : Ils nous comparent, aussi : est-ce qu’on est plus fine que leur compagne ou plus grosse, plus petite ou plus grande, est-ce qu’on a plus ou moins de poitrine ? Et après, ben, on se débrouille avec leur description approximative. Ou alors, on les oriente vers des nuisettes, c’est plus facile.
Sophie : Un jour il y a un homme – genre 45 ans – qui entre dans la boutique. Il avoue qu’il ne connaît pas la taille de sa femme, mais très tranquillement, il nous sort une photo d’elle en sous-vêtements et il demande : « D’après vous ? ».
Charlène : Enfin, la plupart du temps, oui : les hommes connaissent la taille de leur femme.
Et est-ce que les femmes connaissent leur propre taille ?
Charlène : La plupart du temps non. Elles ont bien une idée, mais elles ne sont pas sûres… Elles se trompent souvent…. Elles ne tombent jamais très, très loin non plus. Elles peuvent aussi hésiter entre deux tailles équivalentes (un 85C et un 90B par exemple). Et puis d’une marque à l’autre, c’est vrai que ça diffère un petit peu.
Sophie : Souvent non, elles ne savent pas. On ne réalise pas, mais il y a beaucoup de femmes qui n’achètent jamais de sous-vêtements ; elles rentrent dans une boutique de lingerie une fois tous les 5 ou 6 ans.
Elodie : Malheureusement non, la plupart ne connaissent pas leur taille. Moi ça m’exaspère un peu. Parce que c’est des femmes qui ont la cinquantaine, quand même : ça fait plus de 25 ans qu’elles portent des soutiens-gorge et elles ne savent toujours pas comment ça fonctionne ! Il y en a une, un jour (elle venait de se faire refaire la poitrine et elle en était très fière) qui était convaincue de faire du 95D. Or, elle était toute menue. Un 85 lui suffisait largement. Et je n’arrivais pas à lui faire comprendre que le nombre ne correspondait pas à la profondeur de sa poitrine, mais à sa largeur de dos. Elle n’a même pas voulu essayer le 85. Elle s’est sentie insultée.
Bérengère : Que ce soit pour les soutiens-gorge ou pour les culottes, beaucoup de femmes ne connaissent pas leur vraie taille. En général, elles prennent des soutiens-gorge trop petits pour elles, peut-être parce qu’elles pensent que c’est mal d’avoir une trop grosse poitrine. Les femmes qui ont une poitrine généreuse ont tendance à la cacher plutôt qu’à la mettre en valeur.
Vous pouvez repérer la taille d’une cliente qui entre dans la boutique au premier coup d’œil ?
ndlr : Elles ont toutes réussi à deviner ma taille
Est-ce que ça vous arrive de sentir qu’une cliente est vraiment complexée ?
Charlène : Un jour je suis tombée sur une dame qui croyait faire un bonnet E et c’était déjà beaucoup trop selon elle, parce qu’elle avait du mal à trouver de la lingerie à sa taille. Et puis elle a découvert qu’elle faisait du F. Et bien, elle s’est mise à pleurer dans la cabine.
Bérengère : Il y a des femmes qui prennent des soutiens-gorge 3 fois trop petits pour elle, de façon à créer un effet push-up renforcé parce qu’elles sont complexées d’avoir de petits seins. Elles persistent à prendre un bonnet C, alors qu’elles font un E, par exemple. Elles veulent que la forme soit vraiment balconnée. On les prévient que ça fait mal, mais elles disent qu’elles se sentent bien.
Lisa : Et à l’inverse, celles qui n’ont pas de poitrine cherchent à rembourrer : elles prennent des soutiens-gorge ampliformes ou elle achètent des coussinets en plus. Parfois elles choisissent carrément des formes siliconées. C’est rare de tomber sur des clientes objectives, qui s’apprécient telles qu’elles sont.
Sophie : On a besoin d’entrer dans la cabine pour conseiller la cliente, mais il y a des clientes que ça dérange parce qu’elles ont honte de leur corps, ou parce qu’elles sont très pudiques… Elles se trouvent trop minces, trop grosses, elles veulent cacher un défaut bizarre, un furoncle dans le dos… Parfois, elles ont subi une opération et ça les gène qu’on s’en aperçoive.
Elodie : Mais nous, si on demande à entrer dans la cabine, c’est pour juger la taille et la forme du soutien-gorge (c’est différent sur un cintre et porté par la cliente). C’est notre métier, on ne juge pas, on n’a pas un œil pervers…
Lisa : On voit parfois de vraies anorexiques, avec des corps squelettiques, qui prennent des culottes en taille 3 parce qu’elles ont une vision déformée de leur corps. On essaie de les conseiller mais si ça ne passe pas, on se fait discrète et on les laisse choisir ce qu’elles veulent.
Charlène : Il y a même beaucoup de femmes qui achètent des articles sans les essayer parce qu’elles n’aiment pas se déshabiller dans les cabines : ce n’est pas assez intime, elles préfèrent se changer chez elles.
Et à l’inverse, vous avez des clientes exhibitionnistes ?
Charlène : Ah, il y en a toujours certaines qui ne ferment pas le rideau ! Elles se déshabillent carrément devant nous. La première fois que ça m’est arrivé, je suis sortie de la cabine… Mais maintenant j’ai l’habitude.
Sophie : Moi, ça me dérange quand elles laissent le rideau de la cabine ouvert… je préfère le refermer. Mais bon, je suis nouvelle.
Charlène : Pendant les soldes, il y a une cliente qui ne voulait pas faire la queue aux cabines : elle s’est déshabillée dans le magasin et elle a essayé ses sous-vêtements devant tout le monde, sur la surface de vente. A un moment donné, elle s’est retrouvée torse nu dans la vitrine… C’était dans un centre commercial, donc tout le monde la voyait.
Est-ce que le fait d’avoir affaire à une vendeuse de lingerie pousse les clientes à la confidence ?
Elodie : Oui. On me raconte des choses intimes parfois. Surtout les fidèles clientes, celles qui habitent le quartier et que je vois souvent. Elles peuvent parler de leur couple et commenter un modèle en disant : « Celui-ci a fait de l’effet à mon mari ». Parfois c’est beaucoup moins drôle. Un jour, une femme battue s’est confiée à moi. Elle m’a dit : « Je reviens acheter des sous-vêtements, parce qu’on a eu une crise hier avec mon mari et dans la bagarre, on a tout déchiré ». Elle s’est livrée parce qu’elle avait besoin de parler et aussi parce que j’avais vu les bleus sur son corps en entrant dans la cabine.
Charlène : Les hommes aussi se confient. Ils vont décrire le type de soirée lors de laquelle ils prévoient d’offrir de la lingerie : un anniversaire de mariage, une première nuit ensemble…
Elodie : Et les clientes se confient entre elles de temps en temps. Quand l’une sort de la cabine avec des coussinets dans le soutien-gorge et croise l’autre qui fait un bonnet F, on assiste à une confrontation des deux profils. Et là, c’est parti : « Vous avez de la chance », « Non c’est vous ! Moi je ne trouve pas de lingerie à ma taille », etc. Et puis elles s’aident à choisir : « Ce modèle-là, je l’ai en tel coloris, je vous le conseille, vous le portez très bien ». Elles font notre métier, quoi.
Lisa : Dans la boutique où je travaille, il y a beaucoup de monde, alors elles ne prennent pas vraiment le temps de nous parler. Elles achètent ce dont elles ont besoin et elles s’en vont. C’est plus impersonnel.
Est-ce que vous vendez facilement de la lingerie sexy : des guêpières, des porte-jarretelles, des serre-taille ?
Elodie : C’était plus facile l’année dernière, parce que c’était la mode de la lingerie apparente et que les magazines prônaient le retour du rétro. On entendait aussi beaucoup parler d’effeuillage et de stars comme Dita Von Teese. Cette année, c’est un peu passé. D’une façon générale, les femmes qui portent de la lingerie sexy sont celles qui en ont toujours porté et elles n’en démordent pas. Sinon, pour ce type d’article, il y a aussi les femmes qui ont envie de marquer une occasion. Mais nos meilleurs clients, en matière de lingerie sexy, c’est les hommes. Les hommes aiment beaucoup les 3 pièces.
Charlène : C’est vrai que je vends plus de porte-jarretelles aux hommes qu’aux femmes. C’est plus facile de vendre à un homme, parce qu’il est dans l’imaginaire : il ne porte pas de sous-vêtements, il ne sait pas ce que c’est, l’aspect pratique ou confort il s’en fout ; c’est le côté ludique et sexy qui l’intéresse.
Est-ce que ça arrive, des clientes très âgées qui cherchent de la lingerie sexy ?
Bérengère : Non, ce sont plutôt des femmes de 35 ans qui portent du sexy. Les femmes âgées, préfèrent les vêtements de cocooning pour la maison.
Elodie : Moi je connais une dame de 76 ans qui porte des guêpières et des porte-jarretelles. Elle fait partie de la « génération corset » et elle en est très fière. Avant, elle ne choisissait que du noir, du chair ou du blanc ; elle n’osait pas la couleur. Un jour je lui ai présenté un modèle rouge et rose et elle a craqué. Elle m’a dit ensuite que ça avait beaucoup plu à son mari.
Sophie : Enfin généralement, ce qui intéresse les dames âgées, c’est le maintien. Elles cherchent des soutiens-gorge enveloppants, confortables et qui se voient le moins possible sous les vêtements. Moi je vois plutôt des gamines de 16, 17 ans à la recherche de sous-vêtements sexy, d’imprimés léopard, ce genre de choses…
Quel est le panier moyen de vos clientes ?
Est-ce que votre carrière dans la lingerie restera marquée par un souvenir en particulier ?
Bérengère : Un jour, un homme est entré dans la boutique. Il a choisi des sous-vêtements dans les rayons. Puis il s’est dirigé vers une cabine et il est entré à l’intérieur. Quand je me suis approchée, il m’a demandé de l’aider à dégrafer son soutien-gorge. Il portait des sous-vêtements féminins. Et il voulait en racheter. Mais par-dessus, il était habillé en homme – ce n’était pas du tout un travesti, il était même très viril.
Elodie : J’ai rencontré une cliente qui n’avait connu qu’un seul homme dans sa vie. Elle avait déjà la quarantaine, mais comme il détestait les sous-vêtements, elle n’en avait jamais portés. Pas de culotte, pas de soutien-gorge : rien… Parce qu’il ne supportait pas… Quand elle a divorcé, elle s’est précipitée dans la boutique. Elle avait toujours rêver de s’offrir de la lingerie. On a passé ensemble quelques heures pour l’aider à choisir. Et elle s’est fait plaisir pour la première fois.
Charlène : Moi je suis tout simplement tombée sur une dame qui voulait reconquérir son mari. C’était une mère de famille. Elle lui avait proposé de partir en week-end sans les enfants. Elle a acheté un ensemble de corseterie et une nuisette. Et elle est revenue nous raconter que ça avait marché : que leur couple se portait très bien.
Est-ce que les gens viennent souvent acheter de la lingerie en couple, justement ?
Elodie : Oui, il y a des couples qui restent des heures… c’est leur sortie du week-end on dirait…
Sophie : Moi je propose toujours à l’homme d’accompagner sa femme dans la cabine pour l’aider à choisir. Dans la grande cabine du fond, il y a un siège prévu à cet effet.
Bérengère : Moi aussi, je les laisse entrer dans la cabine. A ma connaissance, il n’y a jamais eu de dérapage.
Elodie : Nous on l’interdit, parce qu’il s’est déjà passé quelque chose apparemment… Quand j’ai été embauchée, on m’a prévenue : « Le monsieur peut donner son avis mais pas entrer dans la cabine ».
Charlène : Quand il n’y a pas beaucoup de clientes ça va, je laisse entrer les hommes dans l’espace d’essayage. Mais quand toutes les cabines sont prises, d’avoir un homme dans les parages, c’est plutôt délicat pour les autres clientes.
Dernière question : est-ce que les boutiques de lingerie attirent les pervers ?
Bérengère : Bah, on reçoit des coups de fil bizarres. Il y a des hommes qui appellent et ils nous demandent si on a des strings noirs en boutique. Puis ils nous posent des questions : « Est-ce qu’ils sont en dentelle ? En dentelle noire, vous dites ? Bien échancrés ? ». Ils peuvent rester un quart d’heure à nous faire décrire les culottes… Au début on se laisse avoir, et puis, avec l’expérience, on les repère tout de suite, rien qu’au timbre de voix.
Elodie : Ou alors, ils entrent, ils demandent le catalogue et là, soit ils sont satisfaits simplement avec le catalogue et ils s’en vont, soit ils posent des questions assez embarrassantes. Ils font croire qu’ils cherchent une parure pour leur femme et ils nous demandent de les aider : « Et vous, quelle est votre taille de soutien-gorge ? Qu’est-ce que vous préférez porter comme modèle ? Et dans quel coloris ?… » Ils font tout ce qu’ils peuvent pour rester le plus longtemps possible dans la boutique : « Oui, celui-ci est bien, mais j’hésite avec celui-ci… ». Il y en a un qui m’a demandé d’essayer un ensemble, pour voir ce que ça donnait sur moi. On sait que ce n’est pas vrai, qu’ils n’ont pas de femme, qu’ils font semblant. On les reconnaît.
Charlène : Moi, il ne m’est jamais rien arrivé de ce genre. Il y a juste un client qui entre régulièrement dans la boutique et qui m’appelle « mon petit chat ».



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qui est deja alle chez le medecin en string ?
Avez vous déjà passé des examen de santé en string ( avec ficelle ou sans ficelle ) en jock strap , ou sans sous vêtement ? Quelle a était la réaction du personnelle médicale ?
Salut Oui je passe mes examens de santé en string puisque depuis peu je ne porte plus que ca et je n ai donc plus accès a d autres sous vêtements Les réactions sont vraiment différente tout dépend du contexte . Ex. 1-pour une visite de routine : souvent le medecin te fait pencher et tasse la ficelle pour tout voir 2- pour un massage. Elle descend ton string plus bas te masse et elle le remonte en place a la fin. 3- Pour des radiographie , j avais un plug sous mon string. Sur la radio la préposer la vue sur la radio. Elle est venu me voir pour me dire. On peux en refaire pour ne pas tout voir. Avez vous besoin d aide pour le retirer et elle tira sur mon string et aggripamon rosebud et le sortit sans m avertir. J ai pousser un petit cri puis elle le garda avec elle. Apres la radio. Elle m offra de le remettre en place ......hum.
moi depuis dix ans je fait toute mes visite medicale avec mes strings vus que je ne porte que ça
J'évite quand même mais cela m'est arrivé une fois, un matin on m'annonce une visite médicale pour le jour même alors que d'habitude c'est programmé 1-2 semaines à l'avance. Pas eu le temps de me retourner donc et la médecin (oui c'était une femme) qui s'est occupée de moi s'est bien occupée ... de mon string
Elle c'est occupée de ton string? 🤨
Portant principalement des strings, je ne change pas d'habitude vestimentaire lors d'une visite médicale. Je m'étais posé la question pour le kiné. Mais comme finalement mon kiné prénommé "dominique" était une femme, je ne me pose plus de questions. String et seins nus sont donc faciles à assumer. Seins nus étant très pratique pour moi, car je passe très souvent d'un massage dorsal à une position sur le dos pour ma pathologie.
Comme plusieurs ici, je ne porte pratiquement que des strings ou, en tout cas, j'en porte très souvent donc, oui, il m'est déjà arrivé souvent d'être en string lors d'une visite médicale mais, non, je crois que ça n'étonne plus personne aujourd'hui, le string est tellement rentré dans les mœurs... En revanche j'essaie quand même d'éviter le c-string ! Par contre, quand il ne fait pas très chaud, de l'automne au printemps et même parfois à certains moments en été (j'habite près de Dunkerque où les températures sont rarement très chaudes), mes visites chez le docteur étant souvent en fin de journée, il a alors souvent l'occasion de me voir en bas et jarretelles...
Je pense que pour les femmes, c'est une situation d'une grande banalité. En tant qu'homme, qui porte régulièrement des strings, ça m'est aussi arrivé. La première fois, sans préméditation, et j'étais quand même gêné. C'était chez le kiné, j'avais oublié le rdv et j'y suis allé au dernier moment. 30 minutes dont la moitié allongé sur le ventre, ce n'est pas très discret. Au début, j'ai juste dit la vérité "j'avais oublié le rdv, je m'en suis rappelé au dernier moment, je n'ai pas eu le temps de me changer". Et ensuite, rien à signaler, séance normale, aucune remarque du kiné. C'était un string de marque Dim, sans connotation sexy trop prononcé. Une autre fois, pour la visite préventive du travail, j'ai mis volontairement un string plus sexy, pour le fun (un simple pari personnel). Et j'y suis allé décomplexé. La médecin n'a pas bronché. Récemment, j'étais en tanga très échancré chez mon médecin traitant.
Le médecin doit être ravi... Mais dis moi c'est quoi un c-string?
Un "string" sans ficelle qui
Fion protégé par filet de sécurité
Ramonant des garces amateurs
Intense Gorge profonde

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