En attente d'une bite pour la pénétrer
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Nous savons tous que la simulation clitoridienne ou vaginale permet d’obtenir un orgasme. Mais saviez-vous que le col de l’utérus est aussi une zone de plaisir ? C’est vrai, c’est vrai. Il est possible d’avoir un orgasme complet en stimulant votre col de l’utérus avec une pénétration profonde.
Mais si vous n’avez jamais essayé une pénétration en profondeur auparavant – ou si cela s’est produit sans que votre partenaire ne vous le dise – vous vous demandez peut-être ce que vous ressentez ou si c’est vraiment sécuritaire.
Nous avons rassemblé les préoccupations les plus pressantes concernant la pénétration du col de l’utérus afin que vous puissiez vous consacrer à vos affaires sans soucis.
La définition de la pénétration à corps nus est la suivante : tout objet qui se fraie un chemin à travers ou dans quelque chose. Si vous parlez de sexe, alors la pénétration est juste une façon fantaisiste de dire qu’un pénis ou un godemiché est inséré dans un vagin ou un rectum.
Certaines personnes croient que l’on peut atteindre des orgasmes cervicaux en pénétrant le col de l’utérus, mais ce n’est pas exactement vrai. Les orgasmes cervicaux sont obtenus en stimulant le col de l’utérus et non par pénétration.
Non, pas du tout. Votre col de l’utérus ne peut pas être pénétré. C’est parce que l’ouverture du col de l’utérus, appelée orifice externe, est trop étroite pour qu’un pénis ou un godemiché puisse y pénétrer. D’habitude, il n’est pas plus gros que ton pouce.
De plus, l’orifice est rempli de mucus cervical – jouer avec ce truc n’est certainement pas notre idée du bon temps.
La seule fois où l’ouverture cervicale s’élargit suffisamment pour permettre le passage de quoi que ce soit, c’est sur la table d’accouchement. En d’autres termes, si vous ne vous préparez pas à un accouchement imminent, rien ne devrait passer par votre col de l’utérus.
Bref, de la pression. Ce que vous ressentez réellement, c’est le pénis ou le gode qui pousse ou frotte contre votre col de l’utérus. Rien n’y entre ou n’en sort. « Pénétration cervicale » est un peu mal choisi dans ce sens.
C’est possible, alors il est important de prendre note de ce que votre corps ressent. Il n’est pas rare de ressentir de la douleur pendant la pénétration vaginale, surtout si quelque chose frappe le col de l’utérus.
En fait, environ 60 pour cent des femmes souffriront de dyspareunie – terme technique désignant les rapports sexuels douloureux – à un moment donné. Lorsque cela se produit, vous ressentirez une douleur constante et récurrente avant, pendant ou après les rapports sexuels.
La pression cervicale n’est pas la seule cause de dyspareunie, alors parlez-en à votre gynécologue si vous avez des symptômes. Ils peuvent vous aider à comprendre ce qui se passe afin que vous puissiez retourner entre les draps (sans douleur !) en un rien de temps.
Pas vraiment, mais ce n’est peut-être pas dû à quelque chose de grave. Si vous et votre partenaire vous précipitez vers l’événement principal, la friction soudaine peut être une surprise indésirable pour l’intérieur de votre vagin.
Les préliminaires ne sont pas seulement une question d’anticipation – c’est une excellente façon de lubrifier vos parties féminines et de les rendre prêtes à partir. Cela peut aider à prévenir tout saignement ou douleur inattendu.
Si vous n’êtes pas sûr si la sécheresse est à blâmer, parlez-en à votre gynéco. Ils peuvent répondre à toutes vos questions et s’assurer que tout est en ordre pour descendre.
Le col de l’utérus commence à la base de l’utérus et s’étend jusqu’au vagin. Pensez-y comme un cou fait de tissu qui relie les deux parties.
Ce que votre gynécologue voit pendant un examen pelvien s’appelle l’ectocol, la partie du col de l’utérus qui se trouve près de votre vagin. Si vous avez un DIU, c’est là que se trouvent généralement les cordes.
Considérez l’ectocol comme le gardien entre votre canal vaginal et votre canal cervical. Un pénis ou un godemiché peut glisser dans votre canal vaginal et, avec une pénétration profonde, il peut se frotter contre votre col de l’utérus.
Mais ça ne peut pas traverser le col de l’utérus. Au-delà de cette frontière se trouve le canal cervical. C’est là que les spermatozoïdes peuvent passer dans l’utérus.
Si vous n’êtes pas excité, c’est d ‘environ 3 à 4 pouces de profondeur. C’est à peu près la largeur de votre main si vous allez d’une articulation à l’autre.
Si vous essayez de faire le calcul, ne vous inquiétez pas. Lorsque vous êtes excité, votre canal vaginal s’allonge pour faire place à la pénétration.
C’est un tout à fait possible mais ce n’est pas pour tout le monde. Beaucoup de femmes ont besoin d’une stimulation clitoridienne – et non pénétrante – pour atteindre l’orgasme.
Bien que les orgasmes clitoridiens puissent être intenses, ils sont généralement centrés autour de votre vagin et peuvent ne durer que quelques secondes ou plus.
Si vous stimulez votre col de l’utérus, vous pouvez sentir l’accumulation de pression se propager dans tout votre corps. Cela peut mener à un orgasme complet du corps, avec des sensations de picotement qui viennent par vagues de la tête jusqu’aux orteils.
Pour certaines femmes, cela peut durer longtemps en raison de la profondeur du plaisir.
Oui, c’est totalement sûr. Mais il est important que vous soyez d’accord avec l’idée d’une pénétration profonde avant d’essayer d’atteindre un orgasme cervical. Si vous n’êtes pas détendu, vous aurez plus de difficulté à vous sentir à l’aise ou à éprouver du plaisir, ce qui ne favorise pas une bonne relation sexuelle.
Non, pas vraiment. La seule façon d’atteindre le col de l’utérus est de pénétrer dans le vagin. A vous de décider si vous voulez l’essayer en solo ou avec un partenaire ! Quoi qu’il en soit, vous devez être à l’aise avec l’idée d’aller en profondeur.
Si vous voulez essayer d’avoir un orgasme cervical, commencez par le modèle de chien. C’est une position idéale qui permet une pénétration en profondeur et qui peut vous permettre de vous sentir plus détendu et plus ouvert.
La pénétration du col de l’utérus n’est pas possible, mais avoir un orgasme cervical l’est. Avant de l’essayer, cependant, vous devriez parler avec votre gynéco de vos préoccupations, de ce à quoi vous devriez vous attendre et de la façon de rester en sécurité pendant les rapports sexuels. La pénétration en profondeur peut être intense, il est donc préférable de savoir dans quoi vous vous embarquez. Une fois que vous avez toutes les informations dont vous avez besoin, partez à la découverte de votre nouvelle zone de plaisir.
Dr Kavaler a obtenu son diplôme de l’Université de Montréal en 1986. Dre Frechette travaille à New York, NY et se spécialise dans la médecine générale et la santé des femmes.
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Le vaginisme est l’impossibilité, pour une femme qui le désire, d’être pénétrée.
Elle souhaite consciemment pouvoir le faire mais les muscles de son vagin et de son périnée se contractent de façon involontaire et la pénétration de la verge est impossible.
Le vaginisme est un réflexe de contraction des muscles du vagin et du périnée. Comme tous les réflexes, il échappe à la conscience.
C’est un peu comme si une partie d’elle souhaitait ce rapport sexuel et qu’une autre le refusait …Et c’est cette part qui l’emporte !
Le partenaire peut avoir la sensation de se heurter à un « mur ».
Le vaginisme peut être primaire quand la pénétration est impossible depuis toujours, ou secondaire quand la pénétration a déjà été possible…
Je vous conseille de lire cet article , très bien fait, pour mieux connaître votre vagin. Cela est utile pour guérir du vaginisme.
Lors de la pénétration , normalement, le vagin se détend pour s’adapter exactement à la taille de la verge . Une image pas très « glamour « , mais parlante, est d’imaginer une chaussette que vous prenez et que vous enfilez: Elle est petite et fermée au départ. Puis elle se détend et s’adapte parfaitement à la forme du pied. Pour le vagin, c’est pareil.
Cela permet, au passage, de tordre le cou à l’idée que la taille du sexe de l’homme est importante. La taille de la verge est, sauf exception, toujours la bonne puisque c’est la femme qui s’adapte lors de la pénétration et non le contraire. Et la taille de base est la longueur du vagin « au repos », soit 8 cm…
Quand la femme est détendue et souhaite faire l’amour,
Le système décrit ci-dessus ne fonctionne bien que si la femme est détendue et excitée par le rapport. Si pour une raison quelconque elle n’est pas détendue :
C’est généralement ce phénomène qui explique que le premier rapport sexuel d’une femme est réputé faire mal. La première fois que nous faisons l’amour, nous sommes tous stressés. Sauf que, nous les hommes, on nous a dit:
La société et l’entourage véhicule, aux femmes, un message complètement différent:
Le stress est donc beaucoup plus important chez la fille la première fois. Comme elle est « tendue » dans sa tête, elle est « tendue » dans son corps. En plus, alors que les sécrétions seraient, plus que jamais, utiles, elles sont absentes car psycho-dépendantes. Et on est rarement excité à l’idée d’avoir mal et de saigner. C’est pour cela que je conseille toujours de prévoir du lubrifiant, pour éviter ou limiter la douleur, la première fois.
La douleur ressentie, par la femme, lors de la première pénétration est peu liée à la rupture de l’hymen (qui est d’ailleurs souvent déjà déchiré) mais plus au problème de tension musculaire que je viens de vous décrire .
La douleur après les rapports, elle, est généralement lié à l’irritation due au même phénomène.
Normalement, au second rapport sexuel, la femme est moins dans l’inconnu. Elle se détend donc et le rapport est moins douloureux. Et de rapport en rapport, elle se détend de plus en plus. Finalement faire l’amourt n’est plus douloureux du tout. L’esprit est plus disponible pour l’excitation. Les sécrétions vaginales arrivent et les rapports deviennent plaisants.
On parle de vaginisme primaire quand il est impossible de faire l’amour depuis toujours.
Dans les deux cas il va s’installer un cercle vicieux :
Appréhension ===> Difficulté à lâcher prise et à se détendre ===> Muscles du vagin et du périnée contractés ===> Rapport douloureux voir impossible ===> Appréhension ===> Difficulté à se détendre ===>Pénétration impossible et installation du vaginisme…
Il peut finir par s’installer une phobie du coït voir une phobie de faire l’amour, même sans pénétration.
Beaucoup de femmes connaissent , à un moment de leur vie sexuelle, un ou des rapports douloureux . On parle de dyspareunie quand la pénétration est possible mais douloureuse. Cela peut-être lié à différentes causes:
Dans la majorité des cas, la femme va en parler à son médecin, prendre un traitement, et le problème va disparaitre.
Parfois , cela va arriver sur ce que j’appelle un « terrain fertile ». C’est à dire un « terrain psychologique » facilitant l’installation d’un problème
Le problème douloureux risque alors de devenir le début d’ un phénomène de dyspareunie chronique . Quelques temps après avoir pris son traitement, la femme va refaire l’amour, mais sans être détendue . Elle ne va donc pas bien se détendre. Peut-être manquer d’excitation (Le rapport sexuel est relaxant pour la majorité des hommes, alors que la majorité des femmes à besoin d’être détendue pour faire l’amour).
Et ce n’est pas une maladie mais un signe de bonne santé mentale.
Le vaginisme n’ est donc pas une maladie mais un réflexe qui s’est installé pour vous protéger d’une douleur.
Le problème est que cette douleur n’a plus de raison d’être et donc votre vaginisme également.
Si vous souhaitez pouvoir faire l’amour et être pénétrée sans avoir mal, cela est normal et vous avez le droit.
Et cela passe par un travail portant sur plusieurs aspects :
Un suivi psychologique n’est pas obligatoire. Vous n’avez pas forcément de problème psychique, si ce n’est le cercle vicieux d’appréhension.
Celle-ci est fréquente sans pour autant passer par un parcours de thérapie psychique
( cependant si vous en ressentez le besoin, n’hésitez pas…Cela peut être un complément intéressant)..
Appréhension/Tension des muscles du périnée et du vagin/Pénétration impossible/Appréhension…
Pour aller plus loin: La méthode que j’utilise avec mes patientes quand la pénétration est impossible ( a venir dans quelques jours…)
Une association qui regroupe des femmes souffrants de douleurs vulvaires, dyspareunie ou de vaginisme:
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23 juil. 2020 à 18:16
Bonjour,
Oui, le vagin n'est pas complètement fermé et comme tu n'es pas une éponge, logique que le sperme ressorte.
J'espère que tu prends la pilule ?
celine13
23 juil. 2020 à 18:57
Oui je prend la pillule
Par contre avec mon vagin qui est super dilaté quand je met des tampax il ont tendance à resortir de mon trou
est ce normal et avez vous une solution pour qu'il reste à l'intérieur de mon abricot.
merci
celine13
23 juil. 2020 à 19:13
celine13
23 juil. 2020 à 19:28
Oui mais moi je prend déja des tampon pour flux intense donc les plus gros a ma conaissance
Existe t-il des tampon plus gros d'apres vous?
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