Emma Bailey est une chienne

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Emma Bailey est une chienne
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Téléfilm Le meilleur ami de la femme
Genre : Comédie Durée : 105 minutes Réalisateur : Terry Ingram Avec Erika Christensen, Teryl Rothery, Jeremy Guilbaut, Emily Holmes, Jesse Hutch, Tyron Leitso, Oliver Rice, Joyce Dewitt, Michael Kopsa, Jeb Beach, P. Lynn Johnson, Linda Sorensen, Malcolm Stewart, Samuel Patrick Chu, Louriza Tronco Nationalité : Etats-Unis Année : 2014
Bailey est une jeune prof de littérature qui vit seule et qui adore les chiens. Épaulée par sa meilleure amie Amber, elle se met à la recherche de l'âme soeur. Elle rencontre tout d'abord Wade, un sportif, heureux propriétaire d'un golden retriever nommé Adam. Bailey se met donc à la course à pied pour accompagner son nouvel amoureux. Mais Wade s'avère être un coureur de jupon. Quand il décide de déménager à Seattle pour suivre une autre femme, il laisse Adam à Bailey. Bailey rencontre ensuite Jonathan, un auteur dramatique, et sa chienne dalmatien Eve
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3478 filles
portant le prénom Emma sont nées en 2020

Prénom Très courant pour les filles
Fête
19 avril

Top 30 des prénoms américains pour fille
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Emma est tendrement attachée à sa famille dont l’amour est la source de son bonheur quotidien. Elle aime jouer de ses charmes, dont elle use sans artifice. Emma préfère briller par son intelligence et sa joie de vivre. Face à une situation critique, elle sait faire preuve de volontarisme et de panache. Sa débrouillardise, alternative à la baguette magique, lui permet de se dépatouiller dans toutes les situations. Dans un monde où les champions sont rois, la voilà tombée du ciel, prête à tout pour atteindre ses objectifs professionnels. La vie est trop courte… Emma est une artiste dans l’âme à l’esprit « out of the box » : personne n’a le droit de lui dicter sa vie. Active et travailleuse, elle est plutôt attirée par le monde des affaires, la finance, le commerce… Mais elle s’épanouira aussi dans une activité tournée vers les autres : les professions libérales, médicales, sociales, touristiques. Sa fibre créative et sa belle sensibilité la conduiront naturellement vers les métiers artistiques.
Le prénom d’Emma aurait une double origine : il serait à la fois un dérivé du prénom germanique « Imma » et le diminutif du prénom hébraïque « Emmanuelle ».
Le prénom serait issu du terme hébreu « imanu-el » se traduisant par « Dieu est avec nous ». Il aurait également une racine germanique, issue du mot « ermin » signifiant « la toute-puissance ».
Très prisé des Anglais au XIXe siècle, le prénom Emma fut notamment porté par Emma Lady Hamilton, maîtresse du valeureux amiral Nelson. Rarement donné en France jusqu’en 2000, il est en tête du palmarès depuis près de vingt ans !
Parmi les actrices connues, on relève Emma Stone , héroïne de la comédie musicale La La Land, et Emma Watson, révélée par le film ‘Harry Potter’ dans le rôle d’Hermione. 
Dans la littérature, on connaît l’anti-héroïne Emma Bovary, personnage rêveur et romantique du roman éponyme de Gustave Flaubert.
La dessinatrice Emma, féministe engagée, qui s’est fait connaître par Facebook.
Le prénom Emma ne se marie pas bien avec les noms de famille commençant par la lettre A ou par la sonorité "ma".
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© 2022 Journal le Reflet, tous droits réservés

par :
Dominique Roy | Journaliste de l’Initiative de journalisme local


photo :
La forêt d'Emma Bailey

Le 11 mars dernier, le Centre d’éducation des adultes (CÉA) de New Liskeard présentait, avec beaucoup de fierté et un grand sentiment d’accomplissement, une exposition virtuelle d’œuvres d’art. Il s’agissait de l’aboutissement d’un cours de dessin s’étant échelonné sur une période de deux mois, soit de décembre 2020 à février 2021.
Presque chaque année, le CÉA de New Liskeard offre la possibilité à sa clientèle jeune et adulte de participer à un programme de double reconnaissance de crédit (DRC). Il s’agit d’un programme approuvé par le ministère de l’Éducation de l’Ontario qui permet aux apprenants admissibles de suivre des cours collégiaux ou d’apprentissage dont les crédits comptent à la fois pour l’obtention du diplôme d’études secondaires et pour leur futur programme postsecondaire.
Ce sont 10 élèves au départ qui se sont inscrits au cours de dessin offert en partenariat avec La Cité d’Ottawa, le plus grand collège d’arts appliqués et de technologie de langue française de l’Ontario, et le CÉA de New Liskeard. Le cours était donné par Anne-Denise Mejaki. « Quand j’ai fait la demande pour obtenir ce cours, je savais déjà que je voulais avoir Anne-Denise Mejaki pour l’enseigner, parce qu’elle a de très bonnes compétences comme enseignante et comme artiste aussi. Je voulais avoir un beau mélange de tout ça. C’est une femme de la région de New Liskeard avec beaucoup d’expérience de travail. Elle donnait des ateliers en employabilité aux Inuits dans le Grand Nord. Elle a beaucoup voyagé au Canada et elle offre beaucoup de formations avec Northern College. Elle sait comment transmettre sa matière et elle est capable de motiver les élèves, même ceux qui ont très peu de compétences en dessin », explique Peggy Morin, coordonnatrice du CÉA de New Liskeard depuis quatre ans.
Pour les élèves qui ont complété cette DRC, le cours leur a permis d’analyser les caractéristiques visuelles d’objets pour les dessiner selon certaines contraintes techniques, de créer des jeux d’ombre et de lumière sous la forme de tons nuancés et de contrastes clairs-obscurs en utilisant différents médiums et de produire des esquisses qui permettent d’appliquer les techniques de créativité.
Madame Morin espérait exposer les œuvres créées à la galerie Open Studio libre à Haileybury, mais les mesures sanitaires liées à la COVID-19 l’ont empêchée de réaliser ce projet. Les créations ont donc été affichées dans l’entrée du CÉA et publiées sur Facebook. Le public pouvait voter pour les œuvres « coup de cœur ». Le lion de René Dumais, la forêt d’Emma Bailey et le chien de Marco Massé furent les trois œuvres ayant obtenu le plus de votes. Quant à l’événement du 11 mars dernier, Peggy Morin y avait convié plusieurs invités, dont une représentante élève, Emma Bailey, l’enseignante, Anne-Denise Mejaki, la responsable du programme à double reconnaissance de crédit de La Cité, Nathalie Dalpé, ainsi que des représentants du Conseil scolaire catholique de district des Grandes Rivières dont la directrice du CÉA, Annik Boucher, le coordonnateur de l’apprentissage par l’expérience, Kevin Léveillé, la directrice des services pédagogiques et leader en réussite, Linda Dillon-Dupuis, ainsi que l’agente de supervision, Claire Mackey.
Pour terminer, Peggy Morin se dit fière de ses apprenants : « Même si quelqu’un ne se croit pas très artistique, avec l’appui d’une enseignante chevronnée, les élèves sont capables de développer des techniques et de réaliser de super belles œuvres. C’est ce que je retiens de cette belle expérience. » Il est possible de consulter quelques-unes des œuvres créées en visionnant la vidéo YouTube Exposition d’œuvres d’art des élèves du CÉA .
29 août 2022 par : Communiqué | Source : Infrastructure Canada
29 août 2022 par : Communiqué | Source : Cabinet du ministre de l'Éducation
27 août 2022 par : Communiqué | Source : Loisir et Sport Abitibi-Témiscamingue
26 août 2022 par : Dominique Roy | Journaliste de l’Initiative de journalisme local
Le Reflet témiscamien inc. reconnaît l’aide financière du gouvernement du Canada, qui lui est accordée par l’entremise de Patrimoine Canada et de l’Initiative de journalisme local, pour l’appuyer dans ses activités journalistiques.

Programme TV > Téléfilm > À la recherche de l'homme idéal
Téléfilm À la recherche de l'homme idéal
Genre : Comédie Durée : 100 minutes Réalisateur : Terry Ingram Avec Erika Christensen, Teryl Rothery, Jeremy Guilbaut, Emily Holmes, Jesse Hutch, Tyron Leitso, Oliver Rice, Joyce Dewitt, Michael Kopsa, Jeb Beach, P. Lynn Johnson, Malcolm Stewart, Samuel Patrick Chu, Louriza Tronco, Natasha wilson Nationalité : Etats-Unis Année : 2014
Bailey est une jeune prof de littérature qui vit seule et qui adore les chiens. Épaulée par sa meilleure amie Amber, elle se met à la recherche de l'âme soeur. Elle rencontre tout d'abord Wade, un sportif, heureux propriétaire d'un golden retriever nommé Adam. Mais Wade est un coureur de jupons. Quand il décide de déménager à Seattle pour suivre une autre femme, il laisse Adam à Bailey. Bailey rencontre ensuite Jonathan, un auteur dramatique, et sa chienne dalmatien Eve. L'idylle est de courte durée : Bailey se rend compte du caractère égocentrique du jeune intellectuel, qui finit par lui laisser sa chienne. Bailey a désormais deux chiens

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