Elles vont toutes se le faire

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Conjugaison du verbe aller Le verbe aller est du troisième groupe . Le verbe aller se conjugue avec l'auxiliaire être Traduction anglaise : to go aller au masculin | s'en aller | aller ? | ne pas aller | Imprimer | Exporter vers Word
Tournure de phrase avec le verbe aller
Accents : â   ä   à   é   è   ê   ë   î   ï   ô   ö   û   ç
je vais tu vas elle va nous allons vous allez elles vont
je suis allée tu es allée elle est allée nous sommes allées vous êtes allées elles sont allées
j' allais tu allais elle allait nous allions vous alliez elles allaient
j'étais allée tu étais allée elle était allée nous étions allées vous étiez allées elles étaient allées
j' allai tu allas elle alla nous allâmes vous allâtes elles allèrent
je fus allée tu fus allée elle fut allée nous fûmes allées vous fûtes allées elles furent allées
j' irai tu iras elle ira nous irons vous irez elles iront
je serai allée tu seras allée elle sera allée nous serons allées vous serez allées elles seront allées
que j' aille que tu ailles qu'elle aille que nous allions que vous alliez qu'elles aillent
que je sois allée que tu sois allée qu'elle soit allée que nous soyons allées que vous soyez allées qu'elles soient allées
que j' allasse que tu allasses qu'elle allât que nous allassions que vous allassiez qu'elles allassent
que je fusse allée que tu fusses allée qu'elle fût allée que nous fussions allées que vous fussiez allées qu'elles fussent allées
j' irais tu irais elle irait nous irions vous iriez elles iraient
je serais allée tu serais allée elle serait allée nous serions allées vous seriez allées elles seraient allées
je fusse allée tu fusses allée elle fût allée nous fussions allées vous fussiez allées elles fussent allées
sois allée soyons allées soyez allées
allé allée allés allées étant allée
Aller est un verbe du 3e groupe malgré sa forme en -er. Il se conjugue selon 3 radicaux distincts : le radical va au présent de l'indicatif et à l'impératif : je vais, tu vas..., le radical ir au futur et au conditionnel : j'irais, tu iras.... Partout ailleurs, il faut utiliser le radical all. A l'impératif, devant le pronom adverbial y non suivi d'un infinitif, va prend un s : vas-y mais on écrit va y faire ton devoir. À la forme interrogative, on écrit va-t-il ? Sauf avec en où on écrit va-t'en.
1) Se déplacer jusqu'à un endroit donné 2) Fonctionner que ce soit un objet, un projet ou la santé (ex: comment allez-vous ?) 3) Marquer la destination d'un chemin ou d'une chose (ex: le sentier va jusqu'à la forêt) 4) Avec un infinitif, il prend le sens de semi-auxiliaire pour indiquer le futur proche (quelque chose sur le point de se produire) 5) Evolution des choses (ex: cette requête va trop loin) 6) Comportement ou manière dont on agit (ex: vous y allez un peu fort) 7) La façon de porter un vêtement ou une chose (ex: ceci ne lui va pas du tout) 8) Avec l'impératif, le sens prend celui d'un souhait, d'une menace, d'un regret (ex: allez en paix) 9) s'en aller : partir quelque part
Fréquent - Intransitif - Autorise la forme pronominale - Se conjugue avec l'auxiliaire être aux temps composés
je vais aller tu vas aller elle va aller nous allons aller vous allez aller elles vont aller
je viens d'aller tu viens d'aller elle vient d'aller nous venons d'aller vous venez d'aller elles viennent d'aller
Choisis la bonne réponse dans la liste ci-dessous :
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Le verbe améliorer est du premier groupe. Complétez la conjugaison de ce verbe au présent de l'indicatif :
j'amélior e tu amélior es il amélior e nous amélior ons vous ils amélior ent


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Leur photo s'étale en grand sur les « 4 par 3 » de la Ville rose. Une première pour les filles du TFC qui ont droit à une campagne de communication digne de celle de leurs homologues masculins du TFC, ou des rugbymen du Stade toulousain.
Pour une fois, et c'est mérité, le football féminin s'affiche en grand à l'occasion du quart de finale retour de coupe d'Europe que les Toulousaines disputent ce soir, aux Sept-Deniers, face à Arsenal.
Une place dans le dernier carré de la première édition de la coupe d'Europe est en jeu. Et les Toulousaines ont bien l'intention d'y figurer, elles qui dominent le championnat de France depuis trois ans (trois titres consécutifs), bien parties pour empocher une quatrième levée.
Pourquoi une telle emprise sur le foot national qui permet au TFC de compter dans ses rangs sept internationales (Marty, Boyer, Woock, Viguier, Kramo, Blouin, Briche, Rouquet)? « Je crois que c'est la passion qui les anime qui leur permet d'aller si loin », avance comme explication le président Jean-Marc Beaubatie. « Ces filles sont très solidaires entre elles et ça se voit sur le terrain. Moi, j'avoue éprouver beaucoup de respect pour ce qu'elles font. Et le respect est mutuel. C'est une énorme satisfaction de les côtoyer. »
Ce soir, dans un stade des Sept-Deniers qui devrait accueillir près de 3.000 spectateurs, les Toulousaines vont tenter de lancer une grande opération séduction auprès du public. Car si le football féminin est loin d'avoir l'aura de son vis à vis masculin, il mérite cependant d'être découvert. Les Toulousaines pratiquent un jeu de qualité. Elles ont d'autant plus de mérite que rien n'est simple pour ces jeunes filles dont l'âge varie entre 16 et et 29 ans, lycéennes ou étudiantes pour la plupart, qui n'ont droit qu'à quelques indemnités de défraiement pour se rendre aux quatre entraînements hebdomadaires. Car ici, point d'argent même si on évolue au plus haut niveau. Le football féminin n'est pas encore parfaitement structuré. Mais les temps changent, les mentalités aussi. Et voir des filles taper dans un ballon n'étonne plus, même s'il reste du chemin à parcourir.
« Notre sport se structure », souligne Céline Bonnet, la capitaine toulousaine. « Si les anciennes de l'équipe ont pour la plupart découvert le football dans la rue ou dans les cours d'écoles avec les garçons, désormais, les générations montantes sont issues des écoles de foot féminin qui se créent ici et là, de plus en plus. » Signe que le football conjugué au féminin se penche sérieusement sur son futur. Aidé en cela par une Fédération française consciente que son avenir passe aussi par les filles (38.000 licenciées environ à ce jour contre plus de 2 millions chez les garçons). Avec pour porte-drapeau celles du Toulouse football club, lancées à la conquête de l'Europe.
Entre ses cours qu'elle dispense à l'université des Sciences sociales de Toulouse où elle est chargée de TD en mathématiques et statistiques, sa thèse en économétrie qu'elle prépare assidûment, Céline Bonnet, 25 ans, milieu et capitaine du Toulouse FC, doit se consacrer également au football. Et plus particulièrement au quart de finale retour de la coupe d'Europe que le TFC dispute ce soir, face à Arsenal.
Un rendez-vous important pour son club mais également pour cette joueuse qui est fin prête à relever le défi des Anglaises d'Arsenal.
Comment votre entourage professionnel perçoit-il le fait que vous jouiez au football? Ils ne sont pas très nombreux à le savoir. Parmi mes collègues professeurs ou bien du côté des étudiants, ceux qui sont au courant me connaissent depuis longtemps, ou bien ils m'ont vu à la télé. C'est très bien perçu par les garçons notamment qui me demandent toujours ce que j'ai fait le week-end avec mon équipe. Du côté de mes collègues, c'est plutôt du genre « Mais comment fais-tu pour jouer et mener tes études? », ou bien « Mais tu as le temps? » C'est vrai que préparer une thèse et faire du sport de haut niveau à côté, c'est lourd à gérer. Mais ça ne me pose pas de problème.
Vous retrouvez avec vos coéquipières sur des « 4 par 3 » placardés dans la ville, ça fait quoi?
Ça fait chaud au coeur! Quelle surprise, ça nous a fait vraiment plaisir, d'autant que nous n'étions pas au courant. C'est la preuve que l'on s'intéresse à nous, que nous sommes enfin médiatisées. Moi, je revenais de l'Inra et j'ai découvert ça au volant de ma voiture, route de Narbonne. Je me suis dit: « Non, ce n'est pas possible!»
Finalement, cette première coupe d'Europe féminine, c'est la meilleure promo pour le football féminin.
Je ne crois pas que ce soit la seule façon de faire connaître notre discipline, mais c'est vrai, c'est une très bonne opportunité pour la promouvoir. Il faut aussi souligner que nous avons eu de la chance de prendre Arsenal. Dans le foot, c'est un nom qui parle, ça a du poids. Allez vendre un quart de finale contre les Finlandaises d'Umea ou les Russes de Ryazan, ce n'est quand même plus pareil, ça parle beaucoup moins aux gens. Arsenal, c'est un autre prestige!
Qu'est-ce que ça change pour vous la coupe d'Europe?
C'est un nouveau challenge. Une épreuve beaucoup plus prestigieuse que le championnat de France. Ce qui sous entend donc une autre motivation, une autre préparation, une pression supérieure aussi. Et puis des matches de ce niveau là, ça apporte beaucoup au plan du football. Moi, disputer la coupe d'Europe, c'est l'une des plus grandes motivations que j'ai pu avoir dans ma carrière.
Grâce au résultat nul du match aller (1-1), vous avez mis un pied en demi-finale. Qu'est-ce que vous pouvez redouter d'Arsenal sur ce match retour?
Il y a tout à redouter d'Arsenal. C'est une très bonne équipe au plan physique et technique. Athlétiquement, elles nous sont supérieures mais on se rend compte que sur la fin du match aller, elles ont lâché physiquement. C'est la preuve que nos quatre entraînements par semaine portent leurs fruits. Moi, je redoute leur circulation de balle et leur jeu physique. Mais après, tactiquement, je crois que nous sommes plus sensibles, on s'adapte davantage. C'est là que nous pouvons faire la différence.
On s'est rendu compte au match aller que rien ne perturbait votre équipe, même au plus fort de la domination anglaise. D'où vous vient cette sérénité?
Ça vient du fait que nous possédons un groupe très solidaire, très soudé. Nous ne sommes pas fragiles dans nos têtes, c'est notre force. C'est ce qui nous a permis depuis trois ans d'être championnes de France et de rester en haut. Nous ne nous sommes jamais loupées sur les grandes rencontres. Croisons les doigts, nous avons cette sérénité qui nous permet d'aborder les grands rendez-vous dans les meilleures conditions.
Au fait, vous avez la particularité d'être entraînée par votre père. Ça se passe comment entre vous et lui?
Bien, très bien même. Il y a des avantages et des inconvénients, comme dans tout. L'avantage, c'est que j'ai la chance d'avoir une très grande complicité avec mon père, donc mon entraîneur. L'inconvénient, c'est qu'il est plus exigeant avec moi qu'avec les autres. Il ne me laisse rien passer. Au fond, ça ne me dérange pas. C'est un peu normal et puis j'ai un rôle de capitaine à assumer, je dois donc donner l'exemple, être irréprochable. J'éprouve un très grand respect pour lui.
TFC-Arsenal, ce soir à 20 heures, aux Sept- Deniers (1/4 de finale retour de la coupe d'Europe).


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