Elles n’ont pas mis de petite culotte

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Elles n’ont pas mis de petite culotte
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Kelly Brook à Londres le 04 décembre 2006
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Courtney Love à Londres le 04 décembre 2006
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Culotte ou pas culotte? Nombre de stars ont fait leur choix. 
Pour briller sur le tapis rouge et être les plus photographiée de toutes, les stars n'hésitent pas à dévoiler leur chair, au détriment parfois de l'élégance. Mais au royaume des paillettes , il n'y a pas de pudeur qui tienne! Et la tendance ne va pas contredire les divas. Les créateurs dessinent de plus en plus de robes fendues sur la cuisse dont l'échancrure remonte vertigineusement vers la hanche de ces dames. Le moyen de combiner look hollywoodien et exhibition. L'une d'entre elles, Bella Hadid a marqué le Festival de Cannes en 2016 en portant une robe rouge très fendue. " D'habitude, je mise surtout sur des looks très simple pour les red-carpet. Je porte principalement du noir, donc c'était vraiment un choix très risqué ce jour là. Mais j'ai eu des retours vraiment extraordinaires et très excitants. C'est certainement la chose la plus risquée de toute ma vie. ", avait confié la jeune femme à Glamour Us quelques temps après.
Dans le palmarès des grandes habituées de ce type de tenues, les Kardashian règnent en maîtresses. Les soeurs les plus exposées de la télé-réalité ont fait de leur image sulfureuse un empire. Pour elles, pas question de faire une sortie en public sans être sexy . Et la robe portée sans culotte (ou presque) tient une jolie place dans leurs garde-robes. Certaines, plus rares, en dévoile un peu trop par accident. La sortie de voiture peut être très risquée si les objectifs scrutent un peu trop la star... Une prise de risque qu'elles semblent juger nécessaire au nom du style.
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Un internaute sur le site pornographique TuKif.com (DR)
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Christian_e a posté le 06 septembre 2022 à 15h48
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nouvelobservance a posté le 06 septembre 2022 à 11h01
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diabolodenfer a posté le 06 septembre 2022 à 10h40
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Christian_e a posté le 06 septembre 2022 à 15h45
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untel a posté le 06 septembre 2022 à 23h59
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Sanzilluse a posté le 06 septembre 2022 à 09h54
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nouvelobservance a posté le 06 septembre 2022 à 11h02
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untel a posté le 06 septembre 2022 à 10h13
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Lorrain a posté le 06 septembre 2022 à 09h44
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Des associations de protection de l’enfance réclament un blocage pur et simple de cinq des sites pornographiques les plus consultés en France. La justice est consultée ce mardi.
Le secteur de la pornographie en ligne retient son souffle : des sites pornos vont-ils être censurés en France ? Ce mardi 6 septembre, le tribunal judiciaire de Paris doit se prononcer sur la demande de bloquer cinq des sites pornographiques les plus consultés sur le territoire – Pornhub, XVideos, XNXX, XHamster et Tukif – déposée par l’Arcom (l’Autorité de Régulation de la Communication audiovisuelle et numérique, héritière du CSA).
Cette décision attendue, si elle est confirmée, serait une première mondiale. Elle est l’aboutissement d’une longue procédure, engagée après les déclarations d’Emmanuel Macron en 2017. Fraîchement élu, le président réclamait alors davantage de mesures limitant l’accès au porno en ligne, en particulier pour protéger les mineurs. Sauf que la mise en place d’une petite fenêtre demandant « Avez-vous plus de 18 ans ? » ne suffit pas.
Soutenues par le gouvernement, les associations e-Enfance et la Voix de l’Enfant ont réclamé le filtrage de neuf des principaux sites porno directement auprès des fournisseurs d’accès à internet (Orange, SFR, Bouygues Telecom, Free). « A 12 ans, près d’un enfant sur trois a déjà été exposé à la pornographie » , souligne la saisine.
La demande a toutefois été jugée « irrecevable » par le tribunal de Paris, en octobre 2021 . Trois associations de protection de l’enfance (l’Open, le Cofrade et l’Unaf) ont alors saisi l’Arcom pour réclamer un blocage des cinq sites précités. Impossible néanmoins de prédire l’issue de ce feuilleton judiciaire.
D’abord parce que la décision de bloquer des sites ne frappera pas que les mineurs de moins de 18 ans, mais bien l’ensemble des Français – certains dénoncent une atteinte au principe de « proportionnalité ».
Ensuite, parce que les conséquences pourraient être multiples, comme le déplorait dans nos colonnes le responsable de l’un des sites pornographiques visés, Tukif :
Un effet contraire à l’objectif défendu. Surtout que Google, non consulté dans la procédure, met généralement rapidement à jour son moteur de recherche, et les obscurs petits sites pourraient se voir propulsés en tête des résultats.
En cas de filtrage, on peut anticiper des comportements similaires à ceux adoptés après la multiplication des blocages des sites de téléchargement illégal : les internautes se reportent sur d’autres entités. En effet, depuis 2010, la pratique du piratage n’a pas baissé : en 2020, 12,7 millions de Français (soit un quart des internautes) se sont rendus en moyenne chaque mois sur des sites proposant des contenus « manifestement contrefaisants » (musique, films, séries…), contre 12,6 millions dix ans plus tôt, note une étude [ PDF ] de la Hadopi, l’ancienne autorité pour la protection des droits sur internet, fusionnée avec le CSA dans l’Arcom.
Quelle serait finalement la solution ? Le ministère de la Justice penche pour une obligation formelle du contrôle de l’âge de l’internaute avant tout accès à un site pornographique. Dans une précédente procédure, le site Jacquie et Michel était ainsi considéré comme « en conformité » puisque disposant d’un système de vérification de l’âge qui impose d’abord une transaction bancaire, puis un contrôle des pièces d’identité. Sauf que le CSA et désormais l’Arcom, s’ils ont été missionnés par l’exécutif pour étudier le respect du contrôle de l’âge sur les sites, n’ont pas à édicter la méthode à utiliser.
Le sujet semble technique, mais c’est bien le cœur du problème : l’Etat souhaite un contrôle de l’âge des internautes, mais ne dit pas comment faire. Aucun acteur étatique n’a été désigné pour l’effectuer. Or, déléguer ce contrôle aux sites porno eux-mêmes semble problématique. Les utilisateurs accepteront-ils de confier leur pièce d’identité et leurs coordonnées bancaires à des sites la plupart du temps hébergés à l’étranger et évoluant dans des milieux pas franchement déclarés ? Accepteront-ils aussi de voir se constituer d’énormes bases de données où seront à la fois enregistrées leur identité et leurs préférences sexuelles ?
D’après un sondage Ifop de 2020 [ PDF ], 57 % des Français voient dans cette obligation une atteinte à la vie privée, et 87 % disent ne pas avoir confiance dans les éditeurs de sites pornos pour gérer ce contrôle. Il est ainsi facile d’anticiper une bascule vers les solutions techniques permettant de contourner filtrage et contrôle, en particulier le VPN (réseau privé virtuel), qui permet de faire croire à une connexion depuis l’étranger. Ou, plus simplement, chercher un site qui n’exige pas de contrôle (évoqué par 64 % des sondés). Sur ce point, il est à noter que certains des sites pornos mis en demeure ont déjà préparé des versions de leur plateforme pour contourner un éventuel blocage (à l’image de XVideos2.com).
Les contenus pornographiques représentent un tiers de ce qui circule sur le net, soit environ 5 % de la consommation mondiale d'électricité. Interdire le porno sur internet sauvera la planète...
La belle excuse pour faire passer la censure d'internet comme une mesure de protection... Car les sites moins consultés deviendront les sites les plus consultés. Que les parents fassent leur boulot, et que l'état se mêle de ce qui le regarde!
Des sites qui seront interdits...et remplacés dans la foulée par d'autres sites...Ce discours d'interdiction est du brassage de vent...Comme prétendre interdire la prostitution est également du brassage de vent...Avec le téléphone portable ils ont le bonjour pour espérer empêcher quoique ce soit... Et puis, en revanche, j'ai peut être pas bien regardé mais je ne vois pas de protestations concernant les jeux vidéos, beaucoup plus ´repandus et utilisés que le X par les gamins et dont 95% consiste à faire exploser la tête du maximum de méchants à l'arme lourde avec éclaboussures de sang et morceaux de cerveau hyper-réalistes.....
Il y a tout de même beaucoup moins de jeunes qui cherchent à reproduire ce qu'ils ont vu dans les jeux vidéos, par rapport à ceux qui se comportent avec les filles comme dans les films X...
Je l'avais dit autrement (pas publié) mais c'est aussi mon avis...
Mon fils de 11 ans me demande si les soirées électro-gay-pride à l'Elysée continueront a être diffusées sur les réseaux. Je ne sais pas quoi lui répondre.
essayez : ôte-moi cette ridicule perruque et les talons aiguilles de ta mère et va faire tes devoirs 😎
réponse à shinchaku
a posté le 05 septembre 2022 à 17h30 et si vous vous occupiez de vos oignons au lieu de vouloir critiquer les autres, sans doute vous vous croyez malin de tel commentaire alors que vous ne faites que montrer votre petitesse


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Elles ont décidé de ne plus porter de culotte (et nous disent pourquoi)


Passionné par les sujets de société et la culture, Clément Arbrun est journaliste pour le site Terrafemina depuis 2019.


Scarlett Johansson dans "Lost in Translation" (2004).

Connaissez-vous le "free pussies" ? Cette pratique, de plus en plus tendance, consiste tout simplement à "s'aérer le minou" en se permettant de dire "adieu" à la culotte. Une libération aussi physique que militante.
Voir cette publication sur Instagram
Et si vous sortiez sans culotte ? Ne riez pas, l'acte n'est pas si incongru que cela. Sur Instagram , on appelle déjà, avec les températures (chaudes) qui s'annoncent, à "sortir les robes climatisées et faire tomber la culotte, refroidir cette partie du corps que l'on enferme dans des couches de vêtements". L'heure de la libération a sonné. Elle a pour nom "free pussies" : les minous libres, "à l'air". La pratique enthousiasme les internautes. Mais celles qui l'ont adoptée n'ont pas attendu la canicule . Mieux, un proche le fait peut-être déjà, sans que vous le sachiez. Et nombreuses sont les adeptes à y trouver une ribambelle d'avantages. Rencontre avec ces sans-culottes.
Le "free pussies" séduit et angoisse à la fois. Camille, 25 ans, jubile du côté "free" de la force, mais s'avoue bien trop "puriste de l'hygiène" pour l'adopter. A l'écouter, cela dépend de la flore vaginale de chacune, "de notre prédisposition aux infections urinaires et aux pertes divers", nous détaille-t-elle. Et ce n'est pas Judith, 24 ans, qui lui donnera tort. Elle aussi adore ce lâcher de culotte triomphant. Mais appréhende tout ce qu'il convient de contrôler lorsqu'on l'envoie virevolter. Les flux menstruels, les fuites urinaires. Bref, "tous les fluides qui sortent de nos teuchas", dit-elle, et viendraient flinguer l'expérience. Celle qui aurait trop peur "d'attraper une ptite mymy (une mycose !) en [s']asseyant je ne sais où" se voit mal en déculottée. Le b.a-ba, insiste-t-elle, est de bien connaître son corps.
C'est justement le cas de Mossane, la sans-culotte "intermittente". Cela fait quatre ans que cette jeune femme - qui en a vingt-quatre - dit adieu à sa culotte à chaque été. Rien de tel pour elle que de se libérer en robe et jupe longue. L'air passe. La sensation est agréable. Et le geste, spontané.
"J'ai décidé de m'en foutre !", glisse-t-elle avec une douce insolence. Les pantalons et shorts, par contre, elle évite. Trop de frottements, et de risques que les infections suivent. Mossane fait très gaffe à ces détails. Si bien que depuis le temps qu'elle pratique, elle n'a jamais rencontré d'incidents. A force de tester son corps, elle a appris à le comprendre et à l'apprivoiser. A briser les liens qui le cinglent. Résultat, à l'arrivée, elle a décidé de lui faire du bien. De se faire du bien. "Je pense que cela dépend des métabolismes de chacune, mais moi, je me sens si libre, si fraîche quand je le fais !", se réjouit-elle.
Une publication partage par AnA (@anagreenbabycircus) le 23 Juin 2019 10 :26 PDT
Pour les sans-culottes, confiance et connaissance vont de pair dès qu'il s'agit de se réapproprier son corps. Le "free pussies" est une exploration de soi, comme peut l'être, dans un tout autre genre, la masturbation . Emilie, 40 ans, ne nie d'ailleurs pas la portée "sexy" de la chose. Elle a déjà décidé de se mettre à nu pour son copain ou ses dates . Sous sa jupe ou sa robe, il n'y a rien, seulement le désir, diffus. Elle est au courant, son Jules aussi. Forcément, la transgression est indéniable. "Ça émoustille ", approuve-t-elle. Comme de l'exhibition, "mais qui ne cherche le regard que d'une seule personne, pas des autres", corrige-t-elle. De l'exhib' pour soi, presque. "C'est lié à la maîtrise de ma sexualité. Ça stimule l'imagination de mon copain mais la mienne aussi !", s'enthousiasme-t-elle.
Promener le minou à l'air libre, c'est balader un secret qui n'appartient qu'à soi. Valentine, 26 ans, savoure cette cachotterie - ou "cachatterie". Depuis un an, cette féministe convaincue s'est émancipée de ces bouts de tissu qui l'étouffent. Pour ne plus laisser son sexe "y mariner", décoche-t-elle, mais aussi par convictions intimes, politiques. Le free pussies lui offre l'assurance d'être à l'aise avec son corps dans une société où il ne cesse d'être toisé, jugé, insulté. De redevenir "maîtresse de celui-ci", assure celle qui, bien sûr, évite quand même de flirter avec les robes trop virevoltantes. Parce que des délires à la Marilyn Monroe , ça va bien deux fois. Pas d'oripeaux volatiles chez elle mais des idées solides, nettes : "J'ai un cycle menstruel hyper régulier et très peu de pertes... donc avec moi, le free pussies, ça marche super bien".
...... Je viens de regarder une vido de Topito, ou l'un des secrets de fille serait ...... de porter une culotte par dessus notre collant pour ne pas qu'il tombe. Je. N'tais. Pas. Au. Courant. O_o
Les manifestantes des grands élans féministes d'hier brûlaient leurs soutien-gorges. Et si les porte-paroles des révolutions actuelles envoyaient bouler leurs culottes ? Difficile de savoir si cette hypothèse tient la route. Mais pourquoi pas ? " Ne pas porter de soutif, cela se voit davantage, alors que pour la culotte, personne ne le sait. Mais les deux gestes s'attaquent au même biais de société : ce n'est pas à nous de nous conformer aux déviances des mecs, mais à eux d'apprendre à se maîtriser et à nous laisser tranquilles", clame Valentine. On le devine, le free pussy ouvre grand la porte aux chattes non apprivoisées. Sauvages. Ce qui rend l'action très sororale. "Personne ne le sait", et c'est ce qui est bon : la révolte est muette, mais existe. Elle ronronne.
Pendant mes vacances, je ne veux pas entendre parler de vo
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