Elle y va les yeux fermés

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Elle y va les yeux fermés


Paroles de la chanson
Les Yeux Fermés par
Eiffel



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Un arrière gout de nulle part

Avec vue sur le vide

Dans l'iris d'un aveugle

La fuite des profils

S'obstiner à rester, s'accrocher

S'accrocher à rien

Mais au moins ça on connait



Où va-t-on quand on a les yeux fermés?

Où va-t-on quand on a les yeux fermés?



Peut-être dans ta tête

Resterai-je un peu

Et pour la deuxième fois

Mourir à petit feu

En flamme incandescente


De ce monde incensé

Et mon empire des sens, alors moi.

Qu'est ce que j'en fais?

J'étais venu pour la poser

La question surannée



Où va-t-on quand on a les yeux fermés?

Où va-t-on quand on a les yeux fermés?



Qu'est ce que vous croyez?

Et ça veut dire quoi

Toutes ces bouches bées?



Peut-être dans leur crâne

Insisterai-je un peu?

La dernière allumette

S'enflammerait avec eux

A la vitesse indécente


De ce monde irrévérencieux

Je la tire ma révérence

Et vous laisse le soin de faire

J'étais venu pour remuer

La question dans la plaie



Où va-t-on quand on a les yeux fermés?

Où va-t-on quand on a les yeux fermés?

Moi je n'irai

Que si l'on y va

Comme on va, comme on va au baiser



Les yeux fermés, bouche à bouche bées

Les yeux fermés, bouche à bouche bées ...
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Classé n° 12 sur 394 Restaurants à Saint-Malo


Catégorie de prix : 599 RUB - 1 437 RUB

Conseillé pour : Romantique, Familles avec enfants, Cuisine locale

Options : Dîner, Petit déjeuner, Déjeuner, Ouvert tard, Réservations

Description : Au cœur de la cité corsaire, Vanessa et James proposent un large choix de galettes et de crêpes réalisées à la demande sous les yeux des clients ! Produits régionaux et artisanaux.Une crêperie adaptée pour la réception des groupes.
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Avis publié : 27 mai 2012 par mobile
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je confirme, Le Tournesol est une très bonne crêperie, nous y avons été après avoir consulté les avis sur Tripadvisor et nous n'avons pas été déçu! nous avons mangé une crêpe avec du camembert et en dessert l'incontournable crêpe au caramel beurre salé un délice (monsieur en a pris 2 et j'ai du le stopper car il était bien parti pour une 3ième!!) Il y avait un groupe qui occupait toute les places, nous avons attendu 5 minutes et le café nous a été offert. encore merci à la patronne! Nous y retournerons sans hésiter.
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Crêperie que je recommande. Le personnel est agréable et souriant. Deux menus sont proposés à des prix intéressants. Les crêpes sont copieuses et sont faites avec des produits de qualités. J'ai été ravie du menu découverte que j'ai pris; mon mari a choisi un menu breton: il a tout apprécié mais aurait préféré plus d'andouilles de guemene et moins de camembert dans sa deuxième galette.
que dire de plus c'est tout simplement super,génial,sensas petie crêperie sans prétention aucune une patronne charmante et sympatique,ne pas oublier Monsieur crèpe qui nous régales avec ses galettes.nous avons pris le menu a 17,90€ très copieux .On y retournera c'est sur lors d'un prochain long week-end.nous avions réservées avant d 'y aller.
Accueil sympathique, ce qui ne fut pas le cas dans les 2 autres crêperies que j'ai essayées en ce jeudi de l'Ascension : une personne seule n'intéresse pas grand-monde ce jour-là, semble-t-il. Service rapide et attentionné. Crêpes bonnes. Carte assez originale, caractérisée par l'utilisation de produits du terroir (fromages, saucisse...). Cidre fermier à essayer. Cadre plutôt agréable et intime, dans petite rue
L'accueil est plus que chaleureux, la patronne est vraiment charmante. Elle sait nous mettre à l'aise et prendre 2 minutes pour discuter avec nous. Quant au repas, il était simplement divin. Les crèpes sont excellentes et les produits vraiment de qualité. Le menu à 17,50 € nous a comblé. Il est préférable de réserver. Bref, vous pouvez y aller les yeux fermés !

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Robyn J. Floyd Dear, dear Satan... ▌Messages : 43 ▌Livres Sterling : 116 ▌Date d'inscription : 02/01/2010 ▌Avatar : Freja Beha Erichsen ▌Copyright : Morphine ▌Jukebox : Emperia 23 ♠ Le bask ▌Possibilité de rp : Pas très envie Under my skin ▌Clan : Maitre des vampires ▌Age du perso : 19 ans
Gabrielle ne comptait plus le temps qui passait. Elle errait tout simplement dans Londres, sur la rive ouest. Elle aimait beaucoup se promener ici, surtout de nuit. Une légère brise vint soulever ses cheveux. Étant immortelle, la jeune femme ne pouvait ressentir le souffle du vent, et regretter parfois la caresse du vent sur son visage. Mais elle ne pouvait rien y faire. Elle lâcha un discret soupir, puis s'arrêta quelques instants, et observa la Tamise. Cette eau qui suivait doucement son cours, sans se soucier de ce qui se passait autour, c'était apaisant pour Gabrielle. Car oui, la jeune femme n'est pas qu’un vampire sanguinaire qui ne se préoccupe pas de ce qui se passe autour d'elle. Il lui arrive parfois de s'arrêter un moment et de se caler quelque part, à méditer. Sur quoi ? Pas beaucoup de choses. Elle n'est pas du genre à réfléchir sur ses actes, à les regretter, ou à se soucier des autres. Quelques minutes plus tard, la vampire reprit son chemin, son ventre lui criant soudain qu'il avait faim. Oui mais voilà, la nuit, il n'y a pas beaucoup d'humains qui se baladent dans les rues, surtout depuis que les journaux avaient fait la une avec les histoires de meurtres et de vampires. Les gens préféraient rester chez eux, et ça se comprenait. Mais tout ça n'arrangeait pas les affaires de notre chère Gabrielle. Il lui fallait du sang, avant qu'elle ne perde totalement le contrôle d'elle-même. Et ce n’est pas beau à voir. Elle lâcha à nouveau un soupir, s'engageant par la même occasion dans une petite rue déserte. Même les chats ne voulaient pas mettre leur museau dehors... S'approchant d'un local à poubelles, Alice découvrit un SDF endormit pas loin. Bon, le repas de cette nuit ne serait pas fameux, mais au moins elle pourrait se caler le ventre pour quelques heures... Elle s'approcha le plus doucement possible, s'évertuant à ne pas faire de bruit, puis se pencha sur son cou et le mordit. La jeune femme ne lui laissa aucune chance; le saignant entièrement. Elle avait trop faim pour laisser l'homme en vie. Et puis la vampire ne faisait pas dans les états d'âmes. Bon, elle avait calmé sa faim, c'était déjà ça. Elle se releva, s'essuya la bouche d'un revers de manche, puis reprit sa déambulation, laissant le corps là. De toute façon, personne ne le ferait rechercher. Elle s'approcha doucement d'une petite rue encore plus déserte, vu qu'il n'y avait pas de SDF, et tomba dans une impasse. Et au bout de l'impasse, une grande maison, qui ressemblait plus à une école en fait. Gabrielle s'approcha, et reconnue une école primaire, dont l'entrée donnait directement dans la cours. Une cours dont les arbres étaient morts, et la façade de l'école tombait en ruine. Certaines fenêtres étaient brisées, d'autre murées. La vampire en conclut qu'elle était abandonnée. Bon, en même temps, ce n’est pas compliqué à déduire... La jeune femme s'approcha, intriguée. Elle aimait beaucoup ce décor. Cette idée de désolation, vous voyez, un peu comme un décor de cinéma dans un film de série B. Arrivée dans la cours, elle s’avança encore, jusqu’à attendre de grandes portes en bois, intact. Elle en poussa une, et au miracle, celle-ci s’ouvrit. Au pied de la jeune femme trônait un cadenas ; surement des gamins qui l’avaient forcé pour ouvrir la porte. Elle entra et erra dans un couloir, les toiles d’araignées et les rats régnant dans ce lieu. Au sol, des bouteilles de bières vides et de nombreux mégots de cigarettes témoignés d’un passage de squatteurs surement. Elle arriva rapidement devant une salle de classe, et décida d’entrer. Tout cela lui rappelait l’époque où elle était encore humaine, et où chaque jours elle allait en cours. Elle s’approcha du tableau et le caressa du bout de ses longs doigts fins, des traces de craie encore présentes. Au fond de la classe, la plupart des bureaux avaient disparus, les chaises étaient éparpillés au sol ou alors mise en cercle, et une croix sataniste avait été dessinée sur une carte du monde recouverte d’une pellicule de poussière. L’atmosphère sentait le moisi et le renfermé. La jeune femme s’approcha du bureau du professeur, miraculeusement intact, s’assit sur la chaise et posa ses pieds sur le bureau. Oui, c’était un bon endroit pour passer une nuit à rien faire. Le seul hic, c’est qu’elle n’allait pas la passer seule… Car déjà, elle entendit dans le couloir des bruits de pas…
Plongé dans l’éternel cauchemar sans fin du vide absolu, la pluie déferlante d’une tendresse maternelle perdue et du temps qui ne reviendra plus. Songe sans cesse à ton indélicatesse d’une prouesse incestueuse et du mal être profond qu’engendre la semence de ton acte. < La chute n’en sera que plus délectable... >
Maximilian G. Helanger God hates fangs... ▌Messages : 31 ▌Livres Sterling : 82 ▌Date d'inscription : 03/01/2010 ▌Avatar : Francisco Lachowski ▌Copyright : Alles ▌Jukebox : Smell like teen spirit ♠ Nirvana ▌Possibilité de rp : Possible Under my skin ▌Clan : Death Angels Chief ▌Age du perso : 23 ans
Un bruit de pas. Une présence. Une silhouette. Voilà ce qu'était Stephen lorsqu'il était de ce côté du fleuve. Une proie comme une autre. Un peu plus défendue peut-être. Quoique. Face à un de ces monstres, il n'avait tout de même que quelques minutes d'espérance de vie. Mais il était habitué. Les Death Angels avaient amassé plus d'un bocal de canines de ces femmes. "Azraël" marchait et tous ceux qui empiétaient sur sa route étaient tués. Tous. Sans exception aucune. Un sourire s'esquissa sur ses lèvres ... Azraël ... Quel surnom idiot. Il n'avait rien à voir avec Dieu. Lui se vengeait. C'était tout. Il défendait les humains ? Non, même pas. Il n'avait que faire de ce tas d'ignorants. Il luttait pour sa vie. Et sa vengeance. Rien de plus. Une flamme. De la fumée. Inspiration. Expiration. Le briquet regagna sa place. La cigarette était entre ses lèvres. Immobile. De la fumée s'en échappait parfois. Un frisson. Nouveau soupir. La nuit était fraîche, en plus d'être dangereuse. Lentement, il resserra son long manteau autour de sa taille. Ses mains s'enfouirent dans ses poches. La cigarette elle restait accrochée à ses lèvres. Pour rien au monde il ne l'aurait éteinte. Il fit quelques pas. S'arrêta devant les berges de la Tamise. Il s'agenouilla. Il y avait eu quelqu'un ici. Il n'y a pas tellement longtemps. Inspiration. Expiration. Un sourire. Il allait la trouver. Cette bête. Il accéléra le pas. Plus pour se réchauffer que pour autre chose. Il allait trouver ce qu'il cherchait. Il n'avait aucun doute là dessus. Le tout aurait été de savoir où et quand. Mais il s'en fichait. Il n'allait pas mourir aujourd'hui. Il avait encore trop de choses à faire pour ça. Il ne devait pas se laisser le temps de mourir. Il devait traquer sa proie. Un corbeau qui s'envole. Etrange à cette heure là. Stephen se dirigea vers l'endroit d'où venait de décoller l'oiseau. Un sourire. Un mort. Pauvre gars. Il n'avait rien fait. Mais en attendant, l'Ange de la Mort se rapprochait de sa proie. S'agenouillant face à l'homme, il ferma ses paupières. A jamais. « Vila i fred. » * Il allait chopper ce fichu vampire. Le faire souffrir ? Non. Pas spécialement. Elle se nourrissait après tout. C'était comme lorsqu'on tue les vaches. On extermine pas chaque personne qui mange du boeuf. C'était pareil. Il la tuera. Point. Lui arracherait les dents. Comme les autres. Peut-être était-elle celle qui l'avait condamné à mort quelques années en arrière. Peut-être ... Il ne le saurait que lorsqu'il retrouverait cette ... femme. Et pour l'instant, c'était bien partit pour. Il n'y avait qu'une ruelle qui était proche du cadavre. Et elle donnait sur un bâtiment. Désert. En morceaux. Comme tous les bâtiments sur cette fichue rive. Comment un endroit comme celui-ci pouvait-il seulement exister à cette époque ? D'accord, c'est l'endroit le plus louche et dangereux de la ville. Mais bon, quand même. Plusieurs campagnes auraient pu être faites pour débarrasser l'endroit de ses squatteurs. Enfin. On ne refait pas le monde. Et la famille Von Milhem n'avait malheureusement pas encore la main sur la Mairie de Londres. Plus tard peut-être. Pour l'instant non. Lentement, il fit les quelques pas qui le séparait de la porte d'entrée. Ouverte, comme par miracle. Un sourire s'esquissa sur ses lèvres tandis qu'il pénétra à l'intérieur du bâtiment. Il lui suffisait de suivre les traces de pas après tout. Ils avaient soulevé de la poussière, aussi légers soient-ils. Le monstre devait être encore là. Il n'y avait qu'une trace. Pas deux. Et ça suivait le couloir. Sans chercher plus que ça à être silencieux, Stephen continua à suivre la trace. La jeune femme avait dû l'entendre rentrer depuis un moment maintenant. Mais visiblement, elle n'avait pas décidé de partir. Elle ne devait pas savoir qui était rentré. L'humain passa un semblant de porte et se retrouva dans une salle de classe. Un coup d'oeil à droite. Personne. Un coup d'oeil à gauche. Le vampire. Assis sur une chaise, les pieds sur le bureau. Aucune éducation, vraiment. Attrapant un couteau dans le fond de sa poche, Stephen se tourna vers la femme. Sourire aux lèvres. « Jag funnite dej. » ** Sa tête s'inclina légèrement en avant. Puis il sortit une cigarette de son autre poche et l'alluma. Il tenait fermement le couteau dans sa main. Si jamais ce vampire tentait quoi que ce soit. Et si jamais le couteau était inutilisable, elle pourrait se faire trouer la peau par 2 desert eagle. Lentement, il desserra son imperméable. Soit-disant qu'il faisait meilleur ici. Il fallait juste se préparer à toutes les éventualités. Non ? Tirant une latte de sa cigarette, il détailla la bête en face de lui. Elle était plutôt ... attirante en fait. Ses cheveux étaient légèrement emmêlés. Sa peau blanchâtre la rendait plus que désirable. Mais il ne fallait pas. C'était l'ennemi. Un monstre. Du même genre que celui qui avait tenté de le tuer. Mais ce n'était pas elle. Encore raté. Un nouveau mort pour rien. Lentement, l'humain resserra le noeu de son écharpe. Il ne fallait pas qu'elle voit la cicatrice. Sinon ... Que pourrait-il arriver.
Robyn J. Floyd Dear, dear Satan... ▌Messages : 43 ▌Livres Sterling : 116 ▌Date d'inscription : 02/01/2010 ▌Avatar : Freja Beha Erichsen ▌Copyright : Morphine ▌Jukebox : Emperia 23 ♠ Le bask ▌Possibilité de rp : Pas très envie Under my skin ▌Clan : Maitre des vampires ▌Age du perso : 19 ans
Elle ne pouvait décidément pas rester un peu tranquille ? Non, déjà une forme humaine se dessinait à l'angle de la porte. Un homme. Un humain. Elle avait déjà mangé cette nuit, mais elle n'était pas contre s'amuser avec cet humain imprudent. Elle avait toute la nuit devant elle. Et toute une nuit, c'est long. Alors autant trouver des trucs pour faire passer le temps. Elle lâcha à nouveau un soupir, tandis que le jeune homme disait quelques mots dans une langue étrangère que Gabrielle ne comprit pas. Elle l'observa ensuite s'allumer une cigarette. Savait-il seulement qui elle était ? Non, il serait déjà parti en courant aussi non. Ses humains, tous des peureux, des faibles... Nouveau soupir. Sa voix cristalline s'éleva dans les airs, tandis qu'elle sortait elle-même une cigarette de son paquet, le remettant ensuite dans sa poche et sortant pendant la même occasion un briquet. - « Bonsoir petit humain, tu t’es perdu ? » Un sourire narquois s'afficha sur ses lèvres, tandis qu'elle allumait sa clope. Elle se demandait déjà comme elle allait le tuer. Doucement, et le plus douloureusement possible. Oh oui, cette soirée promettait d'être amusante. Tirant une latte, elle observa plus attentivement le jeune homme. Grand, avec de beaux yeux noisette, cheveux châtains. Il était pas mal. Dommage, elle devrait le tuer. La jeune femme enleva ses pieds du bureau et se releva, s'approchant d'une démarche féline du jeune homme. Il lui disait quelque chose. Elle l'avait déjà vu quelque part... Mais où ? Généralement, elle ne laissait jamais ses victimes en vie. Qui pouvait-il bien être ? Oh, et puis, ça n’avait aucune importance. Tirant à nouveau sur sa cigarette, la laissant cette fois-ci dans sa bouche, elle se retrouva en face de lui. Encore quelques pas, et elle se retrouva derrière lui. Ses doigts glacés le frôlèrent légèrement au niveau du cou, au dessus de son écharpe. D’ailleurs, que faisait-il avec une écharpe et un imper en plein été ? Il devait avoir un grain lui. Un léger sourire naquit sur ses lèvres. Elle allait décidément bien s’amuser. Elle rapprocha son visage de son oreille, son souffle glacé soufflant sur sa nuque, restant quand même sur ses gardes au cas où il déciderait de l’attaquer et lui dit : - « Tu dois avoir chaud non ? Tu devra
La saveur de l'amour
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