Elle veut une place dans l'équipe des pom-pom girls

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Elle veut une place dans l'équipe des pom-pom girls


Publié le 03/05/2018 à 19h50
- Modifié le 03/05/2018 à 20h20




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Derrière les paillettes, des discriminations, des heures de travail à rallonge et une soirée avec les VIP: des pom-pom girls ont révélé les pratiques douteuses de plusieurs équipes de football américain aux États-Unis.
Dans des témoignages publiés jeudi dans le New York Times, des membres de l'équipe des pom-pom girls des Redskins de Washington ont raconté les dessous d'un séjour d'une semaine dans un hôtel huppé et réservé aux adultes, en 2013 au Costa Rica.
D'autres, ayant travaillé pour les Saints de La Nouvelle-Orléans et les Dolphins de Miami, ont récemment porté plainte contre leurs ex-employeurs pour discrimination.
Le quotidien a interrogé plusieurs des 36 pom-pom girls des Redskins s'étant rendues au Costa Rica pour des séances photos destinées au calendrier du club.
Parlant de façon anonyme, elles ont raconté avoir été photographiées seins nus ou avec de la peinture sur le corps pour ce calendrier... qui ne contient jamais de photos nues.
Plusieurs sponsors et invités louant des loges VIP dans le stade des Redskins --qui étaient tous des hommes-- ont également pu assister à la séance, selon elles.
Après une journée de travail qui aurait duré quatorze heures, neuf jeunes femmes ont dû accompagner certains d'entre eux pour une soirée dans une boîte de nuit.
"Ils ne nous mettaient pas le pistolet sur la tempe mais c'était obligatoire", dit l'une d'elles. "On ne nous demandait rien, on nous l'imposait".
La soirée n'a pas comporté d'actes sexuels, ont-elles précisé, soulignant que c'était néanmoins très désagréable.
Stephanie Jojokian, directrice et chorégraphe des pom-pom girls des Redskins, a assuré au quotidien qu'aucune fille n'avait été "forcée" à participer à cette soirée.
La direction des Redskins a assuré dans un communiqué que "chaque pom-pom girl est protégée par un contrat qui lui assure un environnement sûr et positif".
Selon le NYT, les jeunes femmes n'ont pas été rémunérées pour ce voyage qui était tous frais payés.
D'autres ont décidé de poursuivre leur employeur après avoir été licenciées. C'est notamment le cas de Bailey Davis qui affirme avoir été victime de discrimination par rapport aux joueurs de l'équipe des Saints.
Kristan Ware estime pour sa part avoir été victime de discrimination religieuse, et avoir été licenciée à cause de sa foi. Elle explique notamment que les meneuses de l'équipe de pom-pom girls des Dolphins lui avaient dit d'arrêter de parler en public de sa virginité.
03/05/2018 20:20:07 - 
        Washington (AFP) - 
        © 2018 AFP
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Publié le 16/09/2016 à 08h06
- Modifié le 16/09/2016 à 09h23




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Fumie Takino et ses pom-pom girls lors d'un spectacle le 26 mars 2016 à Chiba au Japon © TORU YAMANAKA AFP


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Vous lisez actuellement : Au Japon, les pom-pom girls du troisième âge applaudies à tout rompre

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Débardeurs roses, mini-jupes ornées de guirlandes dorées et longues bottes blanches, à peine les danseuses font-elles leur entrée dans le gymnase que les applaudissements résonnent à tout rompre. Pensez, on n'en voit pas tous les jours, des pom-pom girls de plus de 60 ou 80 printemps.
Fumie Takino, 84 ans, donne le la à ses camarades et les "filles" (moyenne d'âge: 70 ans) prennent rapidement leur place, déclenchent le sourire sur commande comme elles se mettraient au garde-à-vous, prêtes à sauter en l'air à la première note de "Dreamgirls", bande originale du film éponyme.
Pour être de la troupe "Japan Pom-Pom" de Mme Takino, les critères sont stricts. "Il faut avoir au moins 55 ans, être confiante dans sa capacité à offrir de soi la plus belle attitude", précise l'aînée lors d'un entretien accordé à l'AFP. "Qu'y aurait-il d'amusant à regarder des grand-mères de 70 ans danser comme des vieilles ?"
Devenir pom-pom girl lui a changé la vie, assure celle qui était paraît-il archi-timide quand elle était jeune.
"Mon couple ne fonctionnait pas bien. Je pensais que je devrais endurer cette situation jusqu'à ce que mes enfants se marient", se souvient-elle.
Imaginant s'encroûter dans une vie monotone de mère au foyer et se voyant finir peut-être comme son père, grabataire, elle a soudain décidé de tout chambouler et de partir, soutenue dans cette démarche inhabituelle par son fils et sa fille.
"Je ne voulais pas passer les dernières années de ma vie à me plaindre et à regretter les choses que je n'avais pas faites", dit-elle. Et elle n'est pas allée dans le village d'à côté, mais au Texas, pour suivre des études de... gérontologie.
Maîtrise en poche, elle est revenue ensuite au Japon où la vieillesse est une préoccupation nationale: 27% de la population a déjà plus de 65 ans et le phénomène va aller croissant car les Japonais sont en outre parmi les humains qui jouissent de la plus longue espérance de vie (86,8 ans pour les femmes, 80,5 ans pour les hommes).
Plusieurs années ont encore passé avant que Mme Takino n'ait vent de l'existence d'une équipe américaine de pom-pom girls du troisième âge. Bingo ! Elle décide de créer la sienne.
D'abord avec des copines. Certes, à 70 ans, on est moins valide qu'à 50 et les capacités tendent à décliner au fil des années, mais ce n'est pas une raison pour ne plus rien faire et s'apitoyer sur son sort, insiste l'octogénaire.
C'est elle qui motive ses camarades: "Même si vous sentez que vous ne pouvez plus suivre le rythme, vous devez quand même essayer de rester avec nous".
Et c'est ainsi que, chaque semaine, plus de 20 Nippones d'âge respectable se déhanchent et rectifient, vidéo à l'appui, leur gestuelle comme des professionnelles.
Shinko Kusajima, 67 ans, s'est inscrite en mars d'abord comme observatrice, dans l'espoir de passer une audition pour devenir à son tour une mamie pom-pom, une façon de conserver des amies alors qu'avec l'âge leur nombre diminue. "Il y a toujours des copines ici pour partager un bon moment".
Takiko Tanaka, 72 ans, a elle aussi envie d'en être, un vieux rêve: "J'ai toujours voulu faire ça, ça paraît tellement amusant".
Ce n'est pas Mme Takino, tout sourire du début à la fin du spectacle, qui dira le contraire.
16/09/2016 09:22:56 - 
Tokyo (AFP) - 
© 2016 AFP
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Etre pom-pom girl, un rêve à décrocher






AFP ,



le 23/03/2014 à 08:26




Modifié le 23/03/2014 à 09:30






Des aspirantes pom-pom girls lors d'une séance de sélection à Baltimore le 8 mars 2014
AFP






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