Elle veut un bébé

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Nous sommes ensemble depuis huit ans. On ne se dispute que sur le désir d’enfant. Je n’en veux pas. J’ai toujours été clair. Elle me traite de monstre et me reproche de la priver d’enfant. Elle a 29 ans, moi 36. Nous sommes au bord de la rupture et je n’ai plus confiance dans sa contraception. C’est dramatique, car nous avons encore des sentiments l’un pour l’autre. Que faire ? Merci.
Vous avez le mérite d’avoir toujours été clair sur votre non-désir d’enfant. Cependant, au bout de huit années passées ensemble, votre compagne pouvait espérer un changement. Le pire pour vous serait que vous ayez un enfant sans le désirer. Vous risqueriez de le rejeter ensuite. Inconsciemment, une femme qui désire un enfant et qui a, en plus, des sentiments pour son partenaire essaie d’arriver à ses fins. Peut-on en vouloir à une femme de désirer un enfant ou à un homme de ne pas en vouloir ? Non, bien sûr. Chacun devrait se poser les vraies questions. Un enfant, pourquoi ? De quoi a-t-on peur quand on refuse la paternité ? Vouloir un enfant, est-ce un moyen pour une femme de retenir son compagnon ? Toutes les pistes doivent être explorées afin d’élucider les peurs et de les dépasser, sans dramatiser, et revoir le problème dans quelques mois, tout en gardant une communication chaleureuse au sein du couple. Lire aussi notre dossier : « Je veux un enfant, pas lui ».
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Bonjour, Vous aurez sans doute compris mon problème : ma copine veut un enfant et moi pas... On est ensemble depuis 5 ans. Elle a 27 ans, moi 26. Depuis quelques mois, j'ai une situation professionnelle stable, et elle aussi. On a évoqué ce sujet il y a un ou deux ans sans se mettre d'accord, en se disant "on verra bien plus tard". Mais là, ça vire à la grosse crise de couple. Elle m'a dit clairement : 1) soit tu me promet de te lancer dans l'aventure d'ici à quelques années (avant ses 30 ans) 2) soit je ne peux pas rester avec toi, même si ça me déchire le cur. Je suis devant cet ultimatum impossible à résoudre... Il y a quelques semaines, j'étais encore catégorique sur cette question : je ne veux pas d'enfants ni maintenant ni pour toute ma vie. Elle a essayé de me convaincre et maintenant je pense un peu différemment : pas d'enfants maintenant mais peut-être plus tard (mais pas sûr) Le problème c'est que cela ne la suffit pas... Je n'arrive pas à m'engager plus... C'est un engagement beaucoup trop lourd à assumer pour moi. Je suis complètement perdu... Besoin d'aide svp Olivier
Il est difficile de faire quelque chose car il n'y a pas de solution intermédiaire. Tu n'es pas sur d'avoir un enfant par la suite. Elle veut de la certitude. Si tu n'en veux pas, elle a raison de te quitter 🙏 . Vous ne partagez pas les mêmes projets
Bonjour, Elle fait bien de t'en parler. Te devrais essayer de savoir i tu ne veux pas d'enfant dans l'absolu, ou pas d'enfants maintenant. Il est probable que ta position soit le reflet de ton non-désir actuel, ce qui est différent de ne pas vouloir d'enfant du tout. Mais si tu es sûr de ne jamais en vouloir, alors tu dois être franc d'emblée (et aussi prendre les précautions qui vont avec...préservatif).
Bonjour, Elle fait bien de t'en parler. Te devrais essayer de savoir i tu ne veux pas d'enfant dans l'absolu, ou pas d'enfants maintenant. Il est probable que ta position soit le reflet de ton non-désir actuel, ce qui est différent de ne pas vouloir d'enfant du tout. Mais si tu es sûr de ne jamais en vouloir, alors tu dois être franc d'emblée (et aussi prendre les précautions qui vont avec...préservatif).
Ce n'est pas un sujet sur lequel on peut faire de compromis... Si on ne s'entend pas sur le fait de vivre en ville ou en campagne, l'un fait un compromis et si ça ne convient pas on déménage. Vouloir une vie de famille ou pas, c'est pas aussi simple. Si elle veut une vie de famille, renoncer à avoir des enfants, les voir grandir, etc. Risquerait de ne pas la rendre heureuse et on ne peut pas faire marche arrière car il y a une limite de temps et elle ne voudra pas avoir ces enfants avec n'importe qui. Ce n'est pas à 40 ans qu'il sera temps de trouver ce bonhomme là. Et toi, si tu n'en veux pas un enfant prend tellement de place, change tellement la vie au quotidien qu'on ne peut pas te forcer à en souhaiter. Alors bon comme les autres, tu dois te positionner, mais aussi être certain de ton choix, ce qui n'est pas toujours évident.
Vos deux désirs sont légitimes : vouloir un enfant et ne pas en vouloir, mais clairement si chacun reste sur sa décision, le couple que vous formez ne tiendra pas.
"Te devrais essayer de savoir i tu ne veux pas d'enfant dans l'absolu, ou pas d'enfants maintenant." Tu as exactement ciblé le problème ! Comment répondre à cette question ? C'est tellement nouveau pour moi. Je sais que je manque de confiance en moi. Est-ce que j'en voudrais plus tard ? C'est trop dur à déterminer aujourd'hui. J'ai peur de lui dire : -"ok on se lance bientôt" et d'en avoir jamais vraiment envie ou bien - "non j'en voudrais jamais" et dans quelques années vouloir me lancer mais elle ne sera plus là... Je ne peux pas lui mentir mais en même temps si je me trompe, je vais le regretter terriblement...
Demandes-lui de t'expliquer pourquoi elle veut un enfant, une envie de devenir mère, une envie de fonder une AVEC toi, (même sans toi) ? Même sans toi, elle peut se faire insiminer. Quelle différence pour elle à être insiminer par rapport à toi ? Tu verras si c'est à toi qu'elle tient ou à son projet de bébé.
Elle ne conçois clairement pas si vie sans enfant. Et c'est non négociable. Elle n'est pas prête à en faire un avec n'importe qui. Elle m'a dit qu'elle pense que je serais un bon père. Si je n'accepte pas, elle est prête à me quitter et prendre le risque de ne pas retrouver quelqu'un avec qui elle voudrait et pourrait faire des enfants.
Tu le savais déjà il y a deux ans que tu ne voulais pas du tout ? Je trouve ça légitime d'avoir envie et de n'avoir pas envie. Mais un couple ne peut pas sainement continuer avec une telle divergence. Renoncer à avoir envie d'un enfant quand on en veut, c'est sujet à des rancoeurs. Accepter d'en avoir alors qu'on en veut pas, aussi. Bien sûr qu'elle est prête à te quitter même si elle t'aime... Parce qu'on a qu'une vie et que c'est un projet qui lui tient à coeur et que tu ne partages pas. Perso, je ne pourrais pas continuer avec quelqu'un qui n'a pas ce genre d'envie très importante en commun avec moi...
Raviolo, propose-lui le deal suivant : - Elle te donne 2 ans. - Pendant ces deux ans, tu t'engages à faire ce qu'il faut pour explorer ton désir d'enfant. Donc tu vas voir un psy, tu soignes ta confiance en toi, tu apprends à devenir un homme bien à tes propres yeux, tu explores ton enfance et ton idée de la paternité. Et tu t'actives. Dans deux ans, vous refaites le points : libre à elle de partir, d'attendre encore un peu ou alors tu auras dépassé des choses et tu pourras lui dire que tu en veux et quand.
Tu le savais déjà il y a deux ans que tu ne voulais pas du tout ? Je trouve ça légitime d'avoir envie et de n'avoir pas envie. Mais un couple ne peut pas sainement continuer avec une telle divergence. Renoncer à avoir envie d'un enfant quand on en veut, c'est sujet à des rancoeurs. Accepter d'en avoir alors qu'on en veut pas, aussi. Bien sûr qu'elle est prête à te quitter même si elle t'aime... Parce qu'on a qu'une vie et que c'est un projet qui lui tient à coeur et que tu ne partages pas. Perso, je ne pourrais pas continuer avec quelqu'un qui n'a pas ce genre d'envie très importante en commun avec moi...
tout comme toi ta copine a raison de cet ultimatum que plutôt laisser le temps passer et de te prendre de court, au moins elle est franche, et toi tu as le droit légitime de pas en vouloir je me mets à la place de ta copine ,il serait hors de question que je reste avec un homme qui veut pas d'enfant, c'est rédhibitoire ça va lui faire mal mais au vu de tes écrits je te sens pas trop pour une vie familiale tu hésites (sois c'est normal et c'est ton droit ^^) mais surtout si elle reste avec toi et que tu dis "ptr plus tard je sais pas.. on verra" perso je resterai pas non plus avec ce genre de réponse car elle est trop vague et insécure voilà 🙂 bon courage et faites le bon choix
Tu y crois ? Tu trouves cela cohérent ? Veut-elle t'attacher définitivement ou ne pas avoir la totale responsabilité d'un enfant ? " Elle ne conçois clairement pas si vie sans enfant" Donc elle peut en faire un "à tout prix". " Elle n'est pas prête à en faire un avec n'importe qui." Et là, elle dit son contraire. " et prendre le risque de ne pas retrouver quelqu'un avec qui elle voudrait et pourrait faire des enfants." de nouveau le contraire de : " Elle ne conçois clairement pas si vie sans enfant". A moins qu'elle soit immature et fait une fixette sur un changement de statut social : devenir maman.Elle est clairement incohérente. Elle veut un enfant ou être enceinte . Que pense-t-elle de l'adoption ? (juste pour entendre son incohérence).
Tu y crois ? Tu trouves cela cohérent ? Veut-elle t'attacher définitivement ou ne pas avoir la totale responsabilité d'un enfant ? " Elle ne conçois clairement pas si vie sans enfant" Donc elle peut en faire un "à tout prix". " Elle n'est pas prête à en faire un avec n'importe qui." Et là, elle dit son contraire. " et prendre le risque de ne pas retrouver quelqu'un avec qui elle voudrait et pourrait faire des enfants." de nouveau le contraire de : " Elle ne conçois clairement pas si vie sans enfant". A moins qu'elle soit immature et fait une fixette sur un changement de statut social : devenir maman.Elle est clairement incohérente. Elle veut un enfant ou être enceinte . Que pense-t-elle de l'adoption ? (juste pour entendre son incohérence).
Je ne la trouve pas incohérente du tout pour ma part...

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ma femme veut un bébé... puis me quitte 
Bonjour, Voilà ma situation. J'ai 33 ans, j'étais en couple depuis 9 ans (et marié depuis 18 mois) avec une fille sublime, belle, intelligente, amoureuse (du moins je le croyais) et avec laquelle j'étais lancé sur un vrai conte de fées. Depuis quelques années nous construisions une petite vie apparemment parfaite. Installation ensemble, puis achat d'un appartement de rêve, mariage, situation professionnelle stabilisée, etc, etc.. Un vrai conte de fées vous dis-je. Le premier vrai accroc à ce conte de fées est survenu au moment où nous avons voulu avoir un premier enfant, il y a maintenant un an et demi. Ma femme souffrant d'endométriose, l'on savait que ce serait compliqué. Mais l'on était très optimiste et moi j'étais prêt à me battre. Nous avons commencé naturellement, ça n'a pas marché. Stimulation ovarienne douce (cachets), stimulation ovarienne forte (piqûres), ça n'a toujours pas marché. En début d'année nous sommes passés à la vitesse supérieure : FIV ICSI. 7 beaux embryons de qualité, 6 congelés et un implanté qui ne s'est pas accroché. L'idée était que l'on en réimplante un congelé incessamment. Mais entre-temps est survenu le couac. Voilà quelques jours que je sentais ma femme plus distante, moins aimante. Rien de catastrophique car on continuait de faire l'amour et d'avoir des relations tout à fait normales. Mais quand même. Un soir où je l'ai trouvé plus distante encore que d'habitude, je ne sais pas pourquoi, j'ai creusé la discussion. Je lui ai demandé si elle était vraiment entrain de s' éloigner de moi, et si elle avait rencontré quelqu'un. Cette dernière question n'était pas complètement fortuite car j'avais senti qu'un collègue lui tournait autour, je lui en avais d'ailleurs fait part mais elle m'avait répondu qu'en effet il était sympa, mais que ce n'était pas du tout son type d'hommes (vrai a priori puisque c'est l'opposé de moi sur tous les plans) et que de toute manière, il est marié et 3 gosses. Bref. Mais là ce soir là elle m'a tout avoué. Oui elle s'était éloignée de moi, oui ce mec là lui plaisait beaucoup... Elle a rajouté : "j'ai l'impression que quelque chose est cassé entre nous, je ne sais pas si c'est réparable. Je me sens vidée, détruite psychologiquement, j'ai besoin de me retrouver, m'isoler et faire le point avec moi-même pour voir si on peut repartir ou pas." Là-dessus je suis parti cinq jours en déplacement professionnel et au terme de ce séjour, la terrible vérité est tombé : tout était fini. Passé l'effondrement, l'anéantissement, les envies de suicide, j'ai essayé de réfléchir et même de discuter avec elle, puisque nous avons dû cohabiter le temps qu'elle trouve un autre appart' (elle n'a pas traîné pour cela, en une semaine à peine c'était réglé). Elle m'a dit qu'elle s'était senti délaissée et seule pendant cette épreuve de la FIV. Lui de son côté a su être une oreille beaucoup plus attentive, et l'a fait rêver dans le même temps. J'admets mes torts. J'ai un travail extrêmement prenant physiquement et psychologiquement, je suis souvent absent et je me suis toujours beaucoup reposé sur mon épouse pour la gestion du quotidien car elle m'a toujours dit qu'elle aimait ça et en plus, elle a beaucoup plus de temps libre que moi à la maison en tant que prof. J'admets que je ne l'ai pas suffisamment épaulée ni creusé ses angoisses, car comme jusqu'au dernier moment (et quand je dis jusqu'au dernier moment, c'est jusqu'à 2 heures avant...), elle me donnait l'impression que tout allait bien, elle masquait tout. Donc je continuais à donner autant d'énergie à mon travail et quant à notre projet de FIV, eh bien je restais dans la légèreté et l'optimisme, en lui disant que ça marcherait, que l'on gagnerait ce combat ensemble. Si le problème venait de son côté, je ne l'ai jamais fait culpabiliser car pour moi, si on n'avait pas pu avoir d'enfant, eh bien on aurait fait autrement, l'essentiel restait elle et mon couple. Je sais que j'ai eu tort sur ce point. A côté de cela elle m'a fait d'autres reproches dans le sytle qu'elle ne m'avait jamais senti très heureux avec elle, qu'elle se sentait juste comme une "chose" utile, bonne à gérer le quotidien. Encore une fois, j'admets sans problème qu'elle gérait beaucoup plus que moi le quotidien. Mais "chose utile" non, jamais, je l'aimais, je la trouvais belle, c'était ma princesse et je le lui disais sans cesse. j'étais heureux avec elle et je croyais que nous avions trouvé une saine distribution des rôles, elles dans son registre pus pragmatique, et moi dans un registre disons plus "abstrait", plus fantaisiste, plus relationnel aussi. Bref peut-être que cela la pesait mais elle ne s'en est jamais ouverte ni à moi ni à mon entourage qui est tombé de l'armoire en apprenant la nouvelle. Tout le monde la pensait très amoureuse, tout le monde croyait que tout allait magnifiquement bien entre nous, y compris ceux qui nous avait vus 2 jours avant... Aujourd'hui tout est fini, elle a pris un appart', veut vendre le nôtre, a évoqué le divorce et même si elle me dit qu'elle ne me quitte pas pour "l'autre", je sais bien qu'elle joue sur les mots car "l'autre" en question a quitté sa femme et ses 3 gosses, ce n'est certainement pas pour rien. D'autant qu'en fouillant le facebook de ma femme (oui je sais ce n'est pas bien...), j'ai vu que l'ex-femme de mon successeur lui avait envoyé un mail plus ou moins d'insulte, c'est donc que lui de son côté l'a quittée pour la mienne. Bref de toute façon on s'en fout un peu maintenant. Le fait est que le gâchis est là, immense. Il y a un mois j'étais en plein conte de fées et ma femme voulait un bébé. Avec un peu de réussite elle serait d'ailleurs enceinte à l'heure qu'il est. En l'espace de quelques jours tout a basculé dans le cauchemar. 9 ans de bonheur balayés sans préavis. Une femme (ou un homme) peut-il m'aider à y voir clair ?
Je ne suis pas d'accord... Tu n'as pas tous les torts. C'est une histoire à deux (trois ? quatre avec ce bébé en projet ?), les torts sont donc partagés. Et cela fait beaucoup de protagonistes. Pour ce que tu en dis il semble qu'elle ait coupé beaucoup de liens. Un peu comme un bateau largue les amarres. A priori pour le moment elle ne veut pas te lancer le bout qui permettrai de la ramener vers toi. Le rôle qu'à joué l'autre ? C'est son jardin secret, tu ne peux lui demander. Tu ne risques que de te faire du mal, forcément. N'ouvre pas la boite de Pandore. Si elle ne souhaite pas changer de position il va te falloir malheureusement parcourir un chemin bien douloureux. N'oublie pas, la colère est saine car c'est un sentiment éminemment humain, mais elle est mauvaise conseillère. Musèle là face à ELLE, libère là autrement. Un jour tu auras la pièce manquante, mais il semblerait que ce ne
Écartèlement de petits trous
Cet ouvrier en colère se tape sa salope de chef de travaux
Brune à la jolie poitrine et au beau cul se fait baiser en bas jarretelles