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Accueil Comment séduire une fille 11 signes qui trahissent l’attirance physique d’une femme
Cette fille vous plait et vous aimeriez bien savoir si c’est réciproque ? Facile ! Dans cette vidéo, je vous présente 11 signes qui trahissent son attirance physique et le fait qu’elle en pince pour vous.
Salut à tous et bienvenue ! Aujourd’hui nous allons voir ensemble onze signes qui trahissent l’attirance physique des femmes.
C’est l’une des premières choses qu’on apprend lorsqu’on s’intéresse à la séduction, savoir reconnaître les signes d’intérêts pour savoir où nous en sommes rendus dans notre jeu de séduction. Pourtant, chercher à identifier les signes d’intérêts, n’est pas forcément le meilleur chemin pour diagnostiquer l’intérêt que nous porte une fille.
Pourquoi ? Parce que les filles vont généralement plus montrer leur désintérêt que leur intérêt. Une fille intéressée ne montrera pas forcément son intérêt, tandis qu’une fille qui n’est pas intéressée, montrera obligatoirement son désintérêt.
Donc avant de partir à la recherche des signes d’intérêt, soyez plutôt attentif aux signes de désintérêts. Est-ce qu’elle me regarde dans les yeux quand elle me parle ? Est-ce qu’elle est sur la défensive quand je la touche ? Est-ce qu’elle rigole à mes blagues ? Même les plus nulles ?
Si la femme que vous essayez de séduire ne semble pas désintéressée, vous aller pouvoir observer quelques-uns des onze signes qui trahissent son attirance physique…
Avant de vous parler des onze signes, je tiens juste à vous préciser qu’il n’est pas nécessaire d’avoir tous les signaux pour s’assurer de l’intérêt d’une femme. Si vous repérez quatre signes sur les dix, il est fort possible qu’elle soit intéressée !
C’est un des signes les plus révélateurs, quand une fille ne vous quitte pas des yeux, on a un un coup d’avance ! La direction du regard indique ce sur quoi nous portons notre attention, donc si la fille avec qui vous êtes vous regarde, c’est que vous avez toute son attention !
Mais attention quand même, si elle vous regarde uniquement dans les yeux, ça ne veut pas forcément dire qu’elle a envie de vous ! Seulement, si elle regarde vos yeux, votre nez, vos lèvres, etc… Là, il y a certainement quelque chose à faire !
Par contre, si elle fuit votre regard et qu’elle ne semble pas attentive à votre conversation, c’est mauvais signe !
Quand nous sommes attirés physiquement par quelqu’un, notre corps réagit sans notre permission. C’est ce qui ce passe au niveau de nos pupilles quand on désire profondément quelqu’un. Nos pupilles se dilatent et leur diamètre augmente.
Si vous n’êtes pas dans une pièce très sombre et que vous observez que les pupilles de la fille que vous draguez se dilatent, c’est un très bon signe ! Vous pouvez dorénavant accélérer votre jeu de séduction et passer la troisième !
Nos sourcils peuvent communiquer notre intérêt ! Pour être plus précis, nos sourcils véhiculent les émotions qui nous traversent. Comment ça ? Et bien quand nous sommes parcourus par une émotion de bien-être, nos sourcils se lèvent naturellement. Quand nous sommes parcouru par une émotion négative, nos sourcils se fronces !
Pour estimer l’intérêt que vous porte la fille de vos rêves, soyez attentif aux mouvements de ses sourcils quand vous parler ensemble . Si elle lève régulièrement les sourcils, c’est certainement parce que votre présence la renvoie à des émotions positives.
Par contre, si elle fronce les sourcils ou qu’elle les lèvent de manière hautaine, c’est mal parti !
Là nous allons parler d’un signe qui trahit souvent mon intérêt. Quand je suis en rendez-vous avec une fille et que l’envie de coucher avec monte en moi, je ne peux pas m’empêcher de me mordiller les lèvres et de les humidifier avec ma langue.
Pour les filles, c’est pareil ! Quand l’excitation sexuelle monte , notre bouche se dessèche. Donc si la fille avec qui vous êtes en rendez-vous, passe souvent sa langue sur ses lèvres pour les humidifier, c’est certainement parce que vous lui faite de l’effet !
Ils font à la fois partis du processus de séduction et des signes d’intérêts, les contacts physiques. Les contacts physiques communiquent notre attirance, puisque quand nous sommes attirés par quelqu’un, nous ne pouvons pas nous empêcher de le toucher !
On le fait sans même s’en rendre compte ! On peut poser une main dans le dos, bousculer légèrement de l’épaule ou donner un coup de cul. Observez bien les contacts physiques que se permet la fille de vos rêves avec vous, pour déterminer son intérêt.
Si elle vous touche plusieurs fois pendant votre rendez-vous, c’est bon signe. Par contre, si elle esquive le moindre contact physique avec vous, c’est mauvais signe !
Généralement, au début d’un rendez-vous, le confort n’est pas encore créée. On est donc pas forcément proche physiquement, on ne cherche pas d’entrée de jeu à se coller à l’autre. Soyez donc attentif à cette distance et observez si elle a tendance à se réduire ou à augmenter.
Si la fille se rapproche pendant le rendez-vous, c’est très bon signes. Si c’est vous qui vous vous rapprochez, regardez bien la réaction de votre partenaire. Est-ce qu’elle recule lorsque vous avancez ? Ou est-ce qu’elle ne bouge pas d’un poil ? Si elle ne bouge pas, c’est bon signe, si elle recule, vous allez un peu trop vite 😉
Une fille intéressée va tout faire pour être appréciée. Si vous pensez blanc, elle pensera blanc, si vous pensez noir, elle pensera noir. Pendant votre rendez-vous, regardez si elle valide tout ce que vous lui dites ou si elle n’est pas d’accord avec vous.
Plus elle valide ce que vous lui dites, plus elle est intéressée, moins elle valide, plus elle vous montre sa valeur et que vous allez devoir en baver pour la séduire !
Un autre signe que j’aime bien observer, c’est le langage non verbal. Est-ce qu’elle gesticule en face de moi ou est-ce qu’elle reste immobile ?
Une fille vraiment intéressée devient une pile électrique ! Elle ne se tient plus, elle bouge tout le temps, se gratte les bras, etc… Observez avec quelle intensité elle gesticule pour déterminer l’intérêt qu’elle vous porte.
Si elle bouge vraiment beaucoup c’est bon signe, si elle vous demande d’aller dans un autre bar, c’est bon aussi, mais si elle reste immobile en face de vous et qu’elle n’a aucune réaction pendant votre conversation, next !
Alors ça, c’est un signe un peu tiré par les cheveux selon moi. Quand une fille se touche les cheveux, c’est qu’elle est intéressée. Alors oui et non…
Toutes les filles qui se touchent les cheveux, ne le font pas pour communiquer leur intérêt. Dans la plus grande majorité des cas, les filles se touchent les cheveux pour se recoiffer.
Donc ne vous faites pas de film trop vite ! Ce n’est pas parce qu’une fille se touche les cheveux deux ou trois fois pendant votre rendez-vous, qu’elle a envie de vous sauter dessus ! Par contre, si vous la surprenez à se recoiffer à plusieurs reprises dans un espace de temps très court et juste en face de vous, alors oui, c’est peut-être un signe d’intérêt…
Si la fille que vous essayez de séduire joue avec vous, rentre dans votre jeu de rôles et vous fait des blagues, c’est bon signe ! Une fille intéressée fera preuve d’investissement dans le bon déroulement de la soirée. Si elle veut vous séduire, elle a intérêt à vous faire passer un bon moment !
Donc pendant le cours de votre rendez-vous, soyez attentif à son investissement dans vos jeux. Si vous lui dites par exemple : « toi tu m’as l’air d’être le genre de fille super-bordélique ! » et qu’elle vous répond : « Et même pire ! Mon appart’ c’est Hiroshima ! », c’est bon signe.
Une fille intéressée essayera de son mieux de faire perdurer la bonne ambiance du rendez-vous !
Le dernier signe que nous allons voir, c’est celui que j’observe pour savoir si une fille a envie que je l’embrasse . Quand une fille vous désirs et que vous êtes face à face en rendez-vous ou sur le palier devant chez elle, si elle alterne entre regarder vos yeux et vos lèvres, c’est qu’elle désir se faire embrasser !
Soyez attentif à ce signal pendant votre rendez-vous, si votre partenaire regarde par alternance et avec insistance vos lèvres et vos yeux, c’est que vous êtes sur la bonne voie !
Voilà pour la vidéo « 11 signes qui trahissent son attirance physique », si elle vous a plu laissez un pouce bleu pour nous le faire savoir. Allez faire un tour sur notre site Online Séduction pour aller lire les derniers articles que nous avons rédigés. Abonnez-vous à la chaîne si ce n’est pas déjà fait, c’était Martial pour Online Séduction, repérer les signes d’intérêt et à bientôt !
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RH / Management
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Publié le
07/12/2006 à 00:00 , mis à jour le
29/04/2014 à 21:16
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Aucun responsable n'y échappe... La gestion des personnalités difficiles fait sûrement partie de votre quotidien. De la méthode douce à la tolérance zéro, découvrez comment composer avec les fortes têtes et autres paranoïaques.
Gonflé, le Martin ! Non seulement personne ne peut l'approcher sans recevoir une volée de bois vert, mais, de plus, il refuse de partager son savoir-faire avec ses collègues fraîchement recrutés. Un cas d'école ? Pas le moins du monde. Le personnage en question sévit depuis des lustres chez le fromager Lactalis, en tant que responsable logistique. Et quelle entreprise n'a pas au moins un Martin dans ses murs, sobrement appelé une personnalité difficile ?
Pénible, très pénible. D'autant que, au-delà des grincheux en tout genre, vous venez peut-être de recruter un obsessionnel, une histrionique, quelques narcissiques et pourquoi pas un ou deux schizoïdes.
Le psychiatre François Lelord estime qu'"environ 10 % de la population adulte peut être diagnostiquée comme personnalité difficile". Il serait donc miraculeux que votre entreprise soit épargnée.
En adoptant l'une des trois ripostes ci-dessous.
La plupart des employeurs admettent sans détours préférer le clash à d'interminables discussions. "Cela nous arrive rarement, mais, si le collaborateur se révèle ingérable, on s'en sépare", reconnaît Gérard Viquel, le PDG de la société éponyme, fabricant d'articles scolaires. Même réaction de la part de Jean-Luc Synave, à la tête de la web agency Internence.com. "A titre personnel, les fortes têtes ne me dérangent pas plus que ça. Mais je me refuse à imposer la mauvaise humeur de quelqu'un aux autres salariés. J'ai ce cas très précis en ce moment et je peux vous dire que la personne en question doit s'attendre à vivre des moments très difficiles. Et cela va de toute façon être vite réglé..."
Une nette majorité de patrons raisonne ainsi, en fait. Du dirigeant du Groupe Duarte, estimant que son entreprise n'est pas un défouloir, à Dominique Lasserre, qui se souvient avoir bataillé des mois durant pour pousser à la démission un acheteur particulièrement irascible.
Voila, en effet, de quelle manière, souvent, les problèmes se résolvent. A moins d'envisager l'autre porte de sortie, certes étroite, qu'est le licenciement. Subjective par nature, l'incompatibilité d'humeur ne peut suffire pour remercier un collaborateur. Le 7 juillet 1998, la Cour de cassation a toutefois admis que l'incompatibilité des relations humaines et professionnelles entre un employé et son supérieur hiérarchique, entraînant la dégradation du travail de l'ensemble de son service, justifiait le licenciement de l'intéressé. De même, une employée qui contestait systématiquement les ordres de la direction et entretenait une incompatibilité d'humeur avec ses collègues a pu être licenciée sous prétexte qu'elle rendait impossible un accord sur les horaires de travail hebdomadaires (Cour de cassation du 12 juillet 2000).
L'"emmerdeur" n'a-t-il que des mauvais côtés ?
Il est des cas où les dirigeants y regardent à deux fois avant d'opter pour la rupture : ceux où la personnalité difficile se double d'un talent ou d'une expérience également hors normes. "Tout dépend de la compétence du collaborateur en question, explique la directrice générale de Ditechna. Une Ferrari, c'est beaucoup plus dur à maîtriser qu'une 2 CV, mais, si j'ai le choix, je préfère quand même l'italienne." Même réaction de la part d'Eric Delerue : "Quand on estime qu'un collaborateur le mérite, il nous arrive de faire appel à une aide extérieure, indique le responsable du personnel de Doublet. En l'occurrence un cabinet de coaching qui a le chic pour faire prendre conscience à quelqu'un du côté néfaste de son attitude. Récemment, un de nos cadres des services logistiques a bénéficié de ce petit traitement de faveur et, depuis, tout le monde s'en félicite. Mais je pense que ça a marché parce que cette personne est suffisamment intelligente pour saisir jusqu'à quel point ses employeurs peuvent tolérer ses écarts." Favorable à cette façon de diriger ses troupes, François Lelord invite ainsi les managers à raisonner comme ils savent le faire : en fonction du rapport coût-bénéfice. "Si l'attitude "déviante" d'Untel est compensée par un apport supérieur aux soucis qu'il vous cause, à quoi bon se plaindre ?", s'interroge le psychiatre.
Mais pragmatisme ne signifie pas pour autant capitulation. Pour empêcher les "caractères" de faire trop de dégâts, il existe un remède administratif trop peu utilisé : la charte de bonne conduite. Distincte de l'abscons règlement intérieur que personne ne lit, elle doit clairement édicter ce que vous attendez de tous en matière de relations humaines, de respect des autres, etc. "C'est un truc tout bête, mais il permet de décourager ceux qui pourraient être tentés de passer les bornes", promet Jean-Pascal Farges, de l'Institut des relations humaines. Au-delà, et toujours à condition que le jeu en vaille la chandelle, deux types d'améliorations opérationnelles sont envisageables.
La réaction la plus difficile, c'est l'attitude qui consiste à faire table rase du passé en oubliant tous les préjugés que l'on traîne à propos dudit collaborateur. "Ça demande un vrai travail sur soi, mais c'est efficace, explique un dirigeant de PME qui a suivi l'une des formations de Jean-Louis Muller. On appelle cela coller un timbre à quelqu'un et je dois dire que j'étais le champion pour ce genre de choses... Par exemple, je ne pouvais m'empêcher de voir tous mes employés barbus comme des psychorigides. La Cegos m'a appris à mettre ce genre de vision subjective de côté et j'ai découvert que certains d'entre eux sont plus ouverts que je ne le pensais." Dans le même esprit, vous pouvez également tenter de modifier votre propre comportement envers les personnalités difficiles afin de les amadouer. Un seul exemple : préférez "Je n'ai pas compris ce que tu as dit" à "Tu es incompréhensible" et vous constaterez qu'il n'y a pas tant d'agressifs que cela parmi vos salariés. "C'est l'effet miroir, constate Jean-Louis Muller. Comme par hasard, un patron hargneux aura toujours beaucoup de grincheux dans ses effectifs..."
Cela signifie-t-il pour autant que vous devez tout accepter en bloc, des bons jusqu'aux plus mauvais penchants de vos collaborateurs à problème ? "Oui et non, répond le consultant Jean-Pascal Farges. Ce qu'il faut viser, c'est un progrès dans la relation, plus que chez le salarié lui-même. Car il ne faut pas se faire d'illusions, on ne change pas un adulte."
(encadré) 4 pistes pour gérer un collaborateur des plus pénibles
- Changer le contexte de travail ... en remodelant une équipe, en proposant une mutation à la personnalité difficile, en réaménageant les bureaux.
- Changer l'image que vous avez de lui ... en essayant de ne plus lui coller une étiquette de "personnalité à problème". Pour y parvenir, tenter de dialoguer avec lui.
- Changer la relation avec lui ... en s'efforçant d'être tolérant et chaleureux dans l'espoir de l'amadouer et de l'amener à faire un effort pour corriger ses travers.
- Edicter une charte de comportement ... Les insupportables réaliseront à partir de quel seuil ils franchissent la ligne blanche.
Cette évidence admise, est-il tout de même possible d'amener quelqu'un à changer de comportement sans lui demander de modifier sa personnalité ? Oui, parfaitement, assure la Cegos. Mais à condition de faire preuve d'une sacrée dose de bonne volonté. Un collaborateur vous fait des misères ? Le centre de formation vous suggère de faire évoluer ses conditions de travail en réorganisant l'emplacement des bureaux ou en lui proposant un autre poste. Antonio Duarte a tenté l'expérience avec l'un de ses ouvriers les plus revêches et il s'en félicite : "Cet homme avait une conduite irrationnellement contestataire. On a joué à quitte ou double en lui donnant la responsabilité d'une équipe et son agressivité destructrice s'est muée en énergie constructive. Un vrai miracle !" Gérard Viquel a fait de même avec l'une de ses ouvrières. "De toute ma vie j'ai rarement vu un être humain aussi acariâtre, s'amuse ce chef d'entreprise. Une femme absolument invivable. Mais tellement efficace que, si l'on me propose d'en avoir 50 comme elle, je signe tout de suite. Alors on a trouvé une parade : elle occupe un poste où elle n'est quasiment jamais en contact avec le reste du personnel. A part sa nièce, qu'elle supporte à peu près et qui fait le lien entre elle et le monde extérieur..."
Astucieux, mais difficilement transposable à tous les caractériels du monde du travail. D'autant que ces conseils risquent de buter très vite sur l'un des effets secondaires des tempéraments difficiles : ils sont rarement disposés à évoluer. Dans ce cas, il ne vous reste plus qu'à tirer discrètement parti de leurs "petits" travers. Votre co
Cette salope aime le sexe pur et dur
Italienne mure en blouson de cuir se fait bien défoncer
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