Elle veut que personne ne voit ça

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Elle veut que personne ne voit ça



Elle veut que personne ne sache qu'on est en couple!








Initiateur de la discussion

Goodone



Date de début

7 Sept. 2012




Salam
il peux y avoir plusieurs raisons pour ça, c'est peut être parce qu'elle est de nature assez discrète/réservée donc elle a peut être pas envie d'étaler sa vie perso au grand jour...j'ai une amie qui est dans le même cas, mais elle ne veux pas que certaines personnes sachent qu'elle est en couple parce qu'elle a peur du jugement...
Comment cela s'exprime ?
Elle te demande de ne pas en parler
Elle ne souhaite pas qu'on vous voit ensemble dans la rue ?

Lui as tu posé directement la question ?
Pour vivre heureux , vivons cachés

Sinon réfère toi au message de qamary lol
Pour vivre heureux, vivons cachés.....
Salam

Je vais te parler de mon histoires personnelle et donc de mon point de vue, mon copain et moi sa fait plus d'un an qu'on est ensemble et au début c'était difficile car ni lui ni
Moi ne voulions qu'on nous voi ensemble!!
Mais de ne rien faire en couple forcément sa crée d tensions, alors un jour je lui ai proposer qu'on sorte ensemble se balader loin de notre ville!! Et c ce qu'on a fait et vraiment on c rendu compte que c t vraiment agréable de balader ensemble sans avoir peur de croiser ma famille ou sa famille!!!

Propose lui de faire quelque chose Avec toi loin de la ou vous habitez sa pourra peut être élimer cette tension qu'il y a entre vous!!!
Si elle refuse c qu'il y a un autre problème!!

Pour vivre heureux, vivons cachés.....

Non on sort ensemble quand je vais la voir dans sa ville (elle vit dans une autre ville)
Notre relation vient de commencer, mais elle veut que j'en parle à personne.Elle m'a dit que l'un de nos amis en commun lui a demandé de prendre un café...moi jaloux j'ai parlé avec mon copain et je lui ai dit c'est ma copine pour éviter tout malentendu.

Le lendemain quand je lui ai raconté ma conversation avec mon ami; elle s'est fachée et a dit qu'elle ne veut pas de problème et ne veut que Personne ne sache ce qui a entre nous meme ses amies :s

De mon coté je veux que tout le monde le sache, je l'aime et je suis sure que c'est pas une relation passagère je sais que c'est elle que je veux mais peut etre que c'est pas réciproque :s
Si tu ne fais pas l'effort de détailler un minimum ton sujet, je ne vais pas me creuser pour te répondre et tu risques d'avoir des réponses HS. Il serait bien de poser au moins le contexte !!

Non on sort ensemble quand je vais la voir dans sa ville (elle vit dans une autre ville)
Notre relation vient de commencer, mais elle veut que j'en parle à personne.Elle m'a dit que l'un de nos amis en commun lui a demandé de prendre un café...moi jaloux j'ai parlé avec mon copain et je lui ai dit c'est ma copine pour éviter tout malentendu.

Le lendemain quand je lui ai raconté ma conversation avec mon ami; elle s'est fachée et a dit qu'elle ne veut pas de problème et ne veut que Personne ne sache ce qui a entre nous meme ses amies :s

De mon coté je veux que tout le monde le sache, je l'aime et je suis sure que c'est pas une relation passagère je sais que c'est elle que je veux mais peut etre que c'est pas réciproque :s

Une fille peut-être discrète si tu penses que c'est elle la bonne c'est qu'au fond elle ta donner de l'attention pour que tu t'accrocher à elle!!!

Je ne suis pas sûre non plus mais une fille qui se respecte n'a pas forcément envie que tout le monde sache qu'elle fréquente!! Simplement par respect pour elle même!!!

Et peut-être qu'elle a peur que tu ne sois pas sûre de toi non plus !!!
Tu reste un homme et pour nous il est parfois difficile de vous décrypter comme vous par apport à nous!!!
Si elle est honnête et toi seul doit le savoir??!!!
Si il y avait un problème elle t aurait quitter!!
Je pense qu'il lui faut simplement du temps!!
Non??
La patiente est une qualité qui peut s'apprendre mon ami!!!
Elle a peur de se faire degdeg par ses grands frères ou cousins
C'est quelqu'un de secret, qui comme oi, n'aime aps qu'on en sache trop sur elle peut-être non ?
Va demander sa main a son pere au lieu de nous poster tes questions de ***** digne dun kouffar

3 possibilités:

- Vous n'êtes pas légalement mariés donc elle craint le jugement moral des autres.
- Elle est hyper discrète.
- Elle a honte de toi.


Salam
il peux y avoir plusieurs raisons pour ça, c'est peut être parce qu'elle est de nature assez discrète/réservée donc elle a peut être pas envie d'étaler sa vie perso au grand jour...j'ai une amie qui est dans le même cas, mais elle ne veux pas que certaines personnes sachent qu'elle est en couple parce qu'elle a peur du jugement...

Ya quand même toujours une histoire chelou... disons que dans une relation normale, c'est plutot le contraire...

3 possibilités:

- Vous n'êtes pas légalement mariés donc elle craint le jugement moral des autres.
- Elle est hyper discrète.
- Elle a honte de toi.


ce que j'en pense?
faut d'abord connaitre la nature de votre relation!


C'est hors sujet mais ton pseudo m'intrigue Signification?


C'est hors sujet mais ton pseudo m'intrigue Signification?


3 possibilités:

- Vous n'êtes pas légalement mariés donc elle craint le jugement moral des autres.
- Elle est hyper discrète.
- Elle a honte de toi.


Va demander sa main a son pere au lieu de nous poster tes questions de ***** digne dun kouffar


Mouahahahahahahahahahahahahahahahahahahha
dis pas ça, le pauvre il va lire sa il va déprimer surtout si il manque de confiance en lui


ok je me lance à mes risques et périls
KAFIR
singulier = kafir
pluriel = koufar


Généralement, une fille qui sort avec un mec n'a pas forcément peur qu'on le sache, elle assume, sinon je pense plus qu'elle sort avec toi dans un premier temps pour se mettre avec quelqu'un et elle ne le dit à personne pour que ça ne freine pas les éventuels autres prétendants, comme ça elle est avec toi, et elle pourra te plaquer si y en a un de meilleur qui vient.





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Mr Mondialisation 2020 - 2021 Propulsé par le Libre
Mai 2021. Le parking de la plage de Cénitz à Guéthary, au Pays Basque, est rempli de camping-cars, vans et fourgons aménagés en tous genres. En cette sortie de troisième confinement, l’air a un parfum de fête, un apéro s’est improvisé face à l’océan et tous les utilisateurs de véhicules aménagés présents en ce jour se sont mis en cercle pour trinquer à l’été qui arrive.
Au milieu du brouhaha, Nono, de son vrai prénom Arnaud, se distingue par son sourire jovial, sa voix enrouée et sa canette de 8.6 à la main. Tous les habitués de Cénitz le connaissent. Habitant dans son Volkswagen T25 blanc en compagnie de sa chienne Muxu depuis huit ans, il a eu le temps de sillonner toute la côte basque mais c’est ici, sur ce petit bout de plage tranquille à l’accès discret, qu’il a ses habitudes. 
À l’intérieur de son fourgon qu’il a aménagé lui-même, les murs sont recouverts de messages aux écritures bigarrées : « Nono is love », « Merci Nono pour cette super journée », « Arnaud, le troubadour de Cénitz, si on ne l’avait pas, il faudrait l’inventer ». C’est précisément pour cette convivialité et « la possibilité de faire de belles rencontres » que Nono, quarante ans, a décidé de vivre à temps plein dans son véhicule, à la suite d’une rupture qui l’a fait quitter son logement en 2013. À l’époque, ce surfeur chevronné employé dans le recyclage de plastique appréciait la liberté que lui permettait ce mode de vie, changeant de spot de surf et de paysage au gré de ses envies. Peu à peu, la précarité s’est insinuée dans sa vie, mais Nono a pu y faire face justement grâce à son fourgon et un entourage aux petits soins. 
Au cours des deux dernières années, Nono a remarqué que les adeptes des véhicules aménagés se sont multipliés de façon exponentielle, comme en témoigne le public présent ce jour-ci sur le parking de Cénitz.
« Des gens qui vivent ou voyagent en camion, il y en a toujours eu, mais là ça a un atteint un niveau jamais vu ! » s’exclame-t-il.
En effet, la crise du coronavirus et les confinements successifs ont incité de nombreux Européens à opter pour des vacances en camping-cars, vans ou caravanes, permettant d’être à la fois libre de ses mouvements et de rester à distance des autres, comme le démontre le reportage Le boom des camping-cars de Arte, diffusé en 2021 . Et les chiffres le confirment : en 2020, le nombre d’immatriculations annuelles de véhicules aménagés en Europe avait doublé par rapport à 2010 et constituait un record pour la cinquième année consécutive selon l’European Caravan Federation.
La France représente le second marché le plus important du continent avec une augmentation de plus 49% des ventes de véhicules aménagés d’occasion entre 2020 et 2021 (Ministère de l’Intérieur / UNI-VLD) . 
Mais la vie en camping-car ne fait pas uniquement de l’œil aux touristes. Beaucoup d’autres ont choisi de quitter leur logement et leur routine pour vivre l’aventure en van à temps plein, à l’image de Philippe, un « parisien stressé » qu’ une équipe de France 2 a suivi en 2020, alors qu’il plaquait tout pour une vie de nomade : « Fini de subir les horaires, les bouchons et les contraintes » assène le commentateur, Philippe a décidé de « sortir du carcan du travail et de la consommation » afin de « redonner du sens à son existence » . 
Cette philosophie de vie qui aimerait s’inscrire en porte-à-faux du système séduit surtout parce qu’elle apporte une réponse à une quête existentielle et à une perte de sens amplifiées par les crises qui se succèdent. Célia Forget, anthropologue spécialiste des cultures de la mobilité, estime que :
« la mobilité constitue un moyen d’exprimer un désir de construire un parcours de vie singulier, un devenir, pour des individus tentant d’échapper à une certaine désillusion envers la société dans laquelle ils vivent ».
Si l’enthousiasme pour les camping-cars, les vans et les fourgons aménagés est largement partagé, il n’est pas du goût de toutes les mairies, dont certaines voient d’un mauvais œil ces arrivages massifs de véhicules imposants dans les lieux les plus attractifs une fois les beaux jours arrivés. On note une tendance à la hausse des politiques d’accueil des zones touristiques qui consiste à limiter le stationnement de ces véhicules par le biais d’arrêtés municipaux, d’installation de portiques de hauteur et de panneaux d’interdiction de stationner. Ce constat est partagé par nombre d’utilisateurs et acteurs du secteur au point que deux médias nationaux se sont intéressés au problème au début de l’année 2022 . 
Cependant, les interdictions s’avèrent souvent être illégales : selon le Code de la Route, les portiques de hauteur ne peuvent être utilisés que pour signaler un obstacle tel qu’un pont, et les interdictions de stationner doivent se fonder sur le gabarit et la masse des véhicules, non pas sur leur caractère aménagé. Le Comité de Liaison du Camping-car, syndicat des camping-caristes, se charge d’informer les mairies du caractère abusif de leurs réglementations et de saisir la justice si besoin pour les rappeler à l’ordre. Certaines communes résistent néanmoins, à l’instar de Riquewihr en Alsace qui a détourné la réglementation des zones agricoles pour empêcher la circulation des véhicules aménagés, ou Biarritz qui a été condamnée par le tribunal de Pau pour avoir refusé de retirer ses panneaux d’interdiction aux camping-cars. 
La côte basque, bien qu’elle soit loin d’être la seule à avoir étendu ces interdictions, est régulièrement citée en exemple. Sur le parking de la plage de Cénitz à Guéthary, Nono désigne du menton la barrière de hauteur limitée à 1m90, ouverte en hors saison et scellée en été : « On en voit de plus en plus ici. Au début c’était sur une plage, puis une deuxième, et maintenant ça touche toutes les plages ».
Ce que confirme Florian, un jeune gestionnaire en location à Bidart qui, comble de l’ironie, a décidé de vivre à temps plein dans son Peugeot Boxer après avoir perdu son emploi pendant la crise du coronavirus : « Depuis quatre ans les interdictions sont en nette augmentation sur la côte basque. Ici, on assiste à un véritable embourgeoisement et les propriétaires privés n’hésitent pas à s’accaparer l’espace public. À Saint-Jean-de-Luz, j’ai déjà été chassé et menacé par un propriétaire alors que je stationnais légalement dans la rue devant chez lui ». 
De leur côté, les riverains reprochent aux utilisateurs de véhicules aménagés de vider leurs eaux grises et noires n’importe où, d’abandonner leurs déchets et de participer au désordre public : « Ce n’est qu’un prétexte » se défend Florian pour qui les incivilités sont l’affaire de tous, même s’il reconnait que « certains nomades n’ont pas les codes, ils ne communiquent pas et vont faire leurs besoins dans des buissons ».
Cette méfiance à l’égard des camping-cars, vans et fourgons aménagés propre à l’Europe est presque inexistante au Canada et aux Etats-Unis où les interdictions sont rares et l’accueil de ces véhicules favorisés. Selon l’anthropologue Célia Forget, tout est une question d’imaginaire : « En Amérique du Nord, il y a une forte culture du tourisme automobile. De plus, le rêve américain a valorisé l’idée de réalisation par la route, avec les pionniers mais aussi tout le mouvement des beatniks avec Kerouac ». 
Alors, pourquoi l’Europe se montre-t-elle aussi hostile ? Deux hypothèses peuvent être établies. Tout d’abord, selon Célia Forget, « la notion de nomadisme en Europe est historiquement associée aux gens du voyage, connotés à tort négativement », car associés au vagabondage et à la délinquance. Sur les forums, dans les conversations, voire des interviews , la référence aux gens du voyage revient régulièrement pour expliquer la mésentente entre les pouvoirs publics et les véhicules aménagés. Néanmoins, pousser plus loin l’assimilation serait se méprendre, car les gens du voyage ont longtemps existé dans un champ juridique à part des autres résidents mobiles et nombre d’entre eux sont sédentarisés et cantonnés à des aires d’accueil aux conditions déplorables voire dangereuses pour leur santé . 
Une seconde hypothèse se trouve dans l’association aux travellers , plus connus sous le nom de « teufeurs » en France, des voyageurs en camion qui ont pour habitude de se réunir en groupe dans de vastes espaces afin d’organiser des fêtes illégales, appelées rave ou free party . Formant périodiquement de véritables communautés autonomes et marginales , les teufeurs sont associés à l’assistanat et à la consommation de drogues, ce qui pousse l’opinion publique à les rejeter. Témoignage de la répulsion que cette contre-culture peut provoquer, en 1985, dans l’Angleterre de Thatcher, un convoi de 500 travellers se rendant à une réunion annuelle à Stonehenge fut brutalement interrompu par 1400 policiers dans une répression violente qu’on nomma « The Battle of the Beanfield » et qui tua le mouvement dans l’œuf . 
Aujourd’hui, cette image d’outsiders colle toujours à la peau des résidents mobiles, du moins tant qu’ils n’entrent pas dans les cases acceptées par la société néolibérale.  
Septembre 2021. Sur le parking de la plage de Cénitz, u ne nouvelle barrière abaissée à 1m80 a remplacé la précédente. Soudée et par conséquent indémontable, elle s’impose en arche de fer contre les véhicules les plus massifs en toute saison. Le fourgon de Nono n’est plus là, ses 2m35 de hauteur ne sont plus acceptés nulle part. Le troubadour a dû quitter la côte et ses amis pour s’exiler dans les Pyrénées, à proximité d’un petit village touristique, mais suffisamment enfoncé dans la forêt pour demeurer à l’abri des regards. Comble du luxe, il dispose de toilettes et de douches publiques à l’eau froide. 
Sans emploi depuis 4 ans, il attend la guérison de sa cheville fracturée suite à un accident en deux roues pour reprendre le travail. Il adopte un second chien, Roks, qui avec Muxu lui tiendra chaud en hiver. Sur l’application collaborative park4night, qui répertorie les lieux de stationnement et de bivouac pour les voyageurs motorisés, le lieu où Nono s’est installé fait l’objet de commentaires expliquant, en substance, que le lieu serait très agréable si seulement ce sans-abri et ses chiens n’y avaient pas élu domicile… Pour l’instant, personne ne lui a formellement demandé de quitter les lieux, mais Nono doit composer avec les préjugés qui l’entourent : « J’arrive toujours à m’intégrer avec les locaux, à me faire connaître, mais il n’empêche qu’on me considère comme un clochard ou comme un punk à chien, et franchement ça blesse. »
Les acteurs du secteur des véhicules de loisir aménagés ont bien compris qu’il fallait changer cette mauvaise réputation ou tout du moins s’en éloigner le plus possible. L’idée de promouvoir une image plus désirable de leurs utilisateurs a fait du chemin depuis quelques années. Le Comité de Liaison du Camping-car, qui s’échine à vouloir « casser les préjugés sur les camping-cars » , a rôdé son discours autour de la classe sociale de ses utilisateurs : « Les territoires ont tout intérêt à valoriser l’accueil des camping-caristes » affirme Hervé Gautier, secrétaire général du CLC.
« On parle d’une clientèle majoritairement composée de CSP+, qui se déplace surtout pour les vacances et qui a un fort pouvoir d’achat à hauteur de 30 euros par jour et par personne, avec, il faut le dire, un ticket d’entrée très élevé pour l’achat de leur véhicule. » Un public apte à consommer donc, ayant largement les moyens de stationner dans une aire de camping-car payante ou un camping si besoin y était, mais aussi propre sur lui, dans les normes, autour duquel le CLC conseille de ne pas se regrouper – afin d’éviter la confusion avec les gens du voyage et travellers évoqués plus haut.
Représentant un public plus jeune que les camping-caristes, Vanlife, les nouveaux nomades est un « feel good movie » français produit en 2021 par Les Coflocs, une boîte de création de brand content, et soutenu par de nombreux acteurs du marché de la vanlife en Europe tels que Michelin, park4night, Volkswagen Véhicules Utilitaires ou Liligo. Pendant une heure vingt, les deux réalisateurs font le portrait de dix « nouveaux nomades » attachants vivant l’aventure de la vanlife aux quatre coins du monde, à coup d’images léchées de véhicules vintage sur fonds de paysages époustouflants et de phrases inspirantes pour les âmes romantiques et intrépides.
Cette esthétisation du mode de vie nomade est l’essence même de la vanlife , nommée ainsi d’après un hashtag posté en 2011 sur le réseau social Instagram par l’influenceur Foster Huttington. Le mouvement s’est ensuite étendu et internationalisé de manière tentaculaire au point qu’on compte début 2022 plus de 12 millions d’occurrences du hashtag #vanlife sur Instagram, pour seulement 4 millions en 2019.
Parmi les valeurs que les vanlifers autoproclamés sur Internet prétendent incarner se trouvent celles d’une vie à rebours de la société de consom
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