Elle va recevoir puis offrir une pluie d'or

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Litanie >>


24 mars 2013
7
24
/ 03
/ mars
/ 2013
16:20


Published by la vieille dame indigne

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Remous




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Litanie >>


Oui oui c'est bien colette CL


je reviens sur ton blog car je ne te vois plus sur FB


bisous Nath



Mon FB a buggé et du coup j'en ai changé. On va arranger ça ;)





Comme c'est beau cette image de nuages qui pleurent des larmes dorées


Tu me fais rêver dans cette grisaille qui nous envahit !!!



Bonsoir Colette ;)


(Colette Cl ?)


Quel plaisir de te revoir un peu ici. J'espère que tu vas bien.


Une autre Colette ? bonsoir aussi ;)


 





c'est beau comme la transparence impalpable...bbj...



merci Christophe, je crois que je l'ai écrit avec un reste d'enfance aussi. C'est peut-être pour ça.


ata





'Rien que de l'eau, de l'eau de pluie, de l'eau de là-haut..." 


 


C'est où "là-haut"?


 


J'ai écouté hier l'album de la dame Zazie, plus sombre que les précédents. Ou plus désabusé, je ne sais pas trop. Toujours observatrice de l'humain la dame...j'aime beaucoup "Cyclo".



Bonjour Dé ;)


 


Je l'écoute aussi, au goutte à goutte, prudemment, on m'a dit, oui, plus sombre.


Là-haut ? C'est juste un peu plus haut que nos pauvres existences ici ;)








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Ce blog est une création en devenir, un parcours semé de gravats et de bonnes intentions, comme l'enfer.



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   "Il y a un autre monde en gestation dans le ventre de celui-ci" Eduardo Galeano


Un grand merci à Monsieur Triste pour cette splendide bannière...


Elle s'est posée sur le plus délicat des nuages


Il était si doux si chaud si doux si chaud


En se mettant sur la pointe des pieds


Elle pouvait regarder si loin si loin


Et puis le nuage a commencé à pleurer


Doucement d'abord comme pour qu'on n'entende rien


A mis pleins de rumeurs où êtes-vous ce soir


Dans quel coin de ma vie longtemps désaffecté ?


Oh ! Je voudrais pouvoir sans bruit vous faire
entendre


Ce minutieux mouvement d'herbe de mes mains


Cherchant vos mains parmi l'opaque sous l'eau plate


D'une journée, le long des rives du destin !


Qu'ai-je fait pour vous retenir quand vous étiez


Dans les mornes eaux de ma tristesse, ensablés


Dans ce bief de douceur où rien ne compte plus


Que quelques gouttes d'une pluie très pure comme les larmes
?


Pardonnez-moi de vous aimer à travers moi


De vous perdre sans cesse dans la foule


O crieurs de journaux intimes seuls prophètes


Seuls amis en ce monde et ailleurs !


dimanche lourd couvercle sur le bouillonnement du
sang


hebdomadaire poids accroupi sur ses muscles


tombé à l'intérieur de soi-même retrouvé


les cloches sonnent sans raison et nous aussi


sonnez cloches sans raison et nous aussi


nous nous réjouirons au bruit des chaînes


que nous ferons sonner en nous avec les cloches


quel est ce langage qui nous fouette nous sursautons dans la
lumière


nos nerfs sont des fouets entre les mains du temps


et le doute vient avec une seule aile incolore


se vissant se comprimant s'écrasant en nous


comme le papier froissé de l'emballage défait


cadeau d'un autre âge aux glissements des poissons
d'amertume


les cloches sonnent sans raison et nous aussi


les yeux des fruits nous regardent attentivement


et toutes nos actions sont contrôlées il n'y a rien de
caché


l'eau de la rivière a tant lavé son lit


elle emporte les doux fils des regards qui ont
traîné


aux pieds des murs dans les bars léché des vies


alléché les faibles lié des tentations tari des
extases


creusé au fond des vieilles variantes


et délié les sources des larmes prisonnières


les sources servies aux quotidiens étouffements


les regards qui prennent avec des mains desséchées


le clair produit du jour ou l'ombrageuse apparition


qui donnent la soucieuse richesse du sourire


vissée comme une fleur à la boutonnière du matin


ceux qui demandent le repos ou la volupté


les touchers d'électriques vibrations les sursauts


les aventures le feu la certitude ou l'esclavage


les regards qui ont rampé le long des discrètes
tourmentes


usé les pavés des villes et expié maintes bassesses dans les
aumônes


se suivent serrés autour des rubans d'eau


et coulent vers les mers en emportant sur leur
passage


les humaines ordures et leurs mirages


l'eau de la rivière a tant lavé son lit


que même la lumière glisse sur l'onde lisse


et tombe au fond avec le lourd éclat des pierres


les cloches sonnent sans raison et nous aussi


les soucis que nous portons avec nous


que la nuit défait avec des mains de rêve


purifiés dans le bain des paysages circulaires


dans les villes préparées au carnage au sacrifice


près des mers aux balayements de perspectives


sur les montagnes aux inquiètes sévérités


dans les villages aux douloureuses nonchalances


les cloches sonnent sans raison et nous aussi


nous partons avec les départs arrivons avec les
arrivées


partons avec les arrivées arrivons quand les au
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