Elle va gémir et jouir comme une esclave sexuelle

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Elle va gémir et jouir comme une esclave sexuelle
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Les Pulpeuses > Hyper épanouie > Sexo > #AlloSexo : Apprends comment jouir toute seule comme une grande
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Hey toi ! T’as envie d’avoir un orgasme en 10 secondes top chrono ? Suis ces 4 étapes et……. Allez on oublie les pubs miracles et les articles de magazines complètement bidon. Dans cet article, Sophie notre sexothérapeute, va t’apprendre à relativiser au sujet de l’orgasme. Et par la même occas’, elle te propose un exercice sympa comme tout 🙂 Enjoy !
Contrôler, prendre le pouvoir, perdre le contrôle, lâcher prise, s’abandonner, se retenir. Ça te parle ? Tous ces ordres contradictoires que l’on entend concernant l’Orgasme et les façons de l’atteindre. Il y a même maintenant «la journée mondiale de l’Orgasme» le 21 décembre ! MAGNIFIQUE, non ?
Pour autant, il y a encore en France, 25% d’entre nous qui ne connaissent pas l’orgasme, 1 femme sur 4, rend toi compte ! Mais cela ne veut pas dire qu’elles n’ont pas de plaisir, heureusement.
Pour avoir un orgasme, la meilleure façon c’est de ne pas être dans le contrôle 😉
Il n’y a pas d’obligation, ni de norme, encore moins de bonnes ou de mauvaises jouisseuses. La plupart du temps, il s’agit de femmes qui ne se connaissent pas. Ces femmes n’ont pas exploré leur corps avec curiosité, comme un endroit mystérieux et féerique plein de délicieuses promesses. Elles pensent que c’est à l’autre de les faire jouir (sacrée mission pour l’autre et sacrée pression aussi) ou même que l’Amour fait jouir….. Que nenni !!
Alors tant pis pour le romantisme et place à un peu de technique et d’apprentissage.
Si tu penses encore que c’est à l’autre de te faire jouir… t’as rien compris…
Avant toute chose, laisse-moi te dire que tu as le droit . Tu as le droit de te connaître sur le bout des doigts (ok mauvais jeu de mot je sors :p). Tu as le droit de te toucher et de te donner du plaisir. Ton sexe n’est pas un monstre, c’est au contraire l’une des plus belles parties de ton anatomie.
Donc, ne culpabilise pas de vouloir mieux le connaître, faire amie-amie avec. Mieux tu te connaîtras, mieux tu connaîtras ce qui te fais réellement plaisir et plus tu seras à l’aise avec ton corps. Voici mes 4 conseils pour jouir comme une grande :
Oui c’est incontournable, comment faire vibrer ton corps si tu ne sais pas comment il fonctionne et les sensations qu’il provoque. Sois curieuse petit scarabée 😉 Prend un miroir et scrute les replis de ton intimité, écarte, explore, cherche les zones érogènes de ton corps. Choisis un lieu serein et tranquille (lit, canapé, bain, transat au soleil, etc) et un moment aussi où tu seras seule, en sécurité et au calme.
2/ Trouve le bouton magique appelé « Clitoris » 
C’est le seul organe du corps exclusivement dédié au plaisir et les femmes sont les seules à l’avoir. Tu as le droit de jouer avec lui, de le caresser, de le titiller. Surtout, essaie d’être à l’écoute des sensations qu’il génère dans ton corps : frissons, augmentations des battements du cœur et de la respiration, sueur, érection des mamelons et surtout la lubrification de ton sexe.
Surtout pas, respire profondément avec le ventre. Vide-toi la tête, détend les muscles de ton corps. Trouve la position la plus agréable pour ce moment de douceur avec toi-même. Privilégie les postures ouvertes et détendues plutôt que contractées et fermées (tu peux surélever ton bassin avec un coussin par exemple).
4/ Laisse ton imagination vagabonder 
Au gré de ta respiration et des ondulations de ton bassin. Va chercher tes fantasmes ou des pensées coquines. Laisse-toi envahir par le bien-être et l’excitation.
Gauthey aurélie est coach professionnelle et une femme au parcours incroyable. Grâce à ses expériences, elle a aidé chacune de ses coachées à prendre conscience de leur talent, potentiel et puissance. Avec son tout premier livre, elle a décidé de répondre à toutes les questions qu'on a pu lui poser : " Quelle est ma mission de vie ? ", " Comment mettre en pratique mes objectifs ? ", " Que mettre en pratique pour booster mon business ? ". Si toi aussi tu souhaites avoir la réponse à tes questions, découvre son livre ➡️ https://amzn.to/38fish0
J adore les caresses du matin j imagine une caméra cachée sur moi et mon chéri me regarde avec son pote en cachette hum j adore je caresse aussi l anus hum je sens monter la pression hum j adore alors mesdames aller a vôtre clitoris jouissez hum
jaime me faire plaisir seul ou devant mon chérie je suis à l’aise avec moi meme et j appris cela en acceptant mon corps et en sachant franchir les limites du tabou. Aimer se faire jouir seul c accepter d’etre une femme sans limite point de vue sex.
Hm, personnellement je préfère jouer avec mon clitoris plutôt que de me doigter. Se découvrir et trouver ses points sensibles sont les meilleures façon de jouir. Alors mesdames, n’ayez pas honte. Si le clitoris est là, c’est qu’il y a une raison !
j’ai essayé dans différentes pièces de mon appartement et je dois avouer que sous une douche bien chaude j’ai vraiment pris énormément de plaisir a me toucher mais a un moment j’ai eux peur (mes jambes avec mon bassin se sont mis a trembler sans pouvoir m’arrêter je sais pas si c’est normal du coup j’ai pas réessayer depuis quelques semaines. es normal ??
Je cherchais une réponse à mon problème, je sais jouir seule mais ça me prend beaucoup de temps. Lorsque j’ai un rapport sexuel avec mon copain, je ne jouis quasi jamais. Je n’arrive pas à jouir autrement que seule, en général. Je cherche un moyen rapide de jouir quand on est une femme. Malheureusement, hormis cet article, je n’ai rien trouvé. Cela ne répond pas entièrement à ma problématique mais c’est un début. Merci pour cet article.
oui c’est bien joli tout ça, perdre le contrôle, de la musique douce, … mais rien n’y fait : je n’ai jamais eu de jouissance,
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Les box, on connait. Il y a les box beauté, biscuits, vin, animaux, livres… et il existe...
Impossible d’évoquer les règles sans les protections qui vont avec. Désormais, les...
Qui ne s’est jamais retrouvée à demander conseil à une amie, voire à internet, à propos...
L'astrologie est une clé pour la découverte et l'évolution personnelle. Véritable source...
Qui a dit que la sieste n’était réservée qu’aux enfants et aux personnes âgées ?...
Pascale est coach spécialisée en développement personnel. Pour Les Pulpeuses Magazine,...
Et si 2022 rimait avec carrière et nouvelles perspectives ? Bien sûr, beaucoup d’entre...
À partir d’aujourd’hui, Les Pulpeuses te donnent rendez-vous sur sa chaine youtube pour...
Parler de sexualité, c’est quelque chose qu'on adore chez Les Pulpeuses. Sextoy,...
Tu penses que tu as testé toutes les techniques pour soulager tes douleurs menstruelles...
L'astrologie est une clé pour la découverte et l'évolution personnelle. Véritable source...
Tu n'as peut-être pas envie de faire du sport pendant les règles, et pourtant, il existe...
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Voila maintenant quelques années que je pratique le sado-masochisme et je pense aujourd’hui être suffisamment au claire avec cette pratique pour pouvoir en parler sans complexe ni honte. C’est une pratique que j’apprécie bien au delà de son aspect cérébral, autrement dit, j’ai conscience réellement qu’il se passe quelque chose de physiologique chez moi lorsque je reçois la douleur dans le contexte sexuel. Je sais par ailleurs que dans ce vaste domaine, je ne suis encore qu’une adepte novice et de petite échelle. J’ai bien conscience qu’il me reste aujourd’hui une foultitude de choses à découvrir, à vivre et à apprendre surtout, mais ce n’est pas sans me déplaire car tout ça laisse à présager pour mon avenir encore pleins de belles aventures et des plaisirs infini !
Lorsque j’ai découvert mon plaisir dans le masochisme, j’étais très jeune, dès que j’ai commencé à avoir une sexualité à vrai dire. J’en ai vraiment pris conscience le jour ou je me suis rendue compte que lorsque je me caressais, j’avais énormément de mal à jouir, seulement lorsque je persévérais, par la force du frottement répété sur mon clitoris, je commençais à avoir mal, dès lors mon plaisir augmentait et c’est ainsi que beaucoup plus facilement j’arrivais à l’orgasme. Et parfois c’était le cercle sans fin, plus je me branlais, plus j’avais mal et plus c’était bon. Je cumulais très souvent trois à quatre orgasmes dans ses conditions. Puis ensuite j’ai trouvé d’autres solutions pour jouir plus rapidement, ce qui m’a progressivement poussé à abandonner cette pratique, et je crois que c’est mon clito qui m’en remercie aujourd’hui. J’agissais sans savoir et mes méthodes étaient alors très archaïques.
Malgré une jeunesse des plus débridée, ma sexualité excentrique et libérée n’intégrait pas cette dimension douloureuse. Passé les détails de ma vie personnelle, ce n’est que beaucoup plus tard que j’appréhendais ces plaisirs maso. Petit à petit je désirais des partenaires de plus en plus sadique et brutaux, jusqu’au jour ou j’ai préféré assumer complètement mes penchants et vivre enfin mes attirances pleinement. Autrement dit; associer mon masochisme à la soumission pour rencontrer quelqu’un avec qui je pourrais assouvir tous mes fantasmes et vivre ma sexualité enfin sans tabous, profondément ! Et me voilà ici…
Se voir excitée par la douleur ne veux pas dire pour autant que je vais gémir de plaisir en me cassant une jambe. La nuance se trouve ici, il y à tout un contexte pour ce genre de jeu. Personnellement il me faut un lien direct avec le caractère sexuel pour vraiment apprécier, me faire frapper simplement pour avoir mal ne me fait strictement rien, sauf si j’exploite sexuellement cette douleur. Disons que j’appréhende mon masochisme uniquement à des fins sexuelles, parfois punitives aussi, mais dans ce cas bien évidement le plaisir n’est pas de mise.
Le ressenti de la douleur – travail cérébral
J’ai découvert lors d’une précédente séance assez hard que je pouvais dépasser certaines de mes limites, sauf qu’à la réflexion, ces limites en réalité n’en étaient pas. Je préfère aujourd’hui parler de résistances, car une fois dépassées, lorsque je suis arrivée au delà, je découvrais encore des plaisirs inconnus, beaucoup plus intenses encore et sans aucune retenue.
Tout cela simplement pour dire que selon moi l’excitation maso est majoritairement issue d’un plaisir physiologique mais passe aussi nécessairement par l’esprit. Pour être masochiste il faut s’ouvrir à la douleur, et l’interpréter comme un plaisir, en plus d’avoir cette capacité spontané et inconsciente de s’exciter dans la souffrance physique. J’en viens même à me dire qu’aujourd’hui, si jamais pour diverses raisons arbitraires qui me sont propre je ne serais pas cérébralement disposée à recevoir la douleur, je n’en tirerais aucun plaisir, et même peut être du dégoût. L’acte deviendrait alors simplement souffrance et punition, totalement négatif pour moi et mon plaisir sexuel.
Photo correspondant à l’article du récit de ma séance ou j’ai commencer à goûter franchement à mes plaisirs masochiste.
… Non pas de quantité. Autrement dit la force du coup ne fait pas tout. Certes, pour véritablement aimer ce genre de pratique sans se mentir, parfois plus c’est fort et plus c’est bon. Une fessée caresse pourrait passablement m’ennuyer par exemple, mais à côté de cela, je n’ai pas besoin à chaque fois de me faire démolir pour aimer véritablement. Recevoir 100 coups de cravache c’est un exploit et juste un exploit, ça n’est qu’un chiffre qu’on exhibe fièrement juste pour se prouver que l’on peu se surpasser. Je ne vie pas mon masochisme comme ça. Je ne suis pas du genre à serrer les dents pour en subir plus juste pour montrer à mon Maître et par extension mon lecteur que je suis digne d’obtenir mon statut, comme si j’avais quelque chose à prouver (aux autres ou à moi même) et une reconnaissance à obtenir. Pas du tout.
Dans ma réalité, avant tout j’accède aux attentes de mon Maître et je me mets à sa disposition (je mets mon corps à disposition de sa douleur, de son sadisme) non pas par masochisme mais surtout par soumission. C’est ensuite que grâce à l’heureuse association de nos penchants, à la justesse de sa prise en mains que je prends du plaisir dans ce qu’il m’inflige. Il me fait mal et j’aime ça.
La force du coup ne fait donc pas pour moi le parallèle avec le plaisir que je peux y prendre. Je me souviens lorsque par exemple cette nuit au donjon où mon Maître m’avait demandé de garder quelques poils pubiens qu’il s’est mis à retirer à la pince à épiler tout en me caressant langoureusement le clito. La douleur était très modérée, et pourtant, je n’ai jamais aussi bien mélangé la douleur à l’excitation, c’était vraiment délicieux, et j’ai jouis simplement, agréablement. Après, dans des jeux où la douleur augmente considérablement, il s’agit de plaisir plus intense et bien plus franc, souvent même troublant. Je peu prendre en exemple cette même nuit lorsque par la force des coups, je me suis mise à couler franchement, et lorsque véritablement perdue dans un autre monde j’en suis même arrivée à jouir (la première fois que cela m’est arrivé c’est —> ici ) La première fois que mon Maître m’a “retournée” , lorsque j’ai jouis par la douleur avec mon Maître, j’ai été la première étonnée et surprise.
Aussi, je me suis fait la remarque lors de ma séance au donjon : plus l’endroit ou je reçois la douleur se rapproche de mon sexe, et plus j’aime ça. Lorsque mon Maître me fesse suffisamment fort par exemple, la douleur irradie et viens se loger en vague de chaleur intense au creux de mes cuisses, cette sensation m’est assez difficile à décrire, tout comme il me serais impossible de vous décrire mes orgasmes. Le ressenti de la douleur j’en suis persuadée est différente de tout à chacun, et je ne pourrais donc pas généraliser sur ma propre expérience. Aussi, cela dépend du matériel, plus la surface de souffrance et grande, plus la douleur est diffuse, et à l’inverse; elle se fait plus aiguë et perçante. Me concernant, les deux cas de figure sont très intéressants et appréciés.
Utilisation d’un paddle pour la fin de ma séance au donjon, moment purement sado-maso. Image tirée du récit de cette séance grandiose.
Si je pouvais aujourd’hui dresser quelques petites consignes qui selon moi aide considérablement dans cette discipline, elles seraient celle-ci:
C’est la base de la base selon moi, il est primordial de pouvoir se livrer sans retenue, sans crainte, en toute confiance. Cela permet de se libérer l’esprit et de déjà se mettre dans la condition optimale pour recevoir la douleur du mieux possible, et ainsi rendre l’expérience fabuleuse pour qui est véritablement masochiste. Dans le cas inverse, c’est l’échec assuré, j’en suis persuadée.
Seconde notions fondamentale. Pour bien vivre ces moments douloureux, je pense qu’il est important pour moi que d’écouter son corps, savoir ressentir ses réactions même les plus discrètes, et aller en son sens, cela peut être vers la modération tout comme l’augmentation, selon les limites et les capacités de chacun. Pour ma part, j’ai appris avec grande surprise que mon corps s’excitait de ses douleurs qui pourtant cérébralement ne me faisait que du mal. Je n’oublierais jamais ce moment si déstabilisant, lorsque son pouce s’est abattu sur mon petit bouton et que mes yeux sont sorti de leurs orbites quand j’ai compris, quand j’ai senti l’état l’excitation intense dans lequel je me trouvais. Pourtant j’aurais eu bien des occasions de me braquer et de passer a côté de tout cela, mais je ne l’ai pas fait.
Comme dit plus haut, selon moi, beaucoup de choses se jouent dans la tête. Alors en opposition au blocage psychologique, il est nécessaire de se laisser guider et d’augmenter son seuil de tolérance, non pas faire un effort insurmontable, mais être attentif à tout ce que nous ressentons dans ses instants et tâcher de faire tomber ses résistance pour découvrir de nouveaux horizons à ce sujet.
Etre masochiste aux yeux du monde : halte aux jugements
Le jugement des autres pour certains je le sais bien peut être si virulent et critique ! Et qu’on ne s’y trompe pas, les adeptes sont les premiers pour ce genre d’exercice. Certains n’hésitent pas à juger leurs semblable très froidement. Et ces gens là sont des personnes en face de qui il est alors très difficile de se défendre. J’écris simplement ces quelques lignes car je me dois d’en parler et si par la même occasion je pouvais ouvrir leurs regards j’en serais ravie. Depuis les cinquantes nuances de grey, l’amalgame est tellement facile il faut dire. “Ce n’est pas une vraie soumise” “elle n’aime que les gentilles fessées” “fantasmeuse” et j’en passe… Comme s’il y avait les vrais et les faux masochistes, même si je sais que beaucoup de femmes se veulent soumise et maso par effet de mode autant que d’hommes se veulent maîtres et dominants, cela ne veux pas dire qu’il nous est loisir impuni que de juger tout ce qui bouge et d’y aller de son bon commentaire accusateur et désobligeant.
Si je dit tout cela, c’est parce que je m’indigne de voir que certaines femmes se font critiquer car elle n’aiment que la douleur soft. D’une part ses femmes n’on rien à prouver à personne, et d’autre part libre à elle de vivre leurs masochisme au degré qu’elle désir, tant qu’elles trouvent en face le Maître qui apportera à degré égal son sadisme. Etre maso ne se résume pas au degré d’extrême de ses désirs. Il n’y à ni minimum ni maximum dans la douleur, même si une caresse reste une caresse tout autant qu’une claque r
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