Elle use et abuse de ses esclaves lubriques

Elle use et abuse de ses esclaves lubriques




🛑 TOUTES LES INFORMATIONS CLIQUEZ ICI đŸ‘ˆđŸ»đŸ‘ˆđŸ»đŸ‘ˆđŸ»

































Elle use et abuse de ses esclaves lubriques
Vos données personnelles sur Orange
Tout accepter Personnaliser vos choix
Orange, Sosh et leurs partenaires avec votre consentement peuvent utiliser des cookies ou Ă©quivalent pour stocker et/ou accĂ©der Ă  des informations sur votre terminal afin notamment de collecter ou traiter des donnĂ©es personnelles telles que : donnĂ©es de navigation (comme les pages et applications consultĂ©es), identifiants (comme l’adresse IP, identifiants de contrats, identifiants mobiles publicitaires ou l’IMEI)... Les traitements de certains partenaires reposent sur leurs intĂ©rĂȘts lĂ©gitimes, vous pouvez vous y opposer en cliquant sur le lien « Personnaliser vos choix ».
Ces donnĂ©es sont traitĂ©es par Orange et/ou ses partenaires aux fins suivantes : - Contenus et publicitĂ©s personnalisĂ©s sur supports digitaux (services, offres et publicitĂ©s adaptĂ©es Ă  vos centres d’intĂ©rĂȘt sur internet, application mobile ou interface TV) ou par communication directe (e-mail, SMS, tĂ©lĂ©phone, point de vente
), mesure de performance du contenu et des publicitĂ©s, donnĂ©es d’audience et dĂ©veloppement de produit. - Mesure d’audience des publicitĂ©s et des contenus, y compris pour les emails et SMS qui vous sont adressĂ©s.
Si vous ĂȘtes connectĂ© avec un compte Orange ou Sosh et sous rĂ©serve des choix exprimĂ©s par ailleurs, les informations traitĂ©es pourront ĂȘtre associĂ©es avec celles collectĂ©es sur vos autres appareils et enrichies des donnĂ©es client de vos contrats et de ceux de votre foyer. Vos donnĂ©es pourront Ă©galement enrichir ou ĂȘtre enrichies avec des donnĂ©es collectĂ©es par nos partenaires.
Vos choix seront appliqués sur le portail Orange et sur certaines de nos applications ( consulter la liste ) ainsi que pour les emails et SMS qui vous sont adressés. Pour en savoir plus, vous pouvez consulter notre politique « cookie ». Vous pouvez modifier votre consentement à tout moment en cliquant sur le lien « Gestion cookies » en bas de page.

Lorsqu'il s'agit de sexe, certaines personnes sont prĂȘtes Ă  tout pour assouvir leurs fantasmes. La preuve avec ce couple qui Ă©tait en pleine action dans la piscine d'un hĂŽtel. Une vidĂ©o que nous proposons de retrouver sur notre site Non Stop Zapping.http://www.non-stop-zapping.com/actu/divers/un-couple-en-pleins-ebats-sexuels-se-fait-surprendre-video-50943


Vos réactions doivent respecter nos CGU .




Toggle navigation




Une autre histoire

« Le gĂ©nĂ©ral Dumas », le nouveau livre de Claude Ribbe : cliquer sur l’image pour le commander
LĂ©on L'Africain Pourquoi l’Afrique s’appelle l’Afrique L'Ifrikiya (de Ifri) correspond Ă  la rĂ©gion du "Maghreb central" et sa Capitale fut Carthage. Disons, que sur la carte
Roger Adenot Severiano de Heredia (1836-1901) Bonjour Pour la "petite histoire" Severiano épousa une jeune fille d'on les parents possédé un domaine à Lafauche 52700 Sa
DAWANT Paul Robeson (1898-1976) Ses chants ont raisonné dans mon adolescence, m'ouvrant les yeux sur le "Juste" et le "vrai".
Joyeux Jacques Foccart (1913-1997) Et dire que Ă  gourbeyre , commune de Guadeloupe dont fut maire, une rue porte le nom de cet odieux
yvanne pierrot Le Parfait NĂ©gociant je vois que la france a toujours exerce un grand leadership en matiere de negrophobie paroxysismiqueet ceci jusqu a nos
Le code noir (1685) a dĂ©fini les peines corporelles auxquelles s’exposaient les esclaves.
Elles varient selon la gravitĂ© de l’acte dĂ©clarĂ© rĂ©prĂ©hensible : le fouet ou les verges (bĂątons souples), le marquage Ă  l’épaule d’une fleur de lys au fer rouge, les deux oreilles coupĂ©es, le jarret tranchĂ©, la peine de mort (pendaison, bĂ»cher ou roue).
Ces peines sont en principe appliquĂ©es par le bourreau de la colonie et non par le maĂźtre lui-mĂȘme.
Mais le maĂźtre a le droit de faire fouetter son esclave et de le laisser enchaĂźnĂ© tout le temps qu’il juge nĂ©cessaire.
La mort est lĂ©galement encourue (outre les conditions de droit commun) si l’esclave frappe son maĂźtre ou sa famille (y compris les enfants) au visage mĂȘme sans effusion de sang ou ailleurs mais avec effusion de sang, en cas de voie de fait contre toute personne libre, en cas de rĂ©union, en cas de vol qualifiĂ©, Ă  la troisiĂšme tentative de fuite d’au moins un mois.
Port d’armes. Les esclaves risquent le fouet (article 15 du code noir) s’ils sont porteurs d’armes offensives ou de gros bñtons.
RĂ©union. (article 16) S’ils s’attroupent, de jour comme de nuit, y compris chez leur maĂźtre et mĂȘme sous prĂ©texte de mariage, ils sont passibles du fouet, du marquage au fer rouge avec la fleur de lys, voire de la peine de mort en cas de rĂ©cidive ou avec des circonstances aggravantes (rĂ©union dans un endroit Ă©cartĂ©).
(article 18) S’ils vendent de la canne Ă  sucre, mĂȘme avec l’autorisation de leur maĂźtre, les esclaves sont fouettĂ©s.
(article 33) La peine de mort si l’esclave frappe au visage son maütre, sa femme ou leurs enfants, ou s’il les frappe ailleurs avec effusion de sang
(article 34) Voies de fait contre des personnes libres : au maximum peine de mort.
(article 35) vols qualifiĂ©s, mĂȘme d’animaux, accomplis par des esclaves ou des affranchis : au maximum la peine de mort.
(article 36) petits vols : coups de verges et marquage de la fleur de lys Ă  l’épaule.
(article 38) En cas de fuite d’un mois au moins, Ă  compter de la dĂ©nonciation par le maĂźtre Ă  la Justice : oreilles coupĂ©es et marquage de la fleur de lys Ă  l’épaule.
En cas de seconde tentative, et Ă  partir d’un mois Ă  compter de la dĂ©nonciation du maĂźtre, jarret coupĂ© et marquage de la fleur de lys aux deux Ă©paules.
À la troisiùme tentative, peine de mort.
(article 42) Les maĂźtres ne son pas autorisĂ©s Ă  tuer, Ă  mutiler ni Ă  torturer eux-mĂȘmes leurs esclaves, mais ils peuvent « lorsqu’ils croiront que leurs esclaves l’ont mĂ©rité » les enchaĂźner et les battre de verges ou de cordes.
L’instrument utilisĂ© pour servir de « corde » ou de « verges » est laissĂ© Ă  l’apprĂ©ciation du maĂźtre. Le nombre de coups n’est nullement limitĂ© et il n’est pas rare que 200 coups ou davantage soient administrĂ©s.
Bien entendu, il est inimaginable qu’un maĂźtre s’avilisse Ă  fouetter publiquement son esclave. Tout le raffinement du systĂšme est de faire administrer le chĂątiment par des esclaves dĂ©signĂ©s Ă  tour de rĂŽle – le maĂźtre n’étant en apparence qu’un spectateur – ce qui a l’avantage de dresser les esclaves les uns contre les autres, de montrer toute l’emprise du maĂźtre qui est capable, Ă  sa guise, de transformer une victime en bourreau.
Le fouet est une torture qui entaille la peau d’oĂč l’expression « tailler un nĂšgre ». Il est lĂ©gal d’aviver le supplice en versant du jus de citron, de l’eau salĂ©e, du poivre, du vinaigre ou du piment sur les plaies vives (sous prĂ©texte d’éviter l’infection).
À ces peines codifiĂ©es s’ajoutent les violences ordinaires lĂ©galement pratiquĂ©es par le maĂźtre : le marquage au fer rouge aprĂšs achat (qui s’ajoute au marquage sur le bateau ou Ă  l’embarquement), l’utilisation du fouet pour encourager le travail, les coups de toute sorte, le viol des deux sexes et des enfants, l’utilisation de carcans et d’entraves.
Les violences illégales, en dépit du code noir, étaient couramment pratiquées en toute impunité :
La mise Ă  mort Ă©tait pratiquĂ©e par les maĂźtres eux-mĂȘmes de la maniĂšre la plus sadique possible : pendaison par les pieds, par le torse, passage dans les machines Ă  broyer les cannes, dans les fours, dans les chaudiĂšres, onction de la tĂȘte avec du sirop et enfouissement jusqu’au cou prĂšs d’un nid de guĂȘpes ou de fourmis, enfermement dans des cages avec des oiseaux de proie affamĂ©s, mise Ă  feu d’une charge de poudre dans le rectum etc.
En dehors de la peine de mort les mutilations diverses étaient courantes (ablation des oreilles,de la langue, des seins, yeux crevés, ongles arrachés, extraction des dents, émasculation).
Les tortures en tout genre n’avaient d’autre limite que l’imagination des colons.
Les enfants Ă©taient habituĂ©s, tout jeunes, Ă  assister Ă  ces actes barbarie, pour s’endurcir.
Affreux c’est le seule mot qui me vient en tĂȘte !
AprĂšs ce 13 novembre 2015, vous savez bien ce qu’on vous dit : « L’horreur absolue ce sont les terroristes de Paris. Horreur absolue, incomparable. » Normal cela visait des Français. Les « punitions » appliquĂ©es aux noirs Ă©taient destinĂ©es Ă  « les civiliser, » les Ă©duquer. » Lecture conseillĂ©e et Ă©difiante : MORENAS « Petit prĂ©cis de la Traite des noirs, » disponible gratuitement en ligne sur Gallica, le site numĂ©rique de la BibliothĂšque Nationale de France.
Ça glace le sang, et aucun dictionnaire ne contient le mot juste pour qualifier et ce code et ceux qui l’appliquaient.
Et dire que n’ayant pas encore fini de me remettre de la (re)lecture du roman La case de l’oncle Tom , ce code vient littĂ©ralement de m’assommer.
Un article aussi Ă©difiant qu’insoutenable; par ailleurs, ce qui m’intrigue c’est le fait que tout cet univers esclavagiste (champ lexical, pratiques de l’entrave, punitions, maltraitances conduisant parfois Ă  la mort), les Occidentaux en ont fait des pratiques sexuelles (qu’ils appellent « jeux ») qui mĂȘme de nos jours font vendre des millions de livres et entrer le mĂȘme nombre de spectateurs au cinĂ©ma ! c’est dire la perversitĂ© de « cette si grande civilisation ». Il serait intĂ©ressant d’étudier ce fait.
Aujourd’hui, avec l’évolution de la technologie, les peines qu’on nous inflige ne sont point vulgaires et nos cicatrices ne sont plus corporelles mais psychiques. On nous dĂ©truit le foyer et la famille par des exactions lĂ©gales. Les petits-fils d’esclaves font face a des bandits lĂ©gaux appliquant des lois dont les retombĂ©es sont plus que destructives.
Il est important de souligner la sauvagerie dont a souffert/souffre/et souffrira l’Afrique pour quelques temps encore car, plus qu’une guerre ordinaire, l’esclavage a agenouillĂ© ce continent qui jadis Ă©tait le berceau de l’humanitĂ©. Les effets continuent de se faire sentir.
C’est ignoble ! Je ne trouve pas de mots pour qualifier ces actes. Et si l’Afrique est accusĂ©e aujourd’hui d’un grand retard, c’est qu’ils ont pris ses fils les plus robustes et vigoureux pour les dĂ©porter et les faire travailler dans leurs plantations.
Comment un peuple et son Etat, la France, peuvent-ils, sans aucun complexe, siĂ©ger au Conseil de sĂ©curitĂ© de l’ONU, envoyer des chefs d’Etat devant la CPI et continuer d’affirmer ce qu’est le Bien ou le mal en matiĂšre de gouvernance et de droits de l’homme aprĂšs un tel parcours multisĂ©culaire de crimes, de gĂ©nocides ? En persĂ©vĂ©rant au 21e siĂšcle dans le racisme nĂ©grophobe avec toutes les consĂ©quences discriminatoires que l’on sait dans tous les secteurs de la sociĂ©tĂ© ?
Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *
Enregistrer mon nom, mon e-mail et mon site web dans le navigateur pour mon prochain commentaire.

La Saga des esclaves au ChĂąteau du Marquis d'Evans (24)
Retour sur les Origines de la Saga (en 1784

5 - Le cocu et l'épouse effrontée - (Prologue) -

Quelques jours se sont écoulés depuis que le marquage au fer rouge de ninon a célébré
son appartenance au cheptel du Marquis d'Evans. Les jours s'Ă©coulent paisiblement pour
l'ancien prisonnier de Vincennes, qui passe beaucoup de temps dans sa chambre, en
compagnie de ses deux fidÚles esclaves, justine et juliette, toutes dévouées à combler
le moindre de Ses désirs...

Alangui sur une chauffeuse, le Marquis de Sade observe les deux jeunes femmes qui Lui
offrent un délicieux spectacle. En effet, juliette dirige les mouvements du duo, elle
a aidé justine à s'allonger sur le dos et remonte maintenant ses jambes tout en lui
faisant ouvrir largement les cuisses dévoilant au Marquis une intimité qui n'a
cependant plus aucun secret pour Lui qui en use et abuse si fréquemment. Elle effleure
d'abord le ventre de sa complice, puis de ses doigts agiles joue avec ses lĂšvres
intimes, dévoilant sa chair délicatement rosée, puis dégageant savamment le
clitoris...

Malgré son expérience, justine ne peut retenir la vague qui lentement l'étreint, car
juliette sa si perverse et si proche partenaire, n'ignore rien de ce qui peut
profondément la troubler. Les doigts de juliette se font toujours un peu plus
insistants, et justine se cambre, ne peut retenir un léger déhanchement et ses reins
de se cambrer sous les assauts de sa partenaire... juliette ressent chaque
respiration, chaque éclair de désir qui traverse l'échine de celle qui gémit devant
elle... juliette se penche et son visage s'engouffre entre les cuisses ouvertes...

Sa langue maintenant prend le relais de ses doigts, lÚche les chairs déjà humides, se
délecte du doux parfum de la cyprine qu'elle recueille du bout de la langue avant que
de la savourer. justine ne peut plus retenir le plaisir qui l'inonde maintenant. elle
s'abandonne totalement Ă  la douceur de cette langue experte et chaude qui parcourt son
sexe et s'attarde briĂšvement sur les points les plus sensibles...

Le Marquis observe ses deux petites perverses avec délectation... mais pourtant il
s'ennuie quelque peu. Il connaĂźt trop bien ces deux corps et la soumission de ces deux
esclaves Lui est si acquise, si évidente, qu'il s'en lasse déjà. Bien sur, Il peut
tout exiger d'elles; elles sont Siennes, corps et Ăąme et ne refusent aucune
perversion, devançant mĂȘme parfois ses pensĂ©es les plus lubriques pour lui prodiguer
quelque nouvelle caresse que la plus rouée des catins n'oserait pas seulement
imaginer.

Comme à Son habitude, Le Marquis de Sade a laissé la porte de Sa chambre ouverte. Ceux
qui passent devant la piĂšce peuvent ainsi assister aux Ă©bats des deux femelles dont
les corps maintenant s'entremĂȘlent en un concert de caresses et de gĂ©missements...
Mais Le Marquis n'en a cure et c'est finalement avec un léger soupir de soulagement
qu'il voit apparaĂźtre un domestique auquel Il fait signe d'approcher. Le valet (que le
port d'une livrée désigne comme un serviteur et non comme un esclave) s'incline devant
le Seigneur :

- "Monsieur Le Marquis, mon MaĂźtre Vous quemande en Son salon... Il souhaite Vous
entretenir d'une affaire qui, dit-il, devrait Vous réjouir"...

Le Marquis se lĂšve avec un sourire. Il toise le jeune valet, qui rougit un peu et
n'ose regarder les deux filles qui poursuivent leurs Ă©bats.

- "Eh bien, je me fais une joie de rejoindre ton MaĂźtre. Prends donc place dans mon
fauteuil... Et jouis du spectacle. et quand je dis... jouir... C'est Ă  tous les sens
du terme !"
Et, Ă©clatant de rire, le Donatien de Sade quitte la piĂšce...
...
Le grand salon du chùteau a retrouvé son apparence classique. Sous les grands lustres
de cristal vénitien, les dalles de marbre bicolore, frottées pendant des heures par
les esclaves, resplendissent sous le soleil qui inonde l'espace Ă  travers les hautes
fenĂȘtres donnant sur les jardins Ă  l'arriĂšre du chĂąteau. Au centre de l'immense piĂšce,
deux larges fauteuils tendus de velours pourpre et une table basse en marqueterie
prĂ©cieuse sur laquelle repose une bouteille d’un Grand Cognac et deux verres en
cristal... Le Marquis d'Evans est déjà installé dans l'un des deux fauteuils, tandis
que face à Lui séparé par la table, un homme se tient debout et semble fort agité.
Tout en approchant dans son dos, le Marquis de Sade observe ce personnage, vĂȘtu d'un
habit de cour de bonne coupe, mais au style plutÎt démodé et d'un jaune doré d'un goût
douteux. Petit et d'allure malingre, l'individu semble expliquer quelques affaires qui
le perturbe, au Marquis d'Evans qui l'observe, un fin sourire aux lĂšvres.
Le Seigneur des Lieux se lÚve à l'arrivée de Son ami et le prie de s'approcher :

- "Ah Mon Cher Marquis, voici mon voisin et fidĂšle vassal, le baron d'EsgliĂšres.
Figurez vous qu'il m'entretient de son infortune survenue la nuit derniĂšre et qu'il
demande Mon arbitrage, ce qu'en tant que suzerain je ne saurai lui refuser,
naturellement"

Le Marquis de Sade salue le baron, qui en retour s'incline dans une révérence
exagérée.

- "Eh bien baron, si je puis apporter quelque lumiĂšre sur vos problĂšmes, je serai
heureux de pouvoir apporter mon savoir Ă  mon ami d'Evans..."

Tandis que les deux Marquis s'installent confortablement, le baron entreprend de
répéter son récit à l'intention Du nouveau venu... Le petit homme se remet dans sa
narration :

- "Voyez combien mon malheur est grand Monseigneur ! J'ai passé des années au service
Du Roy ! J'y ai laissé mes plus belles années, combattant aux quatre coins de l'Europe
et délaissant mes terres et mon épouse pour le service de mon Souverain. J'y ai certes
gagné de glorieuses blessures et quelque reconnaissance royale, mais je n'ai pu
profiter aussi pleinement que d'autres des délices qu'une épouse dévouée sait
administrer Ă  son Ă©poux ! J'ai du trop souvent me contenter de quelques catins en
campagne ou du
troussage des habitantes de contrées vaincues... Mais je fus si souvent privé de la
douceur et des parfums d'une compagne qui s'apprĂȘte pour Vous et comble Vos dĂ©sirs !"

Le petit baron reprenant son souffle, les Marquis Ă©changent un clin d'oeil...

- "Comme Vous l'allez voir, Donatien, le baron n'en est là qu'aux prémices de sa
mésaventure... il a encore bien des choses à nous narrer et un bon Cognac nous
aidera"... glisse Le Marquis d'Evans tout en remplissant Lui-mĂȘme les verres tandis
que le baron reprend...

- "De longues années se sont ainsi écoulées, et je ne rentrai que trop rarement, hélas
pour jouir vraiment des hommages qui m'Ă©taient dus... Je n'Ă©tais mĂȘme pas lĂ  lorsque
ma premiÚre épouse vint à décéder, me privant hélas d'un digne héritier. Mais étant
bien en Cour, je ne tardais pas Ă  trouver une nouvelle Ă©pouse... Et c'est fort du
soutien Du Roy que je fis ma demande Ă  la jeune fille d'une noble mais obscure
famille. Je payais, Monsieur Le Marquis... pardon, Messieurs Les Marquis, oui je
payais, fort cher Ă  sa famille afin de rompre les derniĂšres retenues que la jeune
fille voyait dans notre différence d'ùge. Finalement j'emportai la décision, qu'est-ce
au fond que quarante ans de différence ! et les noces furent bien vite organisées et
aussitÎt consommées, car il n'était plus question que je remette ma jouissance à plus
tard, aprÚs toutes ces si longues années de privation !"

En riant, le Marquis d'Evans tend un verre de Cognac au baron qui d'une main fébrile
s'en saisit et boit, renversant de ce liquide mordoré sur son mentin frippé...

- "AAh merci Monsieur le Marquis... qu'il est bon de pouvoir ainsi me confier Ă  Vous !
Je poursuis donc...

- ‘’Je consommais sans tarder ces noces et j'investissais la jeune vierge comme je
prenais autrefois les citadelles... Sans coup férir et pavillon haut ! Je la troussais
et ne lui laissais aucun répit, prenant tour à tour chacune de ses places fortes,
jusqu'Ă  faire d'elle plus qu'une ville ouverte ! Je ne manquais pas de lui dire
combien j'avais de plaisirs Ă  rattraper et docilement, en bonne Ă©pouse, elle se pliait
durant plusieurs mois Ă  ses devoirs, sans jamais rechigner, m'offrant tour Ă  tour les
orifices par moi conquis... Tout ainsi se déroulait au mieux. Mais voici que Le Roy,
tant ses jeunes officiers sont d'infatués coquins, refit appel à mes talents
militaires... je repars donc en guerre et confie mon Ă©pouse Ă  l'un de mes jeunes
enseignes. Celui-ci m'avait été confié par sa famille lors de mon ultime campagne. Je
l'ai éduqué et lui ai tout appris ! Mal m'en a pris ! Ooh Marquis, quelle déception,
quelle déchéance ! Alors que je guerroyais pour mon Roy, le jeune fripon lo
Fayna Vergara jouit avec une bite à l'intérieur
Trois nymphettes sur une bagnole
Plantureuse géante dans une casting

Report Page