Elle trifouille son anus d'une manire insolente

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Elle trifouille son anus d'une manire insolente

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Les filles de Loth et autres poèmes érotiques , Texte établi par Bernard, Edmond Dardenne, Imprimerie de la Genèse (Sodome) , 1933 ( p. 11 - 254 ).
collection Texte entier Anonyme , Guy de Maupassant , Henry Monnier , Alfred de Musset , Alexis Piron , Louis Protat Imprimerie de la Genèse (Sodome) 1933 V Texte entier Les filles de Loth et autres poèmes érotiques, 1933.djvu Les filles de Loth et autres poèmes érotiques, 1933.djvu/11 11-254 
« Qu’as-tu donc, ô ma fille ? — Oh ! va toujours, je jouis,
Chanson d’un groupe d’automobilistes de l’E.-M. de la IV e armée à Saint-Memmie et à Strasbourg.
« Si Piron a fait la fameuse Ode il faut bien le gronder, mais l’admettre ; s’il ne l’a pas faite, fermons-lui la porte. »    Fontenelle. ( Discours pour l’admission de Piron à l’Académie. )
Air des Souvenirs, de Chateaubriand .
Air : Ma belle est la belle des belles.
Poème en deux chants et un prologue
De vous coucher à trois. — « Trois ? très bien ! Dites comme ?
« Deux hommes, une femme ? ou deux femmes, un homme ? »
Musique de Paul Delmet .  Air : Petit chagrin .
(À Paris, dans une chambre meublée, rue de la Harpe, entre 1830 et 1840.)
(Faisant semblant de ne pas la reconnaître.)
(Il ouvre. Entre la grisette, rouge comme une pivoine qui
aurait monté six étages.)
(Avec l’empressement de l’homme qui bande.)
(Avançant son petit museau contre les lèvres de son amant.)
(Qui bande plus que jamais, lui faisant une langue.)
(Qui bande trop pour deviner quoi que ce soit.)
(Qui s’est soustraite pour un instant aux langues de son amant, et qui sautille dans la chambre comme une bergeronnette.)
(Qui n’a d’autre préoccupation que de baiser la grisette.)
(Qui est parvenu à l’attirer sur une chaise.)
(Se cabrant pour mieux faire saillir ses tétons.)
(L’attirant sur ses genoux et lui troussant sa robe.)
(Remplaçant son doigt par sa pine.)
(Qui commence à faire des yeux blancs.)
(Jouissant, mais plus silencieusement.)
(Répondant aux coups de pine de son amant par autant de coups de cul.)
(Au paroxysme de la jouissance et criant.)
(Les deux amants, qui n’ont pas encore tout à fait fini,
ne soufflent mot ; le lit seul parle pour eux, éloquemment.)
(Dans les dernières convulsions du bonheur.)
(Limant encore pour l’acquit de sa conscience, car il ne
bande plus aussi raide.)
(La branlant pour laisser un instant souffler sa pine.)
(Qui est pour la jouissance sérieuse, et non pour les
à peu près.)
(Qui ne perd pas son sujet de vue ni de main.)
(Qui jouit plus silencieusement, mais tout aussi
profondément.)
(Toujours sur le lit et pleurant à chaudes larmes.)
(Riant d’un œil et pleurant encore de l’autre.)
L’action, dans un château des bords de la Loire,
en 1860.
M me DU CROISY, M me DE FRÉMICOURT, M me LAVENEUR,
( M me du Croisy introduit ses deux amies dans l’appartement qui leur est destiné ; Julie va et vient pour s’assurer que rien ne manque des choses indispensables dans une chambre à coucher.)
( M me du Croisy sort avec Julie, laissant M me Laveneur
et de Frémicourt seules dans leur appartement.)
LOUISE LAVENEUR ET HENRIETTE DE FRÉMICOURT


Dernière modification il y a 2 ans par Cunegonde1


Qui ne connaît Les Filles de Loth ?

Quel est le potache qui, dans ses dernières années de
lycée, ne l’ait appris par cœur, délaissant ainsi Boileau,
Racine ou Virgile ? Aujourd’hui, le jeune potache d’antan
est un docte praticien ou un avocat expert et, dans le silence
de son cabinet, il aimerait à se remémorer les célèbres vers
d’Alfred de Musset.

Depuis fort longtemps ce poème n’avait pas été édité.
Nous venons de combler cette lacune et nous avons eu
l’heureuse idée d’ajouter à ces vers immortels des pièces
et des poésies qui furent tout aussi célèbres. Citons :

L’Examen de Flora L’Ode à Priape Le Compendium Érotique Le Chapitre des Cordeliers La Morpionéïde La Femme à Barbe de Guy de Maupassant

etc., etc., en un mot à peu près tous les poèmes qui firent,
durant de longues années, le tour des salles de garde de
Paris et de Province.

Aucune de ces pièces ne figure dans les deux tomes des
TROIS ORFÈVRES À LA SAINT ÉLOI , de joyeuse
mémoire, que nous avons fait paraître, il y a trois ans, et
qui ont obtenu le retentissant succès que l’on sait, mais,
au contraire, en forment, avec leur suite, le complément
indispensable.

Nous avons également intercalé parmi ces œuvres une
parodie érotique de LA MADELON . Cette chanson, malgré
son dévergondage, fut chantée fréquemment au G. Q. G.
pendant la guerre et fit la joie des officiers qui la fredonnaient.

Le Théâtre Érotique , de M. Joseph Prudhomme

dû à la plume grivoise d’Henry Monnier ; nous voulons
parler de : La Grisette et l’Étudiant et Les deux Gougnottes .

Des dessins libres, coloriés à la main, ornent cet
important ouvrage.

Édite sur vergé alfa de luxe à la forme, il est élégamment
présenté dans un bel étui de luxe. Son format est de
l’in-8 jésus.

Ces illustrations ont été dessinées par le même artiste
qui illustra La Trilogie Érotique de Verlaine , que nous
fîmes paraître, voici tantôt deux ans, et qui obtint un si
légitime succès.

Avant de terminer, qu’il nous soit permis de remercier
tous les collaborateurs bénévoles qui ont apporté leur pierre
au nouvel édifice que nous venons de construire.

Lorsque nous avons fait connaître notre projet de sortir
de l’oubli ces refrains et ces vieux souvenirs chers à tous
ceux qui ont fréquenté les Facultés, des quatre coins de notre
belle France, il nous est arrivé des quantités de poèmes et de
chansons qui nous permettraient de composer plusieurs
volumes de l’importance de celui que nous éditons aujourd’hui.
Tous se sont souvenus que nous étions fils de Rabelais ;
tous nous ont soutenus de leurs efforts et ont applaudi

le courage que notre intention dénotait, spécialement à une
époque où le rire n’était plus permis qu’à lèvres pincées,
où l’austérité apparente était une nécessité, où l’hypocrisie
était une loi !

Aussi, de pontifiants et haut placés personnages ont
senti la jeunesse leur revenir et nous en ont fait profiter.

Nous pouvons citer de jeunes étudiants qui n’ont pas
hésité à cambrioler les tiroirs de leurs vénérables ascendants
pour y dénicher des Péchés de Jeunesse !

Que de lettres n’avons-nous pas reçues depuis la parution
des TROIS ORFÈVRES À LA SAINT ÉLOI , nous
demandant de continuer notre œuvre et de faire revivre
dans un nouvel ouvrage tout ce qui n’avait pu trouver
place dans notre première production !

« Et, nous écrivait-on, vous avez négligé ceci, vous
avez omis cela. Pourquoi laisser perdre à jamais ces souvenirs
de jeunesse ? Vous en avez certainement oubliés qui
se trouvent encore dans des coins ignorés, dans des tiroirs
jalousement fermés à double tour. Pourquoi ne poursuivez-vous
pas votre récolte, votre chasse ? Laissez-vous tenter
et une reconnaissance universelle vous sera acquise. »

Et c’est ainsi que nous avons persévéré. Nous avons
fouillé à droite, nous avons demandé à gauche, faisant
comprendre aux uns qu’ils contribuaient ainsi à rajeunir
la race, aux autres qu’ils n’avaient pas le droit de conserver

pour eux seuls ces chefs-d’œuvre, et nous avons pu récolter
les diverses pièces qui forment le tout de l’ouvrage que
nous présentons aujourd’hui sous le titre de :

Si LES TROIS ORFÈVRES À LA SAINT ÉLOI contenaient
des morceaux connus de tous, presque tous les feuillets
de notre nouveau recueil en recèlent de moins connus,
mais tout aussi célèbres et dont le naufrage dans l’oubli
eût été, cette fois, irréparable.

Abandonnant toute fausse modestie et reconnaissant
nous-mêmes notre effort, nous sommes persuadés d’avoir
rempli le désir cher à tous nos amis et de leur donner, en
ces pages, la suite, qu’ils attendaient si impatiemment, aux
deux tomes des TROIS ORFÈVRES À LA SAINT ÉLOI .

À la lecture de notre ouvrage, leurs cœurs bondiront,
leurs yeux se mouilleront, comme en un rêve, ils reverront
leur jeunesse, leur vie du Quartier : la Source, le d’Harcourt,
le Panthéon, Bullier et, leurs mains se joignant
comme pour une prière, leurs lèvres murmureront :
« Merci, Vidame, merci !… »

Loth étendu dormait au fond d’une caverne.
Assises à côté d’une pâle lanterne,
Ses deux filles en pleurs se rappelaient tout bas
Les plaisirs de Sodome et ne s’endormaient pas.
L’aînée avait vingt ans, une figure altière,
L’œil noir et les cheveux rejetés en arrière.
La cadette était blonde, avait seize ans passés,
Des trésors sous la robe et des doigts exercés.
Vierges ? Vous devinez que filles de cet âge
N’ont pas quitté Sodome avec leur pucelage :
Elles avaient goûté du breuvage amoureux,
Leur soif insatiable avait fait des heureux.

Mais Sodome est détruite, elles pleurent sans cesse,
Non leur maison brûlée en un jour de détresse,
Mais les hommes perdus, puisqu’il n’en reste pas
Qui puissent désormais jouir de leurs appas.
Agar dit à sa sœur, la voyant désolée :
« Reprends courage, enfant, que ton âme éplorée
Retrouve quelque espoir. Tiens, déshabillons-nous,
Reprenons pour jouir un moyen simple et doux. »
Ainsi parlait l’aînée, et relevant sa robe,
Elle montre à sa sœur, avec un double globe,
Son ventre satiné, qui se termine en bas
Par un triangle brun recouvert de poils ras.
« Que faut-il faire, Agar ? — Du bout de ton doigt rose,
Chatouille-moi. — J’y suis. — Attends, je me repose.
M’y voici. — J’élargis les cuisses comme toi,
Rends-moi le même office, allons, chatouille-moi ! »
Et sous le doigt, que guide une amoureuse ivresse,
Le clitoris se dresse et palpite, et redresse.
Enfin, n’en pouvant plus et d’amour se pâmant,
Agar donne à sa sœur un vrai baiser d’amant.
Mais celle-ci lui dit : « Faisons mieux, ma charmante,
Remplaçons notre doigt, sur la place amusante,
Par une langue agile, et tu verras, ma sœur,
Que nos attouchements auront plus de douceur.
Que sur ton ventre, Agar, mollement, je me couche,
Mes lèvres à ton poil et ton poil à ma bouche.
Que nos corps enlacés se tordent et se roulent
Et que les sucs de l’homme en nos cuisses découlent. »
Aussitôt fait que dit, et bientôt ces doux jeux
Arrosent leur toison d’un liquide onctueux.
Mais ce foutre infécond ne rappelle les hommes
Que de vague façon. « Oh ! sottes que nous sommes !

Du plaisir, dit Agar, en voilà tant qu’il faut :
Mon père est vieux, c’est vrai, mais il est encore chaud,
Il doit raidir encor quand les filles sont belles,
C’est heureux qu’il n’ait point affaire à des pucelles
Mais il ne voudra pas, tant il est scrupuleux,
Nous passer la bouteille où jadis toutes deux
Avons puisé la vie, où jadis notre mère
Venait emplir ses flancs et ouvrir son cratère.
Tâchons de l’enivrer, il aime le bon vin,
Et s’il nous peut baiser, sauvons le genre humain.
Le bonhomme étant gris, la mémoire troublée,
Oubliant ses enfants et la ville brûlée,
Jette sur leurs appas des regards polissons,
Écoute en souriant les grivoises chansons
Que chantent sans pudeur les jeunes filles nues,
Dansant autour de lui des danses inconnues.
Chacune a mis sur sa figure un voile noir,
Loth, avec sa lanterne, admire sans savoir
À qui sont ces tétons dont la pointe frissonne,
Ces fesses de satin dont la blancheur rayonne.
Il se croit à Sodome et dans sa propre fille,
Ardent, il veut planter son bâton de famille,
Il cherche sous sa robe, Agar l’a prévenu,
Du ventre paternel elle saisit tout nu
Le bâton merveilleux qui féconde la femme,
Elle admire longtemps cet objet de sa flamme
Et puis continuant son œuvre chaste et pure,
Elle prend pour jouir la meilleure posture :
Elle tombe à genoux, découvre son cul blanc
En inclinant la tête. Et le vieux Loth brûlant
Approche et voit le trou : « Pousse fort, ô ma belle !
Dit-il, en enlaçant ses deux bras autour d’elle.

Agar, jouant du cul, hâtait le mouvement,
Car elle connaissait l’effet du frottement…
Elle se sent mouillée, et nulle jouissance
N’a pourtant de ses flancs assouvi l’espérance.
Un soupçon la saisit, elle porte la main
Je ne sais trop comment, par le plus court chemin :
C’est à recommencer, dit-elle à son vieux père.
Un ivrogne est bon coq, Loth reprend cette affaire.
Elle saisit sa queue qu’il lui laisse guider
À travers les replis qu’il devra traverser.
…Agar a tressailli et son ventre frissonne,
Les os en ont craqué, mais le vieux Loth s’étonne
À ces transports soudains, à ces cris inouïs :
Car tu l’as enfoncé jusque dans la matrice.
— Si je m’en suis douté, que le ciel m’engloutisse !
Dit Loth, en soulevant un peu sa vieille épée,
Pour la faire rentrer plus forte et mieux trempée :
« Si nous recommencions ? » Agar dit à sa sœur :
« À ton tour de goûter la divine liqueur. »
La blonde toute nue, en écartant les cuisses,
Présente à son vieux père un nid plein de délices.
Quoique le père Loth finit péniblement,
Elle n’en jouit pas moins convenablement.
« Gloire au Dieu d’Israël ! dit-elle… J’ai conçu. »
Loth alors s’éveilla, n’ayant rien vu ni su.

Quand par la force des ans Nous serons vieux et tremblants À l’heure où chacun s’attarde À fouiller dans son passé Oh ! qu’il sera doux d’évoquer Nos vieilles salles de garde !

Quand tes cheveux seront gris Tu regretteras Saint Louis Et songeant à la masure Où, longtemps, tu côtoyas Bubons, vérole, eczéma, Tu frémiras de luxure !

Ô les toits de l’Hôtel-Dieu Et ses sous-sols amoureux Où nous épanchions la sève De nos vingt ans enflammés Ô maîtresses, vous laisserez Dans nos cœurs de beaux rêves !

Les chansons de Boucicaut L’intimité de Trousseau Où nous vivions gais et libres Ne nous font pas oublier Où l’on tonifie la fibre.

Les jardins de la Pitié N’empêchent pas d’évoquer Tout près, la Salpêtrière Les vieux, dans nos souvenirs Nous feront souvent frémir En songeant à nos artères.

Et Cochin, tout neuf, Necker, Laënnec, Lariboisière ! D’autres encore où s’attarde Notre cœur qui va vieillir… Qu’ils sont doux les souvenirs De nos vieilles salles de garde !

Aux confins de Ménilmontant, Y’a un hôpital épatant Nul ne l’a dépassé encore Du nom d’Tenon On le décore. Voilà pourquoi nous les chantons Tous les internes, Voilà pourquoi nous les chantons, Tous les internes de Tenon.

Pour montrer qu’aucun n’est puceau Et sait bien monter à l’assaut,

Quand un frais minois les arrête Aussitôt ils lèvent la tête, Voilà pourquoi nous les chantons, Tous les internes, Voilà pourquoi nous les chantons Tous les internes de Tenon.

Si quelque gibier d’hôpital Fait vibrer leur sens génital, Aussitôt ils proposent la botte Et chacun à son tour barbotte Au fond des récipients profonds Ah ! ces internes ! Au fond des récipients profonds ! Ah ! ces internes de Tenon.

Mais l’amour trop près des fortifs A besoin de préservatifs, Parfois, ah ! destinée ingrate, On se soigne au permanganate, Sur leur malheureux sort pleurons, Pauvres internes, Sur leur malheureux sort pleurons, Pauvres internes de Tenon.

Mais les malheurs heureusement Ça passe très rapidement. Et aussitôt l’on recommence Sans souci de la chaude-lance.

Ce sont de gais et francs lurons, Tous ces internes, Ce sont de gais et francs lurons. Tous ces internes de Tenon.

Amis, buvons, chantons, rions, Soyons heureux et sans façon. Peut-être un jour au Pèr’ Lachaise Dormirons-nous tout à notre aise. En attendant, chantons, buvons, Chez les internes, En attendant, chantons, buvons, Chez les internes de Tenon.

Un matin, ouvrant ma boutique, Je m’dis : C’est pas tout ça, mon vieux, Faudrait passer ta botanique, Mets-en un coup et un fameux. J’m’en fus d’un trait à la Sorbonne, Dire aux chieurs d’encre : Inscrivez-moi, J’r’garde pas au prix, combien qu’faut qu’j’donne, L’tout c’est d’y arriver ma foi ! J’achève un Daguillon, Puis Leclerc du Sablon, J’culott’ mon Monnier tous les soirs, Mêm’ qu’à la fin, ça d’v’nait un rasoir ; J’bûch’ comme un négro Les faisceaux libéro — Ligneux, l’liber, l’aubier. Mieux qu’l’opium, ça m’f’sait roupiller !

Gai z’et content, Je m’disais, nonobstant : — Il faut évidemment, Tenter la chan… an, an, ce ! Y a plus qu’six semaines, Travaille et prends d’là peine ; Du culot et d’la veine, Vas : d’confian… ance !

Durant un mois, j’pos’ guèr’ ma chique, Vrai c’que j’en ai mis nom d’un chien, J’suivais tous les travaux pratiques, Mêm’ que l’chef, m’disait : Ça c’est bien ! Sur des coup’s, j’mettais d’là peinture, Je r’gardais dans l’ventre aux p’tit’s fleurs ; À la loup’ j’contemplais la hure Des ovair’s de tout’s les couleurs ! Prenant l’horizon d’un trait, Viv’ment j’f’sais leur portrait, Pleine d’zèle autant qu’d’ardeurs sublimes, J’numérotais les étamines, L’préparateur content, M’disait ; C’est épatant, Sûr qu’vous allez passer, Même en pétant, ça c’est forcé !

Puis au jardin, Notant sur mon cal’pin, J’potassais, plein d’entrain,

Sous les charmi… i… i…lles ; Géraniacées, Clusicées, Buxacées, Et Saxifragacées, Ah ! les fami… illes !

Le grand jour v’nu, j’prends l’train, je l’rate, L’tram reste en pann’ j’arriv’ c’pendant En r’tard… la tangente a’ la hâte, M’engueul’ d’abord sans ménag’ment, Puis Molliard m’dit : Qu’est-ce qu’i vient foutre ? Voyons, faudrait lir’ votr’ machine : Plus d’écrit, d’pratiqu’, passez outre E’ v’nez pour l’oral, lundi prochain ! V’s’avez, héros glorieux, Rentré les Boch’s chez eux, Combattu dans l’Nord et dans l’Aisne, E’ conquis l’Alsace et la Lorraine, Vous fich’riez s’il fallait, Sur la gueule aux Anglais, Aussi le Président, Vous en tient quitte pour deux crans !

Sans hésiter, Je m’suis dit : Faut cal’ter, S’il allait s’rétracter, Quelle infortu… u… une ! Vif comm’ l’anguille, Ébauchant un quadrille,

J’ai r’pris Champ-d’Mars-Bastille, Plus un d’mi bru… une !

À’ l’oral, Blaringhem m’invite, À’ lui causer sur les orchis, — Les orchis, qu’i m’dit, pas orchite, Ça n’se trouv’ pas dans l’même logis ! J’m’en tir’, Bonnier, la crèm’ des crèmes, M’dit : — Jeune homm’ sans vous commander, Dit’s-moi quéqu’ chos’ des méristèmes ? J’y ai servi ça sans plus tarder. Combes d’un air posé, M’demand’ les Composées, J’lui dis : — Les composées, ma foi, Ça s’rait loin d’être simpl’ d’après moi. — Très bien, très bien, qu’il fait, C’est juste, exact, parfait, J’y ai sorti mon rouleau, Et fait des imag’s au tableau !

Gai z’et content, M’v’là r’çu c’est l’important, Ah ! qu’est-c’ que c’est, pourtant, Quand on turbi… i… ine ! J’me r’pose une heure, Puis sans r’proche et sans peur, J’en r’mets pour êtr’ docteur, Ça m’turlupi… i… ine !

à l’effet d’obtenir son diplôme de putain et d’être admise au bordel de Madame Lebrun, 68 bis, rue de Richelieu.

Dix-sept ans, des yeux noirs et fendus en amande,
Avec des cheveux blonds, une bouche un peu grande.
Sans doute exprès et pour laisser voir en riant
Un brillant chapelet de perles d’Orient :
Un sein rose, arrondi, ferme à ne pas le croire,
Jessika se prend une double
Trio hard dans une grange
Qui pour s'occuper de son cul

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