Elle suce son mari dans l'avion

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De la mort du roi à son couronnement : comment Elisabeth II est devenue reine d’Angleterre

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En 1952, la princesse Elisabeth devient reine, Ă  25 ans. L’annĂ©e suivante, son couronnement est suivi par des millions de personnes Ă  travers le monde.
« Le roi est mort, vive le roi ! » Alors que le Royaume-Uni ferme ses thĂ©Ăątres, met ses drapeaux en berne, que la tĂ©lĂ©vision interrompt ses programmes pour annoncer la disparition du roi George VI, qui s’est Ă©teint dans son lit, dans la propriĂ©tĂ© royale de Sandringham, ce 6 fĂ©vrier 1952, sa fille aĂźnĂ©e, et donc hĂ©ritiĂšre de la couronne, Elisabeth, se trouve Ă  des milliers de kilomĂštres de lĂ , au Kenya. La princesse de 25 ans effectue une tournĂ©e du Commonweath avec son mari, le prince Philip, et ne se doute pas du statut dont elle vient d’hĂ©riter, et qui va changer sa vie. Le jeune couple, parent de Charles, 4 ans, et d’Anne, 18 mois, pensait avoir encore de longues annĂ©es loin des obligations de Buckingham Palace, puisque le roi n’avait que 56 ans au moment de sa disparition.
Dans le documentaire « My Years with the Queen », diffusĂ© sur ITV, une de ses proches, Lady Pamela Hicks, raconte le moment terrible oĂč le prince Philip a dĂ» annoncer Ă  son Ă©pouse la mort de son pĂšre. Le prince avait Ă©tĂ© prĂ©venu de la nouvelle en premier. A l’hĂŽtel kenyan Treetops, il l’attendait en lisant un journal. « Il a mis le journal sur son visage et a dit : “Mon Dieu, cela va ĂȘtre un tel choc”. » Il propose Ă  la princesse Elizabeth de se promener dans le jardin de l’hĂŽtel. Lady Pamela Hicks, qui Ă©tait du voyage, a pu observer la scĂšne au loin. Le couple se tenait sur un pont qui enjambait un ruisseau dans le jardin. « Au langage corporel, on a compris quand elle a Ă©tĂ© informĂ©e. Elle a arrĂȘtĂ© de marcher et s’est lĂ©gĂšrement affaissĂ©e. Nous nous disions que c’était atroce pour elle. Elle est revenue Ă  l’intĂ©rieur, et je l’ai prise dans mes bras en pensant Ă  son pĂšre qu’elle adorait et qui venait de mourir. Et je me suis dit, oh mon Dieu, elle est reine. Alors je lui ai fait la rĂ©vĂ©rence et ai dit : “Je suis dĂ©solĂ©e, cela veut dire que nous devons rentrer.” »
Quelques heures aprĂšs, la dĂ©lĂ©gation embarque Ă  bord de l’avion qui les ramĂšnera Ă  Londres. Sur le tarmac, des officiels attendent la nouvelle reine d’Angleterre, qui se rĂ©vĂšle, en haut de l’escalier, dans un ensemble noir, une couleur que la famille royale n’arbore qu’en pĂ©riode de deuil. A chacun de leurs voyages, les membres de la royautĂ© doivent glisser dans leurs valises une tenue noire pour justement ne pas avoir Ă  sortir d’un avion ou d’une voiture dans une tenue colorĂ©e en cas de disparition du souverain.
La nouvelle reine descend les escaliers d’un pas dĂ©cidĂ©, sans montrer une once de faiblesse, prenant sans attendre son rĂŽle trĂšs Ă  cƓur. Elle salue d’abord son Premier ministre, Winston Churchill. Quelques pas derriĂšre elle, le prince Philip la suit. Il est dĂ©sormais contraint Ă  ne plus avancer Ă  ses cĂŽtĂ©s, mais toujours derriĂšre elle.
Si Elisabeth devient, de facto, immĂ©diatement reine d’Angleterre, son couronnement devra attendre, comme il est de coutume. La cĂ©rĂ©monie Ă©tant un moment joyeux, elle ne peut pas avoir lieu pendant le deuil. Le roi Edouard VII a dĂ» attendre dix-neuf mois aprĂšs la mort de la reine Victoria pour ĂȘtre couronnĂ©, et le roi George VI cinq mois aprĂšs l’abdication de son frĂšre Edouard VIII. DĂšs lors, la reine doit emmĂ©nager au palais de Buckingham. Alors que les obsĂšques n’ont pas encore eu lieu, la reine et son Premier ministre doivent convenir d’une date pour le couronnement, qui a souvent lieu l’étĂ©. Winston Churchill propose d’attendre l’étĂ© 1953.
De son cĂŽtĂ©, le prince Philip, tente de trouver sa place face Ă  la nouvelle fonction de son Ă©pouse. Alors que l’Europe sort Ă  peine de la Seconde guerre mondiale, le nom de famille de Philip, Mountbatten, aux rĂ©sonances germanophones, est mal acceptĂ©, et on exige que la famille, garde le nom de Windsor, transmis par la reine. Afin de lui donner un rĂŽle rĂ©el, le mari de la reine prĂ©side la commission du couronnement. Il va ĂȘtre le premier Ă  moderniser la monarchie britannique en choisissant de tĂ©lĂ©viser l’évĂ©nement. La reine mĂšre et le Premier ministre s’opposent tous les deux Ă  cette idĂ©e, avançant qu’il s’agissait d’un moment religieux et intime qui n’avait pas besoin d’ĂȘtre partagĂ© avec le peuple. Mais la reine soutient son mari, dĂ©fendant l’argument de proximitĂ© avec ses sujets Ă  travers le pays, lĂ  oĂč, pendant des siĂšcles, seuls les membres de la famille royale et de l’establishment Ă©taient conviĂ©s. Une idĂ©e brillante qui sera un succĂšs auprĂšs du public, puisque rien qu’au Royaume-Uni, plus de 27 millions de Britanniques seront devant leurs tĂ©lĂ©viseurs. 200 journalistes et 500 photographes venus de 92 pays ont Ă©tĂ© dĂ©pĂȘchĂ©s pour l’occasion.
Le 2 juin 1953, trois millions de personnes se pressent dans les rues de Buckingham Ă  l’Abbaye de Westminster, Ă  Londres, pour apercevoir le cortĂšge royal composĂ© de 30 000 personnes, dont des membres de la Royal Air Force et de la Royal Navy. A l’intĂ©rieur, 8000 invitĂ©s venus de tout le Commonwealth sont venus regarder la jeune femme de 26 ans devenir Elisabeth II . La reine porte une robe en satin blanc, conçue par Norman Hartnell, qui a nĂ©cessitĂ© huit mois de travail. Elle arbore les emblĂšmes floraux du Commonwealth, comme la feuille d’érable du Canada ou la fleur de lotus d’Inde.
La cĂ©rĂ©monie est donnĂ©e, comme l’exige la tradition, par l’archevĂȘque de Canterbury. La reine prĂȘte serment, dans lequel elle jure de servir chaque pays et de dĂ©fendre l’Eglise anglicane. Seule l’onction se fait Ă  l’abri des camĂ©ras. L’épĂ©e d’apparat est remise Ă  la reine, ainsi qu’un sceptre, un anneau, un orbe, les armilles et l’étole royale. La reine s’installe alors sur le trĂŽne, et les membres du clergĂ© prĂ©sents lui promettent fidĂ©litĂ©. Sur la tĂȘte de la souveraine, on dĂ©pose la couronne de Saint Edouard, fabriquĂ©e en 1661, composĂ©e d’or pur, et pesant prĂšs de deux kilos. A la fin de la cĂ©rĂ©monie, la reine Elisabeth II sort par le grand portail ouest tandis que rĂ©sonne dans l’abbaye l’hymne « God save the Queen ». Depuis ce jour, la reine d’Angleterre n’a eu cesse que de respecter la promesse de servir son pays.
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Publié le
19/05/2018 Ă  07:30







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Jamais Claire n'aurait imaginé faire l'amour dans un avion avec un parfait inconnu.
"Il y a deux ans, dans un vol pour New York, je me suis envoyée en l'air. Au sens propre, comme au figuré. J'avais pris l'avion seule à cause d'un cafouillage avec mon amie Sophie sur nos dates de vacances. Nous avions prévu de passer une semaine sur place et je devais la rejoindre. 

Cela ne me posait aucun problÚme. Au contraire, j'adore voyager seule . Le temps est comme suspendu. On est injoignable, il n'y a rien d'autre à faire que de se distraire. Je profite à fond de ce moment : je m'achÚte une tonne de magazines, je m'autorise deux ou trois verres de vin durant le vol et je regarde des comédies romantiques que je n'aurais jamais l'idée d'aller voir au cinéma. 

Pour ce vol, j'étais à la place du milieu, coincée entre une Américaine d'une quarantaine d'années cÎté hublot et un Français dans la trentaine, cÎté couloir. J'ai échangé quelques mots polis avec la dame au moment de m'installer mais à peine avions-nous décollé que j'avais déjà le casque sur les oreilles, plongée dans un film quelconque avec Jennifer Aniston. 

Au moment du passage de l'hÎtesse, j'ai enlevé mes écouteurs pour lui indiquer mon choix de boisson et que je préférais les pùtes au poulet pour le repas. C'est à ce moment là qu'Ivan, mon voisin, a engagé la conversation sur les mérites comparés des deux propositions. 

Comme entrée en matiÚre, on a vu mieux mais cela m'a permis de le regarder avec plus d'attention. Au premier abord, je l'avais trouvé quelconque. Là, son physique plutÎt commun s'animait d'un sourire trÚs attirant. Nous avons parlé de la pluie et du beau temps pendant quelques minutes en mangeant nos repas insipides. La femme à cÎté de moi avait le regard fixé sur son écran, les écouteurs soigneusement vissés aux oreilles. 

Peu Ă  peu, nous avons abordĂ© d'autres sujets : j'ai appris qu'Ivan avait 29 ans, qu'il Ă©tait ingĂ©nieur, qu'il se rendait Ă  New York pour retrouver une bande d'amis. Ils avaient prĂ©vu de passer trois semaines Ă  voyager Ă  travers les Etats-Unis. Nous avions pas mal de points communs : l'Ăąge, le goĂ»t du voyage, mĂȘme nos vies Ă  Paris se ressemblaient beaucoup. Nous nous sommes rendus compte que nous sortions dans les mĂȘmes endroits et que nous vivions Ă  quelques stations de mĂ©tro de distance. 

A un moment, il a posĂ© sa main sur mon avant-bras pour appuyer son propos. MalgrĂ© son air de ne pas y toucher, il s'est attardĂ© une seconde de plus que la politesse ne le permet. Cela m'a mis la puce Ă  l'oreille. Je me suis dit que sous cette conversation innocente se jouait en sous-texte quelque chose de bien diffĂ©rent. Nous avons continuĂ© Ă  discuter. J'ai embrayĂ© innocemment sur le terrain de la vie sentimentale. Il m'a dit ĂȘtre cĂ©libataire. "Ça t'intĂ©resse ?", a-t-il demandĂ©, goguenard. 

Finalement, les lumiĂšres de l'avion se sont Ă©teintes. J'ai dit Ă  Ivan que j'allais dormir un peu. J'ai toujours eu du mal Ă  m'installer confortablement dans un espace exigu. Je n'ai jamais compris comment certaines personnes faisaient pour s'endormir toutes droites dans leurs siĂšges. Moi, je me contorsionne, je me tourne et me retourne. A cette place du milieu, je ne parvenais pas Ă  caler ma tĂȘte. "Tu peux t'appuyer sur moi", a proposĂ© Ivan. 

J'ai dĂ©clinĂ©e, gĂȘnĂ©e. Au bout d'une dizaine de minutes, j'ai fait semblant de m'ĂȘtre assoupie pour pouvoir tout de mĂȘme m'appuyer sur son Ă©paule sans ĂȘtre dĂ©masquĂ©e. J'Ă©tais Ă©lectrisĂ©e par cette intimitĂ© soudaine avec un total inconnu. 

Son contact Ă©tait agrĂ©able. Au bout d'un moment qui m'a semblĂ© terriblement long, j'ai senti sa main me caresser les cheveux. C'Ă©tait trĂšs agrĂ©able. J'ai rĂ©alisĂ© que si je ne faisais rien, il risquait d'arrĂȘter. Prise d'une impulsion, j'ai posĂ© ma main sur sa cuisse. Comprenant que je ne dormais pas, il s'est penchĂ© vers moi et nous nous sommes embrassĂ©s. D'abord timidement, plus fougueusement ensuite. 

Je jetais des petits regards à notre voisine mais elle semblait profondément endormie, collée contre le hublot. Rassurés, nous nous sommes caressés, cachés sous le plaid fournie par la compagnie aérienne. 

" C'est hyper clichĂ©, non ?", s'est amusĂ© Ivan. "Tu sais ce qui serait encore plus clichĂ© ?, ai-je demandĂ©. Se retrouver aux toilettes du fond dans cinq minutes." Je ne sais pas oĂč j'ai trouvĂ© l'audace de lui faire cette proposition. La promiscuitĂ© imposĂ©e pendant de longues heures et l'alcool fourni ont sĂ»rement accĂ©lĂ©rĂ© les choses. Si nous avions eu un rendez-vous dans un bar Ă  Paris, j'aurais Ă©tĂ© incapable de jouer Ă  ce petit jeu. Le fait de relever un fantasme si courant a aussi jouĂ©. Je me suis dit : "Je me lance, ça fera une histoire dingue Ă  raconter." 

AussitÎt dit, aussitÎt fait. J'ai laissé Ivan s'extraire de son siÚge le premier. J'ai attendu cinq minutes exactement, vérifiant frénétiquement l'heure sur ma montre. Au moment fatidique, je me suis levée. 

Dans la travée, je n'ai regardé personne. Je me suis ruée jusqu'à la cabine désignée. J'ai frappé un léger coup. La porte s'est ouverte. Je me suis engouffrée dans les toilettes. Une fraction de secondes, je me suis demandée ce que je faisais là, coincée entre le minuscule lavabo en plastique et la cuvette. Mais bon, puisque j'en étais là, autant ne pas faire les choses à moitié ! 

Ivan a sorti un prĂ©servatif de sa poche - avait-il prĂ©vu son coup ?- Nous avons fait l'amour : moi, les fesses en Ă©quilibre prĂ©caire sur le rebord du lavabo, lui tĂąchant de se rester Ă  la bonne hauteur. Nos deux pantalons baissĂ©s sur les chevilles ne nous aidaient pas franchement Ă  ĂȘtre Ă  l'aise. 

L'acte en lui-mĂȘme n'a pas durĂ© trĂšs longtemps mais cela a Ă©tĂ© un bon moment. Les Ă©clairages froids de la cabine et la proximitĂ© des toilettes n'ont en tout cas rien gĂąchĂ©. D'ailleurs, contrairement Ă  ce que l'on croit d'ordinaire, les toilettes d'avion sont mĂȘme plutĂŽt propres, en tout cas bien plus que certains lits de mes dates Tinder Ă  Paris ! 

De toute façon, compte ten
Ca glisse bien dans ma chatte
Bourgeoise fist sa voisine de palier
Salope francaise se fait manger le cul

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