Elle suce son beau-père pour se faire pardonner

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« On m’a déshabillée devant mes frères… »

Culture, Médias, Technologies
Par: Bekhti Ould Abdallah 24 Févr. 2019 à 07:33


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Chronique livresque. A côté des célèbres héroïnes Hassiba Ben Bouali, Djamila Bouhired et Zohra Drif popularisées par les médias et le cinéma, Zhor Zerari* fait figure d’inconnue. Pourtant, elle est l’égale de toutes les autres en bravoure et en courage.
D’ailleurs l’héroïsme est de famille chez les Zerari. Outre son oncle le fameux commandant Azzedine, son père Mohamed Said Zerari fut arrêté à deux reprises et torturé par l’armée française. On lui brûla même la plante des pieds.
Elle gardera de lui une anecdote qu’il lui a racontée, ému. « Tous les soirs, pendant sa détention au stade municipal du Ruisseau, en février 1957, quelqu’un lui glissait une cigarette sous sa porte. Comme s’il se trouvait toujours un être pour témoigner du cœur de la conscience humaine ».
Belle anecdote pour un destin moins beau puisque ce père tant aimé fut arrêté quinze jours plus tard et ne réapparaîtra plus. Ni lui, ni son corps. Il avait juste la quarantaine. Zhor, meurtrie, dira : « Je suis orpheline d’une tombe », donc doublement orpheline. Il n’y a pas plus terrible.
Après avoir déposé trois bombes à Alger qui ne feront aucune victime mais à l’impact psychologique certain, elle est arrêtée à son tour en 1957 et conduite illico presto dans un lieu d’éducation devenu un lieu de torture : l’école Sarouy. Elle le dit, elle le crie : « Culture rime avec torture ! Faire cela dans une école, c’est le comble de la perversité » .
Courageuse, endurante, stoïque comme savent l’être les Algériennes, c’est moins la torture physique que l’humiliation qui lui a brisé le cœur : « On m’a déshabillée, et le pire, c’est qu’on l’a fait devant mes frères ». Frères de combat, s’entend, dont les liens sont souvent plus forts que ceux de la consanguinité.
Exposée dans le plus simple appareil, ses tortionnaires la frappent, frappent, frappent jusqu’à en avoir mal aux mains puis on la soumet à la terrible torture de la gégène. Ensuite, on l’étend par terre, on la bâillonne avec un tricot empli… d’excréments. Puis on urine sur elle comme si elle était un urinoir. De peur, de frayeur, de honte aussi, elle mêle son urine à celle des tortionnaires.
Le lieutenant Schmitt qui finira général dans la République française est le maître d’œuvre du supplice. Mais si elle souffre mille morts, elle n’a pas oublié ceux qui ont autant souffert qu’elle, ces héros du quotidien dont nulle plaque de rue ne porte le nom et les souffrances comme cette jeune fille que les parachutistes ont ramené dans la salle de torture où elle se trouvait :
« Cette adolescente descendait de la salle de torture. Elle claquait des dents et s’est écroulée à côté de moi. Je connais son nom. Elle avait été violée et sodomisée avec une bouteille. Elle était en sang à partir de la taille. »
Un mot, un seul : inhumain. Jusqu’à sa mort le 19 août 2013 à l’âge de 76 ans, Zhor n’aura aucune nuit normale, ni ne pourra appuyer sur un interrupteur. Marquée pour la vie par la gégène.
Militante pour les droits de l’Homme, journaliste, poétesse, elle ne peut ni oublier ce qu’on lui a fait, ni pardonner : « Il est faux de dire que la torture a été employée pour sauver des vies innocentes. Qu’on puisse avancer cet argument me met hors de moi ! La France a toujours pratiqué la torture En Algérie, bien avant le soulèvement de 1954. Et les incendies des mechtas, les viols des femmes devant leurs maris, les déluges de bombes, sur les douars, c’était pour sauver des vies innocentes, tout cela. Peut-on comparer une armée régulière, avec ses avions, ses chars, ses bazookas, etc., avec nos bombes ? Nous étions des résistants, nous luttions contre l’occupant avec les moyens du bord ».
Elle en avait gros sur le cœur Zhor Zerari qui refuse qu’on mette sur un même pied d’égalité les tortionnaires de l’armée coloniale et les héros qui n’ont comme seul moyen de défense que des bombes artisanales.
Elle était révoltée la grande Zhor, elle ne comprenait pas pourquoi la France des Lumières, la France des Droits de l’homme, n’a pas encore demandé pardon au peuple algérien « pour toute sa politique d’extermination, de spoliation, de répression et de mépris. ».
A l’indépendance, la moudjahida torturée dans son corps et son cœur, l’héroïne qui s’est sacrifiée subira une autre humiliation, celle du mépris d’un jeune soldat de l’ALN qui n’a appris sans doute à porter une arme qu’à l’indépendance.
Nous sommes le 3 juillet à sidi Fredj où doit se tenir un meeting sur le référendum que devait animer Si Mohand Ouel Hadj et le commandant Azzedine. Elle est avec son frère et un de ses amis. Un jeune militaire s’approche d’elle. Va-t-il lui faire le salut militaire, lui rendre hommage pour son courage ?
Écoutons-là se raconter à Boukhalfa Amazit : « Vas avec les femmes te dis-je », vitupérait le jeune… »
Je me trouve bien ici, pourquoi irai-je ailleurs ? », ai-je répondu… Il a insisté, je me suis obstinée. « Donne-moi tes papiers ! » poursuivit-il. « Je n’en ai pas, je viens de sortir de prison », lui ai-je dit. « Toi ? Toi tu as la tête d’une moudjahida ? Dégage d’ici, dégage ! « Me dit-il me menaçant de son arme… J’ai dévalé la colline les yeux brouillés de larmes et dans mon dos, lardée par un poignard de glace, j’entendis le cliquetis caractéristique de la culasse qu’il manipulait pour engager une balle dans le canon de son arme… »
Dès 1962, c’était mal parti pour les vrais combattants…
*Florence Beaugé
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France Dimanche > Témoignages > “Mon père et mon oncle m’ont violée durant toute mon enfance”


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« J’étais une petite fille très rigolote. Et un jour, la pipelette a disparu. Je n’ai pas changé sans raison. Née en 1975 dans l’Essonne, je suis le deuxième enfant d’une fratrie de trois. Mon père était couvreur et ma mère, femme au foyer. Je tiens à préciser que le pédophile est celui aime les enfants, le pédoclaste est celui qui les viole. Ces pédocriminels n’épargnent aucun milieu, aucune religion.
Mon père m’a incestée à 6 ans. La première fois, j’étais seule dans ma chambre, c’était la mi-temps d’un match de foot à la télé. Sans rien dire, il est entré sans allumer la lumière, m’a embrassée et s’est allongé sur moi. J’ai eu cette horrible sensation d’humidité… Ma mère, absente et dépressive, n’était ni câline avec son mari ni affectueuse avec nous. Après mon père, le frère de ma mère a pris le relais.
Il a commencé à me violer très régulièrement dès que j’ai eu 9 ans. Il a arrêté à mes 18 ans, quand je suis partie. Mon oncle vivait seul dans une ancienne gendarmerie. La première fois, je me suis retrouvée sur son lit, je regardais les draps, il embrassait chaque partie de mon corps. Pendant qu’il me caressait, je comptais les livres sur l’étagère.
Ensuite, je suis “sortie” de mon corps, j’ai vu la scène d’en haut, avec cet homme énorme allongé sur moi. Quand ma poitrine a commencé à pousser, je ne l’ai pas supporté et je me suis coupé les mamelons. J’avais trop peur d’être féminine.
Mon oncle et mon père étaient amis. C’était une belle association de malfaiteurs ! Mon oncle me donnait de l’argent ou des cadeaux, comme à une prostituée . Je me suis résolue à subir, car j’avais très peur d’être abandonnée. J’ai pensé que je ne pouvais être aimée que de cette façon.
Ma mère me répétait : “Il faut que tu sois gentille et sage avec ton oncle.” Parce qu’il avait connu une rupture difficile, je devais le réconforter ! Ce n’est pas le rôle d’une fillette, mais bien le quotidien d’une famille dysfonctionnelle, empoisonnée par l’inceste.
À 18 ans, sans le bac, j’ai coupé les liens avec eux. Grâce à une thérapie , j’ai pu enfin pleurer. J’ai travaillé dans un laboratoire et trouvé un appartement. Éducatrice pour enfants, puis secrétaire médicale, j’ai multiplié les formations pendant mes congés payés. C’est ainsi que je suis devenue sexologue.
Pourtant, j’avais de graves troubles de la sexualité . Reproduisant les abus subis, je répondais au désir de l’homme, sans envie ni plaisir. Je n’ai jamais connu d’histoire d’amour avant Érick, mon compagnon depuis quatre ans.
À 32 ans, j’ai écrit une lettre à mes agresseurs. Seule ma mère m’a répondu. Nous nous sommes retrouvées dans un restaurant, où j’ai eu droit à un véritable procès. Elle a trouvé des excuses à son mari et à son frère et a inversé les rôles : “Tu te rends compte du mal que tu es en train de nous faire ?” De victime, je suis devenue bourreau ! En dénonçant mes viols, je brisais le soi-disant équilibre familial en révélant son secret. Mon oncle est mort d’une cirrhose du foie, à 56 ans. À quoi bon faire le procès d’un mort ?
Comment apprendre à panser l’impensable ? Aujourd’hui, je suis sexothérapeute et psychosomato-analyste ; mon but est de briser le mur du silence. Je conseille aux victimes d’oser se libérer de leurs chaînes, et de consulter un thérapeute. Pour un enfant, les premières personnes de confiance sont ses parents. C’est à eux de se positionner, et pas à l’enfant.
Face au prédateur, il ne peut pas dire non ni comprendre ce qui lui arrive. Il demeure terrifié à l’idée d’être rejeté. Souvent, la mère est complice, mais elle viole aussi, et beaucoup plus qu’on ne l’imagine. Certaines encouragent même leur fille à les remplacer dans le lit conjugal. Quand le crime est révélé, il est très rare qu’elles réagissent et protègent leur enfant.
L’inceste doit être considéré comme un crime contre l’humanité. Il laisse des traces indélébiles. C’est pourquoi j’ai publié cet essai * . Durant deux ans de recherches, j’ai travaillé sur les différentes législations européennes et rencontré plusieurs associations. En dénonçant leur laxisme et une justice à deux vitesses, j’ai constaté que l’inceste demeure tabou.
Ses conséquences sont dévastatrices pour les victimes devenues adultes. Je me bats contre un cancer de la thyroïde, tout mon système hormonal est déréglé. Cette maladie attise mon côté guerrier ; elle s’est déclarée une semaine avant la sortie de mon livre. Il n’y a pas de hasard ! »
* "L’interdit universel. Du mythe à la réalité, l’inceste dans tous ses états", d’Angélique Veillard, Éditions Persée.
[box type="info" style="rounded"] 2 millions de Français concernés !
Le sondage Ipsos, publié en 2010, a révélé que 2 millions de Français étaient touchés par la pédocriminalité. Ce chiffre est contestable car 90% des victimes ne portent pas plainte, et 80% des plaintes sont classées sans suite.
Sous l’emprise de leur mère, la plupart des hommes ne révèlent pas les abus subis, ils ont encore plus honte que les femmes.
Entre 2005 et 2010, 23 000 crimes sexuels ont été constatés par les autorités, mais le nombre de condamnations n’est que de 6 421.
En 2010, la loi sur l’inceste est inscrite au code pénal, avant d’être abrogée en septembre 2011 !
Source : AIVI.[/box]
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