Elle s'envoie en l'air avec son pote

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Publié le
19/05/2018 à 07:30







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Jamais Claire n'aurait imaginé faire l'amour dans un avion avec un parfait inconnu.
"Il y a deux ans, dans un vol pour New York, je me suis envoyée en l'air. Au sens propre, comme au figuré. J'avais pris l'avion seule à cause d'un cafouillage avec mon amie Sophie sur nos dates de vacances. Nous avions prévu de passer une semaine sur place et je devais la rejoindre. 

Cela ne me posait aucun problème. Au contraire, j'adore voyager seule . Le temps est comme suspendu. On est injoignable, il n'y a rien d'autre à faire que de se distraire. Je profite à fond de ce moment : je m'achète une tonne de magazines, je m'autorise deux ou trois verres de vin durant le vol et je regarde des comédies romantiques que je n'aurais jamais l'idée d'aller voir au cinéma. 

Pour ce vol, j'étais à la place du milieu, coincée entre une Américaine d'une quarantaine d'années côté hublot et un Français dans la trentaine, côté couloir. J'ai échangé quelques mots polis avec la dame au moment de m'installer mais à peine avions-nous décollé que j'avais déjà le casque sur les oreilles, plongée dans un film quelconque avec Jennifer Aniston. 

Au moment du passage de l'hôtesse, j'ai enlevé mes écouteurs pour lui indiquer mon choix de boisson et que je préférais les pâtes au poulet pour le repas. C'est à ce moment là qu'Ivan, mon voisin, a engagé la conversation sur les mérites comparés des deux propositions. 

Comme entrée en matière, on a vu mieux mais cela m'a permis de le regarder avec plus d'attention. Au premier abord, je l'avais trouvé quelconque. Là, son physique plutôt commun s'animait d'un sourire très attirant. Nous avons parlé de la pluie et du beau temps pendant quelques minutes en mangeant nos repas insipides. La femme à côté de moi avait le regard fixé sur son écran, les écouteurs soigneusement vissés aux oreilles. 

Peu à peu, nous avons abordé d'autres sujets : j'ai appris qu'Ivan avait 29 ans, qu'il était ingénieur, qu'il se rendait à New York pour retrouver une bande d'amis. Ils avaient prévu de passer trois semaines à voyager à travers les Etats-Unis. Nous avions pas mal de points communs : l'âge, le goût du voyage, même nos vies à Paris se ressemblaient beaucoup. Nous nous sommes rendus compte que nous sortions dans les mêmes endroits et que nous vivions à quelques stations de métro de distance. 

A un moment, il a posé sa main sur mon avant-bras pour appuyer son propos. Malgré son air de ne pas y toucher, il s'est attardé une seconde de plus que la politesse ne le permet. Cela m'a mis la puce à l'oreille. Je me suis dit que sous cette conversation innocente se jouait en sous-texte quelque chose de bien différent. Nous avons continué à discuter. J'ai embrayé innocemment sur le terrain de la vie sentimentale. Il m'a dit être célibataire. "Ça t'intéresse ?", a-t-il demandé, goguenard. 

Finalement, les lumières de l'avion se sont éteintes. J'ai dit à Ivan que j'allais dormir un peu. J'ai toujours eu du mal à m'installer confortablement dans un espace exigu. Je n'ai jamais compris comment certaines personnes faisaient pour s'endormir toutes droites dans leurs sièges. Moi, je me contorsionne, je me tourne et me retourne. A cette place du milieu, je ne parvenais pas à caler ma tête. "Tu peux t'appuyer sur moi", a proposé Ivan. 

J'ai déclinée, gênée. Au bout d'une dizaine de minutes, j'ai fait semblant de m'être assoupie pour pouvoir tout de même m'appuyer sur son épaule sans être démasquée. J'étais électrisée par cette intimité soudaine avec un total inconnu. 

Son contact était agréable. Au bout d'un moment qui m'a semblé terriblement long, j'ai senti sa main me caresser les cheveux. C'était très agréable. J'ai réalisé que si je ne faisais rien, il risquait d'arrêter. Prise d'une impulsion, j'ai posé ma main sur sa cuisse. Comprenant que je ne dormais pas, il s'est penché vers moi et nous nous sommes embrassés. D'abord timidement, plus fougueusement ensuite. 

Je jetais des petits regards à notre voisine mais elle semblait profondément endormie, collée contre le hublot. Rassurés, nous nous sommes caressés, cachés sous le plaid fournie par la compagnie aérienne. 

" C'est hyper cliché, non ?", s'est amusé Ivan. "Tu sais ce qui serait encore plus cliché ?, ai-je demandé. Se retrouver aux toilettes du fond dans cinq minutes." Je ne sais pas où j'ai trouvé l'audace de lui faire cette proposition. La promiscuité imposée pendant de longues heures et l'alcool fourni ont sûrement accéléré les choses. Si nous avions eu un rendez-vous dans un bar à Paris, j'aurais été incapable de jouer à ce petit jeu. Le fait de relever un fantasme si courant a aussi joué. Je me suis dit : "Je me lance, ça fera une histoire dingue à raconter." 

Aussitôt dit, aussitôt fait. J'ai laissé Ivan s'extraire de son siège le premier. J'ai attendu cinq minutes exactement, vérifiant frénétiquement l'heure sur ma montre. Au moment fatidique, je me suis levée. 

Dans la travée, je n'ai regardé personne. Je me suis ruée jusqu'à la cabine désignée. J'ai frappé un léger coup. La porte s'est ouverte. Je me suis engouffrée dans les toilettes. Une fraction de secondes, je me suis demandée ce que je faisais là, coincée entre le minuscule lavabo en plastique et la cuvette. Mais bon, puisque j'en étais là, autant ne pas faire les choses à moitié ! 

Ivan a sorti un préservatif de sa poche - avait-il prévu son coup ?- Nous avons fait l'amour : moi, les fesses en équilibre précaire sur le rebord du lavabo, lui tâchant de se rester à la bonne hauteur. Nos deux pantalons baissés sur les chevilles ne nous aidaient pas franchement à être à l'aise. 

L'acte en lui-même n'a pas duré très longtemps mais cela a été un bon moment. Les éclairages froids de la cabine et la proximité des toilettes n'ont en tout cas rien gâché. D'ailleurs, contrairement à ce que l'on croit d'ordinaire, les toilettes d'avion sont même plutôt propres, en tout cas bien plus que certains lits de mes dates Tinder à Paris ! 

De toute façon, compte tenu de l'exiguïté des lieux, on ne s'étale pas. Je me souviens aussi que le miroir devant le lavabo a joué un grand rôle dans mon excitation. Il me suffisait de pivoter un peu pour nous voir en pleine action. L'adrénaline, la peur de se faire surprendre et le fait d'être attentifs aux moindres bruits ont aussi contribué à rendre ce quickie très excitant . 

Nous avons joui l'un après l'autre, à quelques secondes d'intervalle. Ivan a ensuite enlevé le préservatif et l'a jeté aux toilettes. Je me suis rajustée et je suis sortie en premier. Personne ne m'a remarquée. Enfin, je crois. 

Cinq minutes plus tard, Ivan était de retour à sa place. Nous avons discuté à mi-voix, nous confiant l'un à l'autre que jamais nous n'aurions cru une telle aventure possible. J'ai fini par fermer les yeux. Une manière de couper court à la discussion et de prendre un moment pour repenser tranquillement à tout ça. Je me suis vraiment endormie. Les lumières de l'avion se sont rallumées. Le petit-déjeuner a été servi. 

Avec Ivan, nous avons discuté, comme si de rien n'était. Au fond, j'étais un peu mal à l'aise en repensant aux événements de la nuit. Je sentais que lui aussi marchait sur des oeufs. Je crois que nous avons été soulagés quand l'avion s'est posé. Nous avons échangé nos noms en promettant de nous ajouter sur Facebook. Je l'ai perdu de vue dans les allées de l'aéroport mais il m'a envoyé un message deux jours plus tard pour savoir si tout allait bien. 

Prise dans le tourbillon new-yorkais, j'ai répondu gentiment mais sans relancer. Par la suite, je n'ai plus jamais eu de nouvelles. Je l'avoue, il m'arrive tout de même d'aller l'espionner sur Facebook. J'ai vu qu'il avait une copine depuis quelques mois et qu'ils étaient partis en vacances au Mexique. Je me demande s'il a retenté l'expérience..." 


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Par
Tessa Lanney
le 16/02/2022


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Combien de fois les a-t-on entendus, ces hétéros qui disent “moi je ne crois pas à l’amitié fille-garçon” . Un verdict définitif, comme si la possibilité de coucher ensemble empêchait de créer d’autres liens. Évidemment, c’est faux – et même les hétéros sont en train de le comprendre. Mais, ne nous voilons pas la face, le désir peut en effet tout compliquer. Alors qu’on avance dans sa vie de jeune gay ou de jeune lesbienne, on découvre souvent que la frontière entre l’amitié, le sexe et l’amour est souvent plus poreuse que ce que les contes de fées et les reportages de 66 minutes voulaient nous faire croire. Dans nos groupes d’amis, il arrive que l’on rencontre des gens avec qui l’on baise, et avec qui cela se passe si bien que l’on devient amis. Mais il arrive également que des amis de longue date deviennent des partenaires sexuels inattendus.
“J’ai souvent mélangé sexe et amitié , confie Gilles, du haut de ses 30 ans . J’ai couché avec pas mal des mecs de mon gay crew. Mais ça durait le temps d’une soirée, puis on passait à autre chose.” Aucune gêne, et, surtout, aucune chaîne. “Le lendemain, on se retrouvait pour boire un verre et se raconter nos vies” , s’amuse-t-il. Pour Florian, la quarantaine, coucher avec ses potes est “un moment d’affection entre deux personnes qui s’aiment et qui se sentent un peu seules. L’amitié reprend toujours le dessus”. ...

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