Elle s'empale sur une bouteille de soda

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Un homme belge a trouvé un insecte dans sa canette de Coca-Cola, le 25 juin dernier. En dédommagement, la firme américaine lui a envoyé deux bons d'achat de 2 euros.
Les fans de Friends se souviennent tous de la scène où Phœbe Buffay trouve un pouce dans sa canne de soda . Dans l'épisode 3 de la saison 1 de la mythique série, Phœbe trouve par hasard un pouce dans sa boisson, ce qui lui permet de gagner la jolie somme de 7.000 dollars. Un beau pactole qu'elle finira par donner à Chandler afin qu'il arrête de fumer. Malheureusement dans la vraie vie, les choses sont bien différentes ...
Le 25 juin dernier, un homme prénommé Jochen De Beve , résidant à Beernem près de Bruges , a fait une découverte pour le moins répugnante dans sa canette de soda. Alors qu'il voulait boire une canette de Coca-Cola Zero, il a vite comprend que quelque chose n'allait pas, et a été surpris "dès la première gorgée" . Le jeune homme avait acheté sa boisson au distributeur de son travail. Seulement, surprise ! "J'ai senti quelque chose sur ma lèvre. Un insecte noir, en fait" , a-t-il raconté au Nieuwsblad , comme le rapporte Sudinfo .
Comme il l'explique, l'homme a alors immédiatement appelé le service-clientèle de Coca-Cola . " Ils m'ont demandé de garder la canette avec le Coca. Et aussi l'insecte. J'ai mis cette créature dans une boîte, j'ai versé le coca dans une bouteille. Un jour ou deux plus tard, un coursier est venu chercher le tout" , a-t-il ajouté. Rapidement, il a reçu une réponse de la firme américaine, et le moins que l'on puisse dire c'est qu'elle a rétorqué avec un prétexte étonnant.
Une représentante de Coca-Cola Benelux a expliqué que le jour de production de la canette en question, la fabrication des boissons avait été suspendue quelques instants . Selon la firme, c'est à ce moment précis que l'insecte aurait pu rentrer à l'intérieur de la canette. En plus de la réponse de Coca-Cola, Jochen De Beve a découvert deux coupons de deux euros. Un dédommagement plutôt moindre selon lui. " J'ai l'impression qu'ils se moquent de moi, ajoute celui qui aurait pu avaler cet insecte. Il n'y a pas eu de tragédie et je ne veux pas d'argent ou quoi que ce soit. Mais deux coupons de deux euros, ça me fait doucement rire !" . La représentante de Coca-Cola Benelux a précisé que "dans ce cas précis et exceptionnel" , Jochen De Beve recevra un autre dédommagement : un bon supplémentaire de 10 euros .
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La Semaine » Rubriques » Société » Dans la tête d’une hôtesse de caisse



Dans la tête d’une hôtesse de caisse

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Par
Pierre Théobald


sur
29 août 2022



Covid-19 : contre l'oubli Société



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À 75 %, le métier est exercé… par des femmes. Photo Creative Commons
Au plus fort de la pandémie, on les saluait telles des héroïnes, courageusement postées en première ligne. Deux ans plus tard, qui se souvient d’elles ? Qui les remarque encore ? À la rencontre des hôtesses de caisse, tombées dans l’oubli.
Dans cette supérette du centre-ville de Metz, une affichette comme un vestige se souvient à l’entrée des caisses de l’étrangeté du printemps 2020, ces quelques semaines durant lesquelles le pays, plongé dans la réclusion et l’immobilisme, a considéré avec un même respect, une même admiration, tous ses travailleurs et travailleuses de première ligne, seuls envoyés au front de la crise sanitaire tandis que le virus en provenance de Chine non seulement faisait rage, mais en plus flanquait les jetons, et pas qu’un peu. Soignants ou hôtesses de caisse, les applaudissements, oui, étaient les mêmes. « Superhéros du quotidien », prétend l’affichette ornée d’un dessin s’inspirant de l’univers de Superman. Affairée à la mise en rayons de palettes devant la vitrine réfrigérée qui accueille softs et bières à l’unité, Angela* soupire : « C’est du tout passé tout ça. Aujourd’hui, les gens n’en ont plus rien à fiche de nous. » Illustration quelques instants plus tard, tandis que l’on s’en va régler de menus achats. Juste devant nous, dans la file d’attente, un type entre deux âges, tenant dans les mains une bouteille de soda. On est samedi, il y a du monde. À ses gestes nerveux, on devine l’impatience du type. Quand arrive son tour, il dépose sur le tapis sa bouteille sans mot dire avant d’afficher un agacement ostensible au moment du rendu de la monnaie, pas assez rapide, pas assez efficace à son goût. Il relève le menton, l’œil stupide, et lance à l’hôtesse, le tutoiement mauvais : « T’es nouvelle dans le métier toi non ? – Non Monsieur. Cela fait quatre ans que je suis ici. – Eh ben t’es light… Permets-moi de te dire que t’es light… » Puis il se dirige vers les portes de sortie, ravi d’avoir craché sa morgue. Derrière son masque, l’hôtesse remue la tête en silence : « Oh, ça ce n’est rien. Ce n’est vraiment rien. Il y a bien pire. » Pas de doute, les superhéroïnes d’hier sont lasses.
Alice, la vingtaine, est étudiante. Quand elle ne fréquente pas les bancs de la fac, elle s’installe – à temps partiel – derrière les touches du tiroir-caisse d’une enseigne du pays thionvillois. « On ne l’imagine pas, mais c’est difficile. Tu fais tout le temps les mêmes choses. Ce n’est pas du travail à la chaîne, mais presque. Au bout d’un moment, il y a l’ennui. » Une répétition des gestes, des tâches, qui ne doit cependant pas endormir la concentration. « Le premier jour, se remémore Alice, j’ai fait une erreur de caisse de 7 euros. On ne m’en a pas voulu, la preuve on m’a conservée dans l’effectif. Et d’ailleurs, cela ne s’est plus reproduit. » Mais il faut du mental. Ainsi que du physique.
On pense à Rebecca, étudiante elle aussi, restée à son poste plus longtemps que prévu afin de pallier un problème de dernière minute, et qui après six ou sept heures de station debout (dans l’enseigne qui l’emploie, les caissières ne disposent pas de fauteuil) parvenait à garder le sourire : « Et vous faites combien de pas lors d’une journée pareille ? l’interroge-t-on. – Aucun, puisque je ne marche pas. – Bien sûr que si ! Vous piétinez. Ça compte. Ça fatigue. – Alors je ne sais pas. Je n’ai pas d’appli en ce sens et je n’ai pas de montre connectée. À force de plonger la main dans le froid des frigos, j’ai renoncé à en porter. » Côté performance physique, ce chiffre cependant : une employée, qui avait ouvert un blog narrant les anecdotes du métier au quotidien, avait calculé qu’« en caisse, on soulève près d’une tonne d’articles par heure (dès que le rythme de travail s’accélère un tant soit peu). » Heureusement, les packs d’eau sont priés aujourd’hui de rester au fond du chariot. Mais les corps s’abîment, c’est forcé.
« Désolée… Désolée… » La dame venue chercher de quoi composer un déjeuner sur le pouce au bureau est pendue au téléphone. Ni elle ne raccroche, ni elle n’interrompt sa conversation le temps du passage en caisse. « Ça se produit tout le temps », observe Alice. Comme l’absence de « bonjour » ou les « au revoir » perdus en route. « Je dis “bonjour” une première fois. S’il n’y a pas de réponse, je répète “bonjour” mais avec un sourire plus large encore. » Surtout, ne pas prendre la mouche. Ni perdre son calme. L’angoisse de l’hôtesse de caisse c’est le produit sans code-barres. Il faut alors filer dans les allées à la recherche de l’article pour en vérifier le prix. « Ça ne prend que cinq minutes, mais ce sont déjà cinq minutes de trop, ironise Hélène, salariée à côté de Thionville. Je me souviens d’une fois où cela m’est arrivé. À mon retour, le client n’a rien dit. En revanche, les gens derrière étaient passablement énervés. Jusqu’à ce que la file se vide, j’ai eu droit à une remarque de la part de chacun d’entre eux. »
Et puis il y a ceux qui attendent l’heure de la fermeture pour se pointer, un Caddie à 400 euros à bout de bras, sans considération pour l’employée qui pourtant n’en aura pas fini avec sa mission tant qu’elle n’aura pas « fait » sa caisse, et qui jusque-là n’a disposé que d’une vingtaine de minutes de pause dans la journée, à raison de trois minutes par heure. « Ça arrive tous les jours… » Autre scène rapportée : au moment de payer, un client brandit fièrement sa carte de fidélité. Bingo, la cagnotte est pleine à craquer. Avant d’effectuer la déduction sur le ticket, l’hôtesse de caisse demande à vérifier son identité. C’est la règle. Hélas pour lui, le client n’est en mesure de présenter aucun document. Il insiste tout de même pour obtenir sa réduction. Le ton monte. La sécurité est convoquée. Le coup de chaud laisse des traces.
« Il y a de la tension, oui. De l’agressivité. C’est d’autant plus palpable depuis deux ans. Il faut y être préparé », témoigne Jean, responsable dans une enseigne à Metz. Dans une adresse de la rue des Clercs, un homme a récemment sorti un couteau avant d’être pris en chasse – et neutralisé – par un commissaire de police – en civil – en train de faire ses courses au même moment. Rodéo dans les rayons. « Quelque part, on est le reflet de l’évolution de la société », observe Jean. Des mots que l’on a déjà entendus. C’était il y a quinze jours, dans le cadre d’un article consacré aux personnels soignants affectés aux services des urgences. Tout change, rien ne change pour les travailleurs de première ligne. Mais aujourd’hui, plus personne n’a l’idée de les applaudir.
(*) Par souci d’anonymat, et à la demande des intéressé(e)s, les prénoms ont été modifiés.
C’est le salaire moyen – net – d’une caissière, « soit 890 euros (- 38 %) de moins que le salaire moyen en France », relève le site spécialisé Jobted. Selon ses chiffres, le salaire moyen évolue de la manière suivante en cours de carrière : 1 100 euros jusqu’à trois ans d’expérience, 1 320 euros de quatre à neuf ans, 1 650 euros de dix à vingt ans, 1 820 euros au-delà de vingt ans. On estime qu’à 75 % le métier est exercé par des femmes.


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Filets dédiés de 28 mm Ce groupe de filets a été développé spécifiquement pour ce que nous connaissons aujourd’hui sous le nom de bouteilles de soda.
Bouchons de bouteilles CPC standard
Leur base peut être circulaire ou ponctuelle avec des lignes de contour. Elle présente également une section médiane plus large qui se rétrécit vers la bouche. La bouteille de soda (2 litres) a une hauteur totale de 31,5 cm (12,4 po) et un diamètre de 11 cm (4,33 po). La bouteille de soda (2 litres) a un volume de 67,6 oz (2 L).

Le diamètre extérieur est de 27,43 mm et le pas est de 3,18 mm. Le filetage de droite s’appelle PCO1881 et c’est le style le plus récent – léger et de profil inférieur. Les spécifications du filetage sont disponibles ici (fichier PDF).

Dimensions typiques : Hauteur 300 à 330 mm (12 à 13 in) Diamètre 120 à 100 mm (4.7 à 3.9 in)

Filets dédiés de 28 mm
Ce groupe de filetages a été développé spécifiquement pour ce que nous connaissons aujourd’hui sous le nom de bouteilles de soda.

La finition du goulot désigne le filetage extérieur du récipient qui maintient en place les bouchons, les capsules, les capsules de distribution et autres fermetures. Si vous cherchez à associer un bouchon à un récipient, les finitions du col doivent correspondre. Par exemple, si un récipient a un col 24/400, les bouchons 24/400 sont compatibles, mais pas les bouchons 20/400.

Lisez jusqu’au bord extérieur de l’ouverture sur le côté opposé de l’ouverture du cou. Pour déterminer la finition du filetage, vérifiez combien de fois les filets se croisent pour déterminer la finition. Par exemple, une bouteille avec 1,5 tour de filetage a une finition de goulot de 410.



Citation de la vidéo : Et mettez-le à l’intérieur du bord du bouchon et mesurez en travers le bouchon de 24 millimètres s’adaptera à l’ouverture de la bouteille de 24 millimètres. Vient ensuite la finition du col, généralement mesurée par le nombre de fils.

2,91 pouces.
Tropicana Twister
Volume : 20 oz. / 591 mL Type d’emballage : PET Hauteur : 8.13 in. / 20,6 cm Diamètre : 2,91 in. / 7,4 cm Poids : 0,68 kg / 1,50 lb Pays d’origine : USA Vendeurs : MIV, TDV Télécharger le PDF : PVS 11 …
Tailles de bouchon et finitions de col
Bouchon rond à vis pour bouteille d’eau minérale en plastique, taille : 20 à 29 Mm (diamètre)


Citation de la vidéo : Ce chiffre est mesuré du haut du goulot au point où le bas du goulot se raccorde à la bouteille. Ces chiffres sont des normes unifiées une question par l’institut de l’emballage en verre GP I et la


Citation de la vidéo : Utilisez un pied à coulisse pour mesurer le diamètre nominal du filetage mâle ou femelle de la presse à la crête sur la première quatrième.

Filet de 28 mm
Fixez-le à la pochette de boisson incluse, utilisez la paille incluse pour boire directement à partir de votre source d’eau, connectez-le aux tuyaux du pack d’hydratation (vendu séparément) ou vissez-le sur des bouteilles jetables standard (filetage de 28 mm).
Les six types de fils les plus courants
NPT/NPTF. BSPP (BSP, parallèle) BSPT (BSP, conique) métrique parallèle.

Les filetages standard américains sont mesurés en TPI (Threads per Inch). Ils sont mesurés en trouvant le nombre de crêtes de filets dans 1″ de filets.
Pas de filet standard américain.
Les tailles courantes de filets par pouce sont : 4, 4-1/2, 5, 5-1/2, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13, 14, 16, 18, 20, 24, 28, 32, 36, 40, 48, 56, 72, 80. La plupart des fixations sont classées dans les catégories grossière et fine, mais il existe également des désignations extra fines et autres. Tableau 1. Filets des fixations par pouce et pas en pouces et millimètres.
iUDCDTCN3800 iUDCDTCS3800 (avec joint de filetage)
Snap in closure designed to fit Scholle 900 bag necks.
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