Elle se tape son masseur black
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Elle se tape son masseur black
Cet article date de plus de quatre ans.
Publié le 10/11/2017 10:33
Mis à jour le 10/11/2017 10:35
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Des mineures enrôlées comme prostituées dans certaines banlieues françaises... Pour "Complément d'enquête", Rola Tarsissi a rencontré Lucille et Sophie, 17 et 16 ans. L'une est proxénète, l'autre prostituée. Dans cet extrait, la seconde confie ses impressions.
En France, entre 5 000 et 8 000 mineures se prostitueraient, selon les estimations. Un fléau qui n'existait pas il y a encore cinq ans. Dans cet extrait d'un numéro de "Complément d'enquête" sur les nouveaux trafics d'êtres humains, une jeune fille confie s'être prostituée jusqu'en janvier 2017 sur le site Vivastreet .
"Je pouvais gagner jusqu'à 20 000 euros par mois", explique Sophie, 16 ans, qui dit avoir "fait ça pendant deux mois et demi, trois mois" – peut-être davantage, selon sa copine Lucille, qui jouait, elle, le rôle de la proxénète. Elle n'appelait pas ça de la prostitution, elle disait "je vais bosser".
Sophie ne semple pas avoir conscience de ses actes. Elle montre sans difficulté la photo aguicheuse qu'elle avait postée sur la Toile. La première fois qu'elle a "fait ça" pour de l'argent, qu'a-t-elle ressenti ? "Je sais pas comment décrire, en fait, sur l'instant… C'était bizarre… Genre tu te dis 'ah ouais… je me suis donnée pour de l'argent'. Après, tu vois les sous, tu te dis que c'est des sous rapides à se faire. Mais c'est pas facile. Parce que tu te donnes."
Extrait de "Dealers d'adolescentes", un reportage diffusé dans "Complément d'enquête" le 9 novembre 2017.
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Si les salons de massage érotique ne sont pas légion dans l’arrondissement , il serait toutefois faux de dire qu’ils sont inexistants. Le journaliste du Guide a visité le salon Charme Spa, sur le boulevard Henri-Bourassa Est, où les employées ne passent pas par quatre chemins pour connaître les désirs des clients.
Vendredi 6 mars, 14h. Il faut sonner pour entrer. Une employée d’origine asiatique d’une trentaine d’années, possiblement la gérante, répond à la porte et escorte le journaliste jusqu’à une petite salle sombre munie d’une table de massage et d’une douche.
Avant même que le représentant du Guide n’ait eu le temps d’enlever son manteau, la dame lui demande, dans un français approximatif, quel genre de «services» il désire.
«Tu veux avec la main? Avec la bouche? Ici, c’est tous les services que tu veux», lance-t-elle, sans le moindre détour.
Le journaliste répond vouloir un massage traditionnel, sans extra. Le regard étonné, la «gérante» ne pose pas trop de questions, demande à une employée de venir s’occuper du client et quitte la pièce.
Une jeune femme de race noire dans la vingtaine, grande et dotée d’une volumineuse poitrine, fait alors son apparition.
Les 20 premières minutes se passent normalement, comme dans un centre de massothérapie standard. Jusqu’au moment où la «masseuse» mentionne qu’il existe toute une gamme d’options, et ce, jusqu’au «service complet». «Ici, pour 30 minutes, c’est 120$», détaille-t-elle. Le prix du massage de 30 minutes était pourtant de 40$ dans l’entente initiale.
Au bout de 25 minutes, la jeune femme offre à son client peu collaborateur de prendre une douche, question qu’il puisse retirer l’huile appliquée sur son corps.
Insistance et harcèlement
Après la douche, alors que le journaliste se rhabille en vue de quitter les lieux, la «gérante» réapparaît dans la chambre et propose à nouveau ses «autres» services. «La demi-heure n’est pas terminée. Tu veux un massage plus long? […] C’est parce qu’ici, les clients veulent le massage, mais ils veulent plus les options, comme avec la main, avec la bouche et plus aussi», répète-t-elle.
Devant le refus du journaliste, elle insiste pour parler des extras et tente d’amener la main de ce dernier sur son sein et sur sa fesse.
Devant un énième refus, alors que le client veut quitter, la gérante se jette sur lui dans une ultime et désespérée tentative, mais sans succès.
Le journaliste la repousse et se sent dans l’obligation de hausser le ton, afin qu’elle le laisse enfin sortir de l’établissement.
Propriétaire introuvable
La préposée à l’accueil ou gérante du salon Charme Spa n’était pas en mesure de dire qui est le propriétaire, ni comment le contacter.
Une visite sur le site du registraire des entreprises permet d’apprendre que Charme Spa appartient à Duong Le. Nous avons tenté d’appeler le propriétaire, mais en vain. On apprend aussi, toujours selon le registraire, que le salon a porté d’autres noms par le passé, soit Massage Thérapie Océanasia, entre octobre 2008 et février 2009, et Le Centre de santé, entre janvier 2013 et janvier 2015.
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