Elle se tape son garde du corps qui lui bouffe la chatte

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Elle se tape son garde du corps qui lui bouffe la chatte
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Buzz · Contenu promotionnel 28 févr. 2018











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Imaginez si vous deviez tourner une scÚne de sexe et que votre mÚre était présente sur le plateau.
Il s'avÚre que la scÚne, tristement célÚbre, du «je suis dedans» à la fin du film était encore plus embarrassante pour les gens DERRIÈRE les caméras, car pour des raisons juridiques , il fallait que la mÚre de Christopher Mintz-Plasse, alias McLovin, soit sur le plateau lors du tournage de sa toute premiÚre scÚne de sexe car il n'avait que 17 ans.
Jennifer Lawrence continue ses pĂ©ripĂ©ties de « fille cool », comme lorsqu'elle raconte sa toute premiĂšre scĂšne de sexe avec Chris Pratt, dans une interview Ă  la tĂ©lĂ© amĂ©ricaine. Elle Ă©tait tellement nerveuse qu'elle a bu avant d'arriver sur le plateau de tournage. «Je me suis dit : "Oh, je vais me prendre une cuite pour la scĂšne de sexe", parce que c'est stressant et ça fait peur», raconte Jennifer Lawrence. «Et puis vous oubliez que vous ĂȘtes au travail et que vous allez ĂȘtre lĂ  pendant huit heures. J'avais une gueule de bois terrible quand mon tour est enfin arrivĂ©.»
Le Loup de Wall Street est rempli de moments choquants, mais un instant des coulisses du film a mĂȘme choquĂ© Leonardo DiCaprio. Lors du tournage de l'une de leurs premiĂšres scĂšnes, Margot Robbie a dit Ă  Leo de «se pousser de sa lumiĂšre», avant de le pousser pour le faire sortir de son champ . «J'ai un peu poussĂ© la tĂȘte de Leo sur le cĂŽtĂ© et je lui ai dit qu'il Ă©tait dans ma lumiĂšre», raconte Margot Robbie. «Il n'arrivait pas Ă  croire que je l'ai poussĂ© hors de mon chemin, il m'a dit : "Est-ce que tu viens vraiment de faire ça ?"»
Pendant le tournage d'une scĂšne intime pour Échange standard , Ryan Reynolds fa Ă©tĂ© tellement dĂ©concertĂ© par Olivia Wilde qu'il a carrĂ©ment oubliĂ© ce qu'il Ă©tait en train de faire . «Dans cette scĂšne, elle est assise et je retire son haut et son soutien-gorge, et elle avait des cache-tĂ©tons, mais elle avait dessinĂ© d'adorables petits smileys dessus», raconte-t-il . «Et j'ai oubliĂ© tout ce que je devais dire. Pas seulement dans ce film, mais dans tous les films que j'ai faits.»
Dans le premier Ă©pisode de la quatriĂšme saison, Marnie, incarnĂ©e par Allison Williams, se fait lĂ©cher l'anus par Desi, jouĂ© par Ebon Moss-Bachrach. Allison Williams a essayĂ© de rendre la situation aussi peu gĂȘnante que possible pour son partenaire, mais elle a accidentellement fait le contraire pour elle-mĂȘme . «Je me suis dit, on va faire quelque chose qu'on ne peut pas voir depuis le cĂŽtĂ©, mais ça sera comme un oreiller quand il mettra sa tĂȘte dedans.» Allison Williams a dit : «C'Ă©tait tellement Ă©laborĂ©... Il y avait une gaine dĂ©coupĂ©e et collĂ©e et des serviettes hygiĂ©niques et deux strings bizarres.»
Keira Knightley ne rigole pas avec les scÚnes de sexe. Apparemment, son garde du corps était présent lors du tournage d'une scÚne particuliÚrement intense avec Michael Fassbender, et elle lui a fait savoir qu'il était là . «Avant l'une des scÚnes, j'ai vraiment dit à Michael : "J'ai un garde du corps à l'extérieur. Tu me touches et il te casse les jambes !"» Elle a ajouté : «Et il était genre : "Keira, tu es attachée à un lit. Tu n'es pas vraiment en position de dire ça." J'ai répondu : "J'imagine que tu as raison."»
Donc, il s'avÚre que le tournage des films Cinquante nuances était assez embarrassants pour les acteurs. Lors d'une apparition dans Jimmy Kimmel Live , James Dornan raconte que, pendant les scÚnes de sexe, il devait porter un sac pour dissimuler son pénis afin d'éviter la pénétration . Mais lorsqu'il a examiné le «sac» qu'on lui avait donné d'un peu plus prÚs, il a remarqué l'étiquette «Prisonnier#3» à l'intérieur... ce qui veut dire qu'il avait déjà été utilisé. Heu, non merci.
On s'est dĂ©jĂ  tous sentis un peu fatiguĂ©s au travail, mais sur le plateau de Spring Breakers , le rappeur Gucci Mane s'est littĂ©ralement endormi au milieu d'une scĂšne de sexe . «Oui, j'Ă©tais K.O. J'Ă©tais fatigué», raconte Gucci Mane. «J'avais un concert Ă  St. Petersburg, en Floride, le mĂȘme jour que le tournage d'une scĂšne. Le mĂȘme soir. On a commencĂ© le tournage Ă  22h00 et on a continuĂ© jusqu'Ă  une ou deux heures du matin.»
Mes meilleures amies commence avec une scĂšne de sexe parmi les plus mĂ©morables et ridicules de tous les temps, mais les choses ont failli ĂȘtre bien plus ridicules quand Jon Hamm a cru qu'il risquait d'Ă©craser Kristen Wiig . «Je ne suis pas un petit gabarit. Je pĂšse au moins 90 kg, et je mesure 1,90 m», explique Jon Hamm. «Et Kristen Wiig est une brindille. C'est une petite chose toute mince. Je lui ai dit : "Mets-moi un coup sur le cĂŽtĂ© si je te fais mal."» Un vrai gentleman.
C'est la seconde apparition de Margot Robbie sur cette liste. Cette fois, c'est pour sa scÚne avec Alexander Skarsgard dans Tarzan . Le réalisateur, David Yates, avait demandé à ses acteurs de mettre un peu plus de violence passionnelle pendant la scÚne de sexe, et Margot Robbie a bien suivi ses ordres . «Ils font cette scÚne de sexe ensemble, et je dis : "Mets une claque à Alex pendant que vous faites l'amour, donne-lui une sorte de coup de poing"», a expliqué David Yates. «Le seul hématome qu'il ait eu lors de ce tournage vient probablement du coup de poing de Margot.»
Game of Thrones ne manque pas de scÚnes explicites, et elles ne sont pas toutes consensuelles entre les personnages. Le tournage de l'une de ces scÚnes était difficile et Emilia Clarke était d'humeur noire. Pour lui remonter le moral, son partenaire, Jason Momoa, a décidé de renoncer à la «chaussette de décence» traditionnelle et, au lieu de ça, de porter une chaussette rose vif trÚs duveteuse pour cacher ses parties intimes , ce qui a fait rire Emilia Clarke. «C'est énorme, et c'est rose, et je ne sais plus quoi faire !»
Robert Pattinson est quelqu'un qui transpire beaucoup et lorsqu'il a tournĂ© une scĂšne de sexe avec Julianne Moore, ça s'est remarquĂ©. «Je transpirais comme un dingue», raconte Robert Pattinson. «J'essayais littĂ©ralement de rattraper des gouttes de transpiration pour les empĂȘcher de tomber sur son dos. AprĂšs elle m'a demandé : "Est-ce que tu fais une crise de panique ?" C'Ă©tait tellement embarrassant.»
Lors du tournage d'un Ă©pisode des Tudors , l'acteur de Superman s'est retrouvĂ© dans une situation super gĂȘnante parce qu'il n'Ă©tait pas bien positionnĂ© pour une scĂšne . «En gros, elle se frottait contre moi et, heu, j'ai un peu durci. J'ai dĂ» me confondre en excuses aprĂšs ça.» Henry Cavill a dit : «C'est pas super lorsque que vous ĂȘtes sur un tournage professionnel et que quelqu'un se met Ă  bander, si ? Non, c'est inacceptable.»
Ce post a été traduit de l'anglais .
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- Romanov, arrĂȘte la vodka coupĂ©e au White spirite... Grommelle-t-elle entre ses dents alors qu'elle escalade la Tour Stark. Oui. La Stark Tower. Parfaitement. 93 Ă©tages. 346 mĂštres. Celle-la mĂȘme. Les doigts dans le nez. - Je vais t'en coller de la vodka coupĂ©e moi. En 3D et avec Ă©lan... tu vas voir... MĂštre aprĂšs mĂštre, ses paumes et ses pieds collĂ©s Ă  la paroi de verre, sa chevelure ballottĂ©e par le vent qui ne cesse d'enfler au grĂ© de son ascension, elle avance avec une certaine rĂ©gularitĂ© tout en pestant contre le propriĂ©taire des lieux. - Franchement... mais qu'est-ce qu'il t'est passĂ© par la tĂȘte. T'aurais pas pu m'en parler avant de faire n'importe quoi... Plus que 50 mĂštres. - Non, bien sĂ»r que non ! Monsieur prend toujours des initiatives sans se soucier des dommages collatĂ©raux qu'il pourrait provoquer sur les autres. 30 mĂštres. Ne nous leurrons cependant pas. Si l'espionne du SHIELD, malgrĂ© son statut de membre des Avengers, grimpe tranquillement en toute impunitĂ© la monstrueuse Stark Tower, c'est bien parce que Tony le permet. Dans le cas contraire, elle aurait dĂ©jĂ  une armadas de ses joujoux aux fesses. La traditionnelle expression d'humeur de dogue allemand aurait fait passer les dits chiens pour des caniches de compagnie comparĂ©e Ă  l'humeur de Natasha Ă  ce moment lĂ ... Imagine-t-il qu'elle va se calmer un peu si elle se tape toute l'ascension du bĂątiment de verre ? Est-ce en tout cas son idĂ©e Ă  elle. Car si elle n'avait pas autant d'affection pour lui, elle lui collerait son flingue sur la tempe sitĂŽt arrivĂ©e au sommet. - J'espĂšre que t'as prĂ©parĂ© tes arguments Stark. Crache-t-elle dans un souffle alors qu'elle se hisse sur la vaste terrasse du Penthouse. A peine essoufflĂ©e, la tentative de calmer ses nerfs par cette petite activitĂ© sportive semble se solder par un cuisant Ă©chec. Se postant prĂšs de l'un des transats que sa majestĂ© utilise pour prendre son petit bain de soleil, elle croise les bras sur sa poitrine en fixant l'horizon de son regard perçant. L'hĂ©licoptĂšre est en vue. Il aura atterri sous quelques secondes Ă  peine. CampĂ©e sur ses pieds, le visage difficilement plus fermĂ© qu'il n'aurait pu l'ĂȘtre, Natasha ne lĂąche pas l'appareil des yeux. Elle est vĂȘtue de sa combinaison sombre habituelle, sans laquelle elle aurait eu bien des difficultĂ©s Ă  escalader cette tour par ailleurs. Quoi qu'il en soit, on ne la voyait que rarement sans, surtout chez Stark. Car il se passe toujours quelque chose... chez Stark. Ce gars devait ĂȘtre le plus gros consommateurs de baie vitrĂ©e de New York. Voir d'AmĂ©rique. Voir... du monde, en fait. Elle avait perdu de compte du nombre de fois oĂč celle du Penthouse avait explosĂ© en mille morceaux. Missile, rayon laser, machines devenues incontrĂŽlables... les occasions de briser la baie vitrĂ©e ne manquaient jamais et visiblement tout le monde adorait ça. Qui sait de quoi aujourd'hui serait fait....
Emploi/loisirs : GĂ©nie. Playboy. Milliardaire. Philanthrope.
Situation : Président directeur général de Stark Enterprises.
Localisation : Entre New York et Los Angeles.
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Elle la reconnait avant de l'apercevoir, avant de se tourner dans sa direction. Cette voix reconnaissable entre toutes. Friday. Elle la dĂ©visage. Bien plus qu'un programme, bien plus qu'un ordinateur, bien plus qu'un codage d'une extrĂȘme complexitĂ©, Friday a beau avoir Ă©tĂ© conçue de toutes piĂšces par Tony, cette intelligence artificielle reprĂ©sente bien plus que tout ce qu'on pourrait lui attribuer de prime abord. - Les hommes hein... Non Friday. Tony. Juste Tony. Lui rĂ©pond-elle avec une pointe d'amertume dans la voix. Evidemment, elle aurait du s'en douter. Reste Ă  savoir de quel type de jouets il est aujourd'hui question. Et mieux vaut pour lui qu'il n'imagine pas un seul instant qu'elle pourrait faire partie de sa malle aux trĂ©sors clinquants. Ce n'est pas le jour. Ce n'est pas le moment. Ce n'est pas l'humeur pour. Une musique limite assourdissante rĂ©sonne Ă  ses oreilles. Elle provient de plus bas, bien plus bas, et ne cesse d'enfler alors que l'Iron Man file Ă  toute vitesse vers le Penthouse. Un pied de nez Ă  son ascension, sans le plus petit doute. Qu'espĂšre-t-il prouver ? Qu'il est capable de parvenir au sommet plus vite qu'elle ? S'il a dĂ©cidĂ© de jouer Ă  qui a la plus grosse, il risque d'essuyer une lourde dĂ©convenue. Car s'il y a bien un jour oĂč elle n'a pas le temps, ni l'envie, de rentrer dans ses enfantillages, c'est bien celui-ci. Le show commence. Il a dĂ©jĂ  commencĂ©, en dĂ©finitive, dĂšs qu'elle a laissĂ© ce fameux message sur son rĂ©pondeur. Elle le connait. Elle le connait bien. Plus qu'il ne peut l'envisager sans doute. Bras croisĂ©s sur sa poitrine, sans bouger d'un millimĂštre, elle ne daigne mĂȘme pas lever les yeux vers lui. Qu'il descende Ă  sa hauteur et n'essaie pas de la dominer, s'il souhaite qu'elle le traite normalement. Il parle. Le dĂ©luge. Un dĂ©luge de mots, d'ironie, d'humour trĂšs mal venu aujourd'hui. Mais s'attendait-elle Ă  ce qu'il agisse autrement ? Certainement que non. Elle le connait bien, on vous a dit. Pas un mot. Pas une rĂ©ponse. Pas un regard. Il se pose, enfin. Elle plonge ses yeux clairs dans les siens, enfin. Ses traits sont tirĂ©s, signe visible d'une fatigue bien prĂ©sente. Il l'a dit dans son dernier sms. Il a visiblement eu un problĂšme avec Arno et avec les Mutants. Que ce soit l'un ou l'autre, rien d'Ă©tonnant Ă  ce qu'il arbore cette tĂȘte. Par ailleurs, ne s'en tenir qu'Ă  de simples signes de fatigue est de l'ordre de l'exploit, selon le type de problĂšmes qu'il a du affronter. Oh ils en parleront... c'Ă©tait le motif initial de sa venue aprĂšs tout, avant que les choses ne dĂ©gĂ©nĂšrent. Car elle serait toujours lĂ  pour lui, quoi qu'il en soit. Mais un autre sujet a pris plus d'importance et il sera abordĂ© en premier lieu. Pas un mot. Elle ne relĂšve pas son Ă©tat. Ne s'enquiert pas de son Ă©tat. Elle le dĂ©visage. Et c'est tout. Il repart instant T dans les starting-block. The show must go on. Toujours, tout le temps, sans jamais s'arrĂȘter, avec cet homme lĂ . Il est aussi lumineux qu'elle est sombre. Aimant autant les projecteurs qu'elle prĂ©fĂšre la pĂ©nombre d'une nuit sans lune. Ils sont deux entitĂ©s tout ce qu'il y a de plus opposĂ©. Ce qui n'a pour autant pas empĂȘchĂ© qu'ils se rapprochent. Ce qui pourrait sans conteste ĂȘtre considĂ©rĂ© comme un Ă©tonnant prodige de la nature et une incongruitĂ© totale. Pas un mot. Elle le toise d'un regard assez indĂ©chiffrable. Elle semble toujours en colĂšre contre lui, mais il y a quelque chose d'autre... Cette aura, cette trĂšs lĂ©gĂšre sensation qui Ă©mane d'elle. Cette atmosphĂšre pesante qui fait que beaucoup la considĂšre comme un ĂȘtre dangereux, quelqu'un capable de tout, qui met mal Ă  l'aise. Pas un mot. Elle se dĂ©tourne et s'Ă©loigne. Les larges portes de verre s'ouvrent Ă  son approche, que ce soit automatiquement, parce que sa seigneurie l'a bien voulu ou parce qu'il est tout simplement prĂ©sent sur la terrasse. Allez savoir. Et finalement qu'importe. Elle pĂ©nĂštre dans la vaste piĂšce. Impressionnante, comme toujours, de la taille d'un appartement Ă  elle toute seule. Natasha connait le systĂšme de sĂ©curitĂ© de Tony qui, sous ses airs d'abrutis fini parfois, reste toujours trĂšs vigilant, surtout dĂšs lors que cela concerne son espace personnel et de travail. Elle ne veut cependant pas courir le risque de parler Ă  l'extĂ©rieur. On ne sait jamais. Elle se place devant le verre translucide, si fin et si clair qu'il donne le sentiment de ne pas exister. Son regard se perd dans l'immensitĂ© New-Yorkaise dont la vue est imprenable depuis le Penthouse du multi milliardaire. Le silence, encore. Qui doit littĂ©ralement le rendre fou. Car s'il y a bien une chose que Tony n'est pas, c'est patient. Fait-elle ça pour le faire sortir de ses gongs ou simplement par jeu, pour l'exaspĂ©rer autant qu'il l'exaspĂšre elle ? Pas du tout en dĂ©finitive. L'espionne tente de contrĂŽler ses Ă©motions. Ce n'est pas plus compliquĂ© que cela. AprĂšs s'ĂȘtre dĂ©foulĂ© sur son rĂ©pondeur et sur sa tour, l'avoir attendu campĂ©e sur la vaste terrasse, la discussion qu'ils doivent dĂ©sormais avoir se doit impĂ©rativement de finir de maniĂšre constructive. Avec des faits, des dĂ©cisions et des actions en consĂ©quence. - Pourquoi as-tu libĂ©rĂ© Black Cat. Une phrase. Une seule, franchit la barriĂšre de ses lĂšvres, alors qu'elle lui tourne toujours le dos. Sa voix est plus calme que le message qu'elle avait laissĂ© sur son rĂ©pondeur. Puis elle finit par se dĂ©tourner du paysage qu'elle ne voit de toutes façons pas vraiment, et s'adosse contre le verre en le dĂ©visageant avec attention. Ses traits sont fermĂ©s autant qu'ils peuvent l'ĂȘtre. Elle ne plaisante.
Emploi/loisirs : GĂ©nie. Playboy. Milliardaire. Philanthrope.
Situation : Président directeur général de Stark Enterprises.
Localisation : Entre New York et Los Angeles.

 okay. Tony Stark ne dit rien, alors que ses piques, provocations, blagues et propositions ne donnent rien, sur Natasha Romanov. Il comprend. C’est l’une de ses qualitĂ©s. C’est l’un de ses plus grands atouts – il comprend vite, toujours. Surtout les machines, mais aussi les gens ; un peu. En tout cas, quand ça ne va pas. « Mmh. » Un lĂ©ger souffle s’échappe de ses narines, endolories par quelques coups rĂ©cents, alors qu’il suit Natasha, dans ses appartements. Sans un mot. Sans une blague. Sans une pique. Sans mĂȘme relever qu’elle s’avance chez lui, d’elle-mĂȘme ; ce qu’elle a toujours refusĂ©, quand il le lui proposait – certes dans d’autres circonstances. Tony ne dit rien
 parce qu’il sait. Il sait que Natasha lui en veut. Il sait qu’elle lui en veut, beaucoup. Il la suit ainsi et, d’un geste discret, repousse l’hologramme de FRIDAY, qui rĂ©apparaĂźt pour essayer de l’aider ; non. Pas maintenant. Pas comme ça. Une part de Tony explose, en fait. Il tempĂȘte, intĂ©rieurement. Il ne supporte pas ça. Il ne supporte pas qu’on l’ignore. Il ne supporte pas que l’autre ne lui rĂ©ponde pas ; ne rĂ©agisse pas. Il ne supporte pas, aussi, que l’on prenne ses aises chez lui. Il ne supporte pas que l’on s’introduise chez lui, sans son accord ; son invitation. Une part de lui s’emporte, oui. Mais
 Mais il prend sur lui. Mais il se contrĂŽle – mais il le lui doit. Natasha et lui, c’est
 compliquĂ©. Au-delĂ  des trĂšs nombreuses fois oĂč ils se sont mis en danger ensemble, pour sauver le monde, ou des gens, ils
 se sont connus, au dĂ©but. Tony Ă©tait la cible de Natasha ; la victime voulue par les SoviĂ©tiques, via leur agent, la Veuve Noire. Les choses se sont passĂ©es autrement, et c’est bien. Mais ça marque. MĂȘme s’ils en parlent peu. MĂȘme s’ils Ă©vitent le sujet. Il tient Ă  elle. Il ne le dit pas. Il ne le montre pas ; il ne sait pas comment faire. Maria a essayĂ© de le lui montrer, mais Howard
 Howard a tout brisĂ©. Howard a tout anĂ©anti – et la rĂ©vĂ©lation qu’ils n’étaient pas ses parents biologiques, cela a empirĂ© les choses. Mais
 oui. Il tient Ă  elle. Il l’apprĂ©cie. Il la respecte. Il l’estime. Et
 et la voir ainsi
 et la sentir ainsi
 Oui. Ça le touche. Ça le marque. Au point que Tony, sile
En voilĂ  un qui sait comment faire jouir une meuf
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