Elle se tape son beau fils

Elle se tape son beau fils




⚡ TOUTES LES INFORMATIONS CLIQUEZ ICI 👈🏻👈🏻👈🏻

































Elle se tape son beau fils


Elle trompe son mari avec son beau fils et assume




La star d'Instagram Marina Balmasheva ne crée pas le buzz pour ses recettes de perte de poids cette fois. La jeune femme vient de se faire remarquer en publiant un test de grossesse. Jusque là aucun problème, si ce n'est que l'heureux papa n'est autre que son ex beau-fils de 14 ans son cadet.


Par JC Robert - Publié le Mardi 16 Août 2022 à 16:12

L'ex mari de Marina Balmasheva a de quoi être très amer LIRE LA SUITE 


14/08/2022
- Karoline Chérie - caroline@zinfos974.com

3 rue Émile Hugot
Immeuble Rigolet

97490 Sainte-Clotilde
06 92 97 75 75 contact@zinfos974.com
La publicité permet de financer notre site.
Autoriser les annonces sur Zinfos974

Nous respectons votre vie privée Avec votre accord, nos partenaires et nous utilisons des cookies ou technologies similaires pour stocker et accéder à des informations personnelles comme votre visite sur ce site. Vous pouvez retirer votre consentement ou vous opposer aux traitements basés sur l'intérêt légitime à tout moment en cliquant sur "En savoir plus" ou dans notre politique de confidentialité sur ce site.
Avec nos partenaires, nous traitons les données suivantes :
Données de géolocalisation précises et identification par analyse du terminal , Fonctionnement , Mesure d'audience , Publicités et contenu personnalisés, mesure de performance des publicités et du contenu, données d’audience et développement de produit

Saisissez votre adresse e-mail et suivez les instructions envoyées par email





× Fermer
Inscrivez-vous à La Nouvelle République


Vous possédez déjà un compte ? Connectez-vous






Indre-et-Loire






Le beau-fils aurait abusé de la faiblesse de sa belle-mère





Le beau-fils aurait abusé de la faiblesse de sa belle-mère




Titre







Tribunal correctionnel


Indre-et-Loire




M olière aurait pu écrire cette pièce. Mais, ici, aucune morale comme en a l’habitude ce maître du théâtre : dans la pièce que décrit, avec un second degré acerbe, l’avocate de la défense, on retrouve bien quelques traces de « L’Avare », du Tartuffe ou de Scapin. Mais, dans cette histoire, le poids de la réalité et de la justice prend le pas sur la légèreté comique du théâtre de Molière. Dans cette affaire, trois protagonistes : Annie (*), une dame âgée aujourd’hui de 86 ans ; l’une de ses amies, Jeanne (*) qui s’occupe d’elle régulièrement et son beau-fils, André (*). Les faits se déroulent entre 2011 et 2013 à Yzeures-sur-Creuse : à la mort de sa fille, Annie est placée sous la curatelle de son gendre qui l’aide à s’y retrouver dans ses tâches administratives et dans les petits gestes de la vie quotidienne. Depuis quelques années, elle vit dans un petit deux pièces attenantes à la maison familiale. Une lettre dénonce les “ pratiques honteuses ” du curateur Jusque-là, rien d’anormal. Sauf qu’en 2013, le juge des tutelles reçoit coup sur coup deux lettres incendiaires qui dénoncent les pratiques « honteuses » du curateur. L’une signée de la main d’Annie, l’autre de son amie Jeanne. Elles décrivent un homme qui ferait vivre un véritable enfer à la vieille dame : mainmise sur ses carnets de chèques, ses relevés bancaires ou son courrier, interdiction de sortir, restriction du téléphone. Annie se sent de plus en plus abandonnée et pense même que son beau-fils se servirait d’une partie de ses fonds. Au tribunal, quatre ans après les faits, André est prévenu d’abus de confiance et de détournement de fonds. La présidente déroule les faits, évoque les lettres et s’étonne surtout du montant des nombreux chèques dont il aurait rédigé le montant et le motif et qu’aurait signé Annie : 240 € pour un aspirateur, 300 € pour une télévision ou 280 € pour un repas de famille et principalement des chèques réguliers de 780 euros. « Un forfait mensuel pour le loyer, environ 400 €, la nourriture, 300 €, et les dépenses du quotidien » , se défend, tant bien que mal, le prévenu qui assure que tous les frais sont justifiés, feuille de calcul à l’appui. Une défense qui ne passe pas pour le procureur qui balance quelques drôles noms d’oiseaux pour désigner le comportement du prévenu et parle « de calcul au petit bonheur la chance, préparé expressément pour l’audience. Et, quoi qu’il en soit, Monsieur, vous ne trouvez pas que 780 € c’est exagéré ? » Question à laquelle l’avocat d’André répond par la négative, rappelant qu’avant fin 2012, tout se passait très bien pour la dame, qui ne s’est jamais plainte. « Ce qui a changé entre-temps ? L’arrivée d’une nouvelle femme dans la vie de mon client et l’influence grandissante de Jeanne sur son amie » . Jalousie, jeux d’influences, détournement de fonds et abus de confiance, on s’y perdrait presque dans ce drame plus shakespearien que molièresque. Le jugement a été mis en délibéré jusqu’au mois de janvier 2018. (*) Les prénoms ont été modifiés.




Tribunal correctionnel

A la Une local


Indre-et-Loire

A la Une

Faits divers Justice








​Un Tourangeau grièvement blessé dans le massif du Mont-Blanc




Vienne et Deux-Sèvres font salon commun




L’état de santé fragile des pharmacies d’officine





Il vous reste 4 article(s) à lire ce mois-ci

Recevez nos newsletters, bénéficiez de 10 articles offerts par mois, et bien
d'autres avantages encore...
Créez votre compte pour gérer votre abonnement directement en ligne !

 Les informations recueillies ci-dessus sont destinées aux Sociétés du Groupe La Nouvelle République
pour assurer la création et la gestion de votre compte, ainsi que des abonnements et autres services
souscrits. Elles seront également utilisées sous réserve des options souscrites par vos soins, par
La Nouvelle République, pour d'autres finalités commerciales et publicitaires telles que détaillées
dans la politique de confidentialité.

Vous bénéficiez d'un certain nombre de droits, y compris celui de demander l'accès, de modifier ou
de supprimer vos données personnelles, ou de modifier vos préférences marketing. Pour connaître
l'ensemble de vos droits et plus largement nos pratiques en matière de traitement et protection
des données personnelles, nous vous invitons à consulter
notre politique de confidentialité.

Publié le

04/11/2017 à 08:55
| Mis à jour le

04/11/2017 à 08:55


Un quinquagénaire est poursuivi pour abus de confiance et détournement de fonds au préjudice d’une octogénaire placée sous curatelle.

Nous respectons votre vie privée Avec votre accord, nos partenaires et nous utilisons des cookies ou technologies similaires pour stocker et accéder à des informations personnelles comme votre visite sur ce site. Vous pouvez retirer votre consentement ou vous opposer aux traitements basés sur l'intérêt légitime à tout moment en cliquant sur "En savoir plus" ou dans notre politique de confidentialité sur ce site.
Avec nos partenaires, nous traitons les données suivantes :
Données de géolocalisation précises et identification par analyse du terminal , Fonctionnement , Mesure d'audience , Publicités et contenu personnalisés, mesure de performance des publicités et du contenu, données d’audience et développement de produit

Saisissez votre adresse e-mail et suivez les instructions envoyées par email





× Fermer
Inscrivez-vous à La Nouvelle République


Vous possédez déjà un compte ? Connectez-vous






Indre-et-Loire






Le beau-fils aurait abusé de la faiblesse de sa belle-mère





Le beau-fils aurait abusé de la faiblesse de sa belle-mère




Titre







Tribunal correctionnel


Indre-et-Loire




M olière aurait pu écrire cette pièce. Mais, ici, aucune morale comme en a l’habitude ce maître du théâtre : dans la pièce que décrit, avec un second degré acerbe, l’avocate de la défense, on retrouve bien quelques traces de « L’Avare », du Tartuffe ou de Scapin. Mais, dans cette histoire, le poids de la réalité et de la justice prend le pas sur la légèreté comique du théâtre de Molière. Dans cette affaire, trois protagonistes : Annie (*), une dame âgée aujourd’hui de 86 ans ; l’une de ses amies, Jeanne (*) qui s’occupe d’elle régulièrement et son beau-fils, André (*). Les faits se déroulent entre 2011 et 2013 à Yzeures-sur-Creuse : à la mort de sa fille, Annie est placée sous la curatelle de son gendre qui l’aide à s’y retrouver dans ses tâches administratives et dans les petits gestes de la vie quotidienne. Depuis quelques années, elle vit dans un petit deux pièces attenantes à la maison familiale. Une lettre dénonce les “ pratiques honteuses ” du curateur Jusque-là, rien d’anormal. Sauf qu’en 2013, le juge des tutelles reçoit coup sur coup deux lettres incendiaires qui dénoncent les pratiques « honteuses » du curateur. L’une signée de la main d’Annie, l’autre de son amie Jeanne. Elles décrivent un homme qui ferait vivre un véritable enfer à la vieille dame : mainmise sur ses carnets de chèques, ses relevés bancaires ou son courrier, interdiction de sortir, restriction du téléphone. Annie se sent de plus en plus abandonnée et pense même que son beau-fils se servirait d’une partie de ses fonds. Au tribunal, quatre ans après les faits, André est prévenu d’abus de confiance et de détournement de fonds. La présidente déroule les faits, évoque les lettres et s’étonne surtout du montant des nombreux chèques dont il aurait rédigé le montant et le motif et qu’aurait signé Annie : 240 € pour un aspirateur, 300 € pour une télévision ou 280 € pour un repas de famille et principalement des chèques réguliers de 780 euros. « Un forfait mensuel pour le loyer, environ 400 €, la nourriture, 300 €, et les dépenses du quotidien » , se défend, tant bien que mal, le prévenu qui assure que tous les frais sont justifiés, feuille de calcul à l’appui. Une défense qui ne passe pas pour le procureur qui balance quelques drôles noms d’oiseaux pour désigner le comportement du prévenu et parle « de calcul au petit bonheur la chance, préparé expressément pour l’audience. Et, quoi qu’il en soit, Monsieur, vous ne trouvez pas que 780 € c’est exagéré ? » Question à laquelle l’avocat d’André répond par la négative, rappelant qu’avant fin 2012, tout se passait très bien pour la dame, qui ne s’est jamais plainte. « Ce qui a changé entre-temps ? L’arrivée d’une nouvelle femme dans la vie de mon client et l’influence grandissante de Jeanne sur son amie » . Jalousie, jeux d’influences, détournement de fonds et abus de confiance, on s’y perdrait presque dans ce drame plus shakespearien que molièresque. Le jugement a été mis en délibéré jusqu’au mois de janvier 2018. (*) Les prénoms ont été modifiés.




Tribunal correctionnel

A la Une local


Indre-et-Loire

A la Une

Faits divers Justice








​Un Tourangeau grièvement blessé dans le massif du Mont-Blanc




Vienne et Deux-Sèvres font salon commun




L’état de santé fragile des pharmacies d’officine




Recevez nos newsletters, bénéficiez de 10 articles offerts par mois, et bien
d'autres avantages encore...
Créez votre compte pour gérer votre abonnement directement en ligne !

 Les informations recueillies ci-dessus sont destinées aux Sociétés du Groupe La Nouvelle République
pour assurer la création et la gestion de votre compte, ainsi que des abonnements et autres services
souscrits. Elles seront également utilisées sous réserve des options souscrites par vos soins, par
La Nouvelle République, pour d'autres finalités commerciales et publicitaires telles que détaillées
dans la politique de confidentialité.

Vous bénéficiez d'un certain nombre de droits, y compris celui de demander l'accès, de modifier ou
de supprimer vos données personnelles, ou de modifier vos préférences marketing. Pour connaître
l'ensemble de vos droits et plus largement nos pratiques en matière de traitement et protection
des données personnelles, nous vous invitons à consulter
notre politique de confidentialité.

Publié le

04/11/2017 à 08:55
| Mis à jour le

04/11/2017 à 08:55


Un quinquagénaire est poursuivi pour abus de confiance et détournement de fonds au préjudice d’une octogénaire placée sous curatelle.

Nous respectons votre vie privée Avec votre accord, nos partenaires et nous utilisons des cookies ou technologies similaires pour stocker et accéder à des informations personnelles comme votre visite sur ce site. Vous pouvez retirer votre consentement ou vous opposer aux traitements basés sur l'intérêt légitime à tout moment en cliquant sur "En savoir plus" ou dans notre politique de confidentialité sur ce site.
Avec nos partenaires, nous traitons les données suivantes :
Données de géolocalisation précises et identification par analyse du terminal , Fonctionnement , Mesure d'audience , Publicités et contenu personnalisés, mesure de performance des publicités et du contenu, données d’audience et développement de produit

Saisissez votre adresse e-mail et suivez les instructions envoyées par email





× Fermer
Inscrivez-vous à La Nouvelle République


Vous possédez déjà un compte ? Connectez-vous






Indre-et-Loire






Le beau-fils aurait abusé de la faiblesse de sa belle-mère





Le beau-fils aurait abusé de la faiblesse de sa belle-mère




Titre







Tribunal correctionnel


Indre-et-Loire




M olière aurait pu écrire cette pièce. Mais, ici, aucune morale comme en a l’habitude ce maître du théâtre : dans la pièce que décrit, avec un second degré acerbe, l’avocate de la défense, on retrouve bien quelques traces de « L’Avare », du Tartuffe ou de Scapin. Mais, dans cette histoire, le poids de la réalité et de la justice prend le pas sur la légèreté comique du théâtre de Molière. Dans cette affaire, trois protagonistes : Annie (*), une dame âgée aujourd’hui de 86 ans ; l’une de ses amies, Jeanne (*) qui s’occupe d’elle régulièrement et son beau-fils, André (*). Les faits se déroulent entre 2011 et 2013 à Yzeures-sur-Creuse : à la mort de sa fille, Annie est placée sous la curatelle de son gendre qui l’aide à s’y retrouver dans ses tâches administratives et dans les petits gestes de la vie quotidienne. Depuis quelques années, elle vit dans un petit deux pièces attenantes à la maison familiale. Une lettre dénonce les “ pratiques honteuses ” du curateur Jusque-là, rien d’anormal. Sauf qu’en 2013, le juge des tutelles reçoit coup sur coup deux lettres incendiaires qui dénoncent les pratiques « honteuses » du curateur. L’une signée de la main d’Annie, l’autre de son amie Jeanne. Elles décrivent un homme qui ferait vivre un véritable enfer à la vieille dame : mainmise sur ses carnets de chèques, ses relevés bancaires ou son courrier, interdiction de sortir, restriction du téléphone. Annie se sent de plus en plus abandonnée et pense même que son beau-fils se servirait d’une partie de ses fonds. Au tribunal, quatre ans après les faits, André est prévenu d’abus de confiance et de détournement de fonds. La présidente déroule les faits, évoque les lettres et s’étonne surtout du montant des nombreux chèques dont il aurait rédigé le montant et le motif et qu’aurait signé Annie : 240 € pour un aspirateur, 300 € pour une télévision ou 280 € pour un repas de fami
Une jeune chatte et une bite expérimenté
Un petit coup de main
Grande compilation de branlettes

Report Page