Elle se soumet à son maître
🛑 TOUTES LES INFORMATIONS CLIQUEZ ICI 👈🏻👈🏻👈🏻
Elle se soumet à son maître
Page d'accueil > A propos de nous
Site réalisé avec Webnode Lancez votre propre site gratuitement!
La douce rencontre d’ un homme & d’une femme
La soumission est une posture psychologique : être en attente, laisser le Maître décider, être soumise et seulement obéir ou exécuter sans penser. Ne pas être soi-même « maître » de la situation pendant un moment, faire une pause, ne plus penser pendant les séjours, moi qui a toujours voulu maîtriser ma vie, LA Vie. Etre enfin dans le moment présent, chose si difficile pour moi ! Je me dois d’être soumise à mon Maître même à distance et je suis punie quand je ne respecte pas les clauses du contrat ou quand je ne réponds pas correctement aux demandes de mon Maître.
Quoiqu’il advienne dans un futur proche ou lointain, si la vie nous éloigne, je serais toujours reconnaissante à l’Homme qu’est mon Maître, d’avoir su m’offrir cette opportunité unique d’aller toujours plus loin en confiance accompagnée de son amour et sa croyance en mes potentialités.
Je suis une jeune femme de presque 47 ans d’ 1 m 60 . Je suis mariée je deviens la femme en même temps que je découvre mon besoin de soumission grâce à mon amant, mon homme, mon Maître qui a su voir en moi la soumise et perverse que j’ai toujours fantasmé d’être.
J’aime la sodomie, la fessée, la soumission et bien d’autres pratiques que j’ai longtemps fantasmées ou que je n’imaginais même pas avant ma relation avec mon Maître Benoît…
J'aime aussi la douceur de mon Maître qui malgré la HARD itude de nos rapports, l'incorpore dans nos jeux, il sait que cela me tient à coeur, moi sa soumise!
Le Maître doit d'être imaginatif de telle manière que sa soumise soit fière et se sente l'objet de toutes les convoitises. Le Maître se doit de façonner sa soumise de telle manière que sa chair et son esprit soit imprégné des principes à la base de la relation d’échange de pouvoir. Il se devra de prendre tout égard de telle manière que sa soumise prennent un réel plaisir, notamment aussi en lui annonçant avec soin certaines séances. Il se devra de la surprendre par exemple en préparant avec soin et classe une séance de domination ceci toujours dans un esprit de la soumission.
Le Maître se devra de faire tout ce qui est possible pour permettre qu'ensemble avec sa soumise le chemin de la soumission débouche sur un monde sans interdit, si ce n'est celles des règles déjà établies au départ. De ce fait ensemble le Maître ainsi que sa soumise n'auront que soif de découvrir les plaisirs cachés voire inconnu du monde de la soumission. Le Maître est conscient qu'il ne peut y avoir aucune symbiose si la soumise ne réalise pas tout de suite qu'elle consiste pour lui à être le plus précieux des objets et de ce fait à droit au égards de son statut.
Vous pouvez décrire ici le type d'utilisateur cible et pourquoi ce projet est important pour lui. Il sera intéressant d'y motiver vos visiteurs afin de les inciter à revenir sur ce site.
Dans cette partie, vous pouvez décrire l'histoire du projet et donner les raisons de sa création. Il est convenable d'y mentionner les principales étapes du projet et d'y honorer les personnes y ayant contribuées.
Plan du site
Imprimer
RSS
Français
English
Partager
Facebook
Twitter
Google+
Accueil
Catalogue des 592 revues OpenEdition Search
Français
English
OpenEdition Books OpenEdition Journals Hypotheses Calenda
OpenEdition Search La lettre d'OpenEdition
Cet article est cité par
Bellavitis, Anna. (2018) Women’s Work and Rights in Early Modern Urban Europe . DOI: 10.1007/978-3-319-96541-3_8
Haut de page
Des esclaves pour la liberté sexuelle de leurs maîtres [Texte intégral]
(Europe occidentale, XIVe-XVIIIe siècles)
Paru dans Clio. Histoire‚ femmes et sociétés , 5 | 1997
Index
Auteurs
Mots-clés
Géographique
Chronologique
Derniers numéros
54 | 2021 Se dénuder
53 | 2021 Le genre des indépendances
52 | 2020 Abuser / Forcer / Violer
51 | 2020 Femmes et genre en migration
50 | 2019 Le genre dans les mondes caribéens
49 | 2019 Travail de care
Numéros en texte intégral
48 | 2018 Genre et espace (post-)ottoman
47 | 2018 Le genre des émotions
46 | 2017 Danser
45 | 2017 Le nom des femmes
44 | 2016 Judaïsme(s) : genre et religion
43 | 2016 Citoyennetés
42 | 2015 Âge et sexualité
41 | 2015 Le « socialisme réel » à l'épreuve du genre
40 | 2014 Objets et fabrication du genre
39 | 2014 Les lois genrées de la guerre
38 | 2013 Ouvrières, ouvriers
37 | 2013 Quand la médecine fait le genre
36 | 2012 Costumes
35 | 2012 Écrire au quotidien
34 | 2011 Liens familiaux
33 | 2011 Colonisations
32 | 2010 Relectures
31 | 2010 Érotiques
30 | 2009 Héroïnes
29 | 2009 68’, révolutions dans le genre ?
28 | 2008 Voyageuses
27 | 2008 Amériques métisses
26 | 2007 Clôtures
25 | 2007 Musiciennes
24 | 2006 Variations
23 | 2006 Le genre du sport
22 | 2005 Utopies sexuelles
21 | 2005 Maternités
20 | 2004 Armées
19 | 2004 Femmes et images
18 | 2003 Mixité et coéducation
17 | 2003 ProstituéEs
16 | 2002 L'Histoire des femmes en revues France-Europe
15 | 2002 Chrétiennes
14 | 2001 Festins de femmes
13 | 2001 Intellectuelles
12 | 2000 Le genre de la nation
11 | 2000 Parler, chanter, lire, écrire
10 | 1999 Femmes travesties : un "mauvais" genre
9 | 1999 Femmes du Maghreb
8 | 1998 Georges Duby et l'histoire des femmes
7 | 1998 Femmes, dots et patrimoines
6 | 1997 Femmes d'Afrique
5 | 1997 Guerres civiles
4 | 1996 Le temps des jeunes filles
3 | 1996 Métiers. Corporations. Syndicalisme
2 | 1995 Femmes et Religions
1 | 1995 Résistances et Libérations France 1940-1945
Tous les numéros
La revue Clio
Présentation
Comité de rédaction
Soumettre un article
Commandes & abonnement
Liens
Informations
Contacts
Crédits du site
Politiques de publication
Suivez-nous
Flux RSS
Lettres d’information
La Lettre d’OpenEdition
Revue soutenue par l’Institut des sciences humaines et sociales du CNRS
En autorisant ces services tiers, vous acceptez le dépôt et la lecture de cookies et l'utilisation de technologies de suivi nécessaires à leur bon fonctionnement. Politique de confidentialité
Tout accepter Tout refuser
Ce site utilise des cookies nécessaires à son bon fonctionnement. Ils ne peuvent pas être désactivés.
Les APIs permettent de charger des scripts : géolocalisation, moteurs de recherche, traductions, ...
Services visant à afficher du contenu web.
Gallica interdit - Ce service peut déposer 8 cookies. En savoir plus - Voir le site officiel
Les gestionnaires de commentaires facilitent le dépôt de vos commentaires et luttent contre le spam.
Les services de mesure d'audience permettent de générer des statistiques de fréquentation utiles à l'amélioration du site.
Les régies publicitaires permettent de générer des revenus en commercialisant les espaces publicitaires du site.
Les réseaux sociaux permettent d'améliorer la convivialité du site et aident à sa promotion via les partages.
Les services de support vous permettent d'entrer en contact avec l'équipe du site et d'aider à son amélioration.
Les services de partage de vidéo permettent d'enrichir le site de contenu multimédia et augmentent sa visibilité.
Canal-U.tv interdit - Ce service ne dépose aucun cookie. En savoir plus - Voir le site officiel
Centre de Recherche en Ethnomusicologie interdit - Ce service peut déposer 5 cookies. En savoir plus - Voir le site officiel
Dailymotion interdit - Ce service peut déposer 5 cookies. En savoir plus - Voir le site officiel
Internet Archive interdit - Ce service peut déposer 4 cookies. En savoir plus - Voir le site officiel
SoundCloud interdit - Ce service peut déposer 2 cookies. En savoir plus - Voir le site officiel
Vimeo interdit - Ce service peut déposer 8 cookies. En savoir plus - Voir le site officiel
YouTube interdit - Ce service peut déposer 4 cookies. En savoir plus - Voir le site officiel
Ce site utilise des cookies et vous donne le contrôle sur ceux que vous souhaitez activer Tout accepter Tout refuser Personnaliser Politique de confidentialité
Accueil Numéros 17 Documents Se soumettre pour se libérer. Une...
Le procès intenté par une esclave contre son maître, à Cadix, en 1704, est surprenant. Elle demandait au tribunal ecclésiastique d’obliger son maître à lui octroyer la charte d’affranchissement, puisqu’elle avait passé un contrat verbal avec lui contemplant ses services sexuels en échange de la liberté. Sous quel registre inscrire cette démarche ? La prostitution publique des esclaves était interdite, et sa pratique (contrairement au cas des affranchies) inconnue. Mais dans le secret des maisons les relations sexuelles maître-esclave était monnaie courante. S’agissait-t-il seulement de rapports d’exploitation, de viols, de « droit de cuissage » sous couvert de la propriété du corps de l’esclave ou, comme dans le cas présenté ci-dessus, aussi de stratégies de libération ? L’esclave n’avait pas seulement un corps, mais aussi une tête.
The action a female slave took against her master in Cadix in 1704, is somewhat surprising. She asked the ecclesiastical court of justice to get her master to treat her like a free woman, on the grounds that she had with him an oral agreement that secured her freedom in exchange of sexual services. In what file should that action be registered ? Public prostitution of slaves was forbidden and its practise unknown. But in the secret of homes sexual relationships between slaves and masters was common. Was it mere exploitation, rape, sexual harassment, because the slave’s body was not free, or strategies for freedom as in this case ? Indeed this story shows that the slave did not only have a body but also a brain and a mind.
1 Voici des extraits traduits de la transcription d’une affaire portée devant le juge du tribunal ecclésiastique de Cadix, en 1704 (Archivo Diocesano de Cadiz, ADC, Varios, Divorcios , leg. 936).
2 « Demande en justice : Cadix, 3 décembre 1704. Monsieur le Juge ecclésiastique, Theresa Josepha, d’origine turque, esclave de Antonio de Medina, avec tout le respect dû à Vuestra Merced, dit que cela fait douze ans qu’elle est esclave du susdit, et qu’il y aura trois ans que, resté veuf, il avait sollicité les faveurs sexuelles 1 de la suppliante, et qu’il avait eu avec elle une fille, avec la promesse de lui donner la liberté, et maintenant il ne veut pas tenir sa parole mais bien continuer à offenser Dieu notre seigneur, et pour que cela soit réparé et qu’il octroie la liberté à la suppliante, elle se remet à la piété de V. M., pour avoir justice dans cette affaire, qu’elle espère de votre grande chrétienté.
3 1er témoin : Manuel de la Rocha de Sequera, c’est ainsi qu’il dit s’appeler, et être maître coiffeur, et vivre dans la maison de Antonio de Medina, maître de ladite Turque, dans la rue des Flamands […] dit qu’il vit dans la maison dudit Antonio de Medina depuis deux ans et demi, c’est-à-dire depuis le temps de son veuvage, et que le susdit a pour esclave ladite Theresa Josepha, qu’il a vu traiter comme telle sans que, en présence du témoin, il ait eu aucune affection à son égard, et après la mort de l’épouse dudit Antonio de Medina, neuf mois après plus ou moins, ladite Turque accoucha d’une fille qu’on mit à l’hospice des enfants abandonnés, et elle affirma au témoin et aux filles dudit Antonio de Medina qu’elle était fille de son dit maître, et pour cette raison les susdites eurent querelle avec leur père ; lui, il ne répondit rien, ne se fâcha pas avec ladite Turque pour ladite grossesse et s’occupa d’elle jusqu’à ce qu’elle fut hors de danger ; mais le témoin, comme il vient de le dire, ne les a jamais vus coucher ensemble ni commettre autre action par laquelle on pourrait déduire une relation illicite, et la Turque, ayant appris que son maître voulait s’embarquer et ne pas lui donner la liberté, parla au témoin pour qu’il serve d’intermédiaire à son profit, compte tenu qu’elle avait bien consenti à son plaisir, et ayant fait cette proposition audit Antonio de Medina, il ne répondit pas s’il allait la libérer ou pas ; et dans une autre occasion, une de ses filles dit à la Turque que son père ne pouvait pas lui donner la liberté sans son consentement et celui de ses sœurs, puisqu’elle faisait partie des biens de leur mère, et là-dessus non plus ledit Antonio de Medina ne dit rien ; et que c’est tout ce qu’il sait et peut déclarer, et que c’est la vérité dite sous serment, et qu’il est âgé de 28 ans, et le signa.
4 2e témoin : Maria de los Remedios, ainsi dit-elle s’appeler, d’origine turque, et esclave de Juan Guerrero, boulanger, et qu’elle vit dans le quartier de la Viña, dit qu’elle sait que ladite Theresa Josepha est esclave de Antonio de Medina depuis douze ans, chez lequel elle l’a vu servir, et qu’il y aura trois ans que celui-là était resté veuf, et qu’il y aura deux ans qu’elle aura vu ladite Theresa Josepha enceinte, et la témoin lui avait demandé de qui elle était enceinte, et elle répondit que c’était son maître qui lui avait offert la liberté
En train d'éjaculer sur le visage de beaucoup de filles
Jeune mec fait un chantage à sa sœur
Ivy Lebelle séduit le meilleur ami de son petit ami