Elle se retrouve entre deux apollons

Elle se retrouve entre deux apollons




🔞 TOUTES LES INFORMATIONS CLIQUEZ ICI 👈🏻👈🏻👈🏻

































Elle se retrouve entre deux apollons
18 février 1166 Marbrume – Thermes Huit heures et vingt minutes
L'entrevue avait était préparée, la date et l'heure données mais également le lieu : les thermes. Lieu où les deux hommes seraient égaux , où ils seront purifiés de leurs erreurs grâce à la vapeur de l'endroit, un lieu idéal pour convenir d'un quelconque accord … les thermes se trouvaient dans le temple, les dieux avaient donc leur regard fixés sur eux. Anür, la reine des eaux, purifierait Terresang et Rougelac ; Sérus, le roi de la fertilité, conseillerait ses enfants et Rikni, la Reine Guerrière, bénirait l'esprit guerrier d'Alexandre.
Les Dieux seraient là durant cette entrevue et chacun sait que personne ne doit trahir une parole donnée sous le regard des divinités sans en subir les conséquences.
Le Vicomte de Terresang se préparait pour ce rendez vous tant important, il avait fait quérir un greffier … un homme de lettres qui retranscrirait tout ce qui se dirait durant cette rencontre… oui, Alexandre aurait autre chose à penser que devoir écrire des choses, il avait des négociations à mener … concernant le futur de son ancienne amante, d'Adélaïde. La jeune femme qu'il avait envoyé à Sombrebois depuis quelques jours déjà … il ne savait pas où en étaient ses propres négociations mais il avait tout de même reçu un pigeon lui signifiant qu'ils étaient bien arrivés malgré quelques embûches en route … c'était totalement prévisible mais … il aurait peut être dû envoyer la jeune Rougesoleil sur un navire de la Compagnie de Pêche des Capitaines mais l'affrétage d'un navire aurait prit trop de temps … il l'avait envoyé sur un tracé sûr que ses éclaireurs et ceux de la milice avait fait, il ne pouvait rien se passer de bien grave.
« Vous comptez marier Adélaïde à cet homme ? » Demanda alors une voix dont le propriétaire s'avança dans le bureau où se trouvait Alexandre qui se préparait avec l'homme qui servirait de greffier.
« Messire Karl … je ne vous ai pas entendu frapper. »
« Je n'ai pas frappé, seigneur… mais qu'importe vous n'avez pas répondu à ma question. »
Alexandre se mit à sourire, un sourire froid, une expression qu'il arborait de plus en plus ces derniers temps… cette cité le changeait.
« Vous n'avez pas à savoir des projets que j'ai pour Adélaïde, messire de Ferank… vous n'êtes pas son père après tout. »
Le Vicomte s'approcha alors de l'homme en tunique blanche, il sentait la bière à plein nez et ses cheveux gras blonds reflétaient la tristesse de ses yeux bleus … il le dévisagea de pieds en cape et lui souffla dessus, ce dernier recula lentement mais se ravisa.
« Vous empestez l'alcool, messire. Concernant votre lien avec feu son père, vous n'êtes rien de plus qu'un poivrot au jour d'aujourd'hui … elle ne se rappelle même plus de vous, vous étiez un percepteur parmi tant et un ami de feu son mari qu'elle a oublié. Je vous signale également que je n'ai pas à de compte à vous rendre et que vous n'êtes plus le bienvenue sur l'Esplanade sur un ordre ducal … vous n'êtes d'aucune utilité à la Cité … vous êtes une loque … une loque qui a tout perdu … maintenant veuillez m'excuser mais j'ai à faire … déguerpissez avant que j'ordonne à ma garde de vous envoyer dans les bas-quartiers par le biais d'une catapulte. »
Puis il partit avec l'homme à la cassette contenant de quoi écrire et éviter que l'encre ne disparaisse du parchemin à cause de l'humidité. Alexandre était habillé simplement, une tunique de lin blanche avec une ceinture d'où on ne voyait pas le moindre fourreau contenant une épée … pour lui, cet entretien se devait se faire sans armes et il ne savait pas si le Rougelac allait faire de même … de toute manière, il serait nus … alors à moins de cacher une dague dans le fondement… Alexandre serait en sécurité … même si il avait plus d'un tour dans son sac.
Il se fit donc accompagner de trois hommes de la Garde de Sang pour aller jusqu'aux Thermes … bien sûr, les deux nobles viendraient avec leurs escorte mais ces derniers resteront en dehors de l'espace de discussion et il n'y aurait que le greffier et le Vicomte avec le Comte.
L'image pouvait faire rire quand on voyait un noble habillé en simple tunique en plein hiver mais qui ressemblait presque à un paysan si on ne comptait pas les trois hommes d'armes lourdement armés qui l'accompagnait … ils traversèrent alors l'Esplanade sous des regards interrogateurs, certes la plupart le connaissait mais … on ne l'avait jamais vu ainsi accoutré mais il se fichait bien des regards des autres, tout ce qui importait aujourd'hui, c'était l'entrevue qui se passerait sous le regard des Dieux.
Ils arrivèrent alors au temple et se dirigèrent vers les Thermes où Alexandre paya un coin pour y poser ses vêtements et laissa un garde de son escorte en faction … il y avait pire comme boulot.
C'est alors qu'un Alexandre dénudé, l'engin à l'air, la musculature dessinée par des années d'entraînements et de travail aux champs était visible mais on voyait bien qu'avec la vieillesse avancée du noble, quelques abdominaux disparaissaient mais … il était toujours aussi musclé qu'il l'était dans sa jeunesse.
Son corps était couvert de stries notamment son dos, symbole de coups de fouets qu'il avait reçu lors de son initiation dans l'armée Terresanguine, en effet, chaque commandant des armées frontalières du Vicomté devait être initié à la douleur et ils passaient trois épreuves … le fouet en faisait partie. Une blessure à l'arrière de l'épaule droite était également visible, une sorte de petite griffure dû à un combat contre un Fangeux dès le début de la Fange et une blessure à l'épaule gauche, souvenir d'un coup d'épée.
Alexandre n'avait aucune arme sur lui, il avait néanmoins gardé sa prothèse gantée dont on voyait les ficelles sur son bras qui la maintenant … d'habitude il faisait en sorte que personne ne croise le regard de son infirmité qu'il cachait avec un crochet mais il avait récemment obtenu une prothèse crée par un médecin qu'il avait gracieusement payé, qui renfermait une petite chose que personne même Victor ne connaissait l'existence.
Il se retrouva alors devant l'espace privatif qu'il avait réservé et qui était gardé par deux hommes … l'escorte du Rougelac très certainement, évidemment. Il regarda ses propres hommes et leur fit signe de rester là, en surveillant bien ces deux là mais les deux hommes armes désigna le greffier avec sa caisse qu'il tenait avec son cou.
 « Il est avec moi, il est ici pour servir d'homme de lettres… pour retranscrire notre entretien. Il est dénudé et est soumis au regard des Dieux. »
Alexandre passa alors entre eux-deux avec son scribe et ouvrit la porte pour entrer dans l'espace qu'il avait réservé et dont le Rougelac avait gracieusement payé.
 « Comte de Rougelac … je vois que vous êtes arrivé en avance pour payer notre lieu d'intimité. » Dit-il en se mettant face à lui pendant que le Greffier allait se mettre dans un coin où la vapeur n'était pas pour commencer à sortir son matériel d'écriture.
Alexandre s'assied alors sur un banc bordant le petit bassin qu'il avait réservé et mouilla ses pieds puis observa Rougelac avec un petit regard plein de malice.
 « Vous êtes là depuis longtemps ? »
Février 1166, le mois de tous les défis, le mois qui resterait peut être gravé dans l'histoire de la Maison Rougelac ? Tien n'était moins sûre hélas car la vie du Comte semblait être un long fleuve tumultueux. Et pourtant, Victor s'était relevé jusque là de chaque échec et dans la défaite il en ressortait toujours plus fort. Une force, de l'audace et un soupçon de folie qui lui avait permit de se retrouver en lice pour obtenir la main d'une jeune femme aux multiples talents, une femme, une baronne qui lui rappelait bien malgré lui sa précédente fiancée que la Fange lui avait brusquement voléd, Grâce de Brasey, une femme de la Haute, une femme d'intrigue, aussi belle que sournoise. A cet effet, le sulfureux mondain reçu alors un retour positif de la pary du suzerain direct de la mondaine, un certain Alexandre de Terresang et ce malgré leur grief du passé. Une recontre fut convenue et si le lieux était bien des plus cocasse l'heure matinale pouvait également surprendre. Fort heureusement, Victor était de ce qui dormait peu, ne disait-on pas que "l'avenir appartenait à ceux qui se levait tôt" ? Toujours est-il qu'il avait une très belle carte à jouer mais il était conscient qu'à la moindre erreur il serait mis au tapis. Si son homologue avait donc choisit une rencontre en terrain neutre, il avait laissé le soin au deuxième prétendant de la baronne de privatiser et payer l'emplacement aux thermes ce qui semblait sommes toute logique. De fait c'était en compagnie d'une escorte de deux hommes d'arme qu'il se présenta ni plus ni moins qu'à l'horaire d'ouverture de l'établissement afin de pouvoir jouir du meilleur emplacement et ainsi montrer son sérieux au Vi-Comte en se montrant ponctuel et prévenant. Huit heure et deux minutes, voilà que le sang-bleu venait de se débarrasser de ses vêtements avant qu'on le condulé lui et ses hommes jusqu'à l'entrée de la zone privative. Victor ne semblait nullement stressé ou même sous pression, après tout sa vie était faites de maintes et maintes négociations et qu'elles soient d'ordre pécuniaire, de marchandises ou humaines, le dénominateur commun restait le même. Avant de disparaître dans le lieu qui servirait de table des négociations, il se tourna vers son plus fidèle sbirs, Hans Wriggel, un molosse d'un bon mètre quatre-vingts dix et une bonne centaines de livres de muscles. - Ne fait entrer aucun homme d'arme et garde l'oeil sur les hommes du Vicomte. Avec lui, tout est possible. Pour toute réponse, la "Montagne" comme on le surnommait acquiesca d'un léger grognement avant de finir par se poster, bras croisés devant l'entrée tandis que le Comte de Rougelac s'en alla s'imprégner des lieux s'offrant le luxe d'une agréable baignade de bon matin. Huit heure et vingt-cinq minutes, voilà enfin qu'apparut Alexandre de Terresang, accompagné d'un homme de lettres vraisemblablement car il portait une caissette, évidemment fouillée en bon et dû forme par l'un de ses homme d'arme. La vapeur d'eau qui se diffusait dans la pièce par endroit laissa un cours instant Victor invisible dans l'eau avant que son homologue ne repaire sa présence. L'entrevue allait démarrer devant les Trois et sans aucun superflu. Le contraste était à la fois paradoxale et saisissant lorsqu'on observait les deux noble dans leur plus simple apparat. Alexandre possédait une musculature en adéquation avec sa lourde carrure, bien bâti il portait les vestige d'une vie de labeur et de combat. Quand à Victor, si l'on ne pouvait dire que son physique était à l'opposé de celui de son compagnon de thermes, il n'y avait rien pourtant de disgracieux chez lui bien au contraire. Un silhouette plus svelte, le quadragénaire possédait toutefois une musculature fin et seyante, preuve qu'il entretenait quotidiennement son corps et que les années ne l'avait nullement plongé dans quelques excès et relâchement lié à la vieillesse qui lui aurait causé quelque embonpoint. A contrario des ses stries qui lardaient le dos du Vicomte, celui du Comte était dépourvu de toute marque. L'évidence semblait criante entre deux profils de noble opposé qu'était le noble guerrier et le noble mondain. Ainsi, tandis qu'Alexandre s'asseya devant son interlocuteur, trempant ses pieds dans le bassin, de Rougelac rejoignit le bord avant de briser la surface de l'eau, remontant sur le bord, dos à Alexandre, lui offrant la vue d'une fessier finement dessiné et ferme. Allant s'assoir face à lui dans la même position, Victor se montrait lui aussi impudique laissait ses parties génitales découvertes et à la vue de son comparses (par tous les Saints, tout deux ne semblaient pouvoir être complexer par leurs nobles joyaux que le temps semblait avoir préservé :) ) Et nous y voilà, les Deux Apollons Quadragénaire passaient donc bientôt à des choses plus sérieuses chères lectrices qui jusque là devaient sans doute papilloner nerveusement du bas ventre ! - Vicomte de Terresang, à la bonne heure. La ponctualité mon cher, est une chose très importante en affaire. Lacha-t-il un léger sourire à la commissure de ses lèvres. Reprenant alors le silence, il laissa Alexandre mener les débats. Après tout c'était le décisionnaire de l'avenir d'Adélaïde et la convenance voulait qu'en négociation on laisse la parole au vendeur plutôt qu'a l'acquéreur.
Le Vicomte observa alors le fessier du Comte en arquant un sourcil, il devait l'avouer que … même pour un noble mondain ayant fait la manipulation et le calcul de ses armes, … la ruse et la fourberie, son écu, il ne pensait pas que pareil homme pouvait avoir une carrure comme celle-ci … il devait garder la forme en faisant quelques exercices et cela surprenait Alexandre qui avait toujours eu à faire à des mondains qui s'engraissaient à vu d'oeil sans pour autant faire quelque chose pour améliorer sa santé … ce simple fait, cette simple vision de ce fessier galbé avait fait remonter Victor dans l'estime du vieux noble … juste un peu … quoi ?! Non, ce n'est pas bizarre !
Victor se la jouait homme sans pudeur et cela tombait bien … cela ne dérangeait pas de voir les joyeuses bourses rebondies de son interlocuteur, il fallait dire qu'il n'avait pas à se plaindre de ce côté là … peut être en jouait-il mais il pensait sa lance un peu plus grosse pour l'homme qu'il était … il devait sûrement compenser avec son ego qui était lui immensurable.
 « Je suis à l'heure mon cher, sachez qu'un noble n'arrive jamais en retard ni en avance mais à l'heure exact… et nous avions convenu du rendez vous pour huit heures et demi si je ne m'abuse. Je ne vois pas l'Astre maintenant mais je dirais qu'il est exactement cette heure-ci. »
Il regarda alors le scribe qui avait commencé à écrire sur son parchemin … le Vicomte avait décidé depuis quelques temps de faire retranscrire ce qui se passait dans son entourage sur parchemin, comme cela les générations futures vivront par l'intermédiaire des écrits ce qui s'est réellement passé dans l'enceinte de la cité. Il se mit à regarder le Comte avec un petit sourire, évidemment il allait le laisser parler.
 « Mon scribe est ici pour retranscrire sur parchemin pour éduquer ceux qui vivront après nous, le futur se passe ici dans ces thermes et absolument tout sera écrit. »
Il se mit à regarder sa prothèse en forme de main gantée et eut un léger sourire.
 « Ils sauront ce que nous avons enduré et ce que nous avons gagné mais aussi ce que nous avons décidé. » Il reporta son attention sur Victor.  « Je ne vous aime guère Victor mais cette entrevue pourrait me faire changer d'avis … après tout ce qu'il y a de mieux après la brouille c'est la réconciliation n'est ce pas ? Et nous savons tout les deux que nous avons besoin de nous entraider. »
Il regarda autour de lui avec un froncement de sourcils, quelque chose le contrariait mais quoi ? Victor le saurait bien assez tôt.
 « Vous n'avez pas prévu de vin, Comte de Rougelac ? »
Ohhh le vil coquin ! Si Victor avait su qu'il lui mater la croupe ! ... Et bien il n'en aurait eu que faire en fin de compte ? Mais passons donc sur l'analyse et les théorie de notre cher Vicomte, examinateur de fessier masculin à ses ses heures perdu. La rencontre avait un tout autre objectif que de lorgner sur leur physique d'Apollon n'est ce pas ? Ou nos chers lecteurs auraient d'autres intérêts qu'à suivre les pourparlers visant de destin d'une certaine Adélaïde ? Qu'à cela ne tienne, nous garderont le cap! Evidemment, Alexandre reprit volontiers la parole afin d'évoquer sa ponctualité et admettons-le il n'y avait rien de productif à en tirer mais c'était là l'exercice de la convenance. Sur ces bonnes paroles, le Comte de Rougelac observa lui aussi du coin de l'oeil le scribe. Par les Trois, il notait déjà quelques choses ? Mais quoi ? Non, tout de même pas l'échange d'amabilité ? Attendez ! Non, non, cela ne pourrait être le cas... décrivait-il le physique des deux nobles ? Cela ne se pourrait ! Enfin ceci n'était qu'un détail et d'ailleurs le noble guerrier s'empressa d'expliquer la présence du dit scribe. Éduquer les génération future grâce à l'histoire des aïeux ? S'était en soit une très bonne chose et de Rougelac profita de l'occasion pour venir glisser une remarque légèrement taquine mais peut être bien réelle. - Vous prenez donc très au sérieux ma candidature, cela m’honore et je n'en attendais pas moins d'un homme comme vous. Se désintéressant totalement de la prothèse que portait le Vicomte et dont se dernier semblait y attardé son attention, Victor écouta alors religieusement les propos qui suivirent et le franc parlé de ce dernier semblait bienvenue. Par le passé les deux hommes avaient nourris des griefs durables et tenaces, mais en ce monde rien ne restait éternellement figé, tout deux le savaient. Ainsi le manchot (si je puis m'autoriser cet écart de langage avec tout le respect que nous portons à Alexandre) laissait entrevoir l'espoir d'une réconciliation car la situation semblait l'imposer plus encore en ces temps sombre que vivaient Marbrume. Il n'aurait été affaire de main à prendre, les deux hommes se seraient retrouver sur un autre sujet, mais pour l'heure c'était bien de cela qu'il était question car par delà l'intérêt de marier sa vassal, Alexandre y voyait le moyen de trouver une alliance qui lui serait peut être profitable. Pour toute réponse, Victor inclina la tête d'un air entendu, il n'y avait rien à ajouter, tout était dit et bien dit alors pourquoi user de sa salive ? S'en suivi une inspection visuel des lieux de la part du (presque) chauve noble avant de sembler contrarié par l'absence d'alcool. Un sourire fin se dessina sur le visage du mondain qui répliqua derechef un sourire léger à la commissure de ses lèvres. - Mes excuses, mais je ne bois pas avant les onze heure. Je suis venu négocier la main de la Baronne, mais pas au point de flatter votre égo ni de vous dérouler le tapis rouge! Voyons, Alexandre ! Enfin si je puis me permettre cette petite note de familiarité. Je vous pensez plus prompte à entamer les hostilité. Fini-t-il par lâché un léger clin d’œil à l'endroit de son homologue. - Et puis je préfère avoir les idées bien au clair, surtout pour traiter avec vous. Prenez-le comme un compliment sincère. Mais si vous insistez, je puis demander à l'un de mes hommes de se charger de vous rapporter du vin ? Tout en sachant très certainement que le vicomte allait rejeter la proposition.
 « Bien entendu, chaque personne aussi mal-aimée soit-elle mérite d'avoir une trace écrite en son nom dans les chroniques et vous ne faîtes pas exception mon cher Rougelac. »
En fait, il n'avait pas si tort que cela, combien de fois on retrouvait dans des livres d'histoires des personnes qui avaient fait tant de mal avoir une chronique en leur leur nom, on vantait leurs exploits mais aussi leurs crimes … leurs pêchés … leurs secrets cachés, on expliquait leur réputation, on les discréditait parfois mais qu'importe, ce n'était pas le rôle de la chronique qu'Alexandre faisait retranscrire, elle avait pour but d'éduquer, de montrer que face au pire des chaos on pouvait changer.
Victor de Rougelac l'informa qu'il n'avait pas fait préparer de vin, après tout ils étaient là pour discuter affaires et non pour picoler entre deux bons vieux amis -qu'ils n'étaient pas- et se saouler la tronche jusqu'à ce que l'un d'eux ait envie de noyer l'autre.
 « Vous me prenez pour un renard ? Comme je vous l'ai dis il y a quelques semaines, une bataille se déroule sur le terrain et dans les coulisses … si j'avais voulu vous faire du tort, je vous aurais attaqué au moment où vous avez approché la baronne et lorsque vous l'avez invité chez vous dans un traquenard. »
Il se mit à sourire, bien sûr, il se doutait bien que Adélaïde avait informé Alexandre de leur entrevue dont s'était résulté la fameuse invitation pour cette
Agente immobilière anglaise se fait baiser
Blonde avec un superbe cul s'en prend une
Préparer une invasion anale

Report Page